Albon
Albon est une commune française située dans le nord du département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Albon | |||||
La tour d'Albon. | |||||
HĂ©raldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Porte de Dromardèche | ||||
Maire Mandat |
Philippe Becheras 2020-2026 |
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Code postal | 26140 | ||||
Code commune | 26002 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Albonnais | ||||
Population municipale |
1 967 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 77 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 14′ 47″ nord, 4° 50′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 134 m Max. 365 m |
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Superficie | 25,62 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Roussillon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Saint-Vallier (DrĂ´me) | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est située dans le nord du département, dans la plaine de la Valloire.
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- l'Andançon ;
- l'Argentelle ;
- le Bancel ;
- Ravin de Campaloup ;
- Ruisseau de Blacheronde ;
- Ruisseau de Croisieux.
Voies de communication et transports
La commune dispose du petit aérodrome de Saint-Rambert-d'Albon[1].
Urbanisme
Typologie
Albon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
La commune fait partie de l'aire d'attraction de Roussillon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,6 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), forêts (12,6 %), prairies (10,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,9 %), mines, décharges et chantiers (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), zones urbanisées (2,2 %), cultures permanentes (1,1 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
La commune est composée du village de Saint-Romain-d'Albon et de trois hameaux principaux : Saint-Martin-des-Rosiers, le Creux-de-La-Thine et Saint-Philibert.
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :
- Bois de Fanfaraud
- Bois de l'Espinasse
- Bois de Lunel
- Bois de Monchard
- Bois de Rival
- Champ Bouchard
- Champ d'Avit
- Champs Muzet
- Chante-Olivette
- Chapon
- Chérinel
- CĂ´te Rousse
- Croisieux
- Fanfaraud
- Ferme de Chanteblé
- Figuet
- Font Flachier
- Grand Bois
- Gros Murot
- la Condamine
- la Plaine
- la Tour d'Albon
- l'Aulagnat
- Lautufet
- le Bois Cocu
- le Creux de la Thine
- le Grand BĹ“uf
- le Grand Moulin
- le Grand Moulin
- le Moulinet
- les Barris
- les Blaches (ouest)
- les Blaches (est)
- les Blains
- les Bourgeons
- les Buis
- les Combes
- les Creux
- les Drugeons
- les Eymards
- les Girardes
- les Grandes Vignes
- les Grands Champs
- les Igonières
- les Marrons
- les Moulin du Temple
- les Ormes et Champs du Seigneur
- les Perrets
- les Petites Girardes
- les Petites Vignes
- les Picardes
- l'Espinasse
- les Prés Nouveaux
- les Pugnets
- les Quarterées
- les Rosiers
- les Terreaux
- les Trois Maisons
- les Verchères
- le Vernet
- le Vivier
- Marcoz
- Marmot
- Petit Vernet
- Pied FĂ©rat
- Prat
- Saint-Martin-des-Rosiers
- Saint-Philibert
- Saint-Romain-d'Albon (mairie)
- Senaud
- Tantaron
- Vermenas
- Verrine
- Vignol
Toponymie
Attestations
- 517 : Epao, Epaonense, Epauna (Labbe et Cossart, Concilia, II, 1052)[8] - [9].
- 831 : vicus qui dicitur Eppaonis (D. Bouquet, VI, 570)[8].
- 883 : mention du mandement : ager Ebbaonensi in pago Viennensi (Charvet, Hist. Ă©glise de Vienne, 120)[8].
- 887 : Ebaonem sive Tortilianum (d'Achery, Spicileg., III, 363)[8].
- Vers 1080 : villa de Albon (cartulaire de Romans, 150)[8].
- 1132 : Albio (cartulaire de Grenoble, 270)[8].
- 1215 : castrum Albeonis (doc. inéd., 31)[8].
- 1328 : castrum de Albone (de Gallier, Essai sur Clérieu, 91)[8].
- 1334 : mention du mandement : mandamentum et territorium de Albone (inventaire des dauphins, 196)[8].
- 1891 : Albon, château[8].
- 1891 : Albon, commune du canton de Saint-Vallier, commune dont le chef-lieu est au village de Saint-Romain-d'Albon et de laquelle ont été successivement distraites les communes d'Anneyron, de Saint-Rambert-d'Albon et d'Andancette[8].
Étymologie
Ernest Nègre[9] propose plusieurs hypothèses sur l'origine du nom « Albon » :
Histoire
Antiquité : les Gallo-romains
Albon est un grand domaine comportant une « villa ».
Les fouilles de M. Duc, au début du siècle, ont permis de reconnaître un important site paléo-chrétien (Duc, Essais historiques sur la commune d'Albon). Des sondages furent repris, sans grands résultats[11].
