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Agriculture en CĂ´te d'Ivoire

L'agriculture en Côte d'Ivoire concerne les cultures industrielles et d’exportation ainsi que des cultures vivrières. La Côte d'Ivoire est un pays qui, dès son accession à l'indépendance, a très tôt fondé son économie sur l'agriculture. En effet, elle se positionne comme le leader mondial du cacao, de la noix de cajou, de l'hévéa. Ce pays dont l'économie est basée à 50 % sur l'agriculture est doté d'un annuaire agricole dénommé les pages vertes afin de connecter les acteurs du secteur.

Agriculture en CĂ´te d'Ivoire
Description de cette image, également commentée ci-après
bananeraie industrielle en CĂ´te d'Ivoire (2008)
Statistiques
Principales cultures

vivrières : ignames, manioc, riz, maïs

exportation : banane, caoutchouc, café, cacao, huile de palme, coton
% du PIB 19,8 % (2018)
% de la population active occupée 46 % (2018)
Exportation 5,6 milliards d'euros (2018)
Importation 2 milliards d'euros (2018)
Superficie cultivée 2,9 millions d'ha

La terre

Il n’est pas de traits immédiatement perçus par lesquels la terre de Côte d’Ivoire se distinguerait de celle du reste de l’Afrique Occidentale, voire de la majeure partie du continent africain. Certes, le voyageur qui l’aborde par le littoral ne manque pas d'être frappé, et charmé, par le déroulement, au-dessous de l'avion, de la dentelle des paysages lagunaires, mais le reste du survol n'a révélé rien d'autre que des étendues mal différenciées, nappées de savanes ou revêtues du manteau de la forêt dense. Dans une Afrique essentiellement bâtie de paysages horizontaux, les paysages de Côte d'Ivoire se fondent sans heurt. Dans cette uniformité indéniable, sous cet apparentement au tout de la vieille Afrique, un contact quelque peu prolongé avec la terre ivoirienne permet, toutefois, de déceler des nuances[1].

Les formes

Il est abondamment connu, et parfois abusivement schématise, que l’Afrique de l’Ouest présente, à quelques centaines de kilomètres de la côte de ce Golfe, une sorte de bourrelet intérieur plus ou moins bien venu, de part et d’autre duquel les surfaces tendent à s’abaisser à la fois vers le nord et vers le sud. Cette dernière s'appuie donc au bourrelet intérieur, au nord, et se développe sur le panneau qui descend en glacis vers le Golfe de Guinée[1].

Les éléments des reliefs ivoiriens

Les plateaux sont, sans conteste, le plus commun des spectacles en Côte d’Ivoire comme en Afrique. Ils sont à ce point la règle que leur souvenir tend à envahir plus d’espace que celui où ils sont effectivement réalisés et que l’on reste impressionné par l’ampleur et la rigidité des surfaces horizontales jusqu’à oublier que tout n’est pas tabulaire et que la famille des plateaux présente plusieurs visages. Le type le plus spectaculaire correspond à ces étendues rigoureusement tabulaires et horizontales que l'on rencontre çà et là dans les pays de savanes et, parfois, sous les petits accrocs de savanes incluses dans la forêt dense. Toute l’étendue comprise entre ces escarpements bordiers est rigoureusement plane, parfois très légèrement concave, horizontale le plus souvent ou très faiblement inclinée.

Dépassant généralement la vingtaine de mètres de profondeur sans excéder la cinquantaine, celles-ci sont de deux types. Les unes sont étroites et vont de la gorge élémentaire, ouverte à travers la cuirasse qui forme corniche et parfois encorbellement au sommet des versants, à la vallée de section triangulaire relativement aiguë , au fond de laquelle s’imprime le lit d'un ruisseau temporaire[1].

Organisations régionale des reliefs ivoiriens

Plus précisément encore, l’Ouest jusqu'au-delà du Bandama est pour les trois-quarts de sa superficie situé au-dessus de 200 m ; l’Est, pour à peine la moitié ; et tandis que la courbe de niveau de ces 200 m suit approximativement le 6e parallèle, à quelque 50 ou 150 km du littoral, dans l’Ouest, elle se trouve rejetée à plusieurs centaines de kilomètres de lui, entre le 7e et le 8e parallèles, dans l’Est.

