Bangor (Morbihan)
Bangor [bÉÌgÉÊ] est une commune française, situĂ©e sur l'Ăźle de Belle-Ăle-en-Mer, dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne.
Bangor | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Bretagne |
DĂ©partement | Morbihan |
Arrondissement | Lorient |
IntercommunalitĂ© | CommunautĂ© de communes de Belle-Ăle-en-Mer |
Maire Mandat |
AnnaĂŻck Huchet 2020-2026 |
Code postal | 56360 |
Code commune | 56009 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Bangorins |
Population municipale |
1 018 hab. (2020 ) |
Densité | 40 hab./km2 |
Population agglomération |
5 158 hab. |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 47° 18âČ 57âł nord, 3° 11âČ 14âł ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 58 m |
Superficie | 25,54 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Quiberon |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | bangor.fr |
GĂ©ographie
Situation
Bangor est une des quatre communes de Belle-Ăle-en-Mer, dont le territoire s'Ă©tend sur la cĂŽte sud-ouest exposĂ©e aux vents dominants, tandis que le bourg chef-lieu est situĂ© presque au centre gĂ©ographique de l'Ăźle. Bangor possĂšde les sites les plus sauvages de Belle-Ăle.
Communes limitrophes
Relief
L'altitude de la commune varie de 0 à 58 mÚtres. Le littoral, trÚs déchiqueté, est constitué d'une succession de falaises rocheuses et de criques abritant de petites plages. L'intérieur des terres présente l'aspect d'un plateau échancré par quelques vallons au fond desquelles coulent de modestes cours d'eau qui terminent leur course au fond des criques.
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1930 permet de connaĂźtre en continu l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[7]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs. La tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[8] Ă 12,4 °C pour 1991-2020[9].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 6 | 5,5 | 6,9 | 8 | 10,9 | 13,3 | 15,1 | 15,3 | 13,9 | 12 | 8,9 | 6,7 | 10,2 |
Température moyenne (°C) | 7,9 | 7,5 | 9,1 | 10,7 | 13,6 | 16,2 | 18,1 | 18,3 | 16,8 | 14,2 | 10,9 | 8,6 | 12,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,7 | 9,5 | 11,4 | 13,4 | 16,4 | 19,1 | 21,1 | 21,4 | 19,7 | 16,3 | 12,9 | 10,6 | 15,2 |
Record de froid (°C) date du record |
â10 20.01.1963 |
â8,4 03.02.1956 |
â4,8 07.03.1971 |
â1,6 12.04.1986 |
3 07.05.1997 |
5,4 01.06.1962 |
8,2 23.07.1954 |
7,4 31.08.1986 |
6,6 27.09.1943 |
2 30.10.1997 |
â3,4 20.11.1985 |
â6,2 26.12.1962 |
â10 1963 |
Record de chaleur (°C) date du record |
14,5 13.01.1993 |
16,2 25.02.19 |
21,5 28.03.12 |
25 24.04.1984 |
28,2 25.05.12 |
34,8 28.06.1976 |
33,8 11.07.1949 |
33,4 04.08.03 |
30,8 06.09.21 |
24,8 01.10.1997 |
19,2 05.11.1971 |
16,1 30.12.15 |
34,8 1976 |
Précipitations (mm) | 82 | 60,9 | 54,3 | 50,4 | 52,2 | 32,4 | 38,3 | 33,5 | 56,3 | 77,7 | 78,4 | 85 | 701,4 |
Urbanisme
Typologie
Bangor est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].
La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[16] - [17].
En 2020, 61,9 % des logements de Bangor étaient, selon l'INSEE, des résidences secondaires[18].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous prĂ©sente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type dâoccupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 1,0 % | 26 |
AĂ©roports | 1,0 % | 26 |
Terres arables hors périmÚtres d'irrigation | 15,4 % | 396 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 28,3 % | 726 |
SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes | 28,6 % | 733 |
Pelouses et pĂąturages naturels | 2,1 % | 53 |
Landes et broussailles | 22,2 % | 571 |
Mers et océans | 1,3 % | 34 |
Source : Corine Land Cover[19] |
Habitat
En 2019 on recensait 1 371 logements à Bangor. 472 logements étaient des résidences principales (34,4 %), 849 logements des résidences secondaires (61,9 %) et 51 des logements vacants (3,7 %). Sur ces 1 371 logements, 1 314 logements étaient des maisons (95,8 %) contre 40 seulement des appartements (2,9 %). Le tableau ci-dessous présente la répartition en catégories et types de logements à Bangor en 2019 en comparaison avec celles du Morbihan et de la France entiÚre.
