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Baron-sur-Odon

Baron-sur-Odon est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 005 habitants[Note 1].

Baron-sur-Odon
Baron-sur-Odon
L'église Notre-Dame-de-la-Nativité.
Blason de Baron-sur-Odon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Vallées de l'Orne et de l'Odon
Maire
Mandat
Georges Laignel
2020-2026
Code postal 14210
Code commune 14042
Démographie
Gentilé Baronnais
Population
municipale
1 005 hab. (2020 en augmentation de 15,12 % par rapport à 2014)
Densité 156 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 58″ nord, 0° 28′ 45″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 111 m
Superficie 6,43 km2
Unité urbaine Caen
(banlieue)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Évrecy
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Baron-sur-Odon
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Baron-sur-Odon
Liens
Site web baron-sur-odon.fr

    Géographie

    La commune est à l'ouest de la plaine de Caen, aux portes du Bessin et du Pré-Bocage. Son bourg est à km au nord d'Évrecy, à 12 km au sud-ouest de Caen et à 15 km au sud-est de Tilly-sur-Seulles[1].

    Baron-sur-Odon fait partie du canton d'Évrecy. Peuplée de 1 005 habitants (population totale 2020 en augmentation de 15,12 % par rapport à 2014) sur une superficie de 643 hectares (soit 156.3 hab/km2), la commune fait partie de l’unité urbaine de Caen au sens de l'Institut national de la statistique et des études économiques[2].

    La rivière l'Odon, affluent de l'Orne, traverse Baron-sur-Odon.

    L'aéroport le plus proche est Carpiquet à 5,4 km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 788 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Baron-sur-Odon est une commune urbaine[Note 6] - [16]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Caen, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[19] et 205 163 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,1 %), prairies (14,8 %), forêts (12,5 %), zones urbanisées (12,3 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Baron en 1138[26] et Baro au XIVe siècle[27]. L'origine de ce toponyme est incertaine. Albert Dauzat évoque le cognomen Baro ou le titre (d'origine germanique) de baron[27], un sobriquet lié à un titre de noblesse, surnom possible pour un homme vaniteux. René Lepelley quant à lui y décèle soit le gaulois barro, « clôture » (ancien français barre) qui désigne une « hauteur, colline, extrémité », un « sommet »; soit l'anthroponyme germanique Baro[28].

    Le nom de la rivière, l'Odon, qui borde le nord-ouest du territoire, a été ajouté en 1935[29].

    Le gentilé est Baronnais.

    Histoire

    Borne du chemin Haussé (voie romaine) dit du Duc-Guillaume.

    Les nombreux vestiges gallo-romains attestent d’une occupation humaine organisée sur la commune de Baron-sur-Odon.

    La commune est bordée par une voie romaine importante reliant le Cotentin à l'Orléanais passant par Vieux, cité des Viducasses. Cette voie romaine est connue sous le nom de chemin Haussé, entre la Bruyère et la Croix des Filandriers au niveau de la cote 112. C'est une voie romaine identifiée à l'une des voies figurant sur la table de Peutinger. Ce chemin est également connu sous le nom de chemin du Duc-Guillaume, en souvenir du duc de Normandie, parti de Falaise et qui l’aurait emprunté en faisant ferrer ses chevaux à l'envers pour tromper ses poursuivants. Ce stratagème expliciterait l’origine du nom donné à la croix des Filandriers qui rappellerait la ruse de Guillaume le Conquérant « filant derrière ».

    Les premières mentions de Baron remontent au début du XIIe siècle ; c’est un nom d'origine gauloise, il se compose du suffixe on, ou num, caractérisant les rivières, précédé de la racine bar, racine gauloise signifiant hauteur. Ce qui donnerait à Baron le sens de Â«hauteur de la rivière».

    Baron appartenait au début du XIIe siècle à l'abbaye d'Ardenne. Les parties les plus anciennes de l'église remontent à cette période.

    Après avoir appartenu jusqu’au début du XIVe siècle à la famille Le Gouvix, Baron relevait ensuite de la famille de Villers, Anzenay et Moges. Ainsi, Jean de Moges fit édifier le premier château du Ponchet au XVIe siècle.

    La commune connut la peste au Moyen Âge, par trois fois, en semant ruine et désolation, entraînant, semble-t-il, le déplacement d’une partie du village vers le nord-est, l’éloignant ainsi de l’église.

    Après la Révolution, en 1792, la municipalité a partagé ses terres avec les habitants. La Bruyère fut divisée en 473 lots et découpée en 11 delles : Delle de Liberté, Delle de l’Égalité, Delle des Victoires, appellations que l’on retrouve aujourd’hui.

    Au XIXe siècle, on dénombrait environ 400 habitants à Baron l'activité agricole dominait mais cinq commerces animaient également le village.

    Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les bases de la construction d’une mairie et d’une école furent posées.