Or, c’est aussi dans cette moitié orientale plus basse que se rencontre l’essentiel des affleurements schisteux du pays et sur sa bordure maritime qu’existent les seuls recouvrements sédimentaires de Côte d’Ivoire et que se développe le réseau des grandes lagunes ; c’est encore à son niveau que le littoral remonte le plus loin vers le nord.

Production

CĂ´te d'Ivoire a produit, en 2018[2]:

En plus de petites productions, d'autres produits agricoles comme le café (88 000 tonnes) et l'ananas (50 000 tonnes)[3].
CĂ´te d'Ivoire a produit, en 2022[4]

  • 1 million de tonne de Cajou
  • 95 mille tonnes de cafĂ©
  • 2,4 millions de tonnes de Cacao

Cultures industrielles et d’exportation

Café et Cacao

Cacao (fèves au séchage)
Café (cerises)

Le cafĂ© et le cacao sont les produits d'exportation de base. Après avoir Ă©tĂ© classĂ©e troisième producteur mondial de cafĂ© pendant près de trente ans, la CĂ´te d’Ivoire connaĂ®t une baisse de production passant de 250 000 tonnes en 1990 Ă  145 000 tonnes en 1994, pour ensuite remonter Ă  une production de 250 866 tonnes en 2003-2004. Elle en est, aujourd’hui, le septième producteur mondial. Le prix moyen d'achat bord champ est de 355 francs cfa le kg au cours de la campagne 2003-2004. La proportion de cafĂ© transformĂ©e par l'agro-industrie locale est très faible : de 3,6 % en 2001-2002, elle tombe Ă  2 % de la production totale en 2003-2004.

Pour le cacao, la CĂ´te d’Ivoire est avec 40 % de la production, le premier producteur mondial devant le Ghana. La production nationale atteint 1,335 million de tonnes en 2003-2004, la part des exportations Ă©tant de 1,060 million de tonnes pour la mĂŞme pĂ©riode. Le prix d'achat du cacao au producteur est passĂ© de 688 francs CFA en 2002-2003 Ă  207 francs CFA le kg en 2003-2004, du fait de la spĂ©culation pratiquĂ©e par les acheteurs-exportateurs. En lĂ©gère hausse, la proportion de cacao transformĂ©e par l'agro-industrie locale reprĂ©sente près de 20 % de la production totale en 2003-2004. La CĂ´te d’Ivoire est devenue en 2016 le premier broyeur de fèves de cacao[5] au monde devant les Pays-Bas, l’Allemagne, les États-Unis.

En 2020, le président Ouattara annonce une augmentation de 21 % du prix du cacao payé aux planteurs en accord avec le Ghana, également grand producteur de cacao[6].

Coton

Fleurs de coton

Dans le nord du pays, la culture du coton est la plus pratiquĂ©e puisque 40 Ă  50 % des terres exploitĂ©es y sont emblavĂ©es en coton[7]. Cette culture commerciale s'est fortement dĂ©veloppĂ©e Ă  partir des annĂ©es 60 grâce Ă  l'action d'une sociĂ©tĂ© d'Ă©conomie mixte, la Compagnie ivoirienne de dĂ©veloppement des textiles (C.I.D.T.) qui a remplacĂ© la variĂ©tĂ© « Mono » par la variĂ©tĂ© « Allen », a distribuĂ© gratuitement des engrais aux planteurs et a pratiquĂ© des prix Ă©levĂ©s Ă  la production grâce Ă  l'appui de la Caisse de stabilisation, principal organisme d'État du pays jusqu'en 1999. En 2001, la CĂ´te d'Ivoire en produisait 400 000 tonnes, ce qui en faisait le troisième producteur africain[8]. Cette production a toutefois considĂ©rablement baissĂ© ces dernières annĂ©es Ă  la suite de la guerre civile qui a secouĂ© le pays Ă  partir de 2002, tout le nord Ă©tant passĂ© sous le contrĂ´le du MPCI : 150 000 tonnes ont Ă©tĂ© produites en CĂ´te d'Ivoire en 2007[9] - [10] - [11].

