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André Theuriet

Claude-Adhémar Theuriet, dit André Theuriet, né le à Marly-le-Roi et mort le à Bourg-la-Reine, est un poète, romancier et auteur dramatique français.

André Theuriet
André Theuriet (1878), tableau de Jules Bastien-Lepage.
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  73 ans)
Bourg-la-Reine
SĂ©pulture
Nom de naissance
Claude-Adhémar André Theuriet
Nationalité
Activités
signature d'André Theuriet
Signature
Sépulture d’André Theuriet, cimetière de Bourg-la-Reine.

Biographie

Charles Théodore Perron, Monument à André Theuriet (1913), Bourg-la-Reine.

André Theuriet voit le jour à Marly-le-Roi, d'un père bourguignon et d'une mère lorraine de Bar-le-Duc. En 1838, son père est nommé receveur des Domaines à Bar-le-Duc, toute la famille déménage. Il passe beaucoup de temps avec sa grand-mère qui lui apprend à lire. Un de ses grands plaisirs d'enfant est de rendre visite à une grand-tante un peu originale qui se déguise avec des rideaux, et qui déclame des vers.

Il est inscrit Ă  la bibliothèque de la ville et ses prĂ©fĂ©rences vont en matière de prose Ă  MĂ©rimĂ©e, Vigny, Balzac et en matière de poĂ©sie Ă  Hugo, Musset, Vigny, Lamartine[1]. Il fait son entrĂ©e en 1843 au collège Gilles de Trèves. On raconte qu'en rhĂ©torique, il fait des vers. Il compose en grand secret des odes, des satires, des Ă©pĂ®tres, et il transcrit ses premières productions dans un de ses cahiers de classe rĂ©servĂ© aux mathĂ©matiques. Il s'avise mĂŞme de faire publier, par un journal de la ville, une de ses poĂ©sies. Mal lui en prend : son professeur, ayant eu vent de la chose, s'amuse en classe Ă  se moquer de ses vers. Il est Ă  Civray en 1849, bachelier ès lettres le . Il s'inscrit Ă  la facultĂ© de droit et participe au concours de l'AcadĂ©mie[1], en 1853, en prĂ©sentant un poème de 400 vers sur l'Acropole, qui sera fort remarquĂ©. Quelques mois après, il fait la connaissance de la fille du sous-prĂ©fet de Civray qui mourra en 1855 d'une angine de poitrine. Après avoir fait ses Ă©tudes Ă  Bar-le-Duc (bachelier en droit le ), il est employĂ© Ă  la direction des Domaines Ă  Auberive de 1856 Ă  1859, au poste de surnumĂ©raire de l'enregistrement et des domaines ; Ă  Tours de 1859 Ă  1863, puis Ă  Amiens, avant de devenir chef de bureau Ă  l'enregistrement en 1863, au ministère des Finances[2]. Il commence Ă  publier des poèmes et des nouvelles Ă  la Revue des deux Mondes. En 1859, il fait la connaissance de celui qui allait ĂŞtre son meilleur ami : Camille FistiĂ©.

À la guerre de 1870, il est au 19e bataillon de la 2e compagnie de la Garde nationale de la Seine. En 1871, il participe à la bataille de Buzenval. Il fera cette même année la rencontre d'Hélène Narat, sa future épouse.

En 1872, son drame, Jean-Marie, est représenté au Théâtre de l'Odéon.

En 1880, il épouse Hélène Narat[3], veuve du peintre Gabriel Lefebvre, un artiste renommé sous le Second Empire. D'après François Carez, c'était « une jeune fille charmante qu'il avait chantée — en amoureux rossignolant — dans le Livre de la Payse »[1]. En 1893, il vend son appartement du no 30 rue Bonaparte à Paris et achète une maison au no 14 avenue Victor Hugo à Bourg-la-Reine qu'il nomme Bois-Fleuri, en souvenir de son roman Boisfleury[2].

