Anneyron
Anneyron est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Anneyron | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Porte de Dromardèche | ||||
Maire Mandat |
Patricia Boidin 2020-2026 |
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Code postal | 26140 | ||||
Code commune | 26010 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Anneyronnais | ||||
Population municipale |
4 117 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 114 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 16′ 19″ nord, 4° 53′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 165 m Max. 372 m |
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Superficie | 36,23 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Roussillon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Vallier (DrĂ´me) | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Liens | |||||
Site web | anneyron.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Anneyron est située au nord du département de la Drôme, à 45 km de Valence et à 70 km de Lyon.
Relief et géologie
Sites particuliers'[1] :
- Col de Barbe Bleue ;
- Combe des Milliards ;
- Combe PĂ©rouzet.
Urbanisme
Typologie
Anneyron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Anneyron, une unité urbaine monocommunale[7] de 3 999 habitants en 2017, constituant une ville isolée[8] - [9].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Roussillon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,7 %), forêts (11,5 %), zones urbanisées (6,5 %), cultures permanentes (6 %), prairies (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :
- Balaize
- Barona
- Berne
- Berne et Gragnotte
- Bois des Blains
- Bois des Cros
- Bois du Four
- Bois Rotis
- Château de Mantaille
- Château du Cros
- Clacieux
- Coinaud
- Colombier
- Coussieux
- Fondeville
- Gampal
- Grands Champs
- Jomard
- la Béraudière
- la Blache
- la Blachette
- la Brûla
- la Buissonnière
- la Châtaigneraie
- la Croze
- la Lance
- la Plaine
- la Renardière
- la Rouge
- le Buis
- le Moulin
- les Barges
- les Barquetières
- les Biéniers
- les Billes
- les Blains
- les Cages
- les CĂ©lestins
- les Chargeaux
- les Clavettes d'Anneyron
- les Clotrières
- les Colomberts
- les Cotons
- les Desmeures
- les Gondins
- les Grandes Pierres
- les Granges
- les Gras
- les Groubons
- les Jacquiers
- les Moutonnes
- les Percivaux
- les Petites Pierres
- les Ribaudons
- les Teppes
- les Vials
- le Télégraphe
- Maison Lafaury
- Mantaille
- Mayaud
- PĂ©tille
- Plantay
- Poulet
- Rapon
- Saint-Amour
- Saint-Michel
- Saleton
- Volozière
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- les Allegrets est un hameau attesté en 1891. Il était dénommé les Algrets en 1821 (Noms des communes et hameaux de la Drôme)[13].
- Mantaille se trouve à 6 km au sud du chef-lieu, de l'autre côté du col de Barbe-Bleue dans la vallée du Bancel, affluent du Rhône (voir plus bas pour l'historique).
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
- 883 : villa Anarioni (Gall., christ., XVI, 9) (étudié par Ernest Nègre[15]).
- 908 : Anaro (cartulaire de Romans, 10 bis).
- Vers 993 : villa Anaironae (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 237).
- XIIIe siècle : mention du prieuré : prioratus d'Anairon (Valbonnais, I, 123).
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Anneyronae (pouillé de Vienne).
- 1521 : mention de la paroisse : ecclesia Anneyronis (pouillé de Vienne).
- 1891 : Anneyron, commune du canton de Saint-Vallier.
Étymologie
Ce toponyme dériverait d'un anthroponyme d'origine germanique, probablement d'un certain Annarigus avec une finale -onem[15].
Histoire
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
Anneyron est une ancienne paroisse du comté d'Albon[16].
Avant 1790, Anneyron était une paroisse du diocèse de Vienne dont l'église, dédiée à Notre-Dame, était celle d'un prieuré (de la dépendance de Saint-Pierre de Vienne) connu dès 1276 et uni par la suite à cette abbaye qui, de ce chef, avait les dîmes d'Anneyron.
Cette paroisse faisait partie de la communauté et mandement d'Albon, et fut comprise dans la commune du même nom jusqu'au [14].
Mantaille
Le château de Mantaille est une ancienne résidence royale carolingienne de l'empereur Lothaire[17].
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :
- 858 : Mantelum villa (Gall. christ., XVI, 7).
- 859 : Mantalo (cartulaire de l'ĂŽle Barbe).
- 863 : Mantalia (Chorier, Histoire générale, I, 513).
- 879 : Mantala (Labbe, Concil., X, 332).
- 886 : villa Mantulae (Spicileg., III, 362).
- 1284 : apud Mantali (Valbonnais, II, 27).
- 1360 : castrum Mantalie (choix de documents, 197).
- 1365 : le chastel de Mantale (compte de R. de Loupy, 80).
- XIVe siècle : mention de l'église : capella de Mantula (pouillé de Vienne).
- 1627 : Mantallie (archives de la DrĂ´me, E 1068).
- 1891 : Mantaille, château ruiné, village et paroisse de la commune d'Anneyron.
Le château devient célèbre à la suite de la réunion du Concile de Mantaille qui élit Boson roi de Bourgogne[17]. Après la mort de Louis le Bègue en avril, un concile réuni en proclame Boson de Provence roi de Provence-Bourgogne cisjurane[18].
Par la suite, le château, possession des rois de Bourgogne, est donné à un certain comte Teutbert[17] puis :
- 886 : Teutbert s'en dessaisit au profit des archevĂŞques de Vienne.
- Début du XVIIe siècle : le château et la terre de Mantaille sont vendus aux (du) Cros de Grollée.
- Ils passent aux Allard.
- Milieu du XVIIIe siècle : passent aux Leclerc de Ransonnière.
Avant 1790, Mantaille était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Vienne.