Le coton, essentiellement destiné à l'exportation vers les pays européens, est en un certain sens, une « culture d'importation » : après l'abolition de l'esclavage aux États-Unis, en 1807, les compagnies textiles, face à l'augmentation du coût de la main-d'œuvre dans les plantations américaines, ont imposé cette culture dans les colonies d'Afrique où elle n'existait antérieurement que très modestement pour la seule consommation locale. Les parcelles de coton, remplaçant les cultures vivrières au grand dam de la population locale, avaient été baptisées « le champ du commandant », en référence au « commandant de cercle » qui était le représentant local de l'administration coloniale. Le facteur multiplicateur entre le prix payé aux paysans locaux et le prix constaté à l'arrivée dans les ports d'Europe, après égrenage et conditionnement, et avant transformation en vêtements bon marché en Europe, est estimé à 70.

Noix de Cajou

En Côte d’Ivoire, la filière anacarde est la seconde source de devises du secteur agricole après le cacao grâce à la politique d’industrialisation déployée depuis une décennie[12].

Selon Kobenan Adjoumani, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, plus de 218 000 tonnes de la matière première ont été traitées en 2022. Ce qui traduit une croissance d’environ 60 % par rapport au stock de l’année 2021 (136 854 tonnes)[12].

ce volume représente également 21,25 % de la production totale de noix. Une véritable progression comparativement à la situation enregistrée en 2018 où seulement 9 % de la récolte était transformée localement. affirme le responsable[12].

Face à la dynamique du segment de la transformation en 2022 , la nation éburnéenne au Brésil vient précédé la côte d'Ivoire à la première place et la Côte d'Ivoire devient 3ème transformateur mondial d’anacarde l’année précédente[12].

Cet objectif s’il était réalisé serait un véritable tremplin pour les ambitions des autorités qui veulent parvenir à un taux de transformation de 50 % d’ici 2025[12].

Oléagineux

Les olĂ©agineux produits sont le palmier Ă  huile, le cocotier et le coton. Le secteur du palmier Ă  huile est dominĂ© depuis le milieu des annĂ©es 1990 par les sociĂ©tĂ©s Palmafrique et Palmci, succursales de groupes internationaux ayant rachetĂ© les actifs de l'ancienne sociĂ©tĂ© d'État Palmindustrie. Les exportations concernent l'huile de palme, obtenue après transformation de la graine. La production de graines de palme est estimĂ©e en 2004 Ă  1 564 340 tonnes. L'huile de palme exportĂ©e, de 72 191 tonnes en 2000, connaĂ®t une augmentation de 51,20 % en 2004, atteignant ainsi 109 162 tonnes. La production de noix de coco, estimĂ©e Ă  230 000 tonnes en 2000, connaĂ®t une constante augmentation jusqu'en 2004, oĂą elle s'Ă©lève Ă  254 000 tonnes environ. Le coprah reprĂ©sente 43 219 tonnes en 2004, dont 15 364 sont exportĂ©es. La CĂ´te d’Ivoire est classĂ©e parmi les trois premiers producteurs de coton dans la sous-rĂ©gion. La filière cotonnière connaĂ®t toutefois des difficultĂ©s rĂ©elles aujourd’hui. LocalisĂ©e principalement dans la rĂ©gion des savanes (rĂ©gion nord du pays), la culture du coton connaĂ®t une baisse de production depuis quelques annĂ©es. L'huile raffinĂ©e et les tourteaux sont extraits du coton graine. Toutefois, seul le tourteau fait l'objet d'exportation : 38 981, 30 583 et 28 194 tonnes en 2000, 2001 et 2002. La production de coton graine et de coton fibre, Ă©galement concernĂ©s par les exportations, reprĂ©sentent respectivement 402 367 et 177 284 tonnes en 1999-2000, 180 144 et 78 839 tonnes en 2003-2004. 105 423 tonnes de coton fibre ont Ă©tĂ© exportĂ©es en 2004. Les principaux clients du secteur coton sont la Chine, l'IndonĂ©sie, la ThaĂŻlande et le TaĂŻwan.

