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Bangor (Morbihan)

Bangor [bɑ̃gɔʁ] est une commune française, situĂ©e sur l'Ăźle de Belle-Île-en-Mer, dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne.

Bangor
Bangor (Morbihan)
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Morbihan
Arrondissement Lorient
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes de Belle-Île-en-Mer
Maire
Mandat
AnnaĂŻck Huchet
2020-2026
Code postal 56360
Code commune 56009
DĂ©mographie
Gentilé Bangorins
Population
municipale
1 018 hab. (2020 en augmentation de 4,73 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 40 hab./km2
Population
agglomération
5 158 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 18â€Č 57″ nord, 3° 11â€Č 14″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 58 m
Superficie 25,54 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Quiberon
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Bangor
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Bangor
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Bangor
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Bangor
Liens
Site web bangor.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    Bangor est une des quatre communes de Belle-Île-en-Mer, dont le territoire s'Ă©tend sur la cĂŽte sud-ouest exposĂ©e aux vents dominants, tandis que le bourg chef-lieu est situĂ© presque au centre gĂ©ographique de l'Ăźle. Bangor possĂšde les sites les plus sauvages de Belle-Île.

    Communes limitrophes

    Relief

    L'altitude de la commune varie de 0 à 58 mÚtres. Le littoral, trÚs déchiqueté, est constitué d'une succession de falaises rocheuses et de criques abritant de petites plages. L'intérieur des terres présente l'aspect d'un plateau échancré par quelques vallons au fond desquelles coulent de modestes cours d'eau qui terminent leur course au fond des criques.

    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      Carte topographique de la commune de Bangor.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 813 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1930 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs. La tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[8] Ă  12,4 °C pour 1991-2020[9].

    Statistiques 1981-2010 et records BELLE ILE-LE TALUT (56) - alt : 34 m 47° 17â€Č 36″ N, 3° 13â€Č 06″ O
    Records établis sur la période du 01-04-1930 au 04-01-2022
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 6 5,5 6,9 8 10,9 13,3 15,1 15,3 13,9 12 8,9 6,7 10,2
    Température moyenne (°C) 7,9 7,5 9,1 10,7 13,6 16,2 18,1 18,3 16,8 14,2 10,9 8,6 12,7
    Température maximale moyenne (°C) 9,7 9,5 11,4 13,4 16,4 19,1 21,1 21,4 19,7 16,3 12,9 10,6 15,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −10
    20.01.1963
    −8,4
    03.02.1956
    −4,8
    07.03.1971
    −1,6
    12.04.1986
    3
    07.05.1997
    5,4
    01.06.1962
    8,2
    23.07.1954
    7,4
    31.08.1986
    6,6
    27.09.1943
    2
    30.10.1997
    −3,4
    20.11.1985
    −6,2
    26.12.1962
    −10
    1963
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    14,5
    13.01.1993
    16,2
    25.02.19
    21,5
    28.03.12
    25
    24.04.1984
    28,2
    25.05.12
    34,8
    28.06.1976
    33,8
    11.07.1949
    33,4
    04.08.03
    30,8
    06.09.21
    24,8
    01.10.1997
    19,2
    05.11.1971
    16,1
    30.12.15
    34,8
    1976
    Précipitations (mm) 82 60,9 54,3 50,4 52,2 32,4 38,3 33,5 56,3 77,7 78,4 85 701,4
    Source : « Fiche 56009001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Bangor est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[16] - [17].

    En 2020, 61,9 % des logements de Bangor étaient, selon l'INSEE, des résidences secondaires[18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous prĂ©sente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 1,0 % 26
    AĂ©roports 1,0 % 26
    Terres arables hors périmÚtres d'irrigation 15,4 % 396
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 28,3 % 726
    SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes 28,6 % 733
    Pelouses et pĂąturages naturels 2,1 % 53
    Landes et broussailles 22,2 % 571
    Mers et océans 1,3 % 34
    Source : Corine Land Cover[19]

    Habitat

    En 2019 on recensait 1 371 logements Ă  Bangor. 472 logements Ă©taient des rĂ©sidences principales (34,4 %), 849 logements des rĂ©sidences secondaires (61,9 %) et 51 des logements vacants (3,7 %). Sur ces 1 371 logements, 1 314 logements Ă©taient des maisons (95,8 %) contre 40 seulement des appartements (2,9 %). Le tableau ci-dessous prĂ©sente la rĂ©partition en catĂ©gories et types de logements Ă  Bangor en 2019 en comparaison avec celles du Morbihan et de la France entiĂšre.