Toponymie
Bangor, selon LĂ©on Fleuriot et HervĂ© Abalain, serait formĂ© du radical Ban signifiant « supĂ©rieur, suprĂȘme » et Gor « troupe ». Il est usuellement donnĂ© le sens de « monastĂšre » Ă Bangor[Note 5] - [23]. Alternativement, Bangor serait un vieux mot celtique qui dĂ©signerait l'enclos autour d'un monastĂšre[24].
La commune tire son nom de celui d'une abbaye de Bangor d'Irlande ou du Pays de Galles d'oĂč sont venus les premiers moines installĂ©s sur l'Ăźle au VIIe siĂšcle pour y fonder un prieurĂ©.
Histoire
Préhistoire
La commune était bien occupée dÚs la préhistoire comme en témoigne un menhir : la Pierre Sainte Anne.
Moyen Ăge
Le prieurĂ© de Bangor a Ă©tĂ© pendant dix siĂšcles le chef-lieu de l'Ăźle. Il a Ă©tĂ© fondĂ© par des moines bĂ©nĂ©dictins venus coloniser et repeupler l'Ăźle Ă partir du VIIe siĂšcle ; on ne sait pas s'il s'agit de l'abbaye de Bangor en Irlande d'oĂč l'on sait que des moines comme saint Colomban sont venus Ă©vangĂ©liser l'Armorique, ou du MonastĂšre de Bangor-Fawr, fondĂ© au Pays de Galles vers 545 sur le dĂ©troit de Menai.
La colonisation a consistĂ© Ă diviser l'Ăle en quatre paroisses dont Bangor occupe le milieu, et chaque paroisse en petits domaines concĂ©dĂ©s aux familles rĂ©siduelles de l'Ăźle ou aux colons que les moines font venir de Bretagne.
Au IXe siĂšcle, l'Ăźle est dĂ©vastĂ©e par les Vikings, et le prieurĂ© est placĂ© sous la protection sĂ©culaire des comtes de Cornouaille (en Bretagne armoricaine). En 1029, le comte de Cornouaille Alain Canhiart confie lâĂźle Ă lâabbaye Sainte-Croix de QuimperlĂ© quâil vient de fonder. Celle-ci relevant directement du pape, Belle-Ăle bĂ©nĂ©ficie d'une immunitĂ© qui ne la fait relever ni de lâĂ©vĂȘchĂ© de Vannes, ni du duchĂ© de Bretagne. L'administration de lâĂźle est dĂ©lĂ©guĂ©e Ă un prĂ©vĂŽt de l'abbaye qui dispose du pouvoir temporel (droit de basse, moyenne et haute justice qui sâexerce tantĂŽt Ă Belle-Ăle tantĂŽt Ă QuimperlĂ©), puis uniquement Ă QuimperlĂ© Ă partir de 1408.
Un autre comte de Cornouaille confie l'Ăźle aux BĂ©nĂ©dictins de Redon qui parviennent Ă en prendre possession aprĂšs de longues contestations de l'abbĂ© de QuimperlĂ©. Le prieurĂ© reste au mĂȘme endroit que celui de leurs prĂ©dĂ©cesseurs (Ă l'emplacement actuel du camping municipal de Bangor) et ils construisent Ă Palais un fort qui deviendra par la suite la capitale de l'Ăźle Ă la place de Bangor.
Belle-Ăle reste sous le gouvernement des moines jusqu'au XVIe siĂšcle, Ă©poque oĂč les attaques incessantes des pirates les obligent Ă rĂ©signer leur seigneurie dans les mains du roi, ou plutĂŽt Ă la rĂ©gente Catherine de MĂ©dicis qui infĂ©ode l'Ăźle aux Gondi, alors titulaires du duchĂ© de Retz. Mais les terres restent sous le rĂ©gime de mainmorte jusqu'Ă l'affĂ©agement de la fin du XVIIIe siĂšcle.