Hévéa et canne à sucre

L'hĂ©vĂ©a est une culture traditionnelle d'exportation. Sa production est estimĂ©e en 2004 Ă  136 776 tonnes, tandis que le latex exportĂ© est estimĂ© Ă  141 379 tonnes, pour une valeur de 88 milliards de francs CFA. La production de la canne Ă  sucre, culture industrielle, est estimĂ©e en 2005 Ă  1 430 183,98 tonnes. Elle est depuis la privatisation de la sociĂ©tĂ© d'État Sodesucre en 1999, le fait de deux entreprises : la Sucaf (860 861 tonnes) et Sucrivoire (569 322,38 tonnes), filiales des Groupes Castel et SIFCA. Cette culture, pratiquĂ©e dans la partie nord du pays, est confrontĂ©e Ă  d’importantes difficultĂ©s depuis le dĂ©clenchement de la crise politique en .

RĂ©gime de banane
Mangues (marché local)

Fruits

Les cultures fruitières que sont l’ananas et la banane jouent un rĂ´le important dans les exportations en CĂ´te d'Ivoire, malgrĂ© la remise en cause des quotas par l'Organisation mondiale du commerce. Ils sont exportĂ©s en grande partie vers l’Europe. De 209 600 tonnes en 1995, la production d'ananas passe Ă  238 000 en 2000, 260 057 en 2001, avant de redescendre Ă  226 022 tonnes en 2004. D'abord de 146 700 tonnes, les exportations reprĂ©sentent 195 200 tonnes en 2001, puis 158 700 tonnes en 2004. En 2000, 243 000 tonnes de banane douce sont exportĂ©es, pour une production totale de 305 300 tonnes. En 2001 et 2004, la production et les exportations sont respectivement de 310 425 et 255 529 tonnes, 307 227 et 252 423 tonnes.

La CĂ´te d'Ivoire est le premier pays africain exportateur de mangues sur le marchĂ© europĂ©en et le troisième au niveau mondial, après le PĂ©rou et le BrĂ©sil, avec 14 000 tonnes[13].

Dans le sud du pays sont installées des plantations d'oranges et d'avocats. On y trouve aussi des noix de coco, toutes les plages du golfe de Guinée étant bordées de cocotiers.

Les agrumes Ă  essence regroupent les productions de citron, de bergamote et de bigarade. La production des agrumes Ă  essence reste très faible. Les statistiques disponibles indiquent qu'en 2002, la production pour les trois produits citĂ©s est respectivement de 10 139, 963 et 1 762 tonnes. 124 tonnes de jus de citron sont exportĂ©es la mĂŞme annĂ©e, ainsi qu'une infime quantitĂ© d'essence pour les trois agrumes.

La CĂ´te d'Ivoire produit Ă©galement d'autres fruits comme la mangue, la papaye, l'avocat et les agrumes de bouche dont une part importante est exportĂ©e vers l'Europe. La pomme de cajou est essentiellement localisĂ©e dans le nord de la CĂ´te d'Ivoire. Toutefois, de nouvelles plantations d'anacardiers sont crĂ©Ă©es dans le centre et le centre-ouest du pays. Les produits qui en sont issus sont l'amande et la noix de cajou. Les exportations d'amandes de cajou connaissent une baisse brutale de 2002 Ă  2004. Elles augmentent de 1757,54 % en 2005, et de 231,58 % en 2006, pour atteindre 441 tonnes. En 2006, les productions de noix de cajou sont de 235 000 tonnes et les exportations de 210 000 tonnes.

Productions diverses

La noix de kola est une des particularitĂ©s de la CĂ´te d'Ivoire. Elle en est le premier producteur mondial. La consommation locale est supĂ©rieure aux exportations, qui s'Ă©lèvent Ă  14 616 tonnes, pour une production totale de 65 216 tonnes. L'essentiel de la production de karitĂ© est consommĂ© localement, sous forme d'huile (pour l'alimentation) et de produits cosmĂ©tiques. Les quantitĂ©s produites en 2000, 2001 et 2004 sont estimĂ©es Ă  30 874, 30 564 et 930 kg. 1 300 kg sont exportĂ©s en 2000.