Des tombes paléo-chrétiennes ont été trouvées sur la commune[12].
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
Des fouilles anciennes ont mis au jour un habitat ainsi qu'une basilique funéraire du VIe siècle, propriété du diocèse de Grenoble-Vienne.
Une tentative de datation de la basilique a été tentée grâce aux inscriptions[11].
Traditionnellement, Saint-Romain-d'Albon est considéré comme la parrocchia Epaonensis (paroisse d'Épaone).
En 517, Albon a probablement accueilli le concile d'Épaone réunissant l'Église burgonde. D'autres auteurs considèrent qu'il s'est tenu à Évian.
La tour date du VIIIe siècle[12].
Albon, possession ancienne de l'église archiépiscopale de Vienne, avait été confisqué par l'empereur Louis I le Pieux (ou le Débonnaire) au profit d'un certain comte Abbo. L'évêque en obtient la restitution en 831[8].
: un diplôme de l'empereur Louis le Pieux (778-840) cite le vicus Eppaonis (bourg d'Épaone). Ce dernier possède deux églises en ruines dédiées à saint André et saint Romain. On sait que saint Romain a été le titulaire de l'église d'Albon et saint André celui de la paroisse d'Andancette (qui a appartenu à Saint-Romain-d'Albon jusqu'en 1872)[13].
924 : le roi Raoul de France, confirme la donation de terres de l'ancienne Épaone à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun.
XIIe et XIIIe siècles : Le nom de Saint-Romain-d'Albon est donné au village.
1016 Ă 1349 : les comtes d'Albon-Viennois puis dauphins du Viennois
Trois familles (ou maisons, ou « races ») se succèdent :
- 1016-1228 : les évêques de Vienne concèdent Albon en fief à la lignée de Guigues Ier le Vieux (vers 1000 à 1070). Ce dernier est à l'origine des comtes du Viennois désignés, à partir de Guigues IV, par le titre de « dauphins du Viennois ».
- 1183-1282 : Albon passe Ă Hugues I, fils du duc Eudes II de Bourgogne.
- 1282-1349 : Albon passe aux La Tour-du-Pin.
La population s'installe autour du château d'Albon dressé sur la colline par les seigneurs[14].
Les seigneurs se qualifient de comtes d'Albon[8] :
- 1134 : comes Albionensis. Le comté est appelé comitatus Albionensis (cartulaire de Romans, 284).
- 1191 : comitissa Albonii (doc. inédit, 29).
- 1215 : comes Viennensis et Albeonensis (doc. inédit, 30).
- 1231 : comes Ailbonis (cartulaire de LĂ©oncel, 108).
- 1239 : le comté est appelé comitatus Albonis (inventaire des dauphins, 375)
- 1244 : Delphinus Vienne et Albonis comes (inventaire des dauphins, 34)
- 1247 : comes Albonensis (inventaire des dauphins, 36).
Du temps des dauphins, la dénomination de comté d'Albon s'applique de manière assez vague à tout le pays situé entre Vienne et l'Isère. Cette dénomination sera par la suite restreinte au seul mandement d'Albon[8].
Les seigneurs du comté d'Albon
Le comté est engagé en tant que seigneurie[8].
- Possession des barons de Clérieux.
- Passe (par héritage) aux Poitiers-Saint-Vallier qui s'éteignent en 1546.
- 1546 : passe aux Tournons.
- 1644 : passe (par héritage) aux Lévis-Ventadour.
- 1694 : passe (par mariage) aux Rohan-Soubise, derniers seigneurs d'Albon.
Le village actuel, probablement du fait de l'abandon du château au XVIe siècle, s'est développé autour de l'église paroissiale sur l'emplacement primitif du haut Moyen Âge[14].
Avant 1790, la communauté d'Albon comprend les paroisses suivantes : Andancette, Anneyron, Saint-Martin d'Albon, Saint-Philibert d'Albon, Saint-Rambert d'Albon, Saint-Romain d'Albon, plus celle de Champagne en Vivarais.
La communauté d'Albon relève de l'élection et subdélégation de Romans, et du bailliage de Saint-Marcellin.
Le mandement d'Albon semble avoir toujours eu la même étendue que la communauté d'Albon[8].
De la RĂ©volution Ă nos jours
En 1790, Albon devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans. Il comprend les municipalités d'Albon et de Mantaille. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) fait de ce canton une simple commune du canton de Saint-Vallier[8].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement Ă©tant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19.
