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Anne Gilbert de La Val

Anne Gilbert de La Val est un général français de la Révolution et de l’Empire, né le à Riom en Auvergne et mort le à Mora de Rubielos en Espagne. Comme beaucoup d'officiers, il connaît un avancement rapide pendant la période révolutionnaire. Commandant une demi-brigade à partir de 1794, il participe à plusieurs batailles de la campagne de 1796 en Allemagne. Il est promu général de brigade en 1799 et sert à Zurich, Stockach et Moesskirch.

Anne Gilbert de La Val
Naissance
Riom, Auvergne
DĂ©cès (Ă  47 ans)
Mora de Rubielos, Espagne
Origine Drapeau de la France France
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Drapeau de la France République française
Drapeau de l'Empire français Empire français
Arme Infanterie
Grade Général de division
Années de service 1781 – 1810
Conflits Guerres de la Révolution française
Guerres napoléoniennes
Distinctions Baron de l'Empire
Hommages Nom gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile, 36e colonne

Après avoir exercé divers commandements secondaires, Laval est placé à la tête d'une brigade prenant part à l'invasion de l'Espagne en 1808 et est élevé au grade de général de division l'année suivante. Sous les ordres de Louis-Gabriel Suchet, il commande une division avec laquelle il prend part aux batailles d'Alcañiz et de Belchite. Il est anobli en , peu de temps avant sa mort due à la maladie. Son nom est gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile à Paris.

Biographie

Carrière militaire sous l'Ancien Régime et la Révolution

Anne Gilbert de La Val naĂ®t le Ă  Riom, dans la province d'Auvergne. Il entre en service le comme cadet gentilhomme et devient sous-lieutenant le . Il passe ensuite lieutenant en second le et capitaine le . Il est nommĂ© lieutenant-colonel au 55e rĂ©giment d’infanterie le avant d'ĂŞtre suspendu le . RĂ©intĂ©grĂ© le , puis le , il prend le commandement de la 103e demi-brigade de première formation qui devient, le , la 100e demi-brigade de deuxième formation[1]. En juin de la mĂŞme annĂ©e, la 100e demi-brigade fait partie de la division du gĂ©nĂ©ral Guillaume Philibert Duhesme, composĂ©e de 7 438 fantassins et 895 cavaliers, elle-mĂŞme intĂ©grĂ©e Ă  l'aile gauche de l'armĂ©e de Rhin-et-Moselle sous le commandement du gĂ©nĂ©ral Laurent de Gouvion-Saint-Cyr[2]. Ă€ la tĂŞte de son unitĂ©, Laval participe Ă  un combat victorieux contre les ImpĂ©riaux Ă  Renchen le [3]. Au cours de l'avancĂ©e des troupes françaises en Allemagne du Sud, il est Ă©galement prĂ©sent aux batailles d'Ettlingen le [4], de Neresheim le [5] et de Friedberg le [6]. Après la retraite de l'armĂ©e de Rhin-et-Moselle, la 100e demi-brigade sert durant le siège de Kehl, du au [7], ainsi qu'au combat de Diersheim le suivant[1].

Le , la 100e demi-brigade combat avec la 4e division lors de la première bataille de Zurich[8] et Laval est promu gĂ©nĂ©ral de brigade moins d'une semaine plus tard, le [1]. Il est alors affectĂ© Ă  la 3e division du gĂ©nĂ©ral Jean-de-Dieu Soult le et prend part Ă  la deuxième bataille de Zurich les 25 et . Au cours de l'engagement, les 11 000 soldats de Soult franchissent la Linth et surprennent 13 000 hommes de l'armĂ©e austro-russe qui sont mis en dĂ©route. Ce succès a pour consĂ©quence la mort du commandant en chef autrichien Friedrich von Hotze et permet aux Français de couper la ligne de retraite d'Alexandre Souvorov[9]. Sous le commandement du gĂ©nĂ©ral HonorĂ© ThĂ©odore Maxime Gazan, la 3e division participe aux manĹ“uvres visant Ă  encercler l'armĂ©e de Souvorov dans les Alpes. Du au , des affrontements ont lieu au lac du Klöntal, Ă  Muotathal, Ă  Näfels et Ă  Schwanden[10]. Six indique que Laval est affectĂ© le Ă  la 4e division de Gazan[1].

