Barjouville
Barjouville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir de la région Centre-Val de Loire.
Barjouville | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Chartres Métropole | ||||
Maire Mandat |
Benoît Delatouche 2020-2026 |
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Code postal | 28630 | ||||
Code commune | 28024 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Barjouvillois | ||||
Population municipale |
1 780 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 434 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 24′ 34″ nord, 1° 28′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 126 m Max. 157 m |
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Superficie | 4,1 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Chartres (banlieue) |
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Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Lucé | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | barjouville.com | ||||
Géographie
Situation
La ville de Barjouville se situe au sud de l'agglomération de Chartres.
- Barjouville dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Barjouville.
Communes limitrophes
Hydrographie
Provenant du sud par Ver-lès-Chartres, la rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, borde la ville de Barjouville à l'est, avant de couler vers le nord entre Luisant et le Coudray.
Transports en commun
Barjouville est desservie par la ligne 1 du réseau de bus urbain Filibus.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[9] à 11 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Barjouville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[15] et 88 995 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), zones urbanisées (24,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8 %), forêts (4,7 %), prairies (2,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Barjouville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995 et 1999[23] - [21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 87,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 626 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 626 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].
Toponymie
Barjouville était appelé Berjonville au XVIIIe siècle puis, en l'an 1801, devint Barjouville[26].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
La prairie de Barjouville, arrosée par l'Eure et un bel étang, fait l'objet d'un entretien différencié où les tontes ne sont réalisées que pour l'agrément des visiteurs et de façon très parcimonieuse.
La commune développe en particulier une politique soutenue de fleurissement, ce qui lui a permis d'être labellisée « Villes et villages fleuris » et d'obtenir en octobre 2021 une deuxième fleur[27].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2020, la commune comptait 1 780 habitants[Note 7], en augmentation de 1,95 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Le , les écoles ont été baptisées du nom de l'aventurier Nicolas Vanier (école maternelle) et de celui du photographe Yann Arthus-Bertrand (école élémentaire).
Infrastructures sportives
- Gymnase municipal, rue du Fort-Mahon.
Bowling
Le bowling de Barjouville se situe 17 rue des Pierres Missigault (dans la Zone Commerciale).
Football
L'Entente Barjouville/Le Coudray/Morancez est née en 2009 de la fusion de trois clubs : L'US Le Coudray, le Barjouville SCL et le FC Morancez. Le club a de nombreux effectifs en jeunes. Les différentes équipes du club évoluent sur trois différents stades : le stade Noel-Ballay de Morancez ainsi que les stades municipaux du Coudray et de Barjouville. L'équipe senior évolue aujourd'hui en 4e division de district, tandis que le palmarès récent chez les jeunes compte un titre de champion de U18 Brassage en 2015, ainsi qu'un titre de champion de 1re division U15 en 2016, et une place en finale régionale U13 à Châteauroux en 2011.
Basketball
- B.S.C.L., le club de Barjouville voit le jour en 1977 grâce à son créateur, M. Jean Lefevre. Le club est alors composé de 12 filles et garçons. En 2008-2009, l'équipe senior évolue au niveau régional 3 et décroche la montée au niveau supérieur à l'issue de la saison. Lors de cette même saison, l'équipe 2 parvient à se hisser en demi-finale de la coupe du comité[31].
- L'équipe senior monte en national 3 à l'issue de la saison 2013-2014 et y restera 2 ans, puis redescendra finalement après la saison 2015-2016
- L'équipe senior féminine montera elle en pré-national pour la saison 2016-2017
Divers
- B.S.C.L. : tennis, tennis de table, badminton, dance moderne jazz
Culture locale et patrimoine
Château de Barjouville
Inscrit MH (1994)[32].
L'échauguette de la prestrière de Moineaux fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [32].
Église Saint-Jacques
Une première chapelle, constituant probablement aujourd'hui le chœur, est complétée au XIIIe siècle par la nef.
Les 3 vitraux du mur du chevet datent de 1873 et sont l’œuvre des ateliers Lorin de Chartres, dirigés à cette date par leur fondateur Nicolas Lorin. Au centre se trouve Jésus, à droite saint Jacques et à gauche saint Laumer. Sur le mur sud du chœur, un vitrail inclut des fragments du XVIe siècle, représentant saint Nicolas et peut-être saint Christophe[33].
Bords de l'Eure
La rive droite de l'Eure est bordée par un groupe de cyprès chauves remarquables.
- Église Saint-Jacques.
- Monument aux morts.
- Chœur et mur de chevet.
- Saint Laumer, ateliers Lorin, 1873.
- Jésus Christ par Lorin, 1873.
- Saint Jacques le Majeur.
Héraldique
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Les armes de la commune de Barjouville se blasonnent ainsi : |
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La seigneurie de Barjouville appartenant à la famille de Trie pendant plus de soixante ans son blason (d'or à la bande d'azur) a été repris. Les oies et les peupliers font allusion à la prairie, les coquilles Saint-Jacques font référence à son église dédiée à saint Jacques de Compostelle.
Voir aussi
Bibliographie
- Yves Legrand, Histoire de Barjouville, 83 p.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Chartres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Barjouville et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Chartres », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Barjouville », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Villes et villages fleuris, « Barjouville », sur https://www.villes-et-villages-fleuris.com/les-communes-labelisees (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Site du club de basketball ».
- « Prestrière de Moineaux », notice no PA00132559, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- [PDF] Églises ouvertes d'Eure-et-Loir, « Église Saint-Jacques de Barjouville », sur http://www.eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr (consulté le ).
- « Tableau Vierge à l'Enfant avec sainte Anne tenant une colombe », notice no PM28000936, base Palissy, ministère français de la Culture.