    Durant la Première Guerre mondiale, treize jeunes de Baron furent tués. La commune connut alors son minimum démographique avec 193 habitants après un début d'exode rural qui dépeuplait la campagne.

    Entre les deux guerres, la commune se dota du téléphone et réalisa le réseau électrique, préambule d'une politique de modernisation.

    La Seconde Guerre mondiale projeta Baron au cœur des combats qui suivirent le débarquement. En , lors de l'opération Epsom, les hauteurs de la cote 112, au sud-est du territoire de Baron-sur-Odon (également sur les communes de Fontaine-Étoupefour, Vieux et Esquay-Notre-Dame), est l'un des objectifs pour la prise de Caen. Les combats y dureront plus d'un mois car le haut commandement allemand avait décidé de bloquer la progression des troupes alliées. La commune fut marquée durablement par cette terrible bataille, qui détruisit les deux tiers du village et de nombreuses années furent nécessaires pour en effacer les stigmates.

    Puis, la vie communale reprit son cours et, à partir des années 1970, Baron-sur-Odon a reconquis des habitants, de 200 à la fin des années 1960 à près de 900 aujourd'hui par la construction de nombreux pavillons.

    La description de ce blason est celle-ci[30] :

    • la Croix de guerre est décernée à la commune à la suite de la bataille de la cote 112 qui s'est déroulée sur son sol ;
    • les armes de la région Basse-Normandie représentées par les deux léopards d'or.

    On remarque les deux parties séparées et conformes à la géographie du territoire, à savoir :

    • une partie avec des épis représentant la plaine ;
    • une partie avec les feuilles de chêne correspondant aux bois de Baron.

    Quant au fer à cheval retourné, il symbolise la fuite de Guillaume le Conquérant avec son cheval qui aurait été ferré à l'envers afin de tromper ses poursuivants (fuite de Valognes à Falaise en 1047). Les vaguelettes représentent la rivière Odon.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 mars 1983 Charles Dubosq Agriculteur
    mars 1983 juin 1995 Gérard Maheut Directeur d'école / professeur des écoles
    juin 1995 mars 2008 Joseph Desquesne Retraité de la fonction publique
    mars 2008 En cours Georges Laignel[31] Directeur de centre de promotion sociale
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[31].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2020, la commune comptait 1 005 habitants[Note 8], en augmentation de 15,12 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    450392461456468497434467430
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    401411418379398359335319318
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    318291261193193208216195228
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    267313446579616625812839840
    2017 2020 - - - - - - -
    9391 005-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame-de-la-Nativité dont le clocher du XIIe siècle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [35]. Le reste de l'édifice qui date du XIIIe siècle est seulement inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.
    • Le manoir de Baron, construit entre les XVIe et XIXe siècles, dont les façades et toitures, ainsi que la tour de l’ancien château, font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [36].
    • Le château de Tourmeauville du XVIIIe siècle, chapelle du XIXe siècle.
    • L’église Notre-Dame-de-la-Nativité.
      L’église Notre-Dame-de-la-Nativité.
    • L’église Notre-Dame-de-la-Nativité.
      L’église Notre-Dame-de-la-Nativité.
    • Le manoir et la tour.
      Le manoir et la tour.
    • Le château de Tourmauville et sa chapelle.
      Le château de Tourmauville et sa chapelle.

    Labels

    La commune est un village fleuri (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[37].

    Jumelages

    La ville de Baron-sur-Odon est jumelée avec une ville allemande et une ville britannique :

    Jumelages et partenariats de Baron-sur-Odon.
    VillePaysPériode
    ChittlehamptonRoyaume-Unidepuis
    GaukönigshofenAllemagnedepuis

    Héraldique

    Blason de Baron-sur-Odon

    Les armes de la commune de Baron-sur-Odon se blasonnent ainsi :
    Taillé : au 1er de gueules à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre, au 2e d'azur chargé de vaguelettes d'argent et au fer à cheval renversé d'or brochant sur le tout ; à la barre d'argent chargée de l'inscription « BARON » en lettres capitales de sable brochant sur la partition ; à la branche de laurier d'or au flanc dextre et de chêne de sinople, englantée d'or au flanc senestre, brochantes, les tiges passées en sautoir en pointe ; à la Croix de guerre 1939-1945 appendue à une draperie ployée de pourpre mouvant des angles du chef vers le point du chef, brochant[38].

    Les deux léopards d'or des armoiries de Baron-sur-Odon rappellent les armoiries de la Normandie.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    2. Composition communale de l'agglomération caennaise
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station météofrance Caen-Carpiquet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Baron-sur-Odon et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Caen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 829
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    28. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 59
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Document écrit explicatif provenant de la mairie de Baron-sur-Odon, le projet de blason fut proposé au conseil municipal par M. Collard et M. Maheut et adopté à l'unanimité.
    31. Réélection 2020 : « Municipales à Baron-sur-Odon. Georges Laignel, élu maire pour un troisième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Clocher », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Château », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le )
    38. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.

    Liens externes

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