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André Hambourg

André Hambourg né à Paris le et mort dans la même ville le [1] est un peintre, illustrateur, lithographe et résistant français.

André Hambourg
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  90 ans)
Paris 14e
SĂ©pulture
Cimetière Sainte-Catherine (d)
Nom de naissance
André Joseph Élie Hambourg
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
Genre artistique

Biographie

André Hambourg peint des paysages et des marines. Lithographe, dessinateur, décorateur, il voyage beaucoup et rapporte de ses séjours de nombreux dessins préparatoires pour illustrer des ouvrages de bibliophilie, notamment sur la Normandie et ses plages, la Provence et ses marchés. En 1933, il est lauréat du prix de l'Afrique-Occidentale française et du prix Abd-el-Tif — partagé avec Émile Bouneau — et s'installe en Afrique du Nord de 1933 à 1939.

Peintre officiel de la Marine depuis 1952, il partage sa vie entre la côte normande — il possède une maison à Englesqueville-en-Auge (Calvados) — et Saint-Rémy-de-Provence, qui sont ses sujets favoris. En 2007, sa femme Nicole Rachet fait une donation de 71 de ses œuvres (peintures, estampes et dessins) au musée national de la Marine à Paris[2].

La jeunesse parisienne 1909-1933

André Hambourg est le fils d'un pharmacien, Maurice Hambourg (né en 1864 à Lepel[3]), venu de Russie pour échapper à la déportation en Sibérie et d'Esther Lévy (née en 1869 à Constantinople), son épouse[4].

À douze ans, il intègre le lycée Montaigne à Paris où il se distingue en dessin et en français. Au lycée Louis-le-Grand, qu'il intègre en classe de quatrième, il impressionne ses professeurs par ses croquis et ses premières aquarelles représentant le jardin du Luxembourg, des scènes familiales ou des natures mortes. Ses parents l'envoient en Allemagne pour un séjour linguistique au cours duquel il s'essaie à la peinture à l'huile. À son retour en France, il suit des cours de modelage à l'école de la Ville de Paris. Il est reçu à l'École nationale supérieure des arts décoratifs, section sculpture, et devient l'élève du sculpteur Paul Niclausse (1879-1958). En 1927, il entre aux Beaux-Arts de Paris en section peinture dans l'atelier de Lucien Simon. Les couleurs de ses premières toiles sont très sombres, presque austères et empreintes de violence[5]. Afin de progresser, il fréquente assidûment les musées où il reproduit les toiles des grands maîtres. Il peint plus volontiers des natures mortes et les rues de Paris. Progressivement, des personnages apparaissent dans ses toiles jusqu'à en devenir le sujet central comme dans La Conversation[6]. À partir de 1929, il participe à de nombreux salons parisiens comme le Salon des Tuileries, le Salon des indépendants ou le Salon d'automne. En 1929, il organise sa première exposition à la galerie du Taureau à Paris. Durant l'été 1930, il découvre la Bretagne et peint à l'occasion de la cérémonie de la bénédiction de la mer à Audierne en hommage aux marins disparus un tableau intitulé Bénédiction de la mer[7]. Durant le même été, il se rend en Provence à la Cadière-d'Azur. Il est impressionné par les couleurs des paysages qu'il découvre. Sa palette s'enrichit d'ocre et de jaune. En 1932, madame Zak devient sa marchande à Paris et lui consacre dans sa galerie de Saint-Germain-des-Prés une exposition particulière.

