Baliracq-Maumusson
Baliracq-Maumusson (en béarnais Valirac e Maumusson ou Balirac-Maumussoû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Baliracq-Maumusson | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Sylvain Sergent 2020-2026 |
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Code postal | 64330 | ||||
Code commune | 64090 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Baliracois | ||||
Population municipale |
120 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 32′ 48″ nord, 0° 15′ 14″ ouest | ||||
Altitude | Min. 120 m Max. 224 m |
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Superficie | 6,06 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune de Baliracq-Maumusson se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 28 km de Serres-Castet[4], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Garlin (2,1 km), Mascaraàs-Haron (2,6 km), Castetpugon (2,7 km), Ribarrouy (3,0 km), Taron-Sadirac-Viellenave (4,0 km), Moncla (4,4 km), Boueilh-Boueilho-Lasque (4,7 km), Tadousse-Ussau (5,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Baliracq-Maumusson fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Hydrographie
La commune est drainée par le Léès, le Gabassot, le Laas et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
Le Léès, d'une longueur totale de 39 km, prend sa source dans la commune de Sedzère et s'écoule du sud vers le nord. Il longe le territoire communal sur son côté est et en constitue la limite séparative avec Mascaraàs-Haron et Castetpugon, puis se jette dans le Léez à Lannux, après avoir traversé 21 communes[9].
Le Laas (13,8 km) prend sa source dans la commune de Coslédaà-Lube-Boast et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léès en limite sud-est du territoire communal, après avoir traversé 6 communes[10].
Le Gabassot, d'une longueur totale de 17,4 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq et s'écoule vers le nord. Il longe le territoire communal au nord et se jette dans le Léès à Garlin, après avoir traversé 9 communes[11].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-Disse », sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971[17] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[18] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 979,8 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 22 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 13,4 °C pour 1981-2010[22], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[23].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[24] - [25] - [26].
Urbanisme
Typologie
Baliracq-Maumusson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [27] - [28] - [29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[30] - [31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), prairies (28,8 %), forêts (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
- Arnathau[7]
- Baliracq
- Bitaillou[7]
- Bouquehort[33] - [7]
- Bourdé[7]
- Campagne[7]
- Castéra[34] - [7]
- Crédey[35]
- Florence[36] - [7]
- Gayas[7]
- Hau[7]
- Hilletou[7]
- La Hount[7]
- Lafon[7]
- Lanne[7]
- Laroujat[7]
- Lescribau[7]
- Maufinet[7]
- Maumusson
- Miqueu[7]
- Mombet[7]
- Moncade[7]
- Mounicou[7]
- Mourette[7]
- Naba[7]
- Pédeuboscq[7]
- Pédélatour[7]
- Pillou[7]
- Pourrio[7]
- Sansot[37] - [7]
- Tardan[38]
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la D211
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Baliracq-Maumusson est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léès, le Laas et le Gabassot. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009 et 2018[41] - [39].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. 42,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [43].
Toponymie
Le toponyme Baliracq apparaît sous les formes
Saint-Félix de Balirac (Xe siècle[44], d'après Pierre de Marca[45]),
Vallirag et Valliracum (vers 1100[46], cartulaire de Lucq-de-Béarn),
Balirag (1443[44], contrats de Carresse[47]),
’'Baliracq, (XVIIIe siècle[46], carte de Cassini).
Balirac (1793[48] ou an II)
Balyrac (1801[48], Bulletin des lois) et
Balirac (1863[44], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[44]).
Selon Michel Grosclaude[46], le toponyme vient très probablement d’un patronyme latin, Valerus, augmenté du suffixe gallo-romain -acum, pour donner « domaine de Valerus ».
Son nom béarnais est Valirac-Maumusson[49] ou Balirac-Maumussoû[50].
Le toponyme Maumusson apparaît sous les graphies
Maumussou (1774[44], terrier de Baliracq, E 177) et
Maumusson, (XVIIIe siècle[51], carte de Cassini).
Michel Grosclaude[51] propose là encore comme origine, un patronyme, gascon cette fois-ci, le sobriquet mau (« mauvais »), allié à mus (« museau ») et augmenté du suffixe -on, qui donne « mal aimable, renfrogné ».
Le toponyme Castéra apparaît sous la forme Casterar (1542[44], réformation de Béarn[52]).
