Ancy-le-Franc
Ancy-le-Franc est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Ancy-le-Franc | |||||
Château d'Ancy-le-Franc. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Yonne | ||||
Arrondissement | Avallon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne | ||||
Maire Mandat |
Emmanuel Delagneau 2020-2026 |
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Code postal | 89160 | ||||
Code commune | 89005 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ancéacquais | ||||
Population municipale |
843 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 46′ 38″ nord, 4° 09′ 49″ est | ||||
Altitude | Min. 169 m Max. 302 m |
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Superficie | 19,65 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Tonnerrois | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Yonne
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Ses habitants, appelés les Ancéacquais, sont au nombre de 843 en 2020. Le village fait partie d'une communauté de communes, Le Tonnerrois en Bourgogne, comprenant 52 communes et 16 796 habitants en 2014. Ancien chef-lieu de canton, le village fait aujourd'hui partie du canton du Tonnerrois.
Géographie
Situation
Ancy-le-Franc se situe dans l'Est du département de l'Yonne, à 53 km à l'Est de sa préfecture Auxerre[1]. Le département de la Côte-d'Or est à 16 km au Sud-Est (direction Aisy-sur-Armançon) et 14 km à l'Est (direction Verdonnet) ; celui de l'Aube est à 23 km au nord (direction Channes)[2].
Le village est traversé par la D905, route départementale structurante de l'Yonne, reliant la préfecture du département Auxerre à la préfecture de la région, Dijon en passant par les villes de Chablis, Tonnerre, Montbard, Venarey-les-Laumes et Vitteaux.
La ligne ferroviaire reliant la gare de Laroche - Migennes à celle de Dijon longe le sud du village.
Topographie
Le village est situé dans la vallée de l'Armançon qui forme les vestiges d'une pénéplaine après une érosion très ancienne[3]. Sa superficie est d'environ 1 965 hectares, pour une altitude comprise entre 169 mètres et 302 mètres NGF. Une partie du village est établie sur la colline surplombant la vallée de l'Armançon[4].
Les parties Sud et Ouest de la commune s'étendent une plaine assez dégagée alors que les parties Nord et Est sont dominées par une colline composée de calcaire et boisée qui culmine à une altitude de 300 mètres NGF[4] - [3].
Communes voisines
Ancy-le-Libre | Gland | |||
Pacy-sur-Armançon | N | Chassignelles | ||
O Ancy-le-Franc E | ||||
S | ||||
Argenteuil-sur-Armançon | Villiers-les-Hauts | Fulvy |
Hydrographie
Ancy-le-Franc est traversé par le canal de Bourgogne et par un cours d'eau naturel : l'Armançon, tous deux à l'air libre. Le village reçoit environ 880 mm de pluie par an[5].
L'Armançon venant de l'Est a un débit de 2,2 m3/s à 25 m3/s (observé à la station hydrologique d'Aisy-sur-Armançon)[6], mais bien supérieur en période de crue qui peuvent être importantes et qui sont assez fréquentes. Le débit de l'Armançon a été observé sur une période de 31 ans (1989-2020), à la station hydrologique d'Aisy-sur-Armançon[6]. Le module de la rivière à Avallon est de 12,6 m3/s[6]. La surface étudiée du bassin versant à cet endroit est de 1 350 km2, soit 44 % du bassin versant total de 3 077 km2[6].
L'Armançon est surveillé à Aisy-sur-Armançon par Vigicrues, avec publication de son niveau toutes les six heures [7]. Le débit instantané maximal enregistré a été de 277 m3/s le , tandis que la valeur journalière maximale a été de 251 m3/s le [6].
- Tracé du canal de Bourgogne passant à la limite sud d'Ancy-le-Franc derrière le château.
- Tracé de l'Armançon.
- Canal de Bourgogne à Fulvy (commune en amont d'Ancy-le-Franc).
- Etang situé au sud du village.
Climat
Le climat d'Ancy-le-Franc est de type océanique à tendance semi-continentale. L'influence océanique se traduit par des pluies fréquentes en toutes saisons (avec néanmoins un maximum en automne et un minimum en été) et un temps changeant. L'influence semi-continentale se traduit par une amplitude thermique mensuelle parmi les plus élevées de France (16 °C contre 15 °C à Paris), des hivers froids, avec des chutes de neige relativement fréquentes, et des étés plus chauds que sur les côtes, avec à l'occasion de violents orages.