Élu au conseil municipal de la ville en 1894, il en devient maire le au décès de M. Jallon[2]. Il fait réaliser deux grands tableaux par le peintre Menu pour orner la salle des mariages. Il démissionne de sa charge le [2]. Il est élu membre de l'Académie française le , au fauteuil d'Alexandre Dumas fils[4], et il y est reçu par l'écrivain Paul Bourget. Le conseil municipal de Bourg-la-Reine fait réaliser par Pierre-Adrien Dalpayrat deux assiettes en porcelaine qui lui sont offertes. Il fut également membre de l'Académie de Stanislas[5].

Son Ă©pouse meurt le .

André Theuriet est un écrivain qui chante les terroirs, les forêts, les petites villes bourgeoises avec une étonnante facilité à communier avec tous les pays où le mène sa profession. Ainsi, en Lorraine, en Argonne, dans la Haute-Marne, en Touraine, et dans le Poitou, on le considère comme un enfant du pays.

Il publie de nombreux romans sur Bar-le-Duc, le pays d'Auberive, la Touraine et le Poitou, la Savoie — il séjourna plusieurs étés à Talloires[6], sur les bords du lac d'Annecy — et l'Argonne. L'intrigue de ses romans est souvent conventionnelle et les personnages, dont le caractère est fixé d'emblée et n'évolue guère, incarnent tous les grands sentiments de l'époque, parfois d'une façon stéréotypée, moralement et politiquement modérée. L'auteur se défie également des parvenus et des démagogues, des révolutionnaires et des aristocrates réactionnaires et privilégie les caractères francs et honnêtes, qu'un heureux mariage, socialement convenable, vient souvent récompenser. Mais son œuvre laisse un témoignage précis et fidèle de la vie quotidienne dans les villes et villages de province où les passions semblent magnifiées par les paysages où elles naissent et le lyrisme de l'auteur. Theuriet connaît bien la nature et n'a pas son pareil en sa génération pour brosser, d'une plume certes académique, un beau paysage.

« Le ciel, qui avait été brumeux pendant la matinée s’éclaircissait par places ; des trouées de soleil éclairaient brusquement tantôt la prairie, tantôt un des versants de la forêt. Cette illumination intermittente donnait au paysage une brève splendeur printanière. La chanson discrète des rouges-gorges, les fleurs lilas des veilleuses éparses dans les près aidaient encore à l’illusion. Les parties restées dans l’ombre n’avaient pas, du reste, une coloration moins vivace : le brun pourpré des poiriers sauvages, le rouge sanglant des cerisiers, l’or pâle des sycomores et les retroussis argentés des saules semaient de taches éclatantes les frondaisons encore vertes des chênes et la rousseur fauve des hêtres. De loin en loin, au moindre souffle d’air, l’effeuillement soudain de quelques trembles ressemblait à une envolée de frêles papillons blancs. »

— Reine des bois

Atteint d'un cancer du côlon, il meurt le . Il est inhumé au cimetière de Bourg-la-Reine (dans la division 3).

Sans enfant, il laissa ses biens à ses amis M. et Mme Archambault, de Beaune, qui vivaient avec le couple et qui s'occupèrent de lui après la mort de son épouse[7].

Ĺ’uvres

Nuit de Noël, 1899.
Les oiseaux du Luxembourg, dessin d'Auger.

Poésie

  • Le Chemin des bois, poèmes et poĂ©sies () 1er recueil couronnĂ© par l'AcadĂ©mie française
  • Le Legs d'une Lorraine, Paris, Alphonse Lemerre, , 8 p. (lire en ligne)
  • Le Bleu et le Noir, poèmes de la vie rĂ©elle ()
  • Le Livre de la payse : Nouvelles poĂ©sies, Paris, Alphonse Lemerre, , 175 p. (lire en ligne)
  • Nos oiseaux (ill. Hector Giacomelli et gravures sur bois de Jules Hoyot), Paris, H. Launette et Cie, , 206 p. (lire en ligne)
  • Carillons de NoĂ«l en hommage Ă  LĂ©on Lhermite (annĂ©e non communiquĂ©e)
  • La Ronde des saisons et des mois ()
  • Jardin d'automne ()
  • Contes pour les soirs d'hiver

