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Arcey (Doubs)

Arcey (en franc-comtois, Airceis) est une commune française située dans le département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Arcey
Arcey (Doubs)
Église d'Arcey.
Blason de Arcey
Blason
Arcey (Doubs)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Communauté de communes des Deux Vallées Vertes
Maire
Mandat
Michel Verdière
2020-2026
Code postal 25750
Code commune 25022
DĂ©mographie
Population
municipale
1 481 hab. (2020 en augmentation de 3,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 118 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 31′ 23″ nord, 6° 39′ 41″ est
Altitude Min. 347 m
Max. 490 m
Superficie 12,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bavans
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Arcey
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Arcey
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Arcey
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Arcey
Liens
Site web arcey.fr

    GĂ©ographie

    carte représentant la commune et ses communes limitrophes
    Localisation par rapport aux communes limitrophes.

    Arcey, village de l'est de la France, est situĂ© dans le nord-est de la Franche-ComtĂ©, Ă  12 km de MontbĂ©liard, 30 km de Belfort et 60 km de Besançon ; c'est un petit village de plus de 1 300 habitants.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Arcey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine d'Arcey, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[4] et 2 175 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de MontbĂ©liard, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,9 %), terres arables (26,3 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,1 %), mines, décharges et chantiers (4,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Arces, Arceys au Xe siècle ; Arcey en 1150 ; Arcex et Arcez en 1407[11].

    Ce toponyme semble être d'origine gauloise : ar et ciac(um) signifiant (« près du bois ou sur le bois »)[12].

    Histoire

    Bataille d'Arioviste contre César (an 58 av. J.-C.) en Fontaimpré

    Seigneurie de Granges, aux Montbéliard depuis le XIVe.

    Village (Franche Comté encore espagnole) incendié le , lors de la conquête française par Louis XIV : plus de cent vingt personnes moururent dans l'incendie de l'église par une unité de cavalerie française commandée par le colonel de Vascal[13].

    À la révolution, Jacques François Brun, natif d'Arcey, devient général de brigade.

    le 13 ou , des escarmouches entre l'armée de l'Est commandée par le général Bourbaki avec des postes avancés prussiens dans le cadre de la bataille d'Héricourt, aussi appelée de la bataille de la Lizaine, lors de la Guerre franco-allemande de 1870[14] (Monument au cimetière de Sainte-Marie à km).

    : percée du front par la 2°D.I.M et la 5°D.B et départ de l'attaque vers la libération des villages et de Héricourt, Montbéliard, Belfort et de l'Alsace (le cuirassier Bergé est tué).