Cultures vivrières

Produits vivriers (marché traditionnel)

Les principales cultures vivrières qui entrent dans la consommation locale, sont selon des statistiques établies en 2004 :

  • le maĂŻs avec 608 032 tonnes sur 278 679 hectares ;
  • le riz avec une production de 673 006 tonnes sur une surface cultivĂ©e de 340 856 hectares ;
  • l’igname avec 4 970 949 tonnes sur 563 432 hectares ;
  • le manioc avec 2 047 064 tonnes sur 269 429 hectares ;
  • la banane plantain avec 1 519 716 tonnes sur 433 513 hectares.

La Côte d’Ivoire produit également du mil, du sorgho, du fonio, de l’arachide, de la patate douce, du taro.

Le riz constitue l'aliment de base en CĂ´te d'Ivoire mais le pays en est importateur Ă  hauteur de 750 000 tonnes par an. S'il est parfois produit dans des rizières, l'essentiel de la production est celle du riz pluvial qui prĂ©sente l'avantage de permettre deux rĂ©coltes annuelles.

L'incapacitĂ© des productions nationales Ă  satisfaire les besoins de la consommation locale conduit Ă  l'importation de quantitĂ©s importantes de certains de ces produits. Ainsi, pour une production nationale de 673 006 tonnes, les importations de riz semi-blanchi en provenance des pays d’Asie notamment, s'Ă©lèvent Ă  715 319 tonnes. Les exportations des productions nationales, infimes, sont gĂ©nĂ©ralement limitĂ©es aux pays de la sous-rĂ©gion. En raison de l’incapacitĂ© des industries ivoiriennes Ă  les transformer localement, ces productions posent des problèmes de conservation. Une politique d'encadrement menĂ©e par le gouvernement permet le dĂ©veloppement des cultures maraĂ®chères au cours des annĂ©es 1970, rĂ©duisant ainsi, pour ces produits, la dĂ©pendance du pays vis-Ă -vis de l'Ă©tranger. Sont produits : de l'aubergine, du concombre, de la courge, du haricot vert, du gombo, de la tomate. Les cultures maraĂ®chères sont destinĂ©es Ă  la consommation locale, mais elles ne peuvent entièrement couvrir les besoins exprimĂ©s. Ainsi, l'essentiel de la consommation d'oignon est importĂ© du Niger et des Pays-Bas.

La Côte d'Ivoire est le deuxième producteur mondial de noix de cola, avec une production totale de 260 000 tonnes. La consommation de noix de cola en Côte d'Ivoire est de 60 000 tonnes. 200 000 tonnes ont été exportées en 2016 générant un revenu supérieur à 100 milliards de FCFA[14].

On y produit aussi des bananes plantains qui y sont consommées en grande quantité, du sorgho, du mil, du manioc et des ignames.

Le pays produit Ă©galement du karitĂ© : les quantitĂ©s produites en CĂ´te d'Ivoire en 2000, 2001 et 2004 sont estimĂ©es Ă  30 874, 30 564 et 930 kg. 1 300 kg Ă©taient exportĂ©s en 2000.

Le logo du FEMUA 15

Sécurité alimentaire

Dans le but d’éradiquer la misère et la faim en cĂ´te d’Ivoire, le gouvernement, le  NRR et la FAO se sont retrouvĂ©s le Vendredi 08 Juillet 2011 dans la salle de confĂ©rence du SecrĂ©tariat National, pour une sĂ©ance de travail autour de la mise en place d’une plate-forme de collaboration.

Cet  instrument stratĂ©gique a permis de dĂ©velopper l’agriculture, non seulement pour assurer la sĂ©curitĂ© alimentaire des populations, mais aussi pour contribuer fortement Ă  la rĂ©sorption du chĂ´mage des jeunes et des femmes par la crĂ©ation d’emplois agricoles durables[15].

FĂ©mua 15

Le FEMUA qui est le Festival des musiques urbaines d'Anoumabo, a sa 15è édition qui a lieu du 29 au 30 avril 2023 est placé sous le thème "Sécurité Alimentaire et Agriculture Durable"[16]

Selon A’salfo, depuis l’avènement de la crise russo-ukrainienne, force est de croire que l’Afrique n’est pas autosuffisante. Il est donc important de sensibiliser la jeunesse à l’entreprenariat agricole pour une autosuffisante alimentaire[17].