Pour la commune qui se situe au maximum à 302 m d'altitude, les valeurs climatiques de 1981 à 2010 sont à peu près comparables à celles du village de Cruzy-le-Châtel (village où se situe la station de relevé de Météo-France) :
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0 | 0,1 | 2,6 | 4,5 | 8,4 | 11,3 | 13,3 | 13,2 | 10,3 | 7,3 | 3,2 | 0,9 | 6,3 |
Température moyenne (°C) | 2,9 | 3,6 | 6,9 | 9,5 | 13,6 | 16,7 | 19,2 | 19 | 15,3 | 11,5 | 6,4 | 3,6 | 10,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 5,7 | 7,2 | 11,1 | 14,6 | 18,9 | 22,1 | 25,2 | 24,7 | 20,4 | 15,7 | 9,6 | 6,2 | 15,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−21 16/01/1985 |
−15,5 22/02/1986 |
−14,9 06/03/1971 |
−5,5 12/04/1986 |
−4 08/05/1984 |
1,9 06/06/1986 |
4 11/07/1964 |
1 30/08/1986 |
1 27/09/1986 |
−4,1 20/10/1972 |
−10,5 30/11/1978 |
−15,6 20/12/2009 |
−21 16/01/1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,8 05/01/1999 |
21,4 24/02/1990 |
25 15/03/2012 |
28,1 25/04/2007 |
32,1 28/05/2017 |
38,3 28/06/2011 |
37,8 18/07/1964 |
40 12/08/2003 |
32,5 04/09/2005 |
31 01/10/1985 |
22,9 08/11/2015 |
18,6 16/12/1989 |
40 12/08/2003 |
Record de vent (km/h) | 115,2 | 118,8 | 115,2 | 93,6 | 93,6 | 93,6 | 90 | 90 | 97,2 | 93,6 | 90 | 136,8 | 136,8 |
Précipitations (mm) | 72,7 | 62,9 | 69,1 | 64,8 | 82,2 | 73,8 | 68 | 65,9 | 73 | 84,1 | 79,5 | 84,3 | 880,3 |
Record de pluie en 24 h (mm) date du record |
36,4 23/01/1986 |
32,6 14/02/1990 |
46,4 08/03/1999 |
39,2 26/04/2013 |
61,1 08/05/1988 |
72 11/06/1988 |
44,7 08/07/1977 |
54,2 23/08/1995 |
48,4 25/09/1999 |
45,2 06/10/1970 |
56 02/11/2002 |
42,6 02/12/1975 |
72 11/06/1988 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
5,7 0 72,7 | 7,2 0,1 62,9 | 11,1 2,6 69,1 | 14,6 4,5 64,8 | 18,9 8,4 82,2 | 22,1 11,3 73,8 | 25,2 13,3 68 | 24,7 13,2 65,9 | 20,4 10,3 73 | 15,7 7,3 84,1 | 9,6 3,2 79,5 | 6,2 0,9 84,3 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Urbanisme
Typologie
Ancy-le-Franc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [8] - [9] - [10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,5 %), terres arables (33,4 %), zones urbanisées (6,6 %), prairies (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Toponymie
L'ancien nom d'Ancy-le-Franc est Anciacum[15].
Histoire
Bronze final
Des fouilles antérieures aux années 1980 réalisées dans une sablière ont révélé des objets datés de l'âge du bronze final[16].
Au début des années 1980, des fouilles archéologiques sont réalisées par Robert Biton dans le quartier Les Fontainottes[16]. Elles mettent au jour les trous de poteaux de quelques centimètres de largeur d'un mur de cabane, de deux foyers pour le feu et d'un possible silo[16]. Des petits objets indiquent l'existence d'un habitat ancien : os d'animaux domestiques, quelques tessons de poterie (jarre, pots et pichet) et trois pièces métalliques. De plus, le lieu se trouve à proximité 'une source et d'une vallée fertile[16]. La poterie est de couleur rose-rouge avec paillettes de mica, unique dans le secteur[16].
Moyen-Âge
Vers l'an mille, un habitat agricole est attesté dans le village[16].
Antoine III de Clermont, comte de Clermont, hérita des terres d'Ancy-le-Franc par sa mère, Anne de Husson, comtesse de Tonnerre. Il décida d'y faire construire un château, sous la direction de l'architecte italien Sebastiano Serlio, qui fut achevé vers 1550.
En 1683, François Joseph de Clermont-Tonnerre, ruiné, vend Tonnerre, avec le château, à François Michel Le Tellier de Louvois. La famille Le Tellier de Louvois devient le plus grand propriétaire foncier du village avec la possession de la moitié du finage et du château[17].
XVIIIe siècle
À l'époque de la Révolution française, une manufacture de faïencerie dirigée par Jacques Boutet est présente[18] à Ancy-le-Franc-Château. Mais l'approvisionnement en métaux nécessaires à la fabrication de ses poteries est chose difficile en ces temps, et comme de nombreuses autres établissements similaires (en Bourgogne ce sont Montigny à Perreux en 1809, manufacture Ollivier à Nevers en 1809, manufacture Chantemerle aussi à Nevers en 1810, La Charité-sur-Loire en 1812, Dijon-l'Ile en 1812, Ligny-le-Châtel en 1815) elle doit fermer en 1807[19].
Pendant l'occupation autrichienne de 1814, un magasin de ravitaillement des troupes alliées est créé.
Le marquis Louis-Michel-Félicité Le Tellier de Louvois est président du collège électoral du département, le 26 juillet 1815. Ce collège contribue à l'élection de la "Chambre introuvable".