Romans et nouvelles

  • Bigarreau, suivi de La Pamplina, de Marie-Ange, de L'Oreille d'ours et de La Saint-Nicolas, Alphonse Lemerre, s.d.
  • Mademoiselle Guignon, Paris, Charpentier, , 320 p. (lire en ligne)
  • Le Mariage de GĂ©rard, Paris, Ernest Flammarion, , 255 p. (lire en ligne)
  • Raymonde : le Don Juan de Vireloup, Paris, G. Charpentier, , 352 p. (lire en ligne)
  • Sous bois : impressions d'un forestier, Paris, G. Charpentier, , 326 p. (lire en ligne)
  • Le Fils Maugars, Paris, G. Charpentier, , 320 p. (lire en ligne)
  • La Maison des deux Barbeaux : Le sang des FinoĂ«l, Paris, Paul Ollendorff, , 317 p. (lire en ligne)
  • Sauvageonne, Paris, Paul Ollendorff, , 311 p. (lire en ligne)
  • Toute seule, Paris, G. Charpentier, , 333 p. (lire en ligne)
  • Les Enchantements de la forĂŞt, Paris, Librairie Hachette, coll. « Bibliothèque des Ă©coles et des familles », , 220 p. (lire en ligne)
  • Madame Heurteloup ()
  • Le secret de Gertrude (ill. Émile Adan, Eaux fortes gravĂ©es par Auguste Boulard et vignettes dans le texte gravĂ©es sur bois par Jules Huyot), Paris, H. Launette et Cie, , 213 p. (lire en ligne)
  • Michel Verneuil, Paris, Paul Ollendorff, , 325 p. (lire en ligne)
  • Tante AurĂ©lie ()
  • L'horloge, Paris-NoĂ«l 1885-1886, pages 4-5-6.
  • Eusèbe Lombard, Paris, Fayards frères, , 191 p. (lire en ligne)
  • Les Ĺ“illets de Kerlaz, Conquet, ()
  • PĂ©chĂ© mortel ()
  • Contes pour les jeunes et les vieux, illustrĂ© par Stanislaw Rejchan et Felician Myrbach ()
  • MĹ“urs d'employĂ©s ()
  • Contes de la vie de tous les jours. Les Ĺ“illets de Kerlaz[8] (1887)
  • La Vie rustique (ill. LĂ©on Lhermitte, gravures sur bois de ClĂ©ment Bellenger), Paris, Librairie Charles Tallandier, , 336 p. (lire en ligne)
  • L'Affaire Froideville : MĹ“urs d'employĂ©s, Paris, Ernest Flammarion, , 70 p. (lire en ligne)
  • Contes de la vie de tous les jours. Les Ĺ“illets de Kerlaz[8] (1887)
  • Amour d'automne (ill. S. Macchiati), Paris, Alphonse Lemerre, , 346 p. (lire en ligne)
  • Contes de la forĂŞt ()
  • Contes de la vie intime, Paris, Martinet, , 213 p. (lire en ligne)
  • Josette ()
  • Contes pour les soirs d'hiver, illustrĂ© par Stanislaw Rejchan ()
  • Deux sĹ“urs, Paris, Alphonse Lemerre, , 301 p. (lire en ligne)
  • L'Amoureux de la prĂ©fète ()
  • Le Bracelet de turquoises ()
  • L'Oncle Scipion, Paris, Alphonse Lemerre, , 314 p. (lire en ligne)
  • Reine des bois, Paris, Bibliothèque Charpentier, , 308 p. (lire en ligne)
  • Charme dangereux, Paris, Alphonse Lemerre, , 422 p. (lire en ligne)
  • L'AbbĂ© Daniel ()
  • La Chanoinesse 1789-1793 (« Bibliothèque des romans historiques ») ()
  • Contes forestiers ()
  • Rose-Lise ()
  • CĹ“urs meurtris ()
  • Boisfleury ()
  • Contes de la primevère ()
  • Le Refuge, Paris, Alphonse Lemerre, , 329 p. (lire en ligne)
  • Dorine ()
  • Dans les Roses () oĂą il Ă©voque les querelles entre ses concitoyens
  • Frida (ill. par la photographie d'après nature), Paris, Nilsson - Per Lamm, coll. « La voie merveilleuse », , 163 p. (lire en ligne)
  • Villa tranquille ()
  • Nuit de NoĂ«l, 1899, Paris-NoĂ«l
  • Claudette, contes et propos rustiques ()
  • Jours d'Ă©tĂ©, Paris, SociĂ©tĂ© d'Ă©ditions littĂ©raires et artistiques, Librairie Paul Ollendorff, illustrĂ© par ClĂ©mentine-HĂ©lène Dufau, 1901, 188 p.
  • Les crèches de BethlĂ©em, Paris-NoĂ«l 1901.
  • La petite dernière, Paris, Ernest Flammarion, , 85 p. (lire en ligne)
  • Le manuscrit du chanoine, Paris, Alphonse Lemerre, , 295 p. (lire en ligne)
  • La SĹ“ur de lait ()
  • Histoires galantes et mĂ©lancoliques ()
  • Les Revenants ()
  • Souvenirs des vertes saisons : AnnĂ©es de printemps - jours d'Ă©tĂ©, Paris, SociĂ©tĂ© d'Ă©ditions littĂ©raires et artistiques, , 344 p. (lire en ligne)
  • L'Oncle Flo ()
  • Colette (posthume, )
  • Au Paradis des Enfants (1887) Éditeur Paul Ollendorff, 28 rue Richelieu Paris. Ouvrage tirĂ© en 10 exemplaires.