    Le logement Ă  Bangor (56) en 2019.
    Bangor[20] Morbihan[21] France entiĂšre[22]
    RĂ©sidences principales (en %) 34,4 74,9 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 61,9 17,9 9,8
    Logements vacants (en %) 3,7 16,2 8,1

    Toponymie

    Bangor, selon LĂ©on Fleuriot et HervĂ© Abalain, serait formĂ© du radical Ban signifiant « supĂ©rieur, suprĂȘme » et Gor « troupe ». Il est usuellement donnĂ© le sens de « monastĂšre » Ă  Bangor[Note 5] - [23]. Alternativement, Bangor serait un vieux mot celtique qui dĂ©signerait l'enclos autour d'un monastĂšre[24].

    La commune tire son nom de celui d'une abbaye de Bangor d'Irlande ou du Pays de Galles d'oĂč sont venus les premiers moines installĂ©s sur l'Ăźle au VIIe siĂšcle pour y fonder un prieurĂ©.

    Histoire

    Préhistoire

    La commune était bien occupée dÚs la préhistoire comme en témoigne un menhir : la Pierre Sainte Anne.

    Moyen Âge

    Le prieurĂ© de Bangor a Ă©tĂ© pendant dix siĂšcles le chef-lieu de l'Ăźle. Il a Ă©tĂ© fondĂ© par des moines bĂ©nĂ©dictins venus coloniser et repeupler l'Ăźle Ă  partir du VIIe siĂšcle ; on ne sait pas s'il s'agit de l'abbaye de Bangor en Irlande d'oĂč l'on sait que des moines comme saint Colomban sont venus Ă©vangĂ©liser l'Armorique, ou du MonastĂšre de Bangor-Fawr, fondĂ© au Pays de Galles vers 545 sur le dĂ©troit de Menai.

    La colonisation a consistĂ© Ă  diviser l'Île en quatre paroisses dont Bangor occupe le milieu, et chaque paroisse en petits domaines concĂ©dĂ©s aux familles rĂ©siduelles de l'Ăźle ou aux colons que les moines font venir de Bretagne.

    Au IXe siĂšcle, l'Ăźle est dĂ©vastĂ©e par les Vikings, et le prieurĂ© est placĂ© sous la protection sĂ©culaire des comtes de Cornouaille (en Bretagne armoricaine). En 1029, le comte de Cornouaille Alain Canhiart confie l’üle Ă  l’abbaye Sainte-Croix de QuimperlĂ© qu’il vient de fonder. Celle-ci relevant directement du pape, Belle-Île bĂ©nĂ©ficie d'une immunitĂ© qui ne la fait relever ni de l’évĂȘchĂ© de Vannes, ni du duchĂ© de Bretagne. L'administration de l’üle est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă  un prĂ©vĂŽt de l'abbaye qui dispose du pouvoir temporel (droit de basse, moyenne et haute justice qui s’exerce tantĂŽt Ă  Belle-Île tantĂŽt Ă  QuimperlĂ©), puis uniquement Ă  QuimperlĂ© Ă  partir de 1408.

    Un autre comte de Cornouaille confie l'Ăźle aux BĂ©nĂ©dictins de Redon qui parviennent Ă  en prendre possession aprĂšs de longues contestations de l'abbĂ© de QuimperlĂ©. Le prieurĂ© reste au mĂȘme endroit que celui de leurs prĂ©dĂ©cesseurs (Ă  l'emplacement actuel du camping municipal de Bangor) et ils construisent Ă  Palais un fort qui deviendra par la suite la capitale de l'Ăźle Ă  la place de Bangor.

    Belle-Île reste sous le gouvernement des moines jusqu'au XVIe siĂšcle, Ă©poque oĂč les attaques incessantes des pirates les obligent Ă  rĂ©signer leur seigneurie dans les mains du roi, ou plutĂŽt Ă  la rĂ©gente Catherine de MĂ©dicis qui infĂ©ode l'Ăźle aux Gondi, alors titulaires du duchĂ© de Retz. Mais les terres restent sous le rĂ©gime de mainmorte jusqu'Ă  l'affĂ©agement de la fin du XVIIIe siĂšcle.