Notes et références

Références

  1. L'ENCYCLOPEDIE GENERALE DE LA CÔTE D'IVOIRE, Avenue Norguès, B.P. 20615, Abidjan, , 351 p. (ISBN 2-7236-0542-6), p. 76-77
  2. Production de CĂ´te d'Ivoire en 2018, par la FAO
  3. Production de la CĂ´te d'Ivoire en 2018, par la FAO
  4. « Agriculture : les efforts du gouvernement qui améliorent significativement les revenus des agriculteurs »
  5. « La Côte d’Ivoire, premier broyeur de fèves de cacao au monde (CCC) », sur agrici.net, (consulté le )
  6. « Cacao : le front commun de la Côte d’Ivoire et du Ghana permet d'augmenter les revenus des planteurs », sur Franceinfo, (consulté le )
  7. Article FAO de René K. Akanvou Les systèmes de culture du maïs dans le nord de la Côte d'Ivoire
  8. Production de coton en Côte d'Ivoire, article publié en 2002 par David Cadasse
  9. Rapport de la Fondation Jean Jaurès, article de Guy Labertit, 17 novembre 2007[PDF]
  10. Le marché mondial du coton, site de la CNUCED
  11. Abidjan.net, article daté du 30 novembre 2007
  12. « Côte d’Ivoire : le volume transformé de noix de cajou a progressé de près de 60 % à 218 000 tonnes en 2022 »
  13. Filière Mangues en Côte d'Ivoire, site Tradenet.biz
  14. Commodafrica, « Noix de cola : pourquoi ce regain d'intérêt en Côte d'Ivoire ? », sur Commodafrica, (consulté le )
  15. « SECURITE ALIMENTAIRE EN CÔTE D’IVOIRE : LE SNRR ET LA FAO POUR UNE STRATEGIE DE REDYNAMISATION DE L’AGRICULTURE »
  16. « FEMUA 15: La ministre Françoise Remarck se réjouit de la qualité du travail accompli par A'Salfo »
  17. « Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo : La 15è édition placée sous le sceau de l’autosuffisance alimentaire »

Annexes

Bibliographie

  • Jacquot, Le riz pluvial,
  • Jacqueline Peltre-Wurtz et B. Steck, Les charrues de la BagouĂ© - Gestion paysanne d'une opĂ©ration cotonnière en CĂ´te d'Ivoire, Éditeur IRD, , 303 p.
  • Jacqueline Peltre-Wurtz, Actions de dĂ©veloppement et structures agraires traditionnelles. L’intĂ©gration de la culture du coton au système agricole sĂ©noufo, Éditeur IRD, , 56 p.
  • Philippe Bernardet, « Élevage et agriculture dans les savanes du nord », Politique africaine, no 24. CĂ´te-d'Ivoire, la sociĂ©tĂ© au quotidien,‎ , p. 29-40
  • Philippe Bernardet, Association agriculture-Ă©levage en Afrique : les Peuls semi-transhumants de CĂ´te d'Ivoire, Éditions L'HARMATTAN, (ISBN 2-915352-30-5)
  • Thomas Basset, Le coton des paysans. Une rĂ©volution agricole en CĂ´te d'Ivoire (1880-1999), Paris,
  • L'Ă©levage peul dans le nord de la CĂ´te d'Ivoire, Abidjan, UniversitĂ© d'Abidjan, Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Le dĂ©veloppement agro-pastoral et agro-industriel du nord de la CĂ´te d'Ivoire: cas des dĂ©partements de Korhogo, Boundiali, FerkessĂ©dougou, Abidjan, AISA, , p. 133
  • CIDT, 1993. Bilan de mise en place des cultures, campagne 1993-94. Directions rĂ©gionales de FerkessĂ©dougou, de Korhogo et de Boundiali, Abidjan, CIDT,
  • Y. ToplĂ©, Culture cotonnière et dĂ©veloppement en rĂ©gion de savane. Le cas du nord ivoirien. Économie du dĂ©veloppement- Thèse de 3e cycle, Bordeaux, UniversitĂ© de Bordeaux 1, , p. 292
  • H. De Bon, Commercialisation, culture et multiplication de l’oignon en Afrique soudano-sahĂ©lienne. Programme « cultures maraĂ®chères » CIRAD-CA et programme de coopĂ©ration pour le dĂ©veloppement des cultures maraĂ®chères en Afrique de l’Ouest, , p. 88