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2014 Claude Clément[15]
    mars 2014 2020 Alain Pasteur UDI Professeur des Ă©coles
    2020 En cours Michel Verdière [16]
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2020, la commune comptait 1 481 habitants[Note 3], en augmentation de 3,13 % par rapport Ă  2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    550519554586820908832900875
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    745780726694743695706608583
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    528490466369392353346367423
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    4896529171 0711 1011 1741 3361 3321 414
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4341 481-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Oratoire Notre-Dame de la GrĂŞle.
    • L'Ă©glise Saint-Privat. L'Ă©glise primitive datait de 1674. Elle est reconstruite Ă  un autre emplacement en 1776. Le clocher-porche date de cette annĂ©e lĂ . Face Ă  l'augmentation de la dĂ©mographie dans les annĂ©es 1850, le curĂ© de l'Ă©poque demande l'autorisation Ă  son archevĂŞque pour Ă©largir la largeur de deux travĂ©es et la longueur de l'Ă©glise. Elle fut donc entièrement dĂ©montĂ©e sauf le clocher qui a gardĂ© sa forme de clocher comtois et ses tuiles vernissĂ©s au dessin typique servant de repère aux avions qui volaient Ă  vue Ă  cette Ă©poque et qui servaient la plaine d'Arcey comme terrain. Reconstruite avec l'argent des villageois et l'argent de la commune qui a demandĂ© Ă  pouvoir vendre par anticipation 4 annĂ©es d'affouage, elle empiĂ©ta sur le cimetière et les ossements dĂ©couverts furent respectivement mis « dans un caveau voĂ»tĂ© dont l'entrĂ©e fut repĂ©rĂ©e par une croix juste devant les marches de communion » (d'après les registres de l'Ă©poque). Le toit fut rehaussĂ© et les anciennes pierres de jonction entre le toit de l’ancienne Ă©glise et le clocher sont encore visibles. La cloche fut remplacĂ©e par ThĂ©rèse et AdĂ©laĂŻde quelques annĂ©es plus tard. Un chemin de croix ainsi que diffĂ©rentes statues sont Ă  y voir. Sa rĂ©fection intĂ©rieure a Ă©tĂ© entreprise en 2006, alors que sa rĂ©fection extĂ©rieure a Ă©tĂ© entreprise en 2012.
    • La mairie dont l'emplacement actuel est celui de l'ancienne cure.
    • L'oratoire dit de « Notre-Dame de la GrĂŞle », inscrit aux monuments historiques en 2016 et rĂ©novĂ© en 2019.
    • Le « MĂ©morial » Ă  la gloire de la 5e division blindĂ©e, de la 2e division d'infanterie marocaine et des corps francs en mĂ©moire de l'attaque du .
    • Le crucifix en grès rose, rĂ©novĂ© et mis en valeur par un jeu de lumière en 2018.
    • De nombreuses croix de mission ou rogations.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Baptiste Brun nĂ© le Ă  Arcey,"Ă©tat civil" entra au service "source BnF PanthĂ©on de la LĂ©gion d'honneur .4 par T. Lamathière"comme soldat dans le 11e d'infanterie, ci-devant vieille marine le . Caporal le , fourrier le , il reçut son congĂ© le suivant. Lors des bataillons de volontaires, le , Brun fut nommĂ© capitaine dans le 9e du Doubs, et chef de bataillon le de la mĂŞme annĂ©e. Il servit aux armĂ©es du Rhin et de Sambre et Meuse en 1792 et 1793. En l'an IV, il participa avec ruse et engagement Ă  la campagne d'Allemagne. RemarquĂ© pour son courage, son efficacitĂ© et ses rĂ©ussites aux combats de Kaiserlautern, Weissenbourg, de la Lahn de Limbourg, et d'Altenkirchen (796). Le GĂ©nĂ©ral Jourdan le nomma chef de brigade de la 8e lĂ©gère le 16 thermidor de l'an IV. C'est Ă  la tĂŞte de ce corps qu'il combatit Ă  Veilbourg et qu'il soutint la retraite de l'armĂ©e. Après la campagne d'Allemagne des ans V et VI, la 8e demi-brigade lĂ©gère reçut l'ordre de se rendre Ă  l'armĂ©e d'Italie ; TrĂ©bia an VII, Novi (1799), Fossano et Mondovi an VII furent autant de rĂ©ussites Ă  son Ă©gard. Il entra dans GĂŞnes aux cĂ´tĂ©s du Gal MassĂ©na et se fit remarquer pour ses engagements durant le siège de trois jours du 17 germinal au 24 prairial an VIII. Le 24 germinal, il fut chargĂ© d'aller placer une Cie de carabiniers au pont de Sturla, sur la route de Stoli. C'est au cours de cette bataille que Brun fut blessĂ© par une balle qui lui traversa le bras droit et entra dans la hanche du mĂŞme cotĂ©. Le 22 florĂ©al, portant encore le bras en Ă©charpe, il poursuivit une colonne autrichienne jusqu'Ă  Sori et la mit en pleine dĂ©route ; dans cette affaire un second coup l'atteignit au cou. NommĂ© gĂ©nĂ©ral de brigade par Massena, il commandait une brigade d'infanterie pendant la campagne d'Italie de l'an IX. De l'an X Ă  l'an XIV, il fut successivement employĂ© au commandement d'une brigade d'active. Il avait reçu le 19 frimaire et le 25 prairial an XII le brevet de membre de la LĂ©gion d'Honneur et de commandant de cet ordre. PlacĂ© Ă  la tĂŞte d'une brigade d'avant-garde, lors de la reprise des hostilitĂ©s avec l'Autriche, il repoussa l'ennemi jusqu'Ă  Caldiero et fut tuĂ© Ă  la bataille de ce nom le 9 brumaire an XIV(source BnF
    • Anatole Magrin (1858-1893), nĂ© Ă  Domprel le 9/12/1858 (source Ă©tat civil ), il s'installe avec ses parents fromagers et sa sĹ“ur cadette Ă  Arcey en 1866 (sources archives recensements Doubs ). Alors destinĂ© Ă  la prĂŞtrise par ses parents, il prĂ©fère voyager Ă  l'Ă©tranger et finit par s'Ă©tablir Ă  ConstanČ›a, en Roumanie, sur les rives de la mer Noire, oĂą il se marie et fonde un studio de photographie."source BnF Grande Loge d'Orient 10/08/1875".Il devient le photographe officiel de la cour de Roumanie au temps du roi Carol Ier. Il est l'auteur des premières photos connues de la ville de ConstanČ›za oĂą son Ĺ“uvre a fait l'objet d'une exposition au musĂ©e de la marine roumaine en 2010. Il fut consul de France" source BnF Annuaire diplomatique et consulaire de la RĂ©publique Française 1921"Ă  ConstanČ›za et Ă  ce titre s'occupa du transfert au cimetière de la ville des soldats français morts au champ d'honneur lors de la guerre de CrimĂ©e oĂą un monument "source l'IIlustration du 02 Juin 1894 collection privĂ©e roumaine"rappelle cet Ă©pisode. Il meurt Ă  ConstanČ›za le .
        • Victor et Claude Schiffmann nĂ©s respectivement en 1846 et en 1849 Ă  Arcey, Partis s'installer Ă  Ivry (Seine) profitant que fut rendue publique l'invention de 1820 des deux chimistes français Pelletier et Caventou de la manière de traiter l'Ă©corce de quinquina, ils se lancèrent dans la fabrication et la vente de sulfate de quinine Ă  des fins pharmaceutiques "source BnF l'Union Pharmaceutique "
          • Marcelle Frahier nĂ©e le 16 juillet 1898 Ă  SaĂŻgon (alors Cochinchine).Elle est la fille de Charles Frahier natif d'Arcey parti fonctionnaire gendarme en Cochinchine qui Ă©tait sous protectorat français et futur Vietnam. Ce Charles Frahier avait Ă©pousĂ© lĂ  bas une dame autochtone Valentine .,Thao dite Dumont dont l'union a donnĂ© naissance Ă  Marcelle .AgĂ©e d'Ă  peine 18 ans ,elle traverse les mers pour "monter" Ă  Paris et mettre ses grâces au service des thĂ©atres parisiens dont l'OpĂ©ra Comique et le ThĂ©atre Marigny .L'aristocratie parisienne se divertit alors que le front de la Grande Guerre tonne en Marne ..après l'avoir fait sur le front des protectorats de l'Orient .