Le château d'Aarbourg, dont Laval s'empare le 25 juin 1799.

Transféré à l'armée du Rhin au début de l'année 1800, Laval commande provisoirement la 3e division de cette armée à partir du [1]. Il sert ensuite sous les ordres du général Dominique René Vandamme dont la division, attachée à l'aile gauche dirigée par le général Claude Jacques Lecourbe, est formée de la 1re demi-brigade d'infanterie légère et des 36e, 83e et 94e demi-brigades d'infanterie de ligne ainsi que du 8e régiment de hussards[11]. Le , Vandamme contraint la forteresse de Hohentwiel à capituler et ses troupes sont engagées deux jours plus tard à la bataille de Stockach, puis à celle de Moesskirch le [12] ; le 23 de ce mois, Laval est placé au commandement d'une brigade de la division Gudin. Après avoir servi à la bataille d'Höchstädt, il s'empare du château d'Aarbourg le et contribue à la prise de Feldkirch le [1]. Ayant manqué la bataille de Hohenlinden le , il prend part à la poursuite de l'armée impériale en déroute. Le , à Salzbourg, l'arrière-garde autrichienne parvient à repousser des troupes françaises appartenant au corps de Lecourbe, parmi lesquelles la division Gudin[13]. Envoyé à l'armée expéditionnaire de Brest le , il devient commandant de la 10e division militaire de Toulouse le suivant puis des côtes de la Méditerranée de la frontière d'Espagne jusqu'au Rhône le [1].

Général de l'Empire

Laval commande par intérim la division militaire de Lyon à partir du avant d'être affecté à la division Lagrange du VIIIe corps de la Grande Armée le . Il occupe à ce titre la ville d'Hanau le 1er novembre et prend le commandement du Mecklembourg à la fin de l'année 1806. Le , il est attaché au 2e corps d'observation de la Gironde au sein de la division du général Vedel et, à partir du , dirige temporairement la 3e division du corps de Dupont après la mort du général Jean-Pierre Firmin Malher[1].

Ă€ cette Ă©poque, NapolĂ©on a pris la dĂ©cision de s'emparer de l'Espagne par la force et de dĂ©poser le roi Charles IV. Sous divers prĂ©textes, l'Empereur dirige 70 000 soldats dans la pĂ©ninsule IbĂ©rique et, en , ceux-ci prennent le contrĂ´le d'un certain nombre de points stratĂ©giques. Le , la population de Madrid se soulève contre les occupants français, ce qui marque le dĂ©but de la guerre d'indĂ©pendance espagnole[14]. Le , Laval prend la tĂŞte de la 1re brigade de la division commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Bernard Georges François Frère[1], la seconde brigade Ă©tant sous les ordres de Claude Rostollan. La division Frère est constituĂ©e Ă  cette Ă©poque du 15e rĂ©giment d'infanterie lĂ©gère (1 160 hommes), de la 2e lĂ©gion de rĂ©serve (2 870 hommes) et du 1er bataillon du 2e rĂ©giment d'infanterie suisse (1 174 hommes)[15]. Initialement stationnĂ©e Ă  Madrid, la division Frère est dĂ©tachĂ©e du corps principal afin de rĂ©tablir les communications avec les troupes du marĂ©chal Moncey, en retraite après leur Ă©chec devant Valence, et n'est donc pas prĂ©sente lors de la capitulation de BailĂ©n. Les colonnes de Frère et de Moncey font leur jonction le et se replient sur Madrid[16]. NommĂ© le commandant de la 1re brigade de la division Grandjean, servant au corps de Moncey, Laval participe au second siège de Saragosse en [1].

Le général Louis-Gabriel Suchet, commandant en chef du IIIe corps de l'armée d'Espagne.

Au mois de mai, le IIIe corps de l'armĂ©e d'Espagne reçoit un nouveau gĂ©nĂ©ral en chef, Louis-Gabriel Suchet. Ă€ cette pĂ©riode, Laval assume le commandement de la 1re division forte de 4 000 soldats en huit bataillons. La 2e division est commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Louis François FĂ©lix Musnier et la cavalerie par le gĂ©nĂ©ral Pierre Wathier. Au total, le corps n'aligne que 11 000 soldats[17]. Après la prise de Saragosse, les Français occupent facilement le sud de l'Aragon. La guerre menaçant d'Ă©clater avec l'Autriche, NapolĂ©on retire la moitiĂ© des troupes prĂ©sentes en Aragon, affaiblissant sĂ©rieusement la position française dans ce secteur. La guĂ©rilla espagnole s'agite de nouveau, obligeant ses adversaires Ă  Ă©vacuer certaines zones, tandis qu'une armĂ©e espagnole commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral JoaquĂ­n Blake y Joyes fait son apparition avec l'intention de reconquĂ©rir la province[18].

