Angous
Angous [ÉÌÉĄus] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Angous | |||||
L'église Saint-André | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Béarn des Gaves | ||||
Maire Mandat |
Francis Lansalot-Matras 2020-2026 |
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Code postal | 64190 | ||||
Code commune | 64025 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Angousiens | ||||
Population municipale |
95 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 17âČ 41âł nord, 0° 48âČ 45âł ouest | ||||
Altitude | Min. 133 m Max. 262 m |
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Superficie | 6,22 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Mauléon-Licharre (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du CĆur de BĂ©arn | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Angous se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe Ă 48 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă 25 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-prĂ©fecture, et Ă 22 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du CĆur de BĂ©arn dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Arrast-Larrebieu (2,9 km), Susmiou (3,9 km), Sus (4,1 km), Moncayolle-Larrory-Mendibieu (4,2 km), Castetnau-Camblong (4,5 km), Gurs (4,9 km), Charre (5,0 km), Lichos (5,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Angous fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].
AccĂšs
Le territoire d'Angous est traversé par les routes départementales 2 et 69.
Lieux-dits et hameaux
- Beigbédé[7]
- Bestit[7]
- Bois de Carrié[7]
- Bonnehoun[7]
- Bordenave[7]
- Cabane[7]
- Caillau[7] - [8]
- Carrié[7]
- Chincas[7]
- Claverie[7]
- Denis[7]
- Jaquet[7]
- Labadie[7]
- Labatut[7]
- Labourdette[7]
- Lagrave[7]
- Lahaderne[7]
- Larrieu[7]
- Lartigue[7]
- Lauga[7]
- Ligaray[7]
- Maréchal[7]
- Miranda[7]
- Mirassou[7]
- Montjoye[7]
- Mouliet[7]
- Nabarre (ruines)[7]
- Olive[7]
- Parfouby[7]
- Poumirau[7]
- Pucheu[7]
- Serbielle[7] - [8]
- Serrot[8]
- Trouilh[7]
Hydrographie
La commune est drainée par le Serrot, le Riu de Carrié et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7,55 km de longueur totale[9] - [Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[15] et qui se trouve Ă 14 km Ă vol d'oiseau[16] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 293,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 33 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[21].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[23] - [Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Angous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [24] - [25] - [26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27] - [28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,9 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (81,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (61,3 %), prairies (20,6 %), forĂȘts (18,1 %)[29].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Angous est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[30]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[31].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[32] - [30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[33]. 99,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [34].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Angous apparaßt sous les formes Angos (1385[8], censier de Béarn[35]), Anguos (1548[8], réformation de Béarn[36]), Saint-André d'Angous (1673[8], insinuations du diocÚse d'Oloron[37]), Angoust (1793[38]), Angons (1801[38], Bulletin des lois) et Angous sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siÚcle[39]).
Ătymologie
Angous reprĂ©sente la substantivation de lâadjectif gascon hangĂłs au sens de « terrain marĂ©cageux, fangeux », qui sâest fixĂ© dans la toponymie, il s'agit d'un dĂ©rivĂ© du substantif hanga « fange, boue ». Il est issu du bas latin *fangosu « fangeux », d'origine germanique, devenu hangĂłs en gascon. En ce qui concerne le toponyme, le H- initial a disparu dans la graphie[39] - [40].
Autres toponymes
Caillau est un fief mentionné en 1863[8], dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
Dalen est une ferme de la commune, citée par le dictionnaire de 1863[8].
Les Navailles, ancien hameau d'Angous, est à l'origine une commune fondée en 1366[8]. En 1385[8], elle rassemblait quatre feux et dépendait du bailliage de Navarrenx. Le toponyme est mentionné sous les graphies Navailles (1366[8], titres des Navailles), Los Nabalhes (1385[8], censier de Béarn[35]), Los navalhees d'Angos (1412[8], notaires de Navarrenx[41]), Los quoate Nabalhes (1538[8], réformation de Béarn[36]) et Les NavaillÚs (1593[8], titres d'Angous[42]).
Les Randuches Ă©tait un Ă©cart dâAngous, mentionnĂ© en 1366[8] (titres des Navailles).
Serbielle, ferme dâAngous, apparaĂźt sous les graphies Serviele (1385[8], censier de BĂ©arn[35]) et Servielle (1863[8], dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque).
Serrot est un hameau de la commune cité par Paul Raymond en 1863[8].
Histoire
Paul Raymond[8] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Angous comptait 12 feux et dépendait du bailliage de Navarrenx.
La baronnie de Gabaston[8], vassale de la vicomté de Béarn, était composée d'Angous, Navailles et Susmiou.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune fait partie de six structures intercommunales[43] :
- la communauté de communes du canton de Navarrenx ;
- le syndicat AEP de Navarrenx ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat de la perception de Navarrenx ;
- le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
- le syndicat mixte forestier des chenaies des vallées basques et béarnaises.
Population et société
DĂ©mographie
Le nom des habitants est Angousiens[44] - [40].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[46].
En 2020, la commune comptait 95 habitants[Note 10], en diminution de 11,21 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
L'activité est tournée principalement vers l'agriculture (élevage, pùturages, cultures maraßchÚres et horticoles). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-André date[48] du XIXe siÚcle. L'église est dédiée à l'apÎtre saint André. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 2003.
La secte Tabitha's Place est prĂ©sente sur le territoire de la commune oĂč elle possĂšde une propriĂ©tĂ© de onze hectares.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Angous sur le site de la communauté de communes du canton de Navarrenx
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
- « Sites Natura2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Angous », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune d'Angous », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Angous et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Angous et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Angous et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Angous », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
- « Fiche communale d'Angous », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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- « Station Météo-France Saint-Gladie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Angous et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Angous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Mauléon-Licharre », sur insee.fr (consulté le ).
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
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- Manuscrits du XVIIe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Michel Grosclaude (prĂ©f. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du BĂ©arn, Pau, EscĂČla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
- Titres d'Angous - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- Gentilé sur habitants.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « L'église Saint-André », notice no IA64000569, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.