Préfaces

  • Avant-propos aux 'Fables' de Florian en 1899
  • PrĂ©face du recueil de poèmes de HĂ©gĂ©sipe Moreau, Le myosotis, publiĂ© Ă  Paris chez L. Conquet en 1893
  • PrĂ©face de 'Le Vieil Annecy' de C. Pinet vers 1900

Théâtre

  • Jean-Marie, drame en 1 acte, en vers, Paris, théâtre de l'OdĂ©on, .
  • La Maison des deux barbeaux, comĂ©die en 3 actes (en collaboration avec Henri Lyon), Paris, OdĂ©on-Théâtre de l'Europe, .
  • Raymonde, comĂ©die en 3 actes, (en collaboration Eugène Morand), Paris, ComĂ©die-Française, .
  • Les Maugars, pièce en 4 actes (en collaboration avec Georges Loiseau), Paris, théâtre de l'OdĂ©on, .

RĂ©compenses

Distinctions

Hommages

  • Une rue porte son nom dans les villes de Bourg-la-Reine, d'Aulnay-sous-Bois, Metz, Nancy, Clermont-Ferrand, Brest, Annecy, Saint-Dizier, Chaumont, Nice, Paris, Toulouse, Marly-le-Roi, Bar-le-Duc (Le Grand-Pressigny, Avenue AndrĂ© Theuriet, oĂą une plaque de marbre a Ă©tĂ© scellĂ©e sur la maison qu'il habita) et Talloires oĂą se trouve aussi un collège Ă  son nom, et Ă  Civray, un lycĂ©e.
  • Le , le Monument Ă  AndrĂ© Theuriet est inaugurĂ©e Ă  Bourg-la-Reine par le prĂ©sident de la RĂ©publique Raymond PoincarĂ© et le sous-secrĂ©taire d'État aux Beaux-Arts LĂ©on BĂ©rard, dans une rue portant son nom, en prĂ©sence du maire de la ville : le colonel Albert Louis Candelot. Il est dĂ» au sculpteur Charles ThĂ©odore Perron, qui demeurait Ă©galement Ă  Bourg-la-Reine ; le fondeur est RenĂ© Fulda, Ă  Paris. Un monument lui est Ă©galement dĂ©diĂ© Ă  Auberive, en Haute-Marne, oĂą il fut directeur de l’enregistrement de 1856 Ă  1858, sur la place qui porte son nom. Ce monument a Ă©tĂ© Ă©levĂ© en 1907, le buste en bronze ayant Ă©tĂ© refait en 1998 par le sculpteur J.M. MAILLARD de Rouelles Ă  la suite d'un vol.
  • Dans la version parue en France en 1906 du livre sur les Bucegi, Nestor Urechia lui rend un chaleureux hommage par cette dĂ©dicace[9] : « Ă€ AndrĂ© Theuriet, au maĂ®tre Ă©crivain, chanteur des bois, des fleurs et des doux sentiments. »