Elle formait une succursale de la paroisse de Saint-Sorlin et, plus anciennement, une paroisse du diocèse de Vienne dont l'église était sous le vocable de Saint-Laurent et dont les dîmes appartenaient à l'archevêque diocésain[17].
En 1790, Mantaille devient une commune du canton d'Albon. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Saint-Vallier.
En 1809, elle est intégrée dans la commune d'Anneyron[17].
De la RĂ©volution Ă nos jours
1809 () : la commune d'Anneyron est créée « par distraction » de la commune d'Albon. Elle forme avec la commune de Mantaille une commune du canton de Saint-Vallier, ayant Mantaille pour annexe[14].
Anneyron est la patrie du marquis d'Arlande, co-premier aéronaute (avec Pilâtre de Rozier)[16].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27.
À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal est composé du maire, de 5 adjoints et de 21 conseillers municipaux[19].
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants sont dénommés les Anneyronnais ; ceux de Mantaille sont dénommés les Mantaillards. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1821. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].
En 2020, la commune comptait 4 117 habitants[Note 3], en augmentation de 6,25 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
Sports
- Club de basket[25].
Économie
Agriculture
En 1992 : cultures fruitières, céréales, colza, tabac[16].
Industrie
- L'entreprise Lafuma Mobilier conçoit et fabrique du mobilier de jardin[26].
- L'entreprise Jars crée des céramiques[27].
- Capfruit, filiale française du groupe suisse Hero, active dans la transformation des fruits, y a son siège.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Maisons en bel appareil de galets (limousinerie)[16].
- Ancien presbytère : façade Renaissance (MH)[16].
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Anneyron construite à la fin du XIIe siècle. De l'église romane, il subsiste le chevet et la base du clocher. La nef et le clocher porche en briques et galets datent du XIXe siècle. L'abside est ornée de fresques datant des XVIe et XVIIIe siècles. Elles représentent une ascension du Christ et, dans deux médaillons, saint Laurent et un évêque. Le décor des pilastres et les six chapiteaux placés sous la coupole sont caractéristiques de l'art roman de la vallée du Rhône. Un des chapiteaux représente Samson égorgeant le lion.
- Église Sainte-Agathe de Mantaille.
- Mantaille : ruines du château (VIIIe au XIVe siècle)[16] sur motte[28].
- Il est dit « de Barbe-Bleue ».
- La commune s'est portée acquéreur en 2010 afin d'assurer la préservation du site).
- Château de Larnage, bâti vers 1340, remanié et restauré aux XVe et XVIIIe siècles.
- Château du Cros : tours circulaires.
- Château de Saleton : maison forte (XIIIe et XIVe siècles), réhabilitée en belle demeure de plaisance (tour d'Arlandes).
- La Béraudière : maison forte (XIIe au XIVe siècle).
- Les Blains : maison forte (XIIe au XIVe siècle).
- Coinaud : vestiges de remparts d'une ville neuve fondée en 1314.
- Chevet de l'Ă©glise d'Anneyron.
- Château de Larnage à Anneyron.
- Étang d'Anneyron.
- Château du Cros.
- Ruines du château de Mantaille.
- Château de Mantaille
(angle sud-est). - Église de Mantaille.
Patrimoine culturel
- Musée Saint-Jean.
- Artisanat d'art : poterie[16].
Patrimoine naturel
- Étang d'Anneyron[16].
Personnalités liées à la commune
- Le marquis François Laurent d'Arlandes (1742-1809) : aéronaute qui fit à Paris la première ascension en ballon libre avec Pilâtre de Rozier le .
- César Malens (né en 1829 à Anneyron, mort en 1888) : député et sénateur de la Drôme.
- Philippe de Scitivaux (1911-1986) : amiral de la marine française, Compagnon de la Libération. Il est inhumé au cimetière de la commune.
- Blanche Balain (née en 1913 à Anneyron, morte en 2003) : comédienne et femme de lettres.
HĂ©raldique
Blason | Taillé : au 1er mi-taillé d'argent à trois tours d'or, ajourées du champ et maçonnées de sable, rangées en barre, au 2e de gueules à trois abeilles d'argent, l'abdomen de pourpre, ordonnées en orle[29]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Annexes
Bibliographie
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, 1891, page 8.
- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.
- Christian Jules Cros (auteur, éditeur), Anneyron, mon village en images au temps jadis, histoire et évolution au XIXe et XXe siècles, 148 pages.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en octobre 2020, l'ancienne notion d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- https://www.annuaire-mairie.fr/ruisseau-de-l-argentelle.html
- https://www.annuaire-mairie.fr/riviere-le-bancel.html
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Anneyron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 6 (Les Allegrets).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 8 (Anneyron).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, page 865, (ISBN 2600001336).
- Michel de la Torre, DrĂ´me, le guise complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 978-2-7399-5026-9), Anneyron.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 204 (Mantaille).
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, Éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 978-2-911148-66-8), p. 667.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Mantailles », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Site officiel du Mantaille Sportif (club de basket)
- Aurélien Tournier, « Drôme : Lafuma Mobilier poursuit sa croissance », Acteurs de l'économie-La Tribune,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Aurélien Tournier, « Une collection de 600 pots de yaourt en terre cuite », L'Agriculture Drômoise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Sur « vue aérienne des ruines du château de Montaille, superposée à la carte d'état-major » sur Géoportail. Site interactif : pour voir seulement l'une ou l'autre couche (la carte ou la vue aérienne), dans le menu en haut à droite cliquer sur l'onglet du haut (empilement de cartes), ouvrez les menus des couches en cliquant sur les roues dentées et faites glisser les points verts le long de leurs barres. Vous pouvez bouger l'image, la reculer/l'avancer (molette de souris), ajouter des cartes (menu en haut à gauche), effectuer différentes mesures (onglet clé à molette du menu à droite), etc.
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