BĂ©gard
BĂ©gard [begaÊ] est une commune bretonne, situĂ©e dans le Grand-TrĂ©gor, dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor en rĂ©gion Bretagne.
BĂ©gard | |||||
L'Ă©glise Saint-MĂ©en. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Bretagne | ||||
DĂ©partement | CĂŽtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Guingamp-Paimpol Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Vincent Clec'h 2020-2026 |
||||
Code postal | 22140 | ||||
Code commune | 22004 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Bégarrois | ||||
Population municipale |
4 810 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 132 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 37âČ 43âł nord, 3° 17âČ 59âł ouest | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 176 m |
||||
Superficie | 36,41 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lannion (commune de la couronne) |
||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de BĂ©gard (bureau centralisateur) |
||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : CĂŽtes-d'Armor
GĂ©olocalisation sur la carte : Bretagne
| |||||
Liens | |||||
Site web | Le site officiel de la ville de BĂ©gard | ||||
GĂ©ographie
Bégard se trouve à égale distance de Guingamp et de Lannion (18 km)[1]. C'est une commune de grande superficie née à la Révolution de la nationalisation des biens de l'abbaye de Bégard.
Prat | Coatascorn | |||
Pluzunet | N | Brélidy | ||
O BĂ©gard E | ||||
S | ||||
Louargat | PĂ©dernec | Saint-Laurent |
Outre le bourg centre, l'habitat est distribué dans de nombreux hameaux: Botlézan (Bodlezan), Guénézan (Gwenezhan), Lanneven, Trézélan (Trezelan), Trévourec (partagé avec Pédernec).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Louargat », sur la commune de Louargat, mise en service en 1987[8] et qui se trouve Ă 7 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 013,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă 35 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,4 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Bégard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bégard, une unité urbaine monocommunale[18] de 4 808 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (82,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (53,4 %), terres arables (23,5 %), zones urbanisĂ©es (14,6 %), forĂȘts (6,9 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,9 %), prairies (0,7 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Begar en 1130, Begar en 1202, Begar / Begard / Beguar / Berguar en 1330, Begar en 1516, Begar en 1630, Begar en 1636, Begars en 1779[25].
Les formes anciennes réguliÚres sont du type Begar et hormis une mention isolée de 1330, le -d final n'apparaßt pas avant la fin du XVIIIe siÚcle.
Selon la tradition, lâabbaye de BĂ©gard aurait Ă©tĂ© fondĂ©e sur le lieu d'habitation d'un ermite nommĂ© Begar.
En tout cas, il ne s'agit pas du mot breton beg « pointe, extrĂ©mitĂ© » (mĂȘme mot que le français bec d'origine gauloise). En revanche, l'Ă©tymologie semble se rapprocher de celle de l'Ă©lĂ©ment Baguer que l'on rencontre dans Baguer-Morvan (Bagar 1181) et Baguer-Pican ([Ecclesia de] Bagar 1209) en Ille-et-Vilaine, dont l'origine reste toutefois obscure[26].
Cependant, Albert Dauzat y voit le nom de personne germanique Big-hart pris absolument et qui est devenu Biard dans les toponymes Biard et les Biards en français[27]. Pourtant, il ne cite aucune forme ancienne pouvant soutenir ses dires, le -d final (-gar-d) apparu tardivement est incompatible avec cette explication. Par ailleurs, Les Biards (Manche, Biarz 1082) remonterait plutÎt à un appellatif germanique bigard(ium) « jardin de la maison » cité au Ve siÚcle dans le glossaire de Vienne[28], solution également invraisemblable pour Bégard.
Histoire
Préhistoire
Les monuments mégalithiques autour de Bégard laissent à penser que le secteur était déjà habité à la période Néolithique. Jusqu'au début du XIXe siÚcle, la commune comptait trois menhirs, celui de Pasquiou et celui de Saint-Norvez étant désormais disparus, seul le menhir de Kerguézennec est encore visible[29].