Musique

  • Édouard Lalo, Marine, Le Rouge-gorge, sur des poĂ©sies extraites du recueil Le Livre de la Payse (1884)

Notes et références

  1. Auteurs contemporains : études littéraires : Paul Verlaine, Anatole France, André Theuriet, Maurice Maeterlinck, Paul Déroulède / François Carez par François Carez, aux Éditions Demarteau (Liège), 1897, 331 pages
  2. Xavier Lenormand, Histoire des rues de Bourg-la-Reine, p. 18.
  3. D'après Xavier Lenormand, op. cit.
  4. « André THEURIET (1833-1907) », sur Académie française (consulté le )
  5. (fr) « THEURIET Claude-Adhémar-André », sur le site du Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS) (consulté le )
  6. où il fréquentera le peintre Albert Besnard
  7. Philippe Chaplain, « André Theuriet (1833-1907) », in Les grands personnages au cimetière de Bourg-la-Reine, Éd. Bibliothèque de l'Association Historique de Bourg-la-Reine, no 7, 2007, p. 4-9.
  8. André Theuriet, Contes de la vie de tous les jours. Les œillets de Kerlaz, A. Lemerre, 1887, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k68818d/f5.image.r=Ploudaniel.langFR
  9. Nestor Urechia, Dans les Carpathes roumaines : les Bucégi, Paris, Plon, (SUDOC 056477848)

Annexes

Bibliographie

  • Antoine Albalat, Souvenirs de la vie littĂ©raire, Arthème Fayard et Cie Ă©diteurs Ă  Paris, 1921, 319 p.
  • Jacques Bonnaure: AndrĂ© Theuriet de la Meuse Ă  la Coupole, in Bulletin des SociĂ©tĂ©s d'histoire et d'archĂ©ologie de la Meuse, no 38-39, p. 125-140.
  • Emmanuel Besson, A la veille d'un centenaire: Souvenirs personnels sur AndrĂ© Theuriet (1/4) Le Domaine no 97 de , pages 438 Ă  455, (2/4), Le Domaine, no 98-99 de /, pages 49 Ă  56, (3/4), Le Domaine no 100 de , pages 78 Ă  88, (4/4, Le Domaine no 497 de , pages 113 Ă  122.
  • Jean David, AndrĂ© Theuriet en Touraine, dans: MĂ©moires de l'AcadĂ©mie de Touraine, 2004, p. 83 Ă  97.
  • ThĂ©ophile Gautier, Histoire du Romantisme , Ă©d. Charpentier et Cie Libraires-Ă©diteurs, Paris, 1874, 410 p.
  • Maurice Guillemot, VillĂ©giatures d'artistes, Ă©d Ernest Flammarion, 1897, 260 p.
  • Ernest Jungle, Profils parisiens, première sĂ©rie, Ă©d. A. Melet, Paris, 1898, 212 p.
  • Bernard Lazare, Figures contemporaines. Ceux d'aujourd'hui et ceux de demain, Libraires-Ă©diteurs, Perrin et Cie, Paris, 1895, 281 p.
  • Jules LemaĂ®tre, Les contemporains 5e sĂ©rie, H. Lecène & H. Oudin, Paris, 1892, 355 p.
  • Jules Tellier, Les Ă©crivains d'aujourd'hui -Nos poètes, Ă©d. A. Dupret, Paris, 1888, 258 p.
  • Paul Verlaine, AndrĂ© Theuriet, monographie publiĂ©e dans la revue Les Hommes d'aujourd'hui, no 406 ; texte sur wikisource.

Iconographie

Liens externes

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