Prenant l'offensive, Suchet attaque l'armĂ©e espagnole lors de la bataille d'Alcañiz le [19]. L'armĂ©e française dĂ©ploie 7 292 fantassins en quatorze bataillons, 526 cavaliers en six escadrons et 18 pièces d'artillerie. De son cĂ´tĂ©, Blake peut compter sur 8 101 fantassins, 445 cavaliers et 19 canons. La 1re division de Laval se compose Ă  ce moment du 14e rĂ©giment d'infanterie de ligne et du 3e rĂ©giment polonais de la Vistule, Ă  deux bataillons chacun[20]. Blake dispose ses troupes sur trois collines situĂ©es en avant de la ville d'Alcañiz. Laval tente une première attaque sur l'aile droite espagnole mais il est repoussĂ©. Suchet ordonne alors Ă  Musnier de briser le centre de la ligne espagnole. Musnier part Ă  l'assaut avec une colonne de cinq bataillons d'infanterie mais, malmenĂ©s par le feu des canons et par la mousqueterie des dĂ©fenseurs, les fantassins franco-polonais se dĂ©bandent. Suchet, blessĂ© au cours de l'action, fait sonner la retraite[21]. Ă€ l'issue du combat, le IIIe corps compte 800 tuĂ©s ou blessĂ©s alors que Blake n'a perdu que 300 hommes. Suchet est contraint d'abandonner une grande partie de l'Aragon tandis que Blake reçoit le renfort de 25 000 nouvelles recrues ; heureusement pour les Français, il n'y a pas assez de mousquets pour Ă©quiper tout le monde[20].

Le général Joaquín Blake y Joyes, commandant en chef de l'armée espagnole.

Après sa victoire, Blake marche sur Saragosse. Il divise ses 20 000 hommes en trois divisions et avance le long de la rivière Huerva. La division de Juan Carlos de ArĂ©izaga progresse sur la rive droite pendant que les deux autres divisions, commandĂ©es directement par Blake, cheminent par la rive gauche. DĂ©tachant Laval avec une brigade de 2 000 hommes pour contenir ArĂ©izaga, Suchet oppose Ă  Blake la division Musnier et la brigade du gĂ©nĂ©ral Pierre Joseph Habert. Le , au cours de la bataille de MarĂ­a, Suchet dĂ©fait Blake et le force Ă  battre en retraite. L'armĂ©e espagnole n'est pas dĂ©truite mais perd tout de mĂŞme 16 de ses 25 canons[22]. Les troupes franco-polonaises dĂ©plorent 700 Ă  800 tuĂ©s ou blessĂ©s sur un effectif total de 10 000 fantassins, 800 cavaliers et 12 canons. Les Espagnols dĂ©nombrent pour leur part 1 000 tuĂ©s, 3 Ă  4 000 blessĂ©s et plusieurs centaines de prisonniers sur un effectif total de 14 000 fantassins et 1 000 cavaliers. La brigade Habert, qui fait partie de la division Laval, est formĂ©e du 14e de ligne et du 3e rĂ©giment polonais de la Vistule[23]. Le lendemain, Suchet essaye de contraindre ses adversaires Ă  livrer bataille Ă  Botorrita, mais Blake parvient Ă  se dĂ©rober[24].

Le , Blake prend finalement position Ă  cĂ´tĂ© du village de Belchite. Suchet entame les hostilitĂ©s en attaquant les Espagnols par leur flancs. Ă€ gauche, la division Musnier progresse et refoule les troupes adverses, tandis que le gĂ©nĂ©ral Habert s'en prend Ă  l'aile droite. C'est alors qu'un coup de canon français fait sauter une partie des stocks de munitions espagnols, ce qui prĂ©cipite la dĂ©route de l'armĂ©e de Blake. Victorieux, Suchet charge Musnier d'observer les mouvements de Blake tandis que lui-mĂŞme retourne Ă  Saragosse avec Laval afin de rĂ©tablir l'ordre[24]. Les pertes espagnoles se montent Ă  2 000 hommes et 9 canons alors que celles des Français ne dĂ©passent pas 200 tuĂ©s ou blessĂ©s. En plus des unitĂ©s composant la brigade Habert, Laval a Ă  sa disposition le 44e rĂ©giment d'infanterie de ligne[25].