Culture du cacao

  • F. Breville, Le cacao en CĂ´te d'Ivoire, Revue des questions coloniales et maritimes, 64e annĂ©e, n° 432, 1939, 2 p.
  • G. Lefèvre, La production du cacao en CĂ´te d'Ivoire, Ecole nat. de la France d'outre-mer (MĂ©moire n° 55), Paris, de 1941 Ă  1942.
  • J. Ponse, Le cacao en CĂ´te d'Ivoire. La crise actuelle, Ecole nationale de la France d'outre-mer (MĂ©moire n° 121), Paris, de 1945 Ă  1946
  • X. de Planhol, « Le cacao en CĂ´te d'Ivoire, Etude de gĂ©ographie coloniale», Inf. GĂ©ogr., II, n° 2, Paris, 1947.
  • « La production du cacao en CĂ´te d'Ivoire », Bulletin d'information de l'AOF, n° 69, 1950, p. 45.
  • J. Peter, « La campagne du cacao en CĂ´te d'Ivoire et dans le monde», MarchĂ©s Coloniaux n° 341, mai 1952, 2 p.
  • L. Burle, « PossibilitĂ© d'amĂ©lioration de cacao en CĂ´te d'Ivoire», Bulletin Centre de Recherche Agronomique de Bingerville, n° 7, 1953, 8 p.
  • E. Boni, La culture du Cacao en CĂ´te d'Ivoire, cas de deux sociĂ©tĂ© industrielles (Agni-AttiĂ©). Contribution Ă  l'Ă©tude socio-Ă©conomique du dĂ©veloppement, Ecole Pratique des Hautes Etudes, VIe section (MĂ©moire n° 182), Paris, 1967.
  • « En cĂ´te d'Ivoire, Les installations les plus modernes du monde pour le conditionnement du cafĂ© et du Cacao», Industrie et Technique n° 6, 1960, 2 p.
  • Radiodiffusion TĂ©lĂ©vision Ivoirienne, Le cacao, le Ministère de l'Information, RTI, (La Coupe Nationale du progrès, fascicule 34, agriculture), Abidjan, 1967,12 p.

Culture du café

  • L. Thureau d'Angin, « La Culture du cafĂ©ier en CĂ´te d'Ivoire», Rev. int. prod. col., n° 260, s.l., 1951, 1 p.
  • C. et M. Moreau, « DĂ©pĂ©rissement du cafĂ©ier en CĂ´te d'Ivoire», Rev. inter. bot. appl. Agric. trop., n° 355-356, s.l., 1952, 2 p.
  • A LouĂ©, « Etude de la nutrition du cafĂ©ier de CĂ´te d'Ivoire par la mĂ©thode du diagnostique foliaire», Bull. Centr. Rech. Agron., n° 8, Bingerville, 1953, 59 p.
  • V. ZĂ©lensky, « La cafĂ©iculture mĂ©canisĂ© en moyenne CĂ´te d'Ivoire forestière», Bull. Centr. Rech. Agron., n° 7, Bingerville, 1955, 17 p.
  • Contribution Ă  l'Ă©tude du cafĂ©ier en CĂ´te d'Ivoire, Ministère d'O.-M., section technique d'agriculture tropical (Bulletin scientifque STAT, n° 5), Nogent-sur-Marne, 1954, 495 p.
  • H. Jacques-FĂ©lix, « Les problèmes actuels de la cafĂ©iculture en Afrique» (RĂ©sumĂ© des Ă©tudes intitulĂ©es : "Contribution Ă  l'Ă©tude du cafĂ©ier en CĂ´te d'ivoire" ), J. Agr. Trop. Bot. Appl., I, numĂ©ros 1-4, s.l., 1954, 4 p.
  • M. Cambrony, Biologie florale des cafĂ©iers en basse CĂ´te d'Ivoire, MĂ©moire pour le concours principalat en agriculture, Paris, 1955, 150 p.
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