Argelos (Pyrénées-Atlantiques)
Argelos (en béarnais Argelòs ou Aryelos) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Argelos | |||||
L'église Saint-André. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Marcel Borny 2020-2026 |
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Code postal | 64450 | ||||
Code commune | 64043 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Argelossiens | ||||
Population municipale |
296 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 27′ 09″ nord, 0° 20′ 47″ ouest | ||||
Altitude | Min. 142 m Max. 264 m |
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Superficie | 6,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune d'Argelos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 21 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 10 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Astis (2,0 km), Viven (2,3 km), Doumy (2,3 km), Viven (2,6 km), Thèze (2,8 km), Bournos (3,5 km), Auga (3,9 km), Navailles-Angos (4,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Argelos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Accès
La commune est desservie par les routes départementales 214 et 834.
Lieux-dits et hameaux
- Barbé[6]
- la Barthe[6]
- Bordenave[6]
- Boué[6]
- Bourdalé[6]
- Bozano[6]
- Brouca[6]
- Carrère[6]
- Cassou[6]
- Castagnet[6]
- Chicoy[6]
- Dibet[6]
- Hargouette[6]
- Hayet[6]
- Labarrane[6]
- Lamarque[7]
- la Lane[6]
- Larricq[6]
- Lavignotte[8] - [6]
- Lopou[9] - [6]
- Loubané[10] ou Loubâne[6]
- Morlaas[6]
- Noble[6]
- Poulou[6]
- Sansarricq[6]
- Tauhuré[6]
- Then[6]
Hydrographie
La commune est drainée par le Luy, le Balaing, le Basta, le Deux, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[11] - [Carte 1].
Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[12].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921[18] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[19] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[23] - [24] - [25].
Urbanisme
Typologie
Argelos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [26] - [27] - [28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[29] - [30].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,1 %), forêts (27,2 %), prairies (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), eaux continentales[Note 8] (3,2 %)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Argelos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Luy. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[34] - [32].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. 62,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [36].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[38].
Toponymie
Le toponyme Argelos apparaît sous la forme Argilos (1214[39], titres d'Argelos) et Argelos sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[40])
Son nom béarnais est Argelòs[41] ou Aryelos[42]. Brigitte Jobbé-Duval[43] indique qu’Argelos a pour origine probable le latin argilla (’argile’) augmenté du suffixe -ossum. Le toponyme signifierait donc « sol argileux ».
Bernès, citée par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque en 1863[39], est une ferme déjà mentionnée en 1385[39] (censier de Béarn[44]).
Histoire
Paul Raymond[39] note qu'en 1385, Argelos comptait vingt-neuf feux et dépendait du bailliage de Pau. Auriac est une ancienne annexe de la commune[39].
La baronnie[39] de Viven comprenait Argelos, Auriac et Viven et était vassale de la vicomté de Béarn.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Argelos fait partie de quatre structures intercommunales[45] :
- la communauté de communes des Luys en Béarn ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable Luy-Gabas-Léès ;
- le syndicat scolaire Argelos - Astis.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].
En 2020, la commune comptait 296 habitants[Note 11], en augmentation de 19,35 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Argelos fait partie de l'aire urbaine de Pau.
Enseignement
Argelos dispose d'une école primaire/maternelle, qu'elle met en commun avec Astis au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La mairie.
- Le monument aux morts.
- Le clocher de l'église Saint-André.
Patrimoine civil
Les vestiges d'un ensemble fortifié[9], datant du haut Moyen Âge, témoignent du passé ancien de la commune.
La commune présente un ensemble de fermes[50] - [51] - [10] - [8] - [7] du XVIIIe siècle.
Patrimoine religieux
L'église Saint-André[52] date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle des objets[53] - [54] - [55], du mobilier[56] - [57] - [58] - [59] - [60] - [61] - [62] - [63] - [64], un tableau[65] et des statues[66] inscrits, tout comme l’église, à l'inventaire général du patrimoine culturel.
Personnalités liées à la commune
Jean-Charles, dit Jules Boué, instituteur puis directeur des services agricoles des Hautes-Pyrénées, conseiller général du canton de Thèze de 1913 à 1925 et de 1931 à son décès en 1949.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Communauté de communes des Luys en Béarn
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[37].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Argelos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune d'Argelos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Argelos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Argelos et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Argelos », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Ferme de 1725 », notice no IA00026700, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison Lavignotte-Lagrela », notice no IA00026701, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble fortifié », notice no IA00026698, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme du XVIIIe siècle », notice no IA00026702, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fiche communale d'Argelos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Luy ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station météofrance Pau-Uzein - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Argelos et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Argelos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Argelos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Les risques près de chez moi - commune d'Argelos », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
- Cellule informatique préfecture 64, « Intercommunalité des Pyrénées-Atlantiques » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les fermes anciennes », notice no IA00026697, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison Marque », notice no IA00026703, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-André », notice no IA00026699, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Deux dalmatiques de l’église Saint-André », notice no IM64001146, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no L’ostensoir de l’église Saint-André, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Quatre chandeliers d’autel de l’église Saint-André », notice no IM64001144, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le mobilier de l'église Saint-André », notice no IM64001147, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Deux bancs de l’église Saint-André », notice no IM64001143, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le confessionnal de l’église Saint-André », notice no IM64001142, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Menuiseries et sculptures de l’église Saint-André », notice no IM64001141, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les bras de lumière de l’église Saint-André », notice no IM64001140, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le retable de l’église Saint-André », notice no IM64001137, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle de l’église Saint-André », notice no IM64001136, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'autel et ses gradins, de l’église Saint-André », notice no IM64001135, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le maître-autel de l’église Saint-André », notice no IM64001134, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau d’autel de l'église Saint-André », notice no IM64001139, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues de l'église Saint-André », notice no IM64001138, base Palissy, ministère français de la Culture.