Laval passe les mois suivants Ă  pacifier le nord de l'Aragon[26]. Dans les derniers jours d'aoĂ»t, il s'empare avec 3 000 hommes du monastère Saint-Jean de la Peña près de Jaca. Le colonel espagnol Renovales se replie mais se retrouve coincĂ© entre les troupes du IIIe corps et des dĂ©tachements de gardes nationaux français. Renovales nĂ©gocie sa reddition et obtient un sauf-conduit vers la Catalogne oĂą il continue la lutte contre l'occupant. Toutefois, l'Aragon reste relativement calme de septembre Ă  octobre[27]. Le , Laval est Ă©levĂ© au grade de gĂ©nĂ©ral de division, fonction qu'il exerce en pratique depuis le 1er avril[1]. Au mois de dĂ©cembre, ses soldats arrivent dans les environs de Teruel et contraignent la junte d'Aragon Ă  prendre la fuite[27]. En , le IIIe corps, fort de 23 140 hommes, est organisĂ© en trois divisions d'infanterie sous les ordres des gĂ©nĂ©raux Laval, Musnier et Habert ainsi que d'une brigade de cavalerie commandĂ©e par le gĂ©nĂ©ral AndrĂ© Joseph Boussart. La 1re division de Laval compte 4 290 hommes en six bataillons[28] ; elle comprend le 2e rĂ©giment polonais de la Vistule et les 14e et 44e de ligne, Ă  deux bataillons chacun. Le 3e rĂ©giment polonais de la Vistule est intĂ©grĂ© nominalement Ă  la division mais est dĂ©tachĂ© ailleurs. Ă€ cette pĂ©riode, Laval a son quartier-gĂ©nĂ©ral Ă  Mont-ral[29].

Alors que les objectifs de Suchet sont d'assiĂ©ger en prioritĂ© Mequinenza et LĂ©rida, le roi Joseph Bonaparte insiste pour qu'il marche d'abord sur Valence. Le commandant en chef du IIIe corps obtempère et atteint la ville le [30]. Sa colonne principale se compose de la division Laval et d'une partie de celle de Musnier, pour un total de 8 000 hommes. Ces troupes quittent Teruel et font peu après leur jonction avec la division Habert. Cependant, constatant la dĂ©termination des dĂ©fenseurs valenciens et manquant d'artillerie lourde pour mener un siège en règle, Suchet se replie quatre jours plus tard. Pendant son absence, la guĂ©rilla est devenue très active dans la province ; près de Teruel, 300 soldats français et quatre pièces d'artillerie sont ainsi tombĂ©s aux mains des partisans[31]. Ă€ peine rentrĂ© de son expĂ©dition, Suchet dĂ©cide d'assiĂ©ger LĂ©rida qui capitule au mois de . ChargĂ© de dĂ©fendre l'Aragon, Laval ne participe pas Ă  ce siège[32], ni Ă  celui de Mequinenza au mois de juin[33]. Il est crĂ©Ă© baron de l'Empire le [34].

Ă€ la suite de la prise de LĂ©rida, NapolĂ©on ordonne Ă  Suchet de pousser son avantage en s'emparant de Tortosa[35], en coopĂ©ration avec le marĂ©chal Étienne Macdonald qui vient de recevoir le commandement de l'armĂ©e de Catalogne. Au mois de juillet, Suchet envoie un contingent Ă  proximitĂ© de Tortosa tout en continuant de rassembler du matĂ©riel de siège Ă  Mequinenza. DĂ©but aoĂ»t, une colonne de 2 500 soldats espagnols menĂ©e par Enrique JosĂ© O'Donnell arrive Ă  Tortosa. Le 3, O'Donnell fait une sortie et attaque la division Laval placĂ©e en observation devant la ville. Les assaillants franchissent la première ligne de dĂ©fense mais ne parviennent pas Ă  battre les Français et doivent se replier. O'Donnell retourne alors Ă  Tarragone. Quelque temps plus tard, Suchet disperse l'armĂ©e de Valence qui menace de perturber le bon dĂ©roulement du siège de Tortosa et, Ă  la mi-aoĂ»t, Macdonald est enfin en mesure d'aider Suchet avec 16 000 soldats[36]. Le gĂ©nĂ©ral Laval meurt de fièvre le Ă  Mora de Rubielos, et est remplacĂ© au commandement de la 1re division par le gĂ©nĂ©ral Jean Isidore Harispe[37]. Le marĂ©chal Suchet dĂ©clare Ă  son sujet : « il laissait une rĂ©putation de courage et de probitĂ©, qui honore sa mĂ©moire »[38].