XIXe – XXe siècle
En 1844, le château revient aux Clermont-Tonnerre, plus précisément à Gaspard Louis Aimé de Clermont-Tonnerre, marquis puis sixième duc de Clermont-Tonnerre. Il appartient ensuite à la Maison de Merode et à différents propriétaires. Ultérieurement, il est acquis par la société parisienne Paris Investir SAS, dont il est encore la propriété en 2018.
En 1973, Ancy-le-Franc absorbe l'ancienne commune de Cusy (Yonne), située sur l'autre rive de l'Armançon.
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].
En 2020, la commune comptait 843 habitants[Note 2], en diminution de 10,6 % par rapport à 2014 (Yonne : −2,24 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Au début du XXe siècle, une carrière de ciment est présente à un kilomètre à l'Est du village[24].
À la fin des années 1980, le Tonnerrois tente de changer son modèle économique en misant sur la viticulture et la céréaliculture, ajoutée à une économie touristique débutant dans ce secteur géographique[25]. Ces choix sont confirmés par le contrat développement du Tonnerrois signé en septembre 2002, mais Ancy-le-Franc ne parvient pas à obtenir des bénéfices de ce plan[25].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Chapelle funéraire de la famille Le Cosquinot (XVIe siècle), inscrite en 1925[26];
- Église Sainte-Colombe d'Ancy-le-Franc;
- Château d'Ancy-le-Franc (XVIe siècle), classé en 1983[27];
- L'église Sainte-Colombe.
- Château d'Ancy-le-Franc, gravure XVIIe siècle.
Personnalités liées à la commune
- Louis d'Ailleboust, né à Ancy-le-Franc en 1612 et décédé à Montréal, Canada. Gouverneur de la Nouvelle-France.
- Charles Fournerat (1780-1867), homme politique, né et mort à Ancy-le-Franc.
- Charles-Auguste Martenot (1827-1900), ingénieur et homme politique français, né à Ancy-le-Franc.
- Eugène Villejean (1850-1930), médecin et député né sur la commune.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à deux clefs d'argent passées en sautoir.
Commentaires : Les armes de la ville sont celles de la famille Clermont-Tonnerre, premiers propriétaires du château (les armoiries peuvent d'ailleurs être observées sur les murs du château).
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Pour approfondir
Bibliographie
- Robert Biton, « Ancy-le-Franc (Yonne). Les Fontainottes », Archéologie médiévale, t. 13,‎ (lire en ligne, consulté le ). .
- Robert Biton, Histoire d'Ancy-le-Franc et de Cusy, , 176 p..
- William Morris Davis, « La vallée de l'Armançon », Annales de Géographie,‎ , p. 312-322 (lire en ligne, consulté le ). .
Articles connexes
Liens externes
- « Communauté de communes du canton d'Ancy-le-Franc », sur cc-ancylefranc.net (consulté en ).
- « Ancy-le-Franc », sur wikiwix/ign.fr, Institut géographique national (consulté en ).
- « Ancy-le-Franc », sur recensement.insee.fr (consulté en ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Ancy-le-Franc », sur Google maps.
- « Ancy-le-Franc », sur Google maps.
- Davis 1912, p. 313.
- « Ancy-le-Franc, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- « Normales et records climatiques 1981-2010 à Ancy-le-Franc », sur Infoclimat (consulté le ).
- Banque Hydro - MEDDE, « Synthèse de la Banque Hydro - L'Armançon à Aisy-sur-Armançon (H2452020) » (consulté le ).
- « Vigicrues : Aisy-sur-Armançon (Vigicrues) », sur vigicrues.gouv.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Dictionnaire latin-français des noms propres de lieux ayant une certaine notoriété », sur archive.org (consulté le ).
- Biton 1983.
- Pierre Geneviève, « Sur les plateaux du sud-est du Bassin parisien : Un modèle de développement agricole (XVIIIe – XXe siècle) ? », Histoire & Sociétés Rurales, vol. 38, no 2,‎ , p. 131 (lire en ligne [sur cairn.info], consulté en ).
- Jean Rosens, Marco de Lucas Maria del Carmen et Fabrice Moncada, « Le rouge est mis : analyse des rouges dans la faïence de « grand feu » du XVIIIe et du XIXe siècle (avec le rouge de Thiviers) », ArchéoSciences, no 30,‎ , p. 104 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ).
- [Rosen 2018] Jean Rosen, « La faïence en France du XIIIe au XIXe siècle : technique et histoire », première édition publiée en 1995 aux éditions Errance, sur halshs.archives-ouvertes.fr, (consulté en ), p. 118.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Davis 1912, p. 315.
- Geneviève Pierre, « Chapitre 14. Politiques intégrées et agriculture multifonctionnelle dans un espace rural intermédiaire dépendant de la PAC », Politique régionale européenne,‎ , p. 391 (ISBN 9782804149963).
- « Chapelle funeraire de la famille Le Cosquinot », notice no PA00113569, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château d'Ancy-le-Franc », notice no PA00113570, base Mérimée, ministère français de la Culture.