Histoire
Paul Raymond[44] note que Baliracq était vassal de la vicomté de Béarn.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Baliracq-Maumusson fait partie de six structures intercommunales[53] :
- la Communauté de communes des Luys en Béarn ;
- le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
- le SIVU du Lées et affluents ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Léès ;
- le syndicat intercommunal des cinq rivières.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[55].
En 2020, la commune comptait 120 habitants[Note 9], en diminution de 10,45 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Les tableaux démographiques ci-dessus ne concernent, avant 1828, que la commune de Baliracq. Avant cette date, Maumusson a connu l'évolution suivante :
Culture locale et patrimoine
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Patrimoine civil
Au lieu-dit Castéra, la topographie, visiblement modifiée par la main de l'homme, atteste la présence ancienne d'un ensemble fortifié, avec des remblais importants et un chemin de ronde circulaire encore visible. Il pouvait s'agir d'un fort en pieux de bois accolés car aucun vestige en pierre n'a été mis au jour. L'ouvrage pourrait donc dater du haut Moyen Âge, encore qu'il ne soit pas exclu qu'il s'agisse là des vestiges d'une agglomération préhistorique[59]. Une fortification d'agglomération[60], tracé circulaire d'un talus, date également de la même époque.
Une demeure de notable[36], dite château de Milly, datant du XVIIIe siècle se dresse au lieu-dit Maumusson-Florence, alors qu'une autre, dite maison Lafon[35], datant de la première moitié du XVIIe siècle est visible au lieu-dit Maumusson-Crédey.
La commune présente des fermes et maisons[61] - [33] - [38] - [34] - [37] datant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.
Enfin à Baliracq, on peut voir un moulin[62] datant de la fin du XVIIIe siècle.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Pierre[63] possède des vestiges datant des XIe et XIIe siècles. Elle recèle du mobilier (ensemble du maître-autel[64], un ensemble autel, tabernacle, retable et statues[65], un autel secondaire[66], des lambris de revêtement[67], un fauteuil de célébrant[68], un bénitier[69], une chaire à prêcher[70], un confessionnal[71], une clôture de chœur[72] et un tabernacle à ailes[73]), des tableaux (un tableau d'autel représentant la remise des clés à saint Pierre[74] et une lithographie représentant un chemin de croix[75]), des statues (deux statues représentant saint Félix et saint Pierre[76]) et des objets (chandeliers[77] - [78], vase d'autel[79], encensoir[80] et ostensoir[81]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Présentation de la commune sur le site de la communauté de communes du canton de Garlin
- Site internet de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Baliracq-Maumusson » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- « Métadonnées de la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Baliracq-Maumusson et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Baliracq-Maumusson et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Baliracq-Maumusson », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale de Baliracq-Maumusson », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Lées ».
- Sandre, « le Laas ».
- Sandre, « le Gabassot ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont-Disse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Baliracq-Maumusson et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont-Disse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Baliracq-Maumusson et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « La ferme du lieu-dit Bouquehort », notice no IA00026195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite « maison Castéra » au lieu-dit éponyme », notice no IA00026193, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite « maison Lafon » au lieu-dit Crédeil », notice no IA00026192, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le château de Milly, au lieu-dit Florence », notice no IA00026190, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite « maison Sansot » au lieu-dit éponyme », notice no IA00026191, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme dite « maison Coussié » au lieu-dit Tardan », notice no IA00026194, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les risques près de chez moi - commune de Baliracq-Maumusson », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
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- D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
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- Contrats retenus par Carresse, notaire de Béarn - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- « L'ensemble fortifié dit « castéra » », notice no IA00026187, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La fortification d'agglomération », notice no IA00026188, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les fermes et maisons anciennes », notice no IA00026189, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le moulin de Baliracq », notice no IA00027435, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-Pierre », notice no IA00026196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble du maître-autel, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001597, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble autel, tabernacle, retable et statues, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001595, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'autel secondaire de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001601, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les lambris de revêtement de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001596, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no Le fauteuil de célébrant de l'église Saint-Pierre, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le bénitier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001577, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La chaire à prêcher de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001576, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le confessionnal de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001575, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La clôture de chœur de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001574, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle à ailes de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001599, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001598, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La lithographie de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001584, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues de saint Félix et saint Pierre, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001600, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le chandelier d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001581, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les six chandeliers d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001580, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le vase d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001583, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'encensoir de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001579, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ostensoir de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001582, base Palissy, ministère français de la Culture.