À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal est composé du maire, de quatre adjoints (Jean Delaunay, Raphaëlle Roumeas, Yves Monnier, Christine Aime) et de quatorze conseillers municipaux (Anne-Marie Pontus, Serge Guillermin, Agnès Brunet, Anne-Marie Chomel, Pascal Serigne, Didier Decorme, Stéphanie Ottogalli, Céline Chaleat, Julien Euvrard, Jean-Pierre Payraud, Christiane Alleon, Jessica Jouffroy, Charlie Fournier, Céline Vassy)[15] - [16].
Liste des maires
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune d'Albon appartient à la communauté de communes Porte de DrômArdèche qui comprend des villages de la Drôme et de l'Ardèche.
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].
En 2020, la commune comptait 1 967 habitants[Note 3], en augmentation de 7,78 % par rapport Ă 2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Manifestations culturelles et festivités
- FĂŞte : le dernier dimanche de septembre[12].
Loisirs
- Equitation[12].
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, arbres fruitiers, bovins, ovins[12].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Tour d'Albon, tour sur motte construite au VIIIe siècle.
- L'église romane Saint-Philibert d'Albon et son prieuré ont été construits au XIe siècle par des moines venus de l'abbaye de Tournus. Elle se compose d'une nef à deux travées, abside semi-circulaire, et d'un porche roman plein cintre surmonté d'un vitrail et d'une arcade recevant la cloche. En 1230, elle est agrandie d'une travée et d'une abside gothique flamboyant. Les moines qui l'ont desservie jusqu'au XIIIe siècle, avant d'en laisser le service au clergé séculier, y avaient déposé le cœur de saint Philibert. De nombreux pèlerinages ont eu lieu jusqu'en 1562, date à laquelle les troupes du baron des Adrets, n'ayant pas trouvé cette relique, détruisirent la quasi-totalité de l'église. Reconstruite sommairement au début du XVIIe siècle avec, côté sud, la chapelle Notre-Dame-de-Pitié, elle n'a jamais retrouvé son architecture du XVIe siècle.
- Château des Rosiers.
- Château de Senaud.
- Porte de Chanas (XIVe siècle) dans l'enceinte du village de Saint-Romain-d'Albon.
- Église du XIXe siècle à Saint-Romain.
- Église du XIXe siècle à Saint-Martin-des-Rosiers. En , la voûte du chœur s'est effondrée. On a alors limité l'édifice à la nef en la séparant de la ruine par un vitrail. Ce dernier est l'un des plus grands vitraux d'Europe.
- Aérodrome et site aérorétro avec son musée d'avions anciens.
- Église d'Albon.
- Chevet de la chapelle Saint-Philibert.
- Saint-Philibert.
- Église de Saint-Martin-des-Rosiers.
Patrimoine naturel
- Albon fait partie des villages botaniques de la Drôme sur le thème des plantes magiques et symboliques.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Baptiste Fleury (1758-1841), juge de paix et député de l'Isère, né et baptisé dans la commune.
HĂ©raldique, logotype et devise
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Les armoiries d'Albon se blasonnent ainsi : « au premier et au quatrième de sable à la croix d'or, au deuxième et au troisième d'or au dauphin d'azur, allumé, langué, loré, peautré et oreillé de gueules ». |
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Annexes
Bibliographie
- 1891 : J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, 1891, page 4.
- 1992 : Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, 1992 (ISBN 2-7399-5026-8)
- 2004 : Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 4 (Albon, commune et château).
- Pierre Palengat, La Drôme insolite: d'Aix-en-Diois à Volvent : les 370 communes du département : La Drôme historique, monumentale, anecdotique, légendaire, statistique, culturelle, page 9.
- Pierre Miquel - 2016 - Petite Histoire des noms de lieux, villages et villes de France - (ISBN 2226381767).
- André Pelletier, André Blanc, Pierre Broise, Jean Prieur, Histoire et archéologie de la France ancienne, Rhône-Alpes (de l'âge du fer au Haut Moyen Age), Le Coteau (42120), Horvath, (ISBN 27171-0561-1), page 226.
- Michel de la Torre, DrĂ´me; le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Albon.
- Noël Duval, Albon - Basilique paléochrétienne, p. 224-226, dans Les premiers monuments chrétiens de la France, tome 1, Sud-Est et Corse, Picard éditeur, Ministère de la Culture et de la Francophonie, Paris, 1995 (ISBN 2-7084-0442-3).
- Action thématique programmée en archéologie métropolitaine : « inventaire des fortifications de terre » (groupe Rhône-Alpes), Château de Terre : de la motte à la maison-forte - histoire et archéologie médiévales dans la région Rhône-Alpes, juin 1987-décembre 1988, p. 32.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- « Albon : site de la commune », sur www.mairie-albon.fr, (consulté le )
- « La mairie d'Albon et ses maires », sur mairie-albon.fr.
- « Conseils municipaux - Délégations spéciales », Journal officiel de la République française,‎ , p. 1971 (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.