Distinctions

Il fait partie des 660 personnalités à avoir son nom gravé sous l'arc de triomphe de l'Étoile.

Bibliographie

  • Bernard Bergerot (prĂ©f. Jean Tulard), Le MarĂ©chal Suchet, Paris, Tallandier, coll. « Bibliothèque napolĂ©onienne », , 265 p. (ISBN 978-2-235-01686-5).
  • (en) David Gates, The Spanish Ulcer : A History of the Peninsular War, Londres, Pimlico, , 557 p. (ISBN 978-0-7126-9730-9).
  • (en) Charles Oman, A History of the Peninsular War Volume I : 1807-1809 From the Treaty of Fontainebleau to the Battle of Corunna, vol. 1, La Vergne, Kessinger Publishing, (ISBN 978-1-4326-3682-1).
  • (en) Charles Oman, A History of the Peninsular War Volume III : September 1809 to December 1810 : Ocana, Cadiz, Bussaco, Torres Vedras, Mechanicsburg, Stackpole, , 568 p. (ISBN 978-1-85367-223-1).
  • (en) Digby Smith, The Greenhill Napoleonic Wars Data Book : Actions and Losses in Personnel, Colours, Standards and Artillery, 1792-1815, Londres, Greenhill Books, , 582 p. (ISBN 978-1-85367-276-7, BNF 38973152).

Notes et références

  1. Georges Six (préf. commandant André Lasseray), Dictionnaire biographique des généraux et amiraux français de la Révolution et de l'Empire, t. 2, Paris, Georges Saffroy Éditeur, (lire en ligne).
  2. Smith 1998, p. 111.
  3. Smith 1998, p. 115.
  4. Smith 1998, p. 117.
  5. Smith 1998, p. 119 et 120.
  6. Smith 1998, p. 121.
  7. Smith 1998, p. 131.
  8. Smith 1998, p. 158.
  9. Smith 1998, p. 167 et 168.
  10. Smith 1998, p. 169 Ă  171.
  11. Smith 1998, p. 177.
  12. Smith 1998, p. 181 et 182.
  13. Smith 1998, p. 189 et 190.
  14. Gates 2002, p. 9 Ă  12.
  15. Oman 2010, p. 612.
  16. Oman 2010, p. 138.
  17. Gates 2002, p. 492.
  18. Gates 2002, p. 159 et 160.
  19. Gates 2002, p. 161.
  20. Smith 1998, p. 311.
  21. Gates 2002, p. 161 et 162.
  22. Gates 2002, p. 162 Ă  164.
  23. Smith 1998, p. 316.
  24. Gates 2002, p. 164.
  25. Smith 1998, p. 317.
  26. Gates 2002, p. 165.
  27. Oman 1996, p. 12 et 13.
  28. Gates 2002, p. 495.
  29. Oman 1996, p. 533.
  30. Gates 2002, p. 290.
  31. Oman 1996, p. 284 Ă  286.
  32. Oman 1996, p. 300.
  33. Smith 1998, p. 343.
  34. Jean Tulard, Napoléon et la noblesse d'Empire : Suivi de la liste complète des membres de la noblesse impériale, Paris, Tallandier, , 359 p. (ISBN 978-2-235-00694-1), p. 252.
  35. Oman 1996, p. 286 et 287.
  36. Oman 1996, p. 492 Ă  495.
  37. Bergerot 1986, p. 121.
  38. Alain Pigeard (préf. baron Gourgaud), Les étoiles de Napoléon : maréchaux, amiraux, généraux 1792-1815, Quatuor, , 768 p., p. 444.

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