SituĂ© Ă Bangor, sur la cĂŽte ouest de Belle-Ăle, le phare de Goulphar entre en service en 1836.
Le sémaphore du Talut est mis en service en 1862[25].
L'aĂ©rodrome de Belle-Ăle situĂ© sur le territoire communal a Ă©tĂ© inaugurĂ© en 1954.
Politique et administration
Administration municipale
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[29]. En 2020, la commune comptait 1 018 habitants[Note 6], en augmentation de 4,73 % par rapport Ă 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'Ă©glise Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
- Le grand phare : situé sur la commune de Bangor, c'est l'un des plus puissants phares des cÎtes françaises. Construit de 1826 à 1833, il est mis en service en 1835, c'est une construction en granit de 47 m qui culmine à 84 m au-dessus du niveau de la mer. Son faisceau lumineux passe à la cadence de 3 et 7 secondes. Grùce au systÚme optique actuel, il est visible à 28 milles.
- Un menhir : la Pierre Sainte Anne.
- les aiguilles de Port-Coton.
- la station radar de Port-Coton.
- La plage et le port de KĂ©rel avec, en arriĂšre plan Ă gauche, la Pointe de Bornor, et Ă droite de celle-ci, lâentrĂ©e de Porh Roder.
- L'Ă©glise Saint-Pierre-et-Saint-Paul avec le calvaire.
- Le sémaphore du Talut.
- Grand phare de Kervilahouen.
- Maisons de type longĂšre.
- AĂ©ro-club Charles Robin[32].
- La mairie.
- l'Ă©cole.
Bangor dans les beaux-arts
Des peintres ont représenté des paysages de la commune. Parmi les plus connus :
- Henry Moret : Goulpher (pour Goulphar), 1895 ou 1896, Paris, musée d'Orsay ;
- Claude Monet.
- Claude Monet : Grotte de Port-Domois (1886),
- Claude Monet : Paysage Ă Port-Goulphar (1886), Art Institute of Chicago.
Personnalités liées à la commune
- Le peintre australien John Peter Russell, arrivĂ© Ă Belle-Ăle-en-Mer en 1883. Il sĂ©journera d'abord dans un gĂźte louĂ© Ă Envag avant de faire construire un manoir, surnommĂ© le « chĂąteau de l'Anglais » Ă Goulphar.
- Le peintre Claude Monet séjourna au village de Kervilahouen.
- Le critique d'art Anatole Jakovsky achĂšte en 1949 une maison de vacances au n°3 rue ClĂ©rain de Bangor, oĂč il sĂ©journera jusquâĂ sa mort en 1983.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- « Architecture de Bangor », base Mérimée, ministÚre français de la Culture
- Bangor sur le site de l'Institut géographique national
- Bangor sur le site de l'Insee
- Bangor en cartes postales anciennes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Cette érymologie reprend celle de Léon Fleuriot suivi par Hervé Abalain (Les noms de lieux bretons. Universels Gisserot. 2000.), ainsi que celle, en anglais, de A.D. Mills - Dictionary of British Place-names. Oxford University Press. 1991, 2003.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 56009001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
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- Martin Vaugoude, « Limiter les résidences secondaires : le sujet qui divise la Bretagne. », sur https://www.letelegramme.fr, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Bangor » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Morbihan » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- Hervé Abalain : Les noms de lieux bretons - Universels Gisserot. 2000 - Page 55.
- E. Anwyl et A. W. Wade-Evans, « Welsh MediĂŠval Law », The Celtic Review, vol. 6, no 22,â , p. 188 (ISSN 1755-6066, DOI 10.2307/30070223, lire en ligne, consultĂ© le )
- Office de tourisme de Belle-Ăle-en-Mer, Les SĂ©maphores de Belle-Ile, consultĂ© le 13 septembre 2014.
- « Municipales à Bangor. Annaïck Huchet, élue maire de Bangor », Ouest-France, 29 mars 2014.
- « Bangor. Annaïck Huchet réélue pour un deuxiÚme mandat », sur Maville.com, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Aero-club Belle-Ile Charles Robin.