Moyen Ăge
L'abbaye de BĂ©gard, une abbaye cistercienne, fut fondĂ©e en 1130. Alain de Bretagne ou Alain le Noir, dit aussi parfois Alain de PenthiĂšvre ou Alain III le Noir (vers 1107 â ), fut inhumĂ© Ă BĂ©gard.
Révolution française
Ă la RĂ©volution, les cinq paroisses de BotlĂ©zan (Bodlezan), GuĂ©nĂ©zan (Gwenezhan), Lanneven, Saint-Norvez (Sant-Norvez) et TrĂ©zĂ©lan (Trezelan) sont Ă©rigĂ©es en communes. L'abbaye est saisie comme bien national, et compte tenu de sa valeur, mise aux enchĂšres dans tout le royaume. C'est Ătienne Leboutteux-Dumousseaux qui l'emportera avec une mise de 165 300 livres. Ce parisien joue un rĂŽle central dans la constitution de la commune, souhaitant crĂ©er un centre urbain Ă cĂŽtĂ© de l'abbaye. Pour cela, il devient membre puis prĂ©sident du conseil de district de Guingamp. En 1792, il est procĂ©dĂ© Ă une fusion en une seule paroisse puis en 1793 en une seule commune appelĂ©e alors BĂ©gard[30].
Les guerres du XXe siĂšcle
Le monument aux morts fait Ă©tat de 279 soldats morts pour la Patrie[31] :
- 241 sont morts durant la PremiĂšre Guerre mondiale ;
- 37 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale ;
- 1 est mort durant la guerre d'Algérie.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelages
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Bégard depuis cette date :
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement ĂągĂ©e. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 30,1 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 33,3 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 2 358 hommes pour 2 450 femmes, soit un taux de 50,96 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,7 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Langue bretonne
Le nom breton de la commune est Bear.
LâadhĂ©sion Ă la charte Ya dâar brezhoneg a Ă©tĂ© votĂ©e par le conseil municipal le .
à la rentrée 2017, 147 élÚves étaient scolarisés dans la filiÚre bilingue (soit 17,8 % des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[44].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune compte cinq sites inscrits ou classés monuments historiques :
- l'église Sainte-GeneviÚve de Guénézan, avec son portail Renaissance ;
- l'Ă©glise Saint-MĂ©en de Lannevent, porche en clocher avec tour, statue d'un marchand drapier Ă l'angle du transept sud ;
- la chapelle de Botlézan, XVe, XVIIe et XVIIIe siÚcles. Rénovée en 2004. Inscrite en 1964 et Classé MH (1981)[45] ;
- le menhir de Kerguézennec, classé par liste de 1889[46] ;
- la croix de chemin du XVIIe siĂšcle, Inscrit MH (1925).
- ChĂȘne bonsaĂŻ de BĂ©gard.
- Ăglise de GuĂ©nĂ©zan.
- Ăglise Saint-MĂ©en de Lanneven.
- Chapelle de Botlézan.
- Menhir de Kerguézennec.
- Croix de chemin u XVIIe siĂšcle.
La commune abrite Ă©galement :
- l'abbaye de Bégard, sauvée de la ruine grùce à l'arrivée des religieuses du Bon-Sauveur de Caen en 1857 ;
- les manoirs de Salguen[47], de TrĂ©vourec (XVIeâââXVIIIe siĂšcles), et de la Roche Huon ;
- le manoir de Coatgouray (vers 1400)[48]. Le manoir de type logis-porche, dont la porte charretiÚre a été murée, conserve deux tours d'escaliers avec à l'étage noble une chapelle domestique[49] ;
- le colombier de l'ancien manoir de Kernaudour[50], dans le parc de loisirs Armoripark ;
- le bois de Gwerun et le festival biennal (années impaires), la Java dans les Bois, créé en 1998[51] ;
- l'Ă©glise paroissiale du Saint-Nom-de-Marie ;
- un chĂȘne pĂ©donculĂ© classĂ© comme Arbre remarquable est visible Ă BĂ©gard. Il a participĂ© au concours « Arbre europĂ©en de l'annĂ©e » pour la France en 2014[52] et est situĂ© dans le quartier de GuĂ©nĂ©zan (Gwenezhan) prĂšs de la D 767 dans l'Armoripark.