L'Afrique du Nord 1933-1939

AndrĂ© Hambourg part en AlgĂ©rie en 1933 oĂą il va sĂ©journer Ă  la villa Abd-el-Tif muni d'une bourse de 24 000 francs. Face aux paysages qui s'offrent Ă  lui et Ă  la luminositĂ© qui se dĂ©gage de la ville d'Alger, il comprend qu'il doit rĂ©inventer sa peinture. Il s'attache Ă  adapter la vĂ©ritĂ© sans la trahir et non Ă  peindre en copiant la vie d'une manière rĂ©aliste. En 1934, il effectue un long pĂ©riple dans l'est et le sud algĂ©rien pendant lequel il peint les villages et paysages du Sahel, les maisons blanches, les femmes et les enfants qui posent pour lui[8]. Après la mort de son père, il effectue de frĂ©quents allers retours Ă  Paris et ses toiles retrouvent les teintes sombres et lourdes de ses dĂ©buts. Il obtient des commandes officielles notamment du musĂ©e Franchet d'EspĂ©rey Ă  Alger[9] pour lequel il peint des toiles commĂ©morant le dĂ©barquement du duc d'Aumale en AlgĂ©rie en 1830. Il rĂ©alise une sĂ©rie de portraits de ses camarades de rĂ©giment. En 1936, il effectue son service militaire en AlgĂ©rie. En 1937, il se rend au Maroc. Sa vision de l'Afrique est exempte des conventions liĂ©es Ă  l'exotisme. Il rĂ©alise de nombreux portraits et paysages. Il porte un regard plein d'empathie mais sans complaisance sur les scènes et les gens qui l'entourent[10]. Une exposition intitulĂ©e L'Ĺ“uvre africaine d'AndrĂ© Hambourg consacre son art au musĂ©e de la France d'Outre-Mer Ă  la porte DorĂ©e et permet au public parisien de dĂ©couvrir ses Ĺ“uvres. Il s'indigne du sort rĂ©servĂ© Ă  la ville de Guernica en Espagne et expose au Salon d'automne de 1937 une toile intitulĂ©e Civilisation 37[11]. En 1939, il se rend de nouveau au Maroc dont il revient avec une moisson de toiles. Au mois de juin, il obtient le prix de l'Afrique occidentale française.

La Seconde Guerre mondiale : 1939-1945, la RĂ©sistance

Médailles décernées à André Hambourg, Brest, musée national de la Marine.

Mobilisé et démobilisé en , il reste à Casablanca, puis à Oran en 1942 où il rejoint la Résistance pour passer ensuite en France en zone libre. Il retourne à Oran en , puis Alger en novembre à la libération de la ville, où il est rédacteur à Combattant 43, hebdomadaire de l'Armée française, sous le pseudonyme d'André Hache, il collabore notamment par la suite aux journaux Bulletin des Armées de la République, Combat, Alger républicain, Fraternité, Toujours et aussi Tam Tam, ou La Dépêche de Paris pour lesquels il fournit des articles et des dessins. En liaison avec le commissariat à la Marine, il effectue des missions à bord de navires de combat pour y réaliser des reportages illustrés. Nommé correspondant de guerre en , il rejoint la 1re Armée en Alsace où il franchit le Rhin. Il participe à la libération de Karlsruhe et au camp de concentration de Vaihingen. Il sera en mission de surcroît pour deux mois en pour peindre le nid d'aigle de Berchtesgaden, pour l'armée américaine[12]. La toile Les Déportés de Vaihingen dépeint toute l'horreur et la souffrance vécue par ces prisonniers[13]. Il réalise deux recueils de dessins Berchtesgaden party et D'Alger à Berchtesgaden[14]. Dans Berchtesgaden party qui paraît en 1947, il rend hommage aux soldats qui ont combattu le nazisme et à leurs victimes. Il regagne son atelier de la rue Boissonade (No 39) à Paris en 1945. Il demeure obsédé par les horreurs de la guerre et sa peinture retrouve la noirceur de ses débuts[15]. Il écrit et dessine pour plusieurs journaux parisiens dont Opéra.

Les années 1940-1950

En 1946, André Hambourg retourne à Saint-Rémy-de-Provence et il achète le champ d'oliviers peint en 1889 par Van Gogh. En 1947 et 1948, l'état-major de la Marine l'invite à bord du cuirassé Richelieu. Ses toiles dépeignent la vie et les activités de l'équipage[16]. Puis il s'installe à Honfleur. Il dessine les paysages normands au pastel et retrouve peu à peu l'harmonie des tons. Il s'éprend de Nicole Rachet. Les pastels qu'il lui dédie sont remplis de joie et d'apaisement[17]. Il épouse Nicole Rachet en 1948 et retourne rue Boissonade, mais il effectue de fréquents séjours à Honfleur. Hambourg représente souvent sa femme et son fils dans des scènes à caractère familial et intimiste comme dans Dimanche à la grande cour[18]. Plusieurs compagnies maritimes font appel à lui pour décorer, leurs paquebots. L'un de ses tableaux orne la suite Normandie du paquebot Liberté[19]. À la fin des années 1950, il peint fréquemment les plages de Deauville et Trouville. Cette période correspond à un changement dans sa peinture ; il s'inspire désormais des sujets que lui offre la nature et s'attache à saisir la fugacité de l'instant. En 1957, il se rend pour la première fois à Venise et cette ville va devenir pour lui un sujet d'inspiration intarissable. Il représente souvent l'île de Torcello. À Venise comme en Normandie, sa palette s'adapte à la profusion des couleurs qui se révèlent à lui. Pour Hambourg, Venise est synonyme de vie et de lumière. Il effectue plusieurs séjours à Venise jusque dans les années 1980.

Les années 1970-2000

En 1971, Hambourg effectue son premier séjour en Afrique noire, en Côte d'Ivoire où tout l'enthousiasme. Il trouve dans ce pays des sujets propices aux jeux d'ombres et de lumière. En 1972, il se rend pour la première fois à New York et la Grand Army Plazza (place située à l'angle de Central park) devient le sujet d'une série de toiles réalisées sur quinze ans qui se déclinent au fil des heures du jour et des saisons[16]. En 1972, il est sollicité par la Cour européenne de justice pour décorer la salle d'audience du palais de justice à Luxembourg. Il mène à bien six grands panneaux symbolisant les États membres et les valeurs de la paix et de la justice. Il installe son atelier à Saint-Rémy-de-Provence, au milieu des oliviers qu'avait peints Van Gogh et que lui-même avait acquis et sauvés en 1946. En 1975, il réalise cinq projets de décoration d'établissements scolaires en s'essayant à la technique de la mosaïque : trois pour le lycée André-Maurois à Deauville, un pour l'école Andersen à Trouville et une pour le CES Charles-Mozin à Trouville[20]. En 1976, il est invité par la Marine nationale à participer aux fêtes du bicentenaire des États-Unis à Yorktown. En 1983, il embarque à bord de l'aviso-escorteur Commandant Bourdais à Abidjan. Entre 1983 et 1986, il effectue trois campagnes à bord du Commandant Bourdais puis à bord du porte-hélicoptère Jeanne d'Arc, où il saisit les scènes de la vie à bord. En 1988, André Hambourg et son épouse font une donation de 376 œuvres au musée Eugène-Boudin de Honfleur[21], la famille Rachet étant établie à Honfleur depuis plusieurs générations.

André Hambourg meurt le et est inhumé au cimetière Sainte-Catherine à Honfleur.

Ouvrages illustrés

Expositions

  • 1928 : Paris, galerie du Taureau, rue d'Assas.
  • 1929-1930 : exposition de groupe avec Yves Brayer et Paul Ullman, Salon d'automne, Salon des Tuileries, galerie BĂ©nĂ©zit (), galerie Zak (1932), galerie de Sèvres.
  • 1935 : exposition AOF, Arts dĂ©coratifs, Salon des indĂ©pendants de Bordeaux, Casablanca, Prague, La Haye.
  • 1938 : Paris, musĂ©e de la France et d'Outre-Mer.
  • 1940 et suite : Casablanca, Tanger, septembre Oran.
  • 1943 : Alger.
  • 1945 : Paris, galerie de Berry.
  • 1946 : Casablanca, galerie du Livre.
  • 1946 : Paris, galerie Durand Ruelle.
  • 1956 : Paris, galerie Cardo Matignon.
  • 1958 : Paris, galerie Drouant-David.
  • 1959 : Paris, musĂ©e Galliera.
  • 1964 : Trouville-sur-Mer, salons de l'hĂ´tel-de-ville.
  • 1967 : Paris, galerie Paul PĂ©tridès.
  • 1970-1971 : Bourges, Maison de la culture.
  • 1972 : Palm Beach, Wally Findlay Galleries.
  • 1973 : Trouville-sur-Mer, hĂ´tel-de-ville.
  • 1974 : Antibes, musĂ©e du Bastion Saint-AndrĂ©.
  • 1975 : Abidjan, hĂ´tel Ivoire.
  • 1977 : Paris, musĂ©e national de la Marine.
  • 1979 : Paris, galerie Varine-Gincourt.
  • 1983 : Paris, Wally Findlay Galleries.
  • 1985 : New York, Wally Findlay Galleries, AndrĂ© Hambourg Ă  New-York.
  • 1987 : Lisieux, Ă©glise Saint-Jacques.
  • 1988 : Honfleur, musĂ©e Eugène-Boudin.
  • 1989 : Honfleur, Grenier Ă  sel.
  • 1991 : Paris, Grand Palais.
  • 1991 : Saint-RĂ©my-de-Provence, musĂ©e des Alpilles.
  • 1991 : Paris, galerie Étienne Sassi.
  • 1992 : Chartres, collĂ©giale Saint-AndrĂ©.
  • 1992 : Paris, galerie Étienne Sassi.
  • 1995 : Caudebec-en-Caux, musĂ©e de la Marine de Seine.
  • 1995 : Lanobre, château de Val.
  • 1997 : Deauville, galerie Anne Jean-Francois Apesteguy.
  • 1997 : Sainte-Adresse, espace Claude-Monet.
  • 1999 : Aoste, musĂ©e archĂ©ologique rĂ©gional de la VallĂ©e d'Aoste, Montparnasse l'Europe des artistes 1915-1945.
  • 1999-2000 : Paris, galerie Francis Barlier, galerie Visconti.
  • 2000 : Honfleur, rĂ©trospective au Grenier Ă  Sel.
  • 2001 : Palm Beach, Phillips Galleries, The World of AndrĂ© Hambourg.
  • 2001 : Paris, hĂ´tel Salomon de Rothschild, La Marine sous le regard d'AndrĂ© Hambourg.
  • 2001 : Lausanne, musĂ©e olympique, La Vie au grand air.
  • 2003 : Sarrebruck, SaarLB Forum.
  • 2004 : Palm Beach, Phillips Galleries, AndrĂ© Hambourg peintre de la Marine.
  • 2005 : Augsbourg, Toskanische SaĂĽenhalle, AndrĂ© Hambourg 1909-1999.
  • 2005 : Bergerac, presbytère Saint-Jacques, RĂ©trospective 2005.
  • 2006 : Trouville-sur-Mer, villa Montebello, Le Maghreb d'AndrĂ© Hambourg.
  • 2006 : Roubaix, La Piscine, Le Maghreb d'AndrĂ© Hambourg.
  • 2006-2007 : Paris, musĂ©e national de la Marine, AndrĂ© Hambourg, 1909-1999[22].
  • 2008 : Toulon, musĂ©e national de la Marine, Embarquements et Escales.
  • 2009 : Honfleur, musĂ©e Eugène-Boudin, hommage pour le centième anniversaire de sa naissance.
  • 2009 : Brest, musĂ©e national de la Marine, Embarquements et escales.
  • 2010 : Vernon, musĂ©e Alphonse-Georges-Poulain, La Seine au fil des peintres, de Boudin Ă  Vallotton.
  • 2011 : CondĂ©-sur-Noireau, Espace-musĂ©e Charles-LĂ©andre, Enfants d'artistes normands.
  • 2012 : CondĂ©-sur-Noireau, Espace-musĂ©e Charles-LĂ©andre, AndrĂ© Hambourg et la campagne normande.
  • 2013 : Coutances, musĂ©e Quesnel-Morinière, Les livres illustrĂ©s.
  • 2013-2014 : CondĂ©-sur-Noireau , Espace-musĂ©e Charles-LĂ©andre, L'arche de NoĂ© des peintres normands.
  • 2014 : Deauville, Point de Vue dessins, et toiles sur le cheval.
  • 2014 : Lanobre, château de Val, rĂ©trospective 1974-2013, Les raisins de Mougins.
  • 2015 : Deauville, Deauville dĂ©voile les Franciscaines, reproductions d'Ĺ“uvre sur les cabines sur les planches.
  • 2015 : Trouville-sur-Mer, villa Montebello, Peindre la lumière, rĂ©ouverture de la salle AndrĂ©-Hambourg.
  • 2016 : CondĂ©-sur-Noireau, Espace-musĂ©e Charles-LĂ©andre, Les peintres modèles de 1800 Ă  1950.
  • 2016 : Deauville, Faces Ă  la mer, reproductions d'Ĺ“uvres d'AndrĂ© Hambourg habillant les cabines de la plage.
  • 2018 : Honfleur Galerie Katia Granoff Ĺ“uvres d'amis
  • 2018 : Venise "Casino Venier" ( Alliance Française) Ĺ“uvres d'amis
  • 2019 : Deauville " Villa le cercle " Nicole Hambourg dĂ©voile son livre " AndrĂ© Hambourg ses Histoires de Toiles"
  • 2021 : Deauville, inauguration des Franciscaines et du MusĂ©e AndrĂ© Hambourg le 12 mai 2021
  • 2022 : Deauville, Franciscaines A table avec AndrĂ© Hambourg
  • 2023 : Deauville, Franciscaines AndrĂ© Hambourg New-York 1970 , Dessins ( 28 janvier au 25 juin )

Postérité

  • En 1993, a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e l'Association des amis d'AndrĂ© Hambourg, qui a pour objet de dĂ©fendre, d’honorer l'Ĺ“uvre d'AndrĂ© Hambourg et de propager son image.
  • En 2000 est crĂ©Ă© le site Internet hambourg.com[23].
  • Un musĂ©e lui est dĂ©diĂ© Ă  Deauville au sein des Franciscaines Deauville.

Notes et références

  1. État civil sur le fichier des personnes mortes en France depuis 1970.
  2. Dossier d'œuvre no 2006.29 du musée national de la Marine.
  3. Lepel s'orthographie aujourd'hui Lepiel et est situé en Biélorussie.
  4. Décret de naturalisation française no 81,535, septembre 1907, Bulletin des lois de la République française, partie supplémentaire No 4198, série 12, p. 2982 (en ligne)
  5. Robert Parienté, André Hambourg, Paris, La bibliothèque des arts, 1991, pp. 19-20.
  6. Robert Parienté, André Hambourg, op. cit., pp. 20-21.
  7. André Hambourg 1909-1999, Brest, le Télégramme, 2006, p. 23.
  8. Robert Parienté, op. cit., p. 32.
  9. « BnF Catalogue général », sur bnf.fr (consulté le ).
  10. André Hambourg, 1909-1999, Paris, Musée national de la Marine, p. 40.
  11. Robert Parienté, op. cit., p. 49.
  12. Robert Parienté, op. cit., p. 58.
  13. André Hambourg 1909-1999, Brest, Le Télégramme, 2006, p. 55.
  14. Robert Parienté, op. cit., p. 61.
  15. Robert Parienté, op. cit., p. 68.
  16. André Hambourg, 1909-1999, Brest, Le Télégramme, 2006, p. 64.
  17. Robert Parienté, op. cit., p. 70.
  18. Robert Parienté, op. cit., p. 89.
  19. André Hambourg, 1909-1999, Brest : Le Télégramme, 2006, p. 71.
  20. André Hambourg, 1909-1999, Brest : Le Télégramme, 2006, p. 112.
  21. Musée Eugène-Boudin, 2016.
  22. musee-marine.fr.
  23. hambourg.com.

Annexes

Monographies

  • AndrĂ© Hambourg, Éditions Le TĂ©lĂ©gramme, musĂ©e national de la Marine, (ISBN 2-84833-175-5).
  • AndrĂ© Hambourg, catalogue raisonnĂ© de l'Ĺ“uvre peint, Tome I, texte et prĂ©face de Lydia Harambourg, Éditions Desgrandchamps, 2009 (ISBN 978-2-9534139-1-5).
  • AndrĂ© Hambourg, catalogue raisonnĂ© de l'Ĺ“uvre peint, Tome II, texte et prĂ©face de Lydia Harambourg, Éditions Desgrandchamps, 2012 (ISBN 978-2-9534139-3-9).
  • Michel Droit, AndrĂ© Hambourg, Genève, Pierre Cailler, 1970.
  • Michel Ipas, A. Hambourg Ă  Trouville-Dauville, s.l., Éditions Anne et Jean-François ApestĂ©guy, 1990.
  • (en) Sixty years of representation: Nicola Simbari, Gaston SĂ©bire, Constantin Kluge, Vu Cao Dam, Le Pho, AndrĂ© Vignoles, Jean Dufy, AndrĂ© Hambourg, Palm Beach et New York, Wally Findlay Galleries, 2012 (lire en ligne).

Articles

  • AndrĂ© Hambourg, « ItinĂ©raire d'un camoufleur, 1939-1944 », Lettre de l'association des amis de la BDIC et du MusĂ©e, avril-septembre 1983, p. 23-25 (tĂ©moignage de l'auteur sur son expĂ©rience pendant la guerre 1939-1945).

Catalogues d'exposition

  • AndrĂ© Hambourg, Ĺ“uvres de 1926 Ă  1964 : exposition, salon de l'hĂ´tel de ville, Trouville-sur-Mer, / ville de Trouville-sur-Mer, Trouville, 1964.
  • Charles LainĂ©, Peintures, pastels, dessins, Ĺ“uvre gravĂ©e de 1926 Ă  1964, Trouville : [s.n.], 1964.
  • AndrĂ© Hambourg, Trouville, Ville de Trouville-sur-Mer, 1973. — Exposition de Trouville-sur-Mer, salons de l'hĂ´tel de ville, juillet-.
  • AndrĂ© Hambourg, peintre de la Marine, Paris, MusĂ©e de la Marine, 1977.
  • AndrĂ© Hambourg Ă  Saint-RĂ©my-de-Provence. Ĺ’uvres de 1942 Ă  1990, Saint-RĂ©my-de-Provence, MusĂ©e des Alpilles, 1991.
  • Marguerite Godefroy, Heurs, malheurs, bonheurs du musĂ©e de Trouville, Trouville : [s.n.], 1979.
  • Association des amis d'AndrĂ© Hambourg, La Marine sous le regard d'AndrĂ© Hambourg, Paris, Marine nationale, 2001.
  • HĂ©lène Decaen-Le Boulanger, Bruno Gaudichon, Marie-Odile Lefèvre, Le Maghreb d'AndrĂ© Hambourg : 1909-1999, Paris, Somogy, 2006.
  • Jean-NoĂ«l Gard, Nicole Hambourg, Annie Madet-Vache, Patrick Dantec, AndrĂ© Hambourg 1909-1999, Paris, Le TĂ©lĂ©gramme, MusĂ©e national de la Marine, 2006.
  • Annie Madet-Vache, L'Ĺ“uvre d'AndrĂ© Hambourg : Ă  la Cour de justice des CommunautĂ©s europĂ©ennes. Catalogue de l'exposition des Ĺ“uvres prĂ©paratoires, [s.l.] : Didier Devillez Éditeur, Cour de justice des communautĂ©s europĂ©ennes, 2009.
  • Annie Madet-Vache (dir.), AndrĂ© Hambourg : Ombre & Lumière, Rouen/Bernay, Point de vues et musĂ©e AndrĂ©-Hambourg, les Franciscaines - Deauville, , 96 p. (ISBN 978-2-37195-012-2).

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