    HĂ©raldique

    Blason de Arcey Blason
    D'azur semé de billettes d'or, au lion couronné de même armé et lampassé de gueules, issant d'un brasier de même et brandissant une épée d'argent, au chef échancré de trois pièces d'azur, chargé d'une rose de gueules boutonnée d'or et rayonnante de seize pièces de même, paraissant dissiper des nuées d'argent mouvant des bords du chef.
    DĂ©tails
    Création de Nicolas Vernot, adoptée par la mairie d'Arcey le 7 janvier 2017.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Arcey
    Alias du blason de Arcey
    De sable à trois têtes de lévrier accolées d'or; au chef d'azur chargé de deux étoiles d'argent.
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (
    azur sur sable).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 d'Arcey », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Jean COURTIEU, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 1, BESANÇON, CÊTRE, .
    12. G. R. Wipf - Noms de lieux des pays franco-provençaux: région Rhône-Alpes, Suisse romande, Val d'Aoste : histoire et étymologie - Page 168 - (id).
    13. Pernot, François, 1963- ..., La Franche-Comté espagnole : à travers les archives de Simancas, une autre histoire des Franc-Comtois et de leurs relations avec l'Espagne, de 1493 à 1678, Presses universitaires de Franche-Comté, (ISBN 2-84867-032-0 et 978-2-84867-032-4, OCLC 469753157, lire en ligne).
    14. « HISTOIRE : Janvier 1871 : Les combats de l’Armée de l’Est », sur legionetrangere.fr.
    15. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
    16. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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