HĂ©raldique
Blasonnement :
ĂcartelĂ© : au premier et au quatriĂšme d'argent plain, au deuxiĂšme et au troisiĂšme d'azur Ă la quintefeuille d'or. |
Personnalités liées à Bégard
- Placide Guillermic dit Tadig Kozh (1788-1873), célÚbre curé exorciste décédé à Bégard en 1873.
Bibliographie
- Michel Lagadou, BĂ©gard d'hier Ă aujourd'hui, BĂ©gard, Ă©d. Association pour le bicentenaire de la commune, , 316 p. (ISBN 2-9507534-0-X, SUDOC 161487114).
- Tomaz Bernard, TrĂ©sors et mystĂšres au cĆur du TrĂ©gor, Le catalogue du patrimoine, Ă©d. Embann Ar Vro, 2015, 650 p.[53]
- Tomaz Bernard, Que Belen soit avec toi ! (roman dans le Bégard médiéval) éd. Embann Ar Vro, Coop Breizh Diffusion, 220 p.[54] - [55].
- Hervé Le Goff, Begard le petit Cßteaux de l'Armorique, Guipavas, Kelenn, , 394 p.
Voir aussi
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
- Itinéraire ViaMichelin
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Louargat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bégard et Louargat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Louargat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bégard et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bégard », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « KerOfis, base toponymique de l'office public de la langue bretonne » (consulté le ).
- Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne : plus de 1200 noms expliquĂ©s, Paris, Christine Bonneton Ăditeur, , 231 p. (ISBN 2-86253-283-5), p. 119.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 61ab.
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 80.
- Loïc Langouët, Les mégalithes de l'arrondissement de Guingamp, Institut Culturel de Bretagne, , 92 p. (ISBN 978-2-86822-101-8), p. 15.
- Michel Lagadou (sous la direction de), BĂ©gard d'hier Ă aujourd'hui, Association pour le bicentenaire de la commune, , 316 p. (ISBN 2-9507534-0-X), p. 67.
- « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- site Armoripark|Begard
- site Fondation Bon Sauveur
- « Bégard - Municipales 2020. Cinderella Bernard candidate à son tour », sur Le Telegramme, (consulté le ).
- Notice CLECH François par Christian Bougeard, version mise en ligne le 25 octobre 2008, derniÚre modification le 8 août 2021
- « BĂ©gard. DĂ©cĂšs brutal du maire GĂ©rard Le CaĂ«r », Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « BĂ©gard. Seul candidat, Vincent Clec'h Ă©lu maire », Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « PCF. La section de BĂ©gard s'exprime sur la succession de GĂ©rard Le CaĂ«r », Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne).
- « RĂ©pertoire national des Ă©lus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des donnĂ©es publiques de l'Ătat (consultĂ© le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de BĂ©gard (22004) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor (22) », (consultĂ© le ).
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- « Notice n°PA00089018 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Notice n°PA00089022 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Notice n°IA00002869 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Notice n°PA22000059 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Chùteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 115.
- « Notice n°IA00002871 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Le site officiel de l'association Gwallspered (Festival Java dans les Bois).
- 2014 - ChĂȘne bonsaĂŻ de BĂ©gard.
- « Tomaz Bernard Ă©dite "TrĂ©sors et mystĂšres au cĆur du TrĂ©gor" », sur actu.fr (consultĂ© le ).
- ChloĂ© Rebaudo, « Tomaz Bernard, une passion pour lâhistoire en roman », Ouest France,â (lire en ligne).
- « Tomaz Bernard signe un roman historique », sur Le Telegramme, (consulté le ).
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel