Accueil🇫🇷Chercher

Rue Boissonade

La rue Boissonade est une voie du quartier du Montparnasse dans le 14e arrondissement de Paris, en France.

14e arrt
Rue Boissonade
Voir la photo.
La rue Boissonade.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 14e
Morphologie
Longueur 346 m
Largeur 11,80 m
Historique
DĂ©nomination partie sud-ouest :
décret du 10 février 1875[1]
Ancien nom partie sud-ouest :
rue Sainte-Élisabeth
impasse Sainte-Élisabeth
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Boissonade
GĂ©olocalisation sur la carte : 14e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 14e arrondissement de Paris)
Rue Boissonade
Images sur Wikimedia Commons Images sur Wikimedia Commons

Situation et accès

OrientĂ©e globalement nord-est-sud-ouest, et parallèle au passage d'Enfer et Ă  la rue Campagne-Première (Ă  l'ouest), ainsi qu'Ă  l'avenue Denfert-Rochereau et Ă  une section de l'avenue de l'Observatoire (Ă  l'est), la rue Boissonade commence au 156, boulevard du Montparnasse et aboutit au 255, boulevard Raspail, après un parcours de 346 mètres. Sa largeur minimale est de 11,80 mètres[2]. Le dernier numĂ©ro impair est le 59, le dernier numĂ©ro pair le 62[3].

La circulation automobile s'effectue en sens unique à partir du boulevard Raspail, dans le sens contraire de la numérotation.

Les infrastructures de transport en commun qui desservent la rue Boissonade sont la station Raspail (sortie côté rue Campagne-Première) sur la ligne 4 et la ligne 6 du métro et la gare Port-Royal (sortie côté boulevard du Montparnasse) sur la ligne B du RER. Elle est également accessible à partir des arrêts suivants des lignes de bus RATP : Observatoire-Port-Royal sur la ligne no 38 (Porte d'Orléans → Porte de la Chapelle), Raspail sur la ligne no 68 (Place de Clichy → Châtillon-Montrouge), et Campagne-Première sur la ligne no 91 (Montparnasse 2 - Gare TGV → Gare du Nord).

Voies rencontrées

La rue Boissonade présente la particularité de n'être le débouché d'aucune autre rue, à l'exception de celui de la voie piétonnière privée B/14, fermée par une grille (voir nos 22 et 26).

Origine du nom

La partie sud-ouest de l'actuelle rue Boissonade, précédemment en cul-de-sac et dénommée « rue Sainte-Élisabeth[4] » porte, depuis 1875, le nom de Jean-François Boissonade (1774-1857), helléniste membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, né et mort à Paris, issu d'une famille originaire de Gascogne. Son fils Gustave Émile[5] (1825-1910) s'est fait un nom au Japon comme conseiller-juriste.

Historique

La rue Sainte-Élisabeth figurant sur la feuille 10 (14e arrondissement) de l'Atlas administratif des 20 arrondissements de la ville de Paris publié en 1872.

Cette voie ne fut pas toujours d'un seul tenant. De son ouverture, de 1859 à 1893, seule existait l'impasse Sainte-Élisabeth, devenue rue Boissonade, dont l'accès s'effectuait boulevard Raspail et fermait vers le no 26.

En 1893 s'ouvrit une seconde impasse côté boulevard du Montparnasse.

Jusqu'en 1934, la rue Boissonade Ă©tait composĂ©e des deux impasses : la plus ancienne ouvrant sur le boulevard Raspail Ă©tait longue de 175 mètres, et la plus rĂ©cente sur le boulevard du Montparnasse mesurait 47,50 mètres ; leurs extrĂ©mitĂ©s Ă©taient dĂ©limitĂ©es par le mur de clĂ´ture du jardin du monastère de la Visitation qui dĂ©bordait au milieu du tracĂ© de la rue actuelle. Cette partie du jardin fut rachetĂ©e par la Ville, permettant de rabouter les deux impasses.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

  • Nos 9 Ă  15 : grille de clĂ´ture de l'enclos du monastère de la Visitation de l'avenue Denfert-Rochereau, prĂ©cĂ©demment jardin de l'ancienne Institution de l'Oratoire du faubourg Saint-Michel, ancienne congrĂ©gation supprimĂ©e en 1792.
  • No 15 : lieu de culte catholique et aumĂ´nerie de la communautĂ© corĂ©enne de Paris[11]. Une salle y est rĂ©servĂ©e aux rĂ©pĂ©titions et rĂ©unions du chĹ“ur CorĂ©en de Paris[12].
  • No 16 (ayant aussi pour adresses les 9 et 13, rue Campagne-Première[13]) : partie arrière de la citĂ© d'artistes du 9, rue Campagne-Première (vers 1890, Taberlet architecte) abritant une centaine d'ateliers-logement de rapport (voir rue Campagne-Première). SituĂ©e sur le tronçon de la rue Boissonade qui n'a Ă©tĂ© percĂ©e que dans les annĂ©es 1930, cette citĂ© aboutissait, Ă  son origine, sur le mur de clĂ´ture du couvent de la Visitation.
  • No 17 : l'architecte dĂ©corateur et peintre Louis SĂĽe (1875-1968) et son associĂ©, Paul Huillard (1875-1966), s'installent Ă  cette adresse en 1903[14].
  • No 18 : le peintre norvĂ©gien Karl Edvard Diriks (1855-1930) rĂ©sida vingt ans dans cet immeuble[15].
  • No 20 bis : l'artiste peintre Toshio Bando (1895-1973) y vĂ©cut autour de 1923.
  • Nos 22 et 26 : entre ces deux numĂ©ros aboutit le passage piĂ©tonnier dĂ©nommĂ© voie B/14. SituĂ©e en contrebas par rapport au trottoir de la rue, cette voie privĂ©e est fermĂ©e par une grille, Ă©galement privĂ©e, posĂ©e dans l'alignement des façades sur rue, en haut d'une volĂ©e de marches qui relie les deux niveaux.
  • No 23 : domicile, dans les annĂ©es 1930, du peintre et illustrateur Eugène Narbonne[16] - [17] - [18] (1885-1973). C'Ă©tait aussi la maison du scĂ©nographe Umberto Brunelleschi dans les annĂ©es (1912-1915 ca.)[19]
  • No 24 : le poète et dramaturge Paul Fort y habita, de 1904 Ă  1914, dans un appartement envahi par les exemplaires de sa revue poĂ©tique Vers et Prose, dont Apollinaire Ă©tait l'un des collaborateurs. Il Ă©tait aussi un des piliers de La Closerie des Lilas[15].
  • Nos 26, 28, 30 et 32, et aussi 10, voie B/14 : ensemble de corps de bâtiments conventuels, propriĂ©tĂ© de la « FraternitĂ© de Paris des Capucins ». Leur maison, dans laquelle les frères mineurs capucins sont Ă©tablis depuis 1934, comprend une partie ancienne, en brique, conçue par l’architecte Emmanuel d’Ault, Ă  laquelle une aile a Ă©tĂ© ajoutĂ©e au dĂ©but des annĂ©es 1970[20] (no 32). Outre les activitĂ©s de la fraternitĂ© de Paris, elle abrite des services de la Province de France (archives, bibliothèque franciscaine des capucins), ainsi que la rĂ©sidence du frère ministre provincial[21].
    Des deux chapelles, la plus ancienne (1934, Emmanuel d'Ault architecte) a été transformée en bibliothèque ouverte aux chercheurs, la plus récente (1973), plus modeste, est accessible le dimanche matin pour la messe.
  • No 33 : le peintre Conrad Kickert y vĂ©cut de 1937 Ă  1965, une plaque lui rend hommage.
  • Nos 34 et 36 (ancien no 13[22]) : ancien atelier du sculpteur et ornemaniste Gustave Germain (1843-1909), puis de son fils Albert Raymond Germain, Ă©galement sculpteur, qui est contraint d'abandonner cette activitĂ© en raison des sĂ©quelles d'un accident de guerre. RestĂ© propriĂ©tĂ© de la famille, l'atelier est louĂ© Ă  des artistes, puis transformĂ© en lieu de libre expression artistique et d'exposition en 1996, sous la dĂ©nomination « atelier Gustave »[23] (no 36).
  • Nos 38, 40 et 42 (no 11 en 1873[24]) : immeuble mixte de logements et ateliers (1873). De nombreux peintres et sculpteurs y ont travaillĂ© et habitĂ© :
    • Au XIXe siècle, le sculpteur Gabriel Faraill (1837-1892) meurt ici dans son domicile (ancien No 11, rue Boissonade)[25]. Sa prĂ©sence dans cette voie remonte aux annĂ©es 1872-1874 durant lesquelles le catalogue du salon le signale au no 10 de l'ancienne impasse Sainte-Élisabeth. Après un intervalle de plusieurs annĂ©es, durant lequel l'impasse prend le nom de rue Boissonade (1875), il y redevient riverain, occupant Ă  partir de 1882 et au moins jusqu'en 1891 la maison-atelier du no 39 (ex 12, rue Boissonade)[26], situĂ©e en face de l'immeuble oĂą il meurt en 1892.
    • Au XXe siècle, l'artiste-peintre australien Bessie Davidson (1879-1965), signalĂ©e au no 18 de la rue en 1922/1924, occupe ensuite successivement deux ateliers ici (no 40), oĂą elle conserve un logement jusqu'Ă  la fin de sa vie ; Charles Picart Le Doux (1881-1959) habite avec sa famille, au moins depuis l'entre-deux-guerres, une petite maison d'un Ă©tage, en fond de cour[27] (no 40) ; Raymond Legueult (1898-1971) y emmĂ©nage vers 1937 dans un atelier voisin de celui de Bessie Davidson[28] ; le peintre AndrĂ© Michel (1900-1972) loge Ă  cette adresse en 1945[29].
  • No 39 (ancien no 12) : maison d'habitation pour artistes peintres et sculpteurs[30] (1880), en brique et pierre de taille, signĂ©e et datĂ© Ă  gauche « E. MIGNATON. Entrepreneur. », Ă  droite « LĂ©on BONNENFANT Architecte 1880[31]. » Cette maison est reprĂ©sentative des nombreuses maisons-ateliers d'artistes de rapport bâties dans le quartier[32].
  • No 43 : domicile, lors de leur arrestation par la Gestapo en 1944, des rĂ©sistantes Suzanne LeclĂ©zio (1898-1987) et Yvonne Ziegler (1902-1988), oĂą celle-ci avait Ă©galement son atelier[33].
Lucien Cariat, Enfant jouant aux billes, médaillon ornant en son hommage la façade de la maison portant l'actuel no 46.
  • Nos 44 et 46 (ancien no 9) : immeuble mixte logements et commerces sur rue, bâti entre 1940 et 1967. La cour arrière est entourĂ©e d'ateliers datant de 1900[34].
    • La prĂ©sence en ce lieu, qui est alors le 9, rue Boissonade, de l'entrepreneur-menuisier Henri-Louis-Étienne Cariat (1850-?) est attestĂ©e en 1887[35].
    • Le mĂ©dailleur Lucien Cariat[36] (1874-1925) a Ă©galement vĂ©cu et travaillĂ© ici[37], ce Ă  quoi fait allusion le petit relief en mĂ©daillon insĂ©rĂ© dans la façade Ă  cĂ´tĂ© de la porte d'entrĂ©e (no 46), connu sous le titre Enfant jouant aux billes. Le musĂ©e d'Orsay en conserve un exemplaire en cuivre argentĂ© acquis en 1904 pour le musĂ©e du Luxembourg[38]. L'Ĺ“uvre est ici encerclĂ©e d'une inscription sculptĂ©e : « HOMMAGE A LUCIEN CARIAT MEDAILLEUR ».
  • No 45 : de 1914 Ă  1918, fabrique de poupĂ©es polonaises dirigĂ©e par Nina Alexandrovitch..
  • Nos 51 et 53 : emplacement d'un ancien pavillon hospitalier (1979[40]), Ă  la fois annexe et accès de l'ancien hĂ´pital Saint-Vincent-de-Paul, pavillon dĂ©saffectĂ© dans les annĂ©es 2010 Ă  2012, et dĂ©moli au dĂ©but des annĂ©es 2020 dans le cadre du rĂ©amĂ©nagement du complexe hospitalier en nouveau quartier d'habitation.

Les deux derniers immeubles pairs (côté nord) à l'extrémité ouest de la rue occupent l'emplacement des premiers numéros impairs de l'ancien cul-de-sac (impasse ou rue Sainte-Élisabeth jusqu'en 1875, puis Boissonade jusqu'aux années 1930). Lorsque ce cul-de-sac est rallongé à travers le jardin du couvent de la Visitation et absorbe la petite impasse qui lui faisaient jusqu'alors face, au-delà de ce jardin, du côté du boulevard du Montparnasse, la numérotation est inversée.

  • Nos 54, 56 et 58 : immeuble de logements contemporain (1974[41]).
  • Nos 60 et 62 portant Ă©galement les nos 253 et 255 boulevard Raspail : immeuble (1961, Henri Marie Delaage et Henri Wenger architectes) reprĂ©sentatif du mouvement moderne, comportant 10 Ă©tages de logements au-dessus du rez-de-chaussĂ©e[42], qui abrite une station-service avec atelier mĂ©canique d'automobile. Ă€ l'intersection de la rue avec le boulevard, l'immeuble prĂ©sente une façade concave.
  • Nos 2 et 4 : passage privĂ©.
    Nos 2 et 4 : passage privé.
  • Nos 19 Ă  25 : immeuble « Flat iron » (1947).
    Nos 19 à 25 : immeuble « Flat iron » (1947).
  • Nos 26 Ă  30 : couvent des frères mineurs capucins.
    Nos 26 à 30 : couvent des frères mineurs capucins.
  • Nos 31 et 33 : maisons-ateliers d'artistes jumelles.
    Nos 31 et 33 : maisons-ateliers d'artistes jumelles.
  • Plaque au no 33 : plaque en hommage Ă  Conrad Kickert.
    Plaque au no 33 : plaque en hommage Ă  Conrad Kickert.
  • No 40.
    No 40.
  • DĂ©tail au no 43.
    DĂ©tail au no 43.
  • No 49.
    No 49.
  • No 55.
    No 55.
  • DĂ©tail au no 55.
    DĂ©tail au no 55.

Notes et références

  1. Décret du mercredi , signé à Versailles par le maréchal Mac-Mahon, président de la République, sur la proposition du ministère de l'Intérieur, le général François de Chabaud-Latour (1804-1885).
  2. Rue Boissonade dans la nomenclature des rues de Paris, mise Ă  disposition par la Mairie de Paris.
  3. « Rue Boissonade » sur le site bercail.com.
  4. « Concordance des noms anciens avec les noms nouveau » In : F. de Donville, Guide complet de l'étranger dans Paros : suivi d'un guide à l'exposition universelle, Garnier frères, 1878, p. 424 (en ligne).
  5. Né Gustave Émile Boutry, ultérieurement légitimé Gustave Émile Boissonade (Cf. Registre de naissances de Vincennes, année 1825, acte n° 55, vue 12/78.), conseiller-juriste, rédacteur du code civil et enseignant du droit moderne au Japon, à partir de 1873 et pendant plus de vingt ans.
  6. Lettre autographe signée adressée le [1914] à Joseph Bédier, Catalogue « Les Autographes » [Thierry Bodin], no 108, (), pièce no 257, partiellement retranscrite sur le site association-romainrolland.org ; lettre par laquelle Roman Rolland informe le philologue romaniste Joseph Bédier (1864-1938) qu'il « n'habite plus boulevard Montparnasse, mais 3 rue Boissonnade [sic] » en précisant que « c'est tout à côté. »
  7. Lettre envoyée du « 3 rue Boissonnade (XIV), jeudi 30 déc. 1920 », présentée en tête et en fac-similé dans le catalogue D.M. Janvier publié en , citée sur le site association-romainrolland.org.
  8. Avis de décès dans base Léonore.
  9. « Gorguet (Auguste-François-Marie », In : Qui êtes-vous ? Annuaire des contemporains, Ehret. G. Ruffy, Paris, 1924, p. 344 (en ligne).
  10. https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/petit-palais/oeuvres/portrait-de-jean-carries-dans-son-atelier
  11. « Aumônerie des Coréens » dans le Guide de l'Église catholique édité par la conférence des évêques de France sur le site eglise.catholique.fr.
  12. « Chœur Coréen de Paris » sur son site choeurcoreen.free.fr.
  13. « 16 rue Boissonade » sur le site bercail.com.
  14. Mathilde Dion, « Louis Süe », Notices biographiques d'architectes français, 2 vol., Paris, Ifa/Archives d'architecture du XXe siècle, 1991.
  15. Billy Klüver et Julie Martin, Kiki et Montparnasse, 1900-1930, Éditions Flammarion, 1989.
  16. Société des artistes français, Le Salon 1930, Mourgues frères, Paris, 1930, p. 77.
  17. Société des artistes français, Le Salon 1931, G. Lang, Paris, 1931, p. 84.
  18. Société des artistes français, Le Salon 1934, Mourgues frères, Paris, 1934, p. 88.
  19. Jean-François Rodriguez, Rictus, Soffici e Apollinaire, paladini dello scultore Medardo Rosso tra Parigi e Firenze (1904-1929), 2003.
  20. « Chapelle de la fraternité des capucins » sur le site patrimoine-religieux.fr.
  21. « La fraternité de Paris se présente » sur le site www.freres-capucins.fr.
  22. L'ancien numéro (13) figure dans un relief au-dessus de la porte cochère de l'immeuble renuméroté 36.
  23. Historique de l'atelier Gustave sur le site ateliergustave.org.
  24. L'ancien numéro (11) est encore visible à côté du porche portant actuellement le no 40.
  25. Acte de décès no 1071, année 1892, état civil de Paris, 14e arrondissement.
  26. Cf. Sílvia Flaquer i Revaud, Maria Teresa Pagès i Gilibets, Inventari d'artistes catalans que participaren als Salons de Paris fins l'any 1914, Biblioteca de Catalunya, 1986, pp. 190-193.
  27. Jules Romains, Amitiés et rencontres, Flammarion, 1970, p. 95
  28. Richard R. Brettell, Nineteenth- and Twentieth-century European Drawings, Metropolitan Museum of Art, 2002, p. 397.
  29. Société des artistes français, Le Salon 1945, Veuve Hérissany, 1945, p. 99.
  30. « Bonnenfant (Léon) » dans Émile Bellier de la Chavignerie, Louis Auvray, Dictionnaire général des artistes de l'école française…, t. 2, Renouard, Paris, 1885, p. 83 (en ligne).
  31. Léon Bonnenfant, architecte né à Issoudun (Indre) le , élève de Dufeux et de Genain, architecte de la ville de Paris.
  32. Jean-Claude Delorme, Anne-Marie Dubois, Martine Muchy, Ateliers d'artistes à Paris, Parigramme, 1998, p. 162. L'année de construction (1896) donnée par les auteurs est erronée.
  33. (en) Flipsnack, « Suzanne Leclézio, une résistante Janvier 2020 », sur Flipsnack.
  34. « 44 rue Boissonade » sur bercail.com
  35. Désignation des membres du jury d'expropriation pour 1887-1888, In : Conseil général du département de la Seine, Procès-verbaux, 4e session de 1887, deuxième partie, Imprimerie municipale, Paris, 1888, p. 89 (en ligne).
  36. Notice « Lucien Cariat » dans la base de données du Musée d'Orsay sur le site musee-orsay.fr
  37. Société des amis des arts d'Orléans, Explication des ouvrages de peinture, sculpture, etc. des artistes vivants et des oeuvres d'art appliquées à l'industrie exposés à la salle des fêtes le , Orléans, H. Herluison, 1897, p. 20 (en ligne) sur le site gallica.bnf.fr.
  38. Notice « Enfant jouant aux billes » dans la base de données du musée d'Orsay sur le site musee-orsay.fr.
  39. Étrangers célèbres et anonymes du 14e arrondissement, mairie du 14e, , p. 8.
  40. « 51, rue Boissonade » sur le site bercail.com.
  41. « 54 rue Boissonade » sur le site bercail.com.
  42. « 253, boulevard Raspail » sur le site pss-archi.eu.

Voir aussi

Bibliographie

  • Michel Gasse, La Rue Boissonade, Paris, Éditions gĂ©nĂ©alogiques de la VoĂ»te, coll. « Rue de Paris », 2007, 346 p. (ISBN 2-84766-364-9).

Articles connexes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.