    SituĂ© Ă  Bangor, sur la cĂŽte ouest de Belle-Île, le phare de Goulphar entre en service en 1836.

    Le sémaphore du Talut est mis en service en 1862[25].

    L'aĂ©rodrome de Belle-Île situĂ© sur le territoire communal a Ă©tĂ© inaugurĂ© en 1954.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1791 1797 Pierre Paul FĂ©chant
    1797 1799 Pierre Vincent Le Matelot
    1799 1809 Pierre Paul FĂ©chant
    1809 1810 Jean Martin Labado
    1810 1818 Jean Jacques Hippolyte Le Dru
    1818 1839 Pierre Vincent Le Matelot
    1839 1844 Jean Jacques Hippolyte Le Dru
    1844 1852 G. FĂ©chant
    1852 1874 Jean Patern BriĂšre
    1874 1876 Louis Marie Laléous
    1876 1896 Mathurin L'Hermite
    1896 1900 Pierre Marie L'Hermite
    1900 1919 François Marie Le Bihan
    1919 1925 Onésime Bénoni L'Hermite
    1925 1935 Hervé
    1935 1946 François Le Marec
    1946 1960 Jean Marie Le Bihan
    1960 1971 Paul BĂ©dex
    1971 1977 Adolphe Oliéric
    1977 1983 Paul Meunier
    1983 1989 Jean Yves Daniel
    1989 2001 Lucien Maho
    2001 2014 Pierre-Yves DĂ©sard
    2014[26]
    RĂ©Ă©lue en 2020[27]
    En cours Annaïck Huchet SE Présidente de la Communauté de communes

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[29]. En 2020, la commune comptait 1 018 habitants[Note 6], en augmentation de 4,73 % par rapport Ă  2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2181 1831 0051 4181 6381 7621 7421 7121 820
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8131 8011 8681 8621 8071 6651 6151 5651 541
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4541 4841 3421 0741 017988929809670
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    578550563637735738875894946
    2017 2020 - - - - - - -
    9991 018-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Bangor dans les beaux-arts

    Des peintres ont représenté des paysages de la commune. Parmi les plus connus :

    Personnalités liées à la commune

    • Le peintre australien John Peter Russell, arrivĂ© Ă  Belle-Île-en-Mer en 1883. Il sĂ©journera d'abord dans un gĂźte louĂ© Ă  Envag avant de faire construire un manoir, surnommĂ© le « chĂąteau de l'Anglais » Ă  Goulphar.
    • Le peintre Claude Monet sĂ©journa au village de Kervilahouen.
    • Le critique d'art Anatole Jakovsky achĂšte en 1949 une maison de vacances au n°3 rue ClĂ©rain de Bangor, oĂč il sĂ©journera jusqu’à sa mort en 1983.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Cette érymologie reprend celle de Léon Fleuriot suivi par Hervé Abalain (Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.), ainsi que celle, en anglais, de A.D. Mills - Dictionary of British Place-names. Oxford University Press. 1991, 2003.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Fiche du Poste 56009001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    9. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    16. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    18. Martin Vaugoude, « Limiter les résidences secondaires : le sujet qui divise la Bretagne. », sur https://www.letelegramme.fr, (consulté le ).
    19. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    20. « Chiffres clés - Logement en 2019 à Bangor » (consulté le ).
    21. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Morbihan » (consulté le ).
    22. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    23. Hervé Abalain : Les noms de lieux bretons - Universels Gisserot. 2000 - Page 55.
    24. E. Anwyl et A. W. Wade-Evans, « Welsh MediĂŠval Law », The Celtic Review, vol. 6, no 22,‎ , p. 188 (ISSN 1755-6066, DOI 10.2307/30070223, lire en ligne, consultĂ© le )
    25. Office de tourisme de Belle-Île-en-Mer, Les SĂ©maphores de Belle-Ile, consultĂ© le 13 septembre 2014.
    26. « Municipales à Bangor. Annaïck Huchet, élue maire de Bangor », Ouest-France, 29 mars 2014.
    27. « Bangor. Annaïck Huchet réélue pour un deuxiÚme mandat », sur Maville.com, (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Aero-club Belle-Ile Charles Robin.
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