Ătienville
Ătienville est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 376 habitants[Note 1].
Ătienville | |
LâĂ©glise Saint-Georges. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Baie du Cotentin |
Maire Mandat |
Matthieu Giovannone 2020-2026 |
Code postal | 50360 |
Code commune | 50177 |
DĂ©mographie | |
GentilĂ© | Ătienvillais |
Population municipale |
376 hab. (2020 ) |
Densité | 51 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 49° 22âČ 41âł nord, 1° 26âČ 09âł ouest |
Altitude | Min. 2 m Max. 30 m |
Superficie | 7,36 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Bricquebec |
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | 50177.campagnol.fr |
GĂ©ographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[9] et qui se trouve Ă 15 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 913,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11].
Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg â Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et Ă 32 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ătienville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (98,1 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (98,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (62,8 %), prairies (18 %), terres arables (17,3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,8 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[22].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Aitinvilla vers 1165[23], Aitinville aux XIIe et XIIIe siÚcles[24], parrochia Sancti Georgii de Aitinvilla en 1226[25], parrochia de Ethinvilla en 1268[26], Aytinvilla en 1278[27], Etyvilla en 1332[28], Esteevilla en 1351 et en 1352[29], Estienville en 1556[30], Etienville en 1716[31], Estienville en 1719[32], Etienville entre 1753 et 1785[33].
Le gentilĂ© est Ătienvillais.
Histoire
La seigneurie d'Ătienville Ă©tait depuis 1395, Ă la suite d'un mariage, entre les mains de la famille de Pierrepont. Parmi celle-ci on trouve Guillaume de Pierrepont (â 1622) qui fut l'un des grands chefs huguenots de la rĂ©gion. Au cours du XVIIe siĂšcle, c'est Antoine Garaby de la Luzerne (1617-1679), moraliste et poĂšte, qui est seigneur d'Ătienville, oĂč il est inhumĂ©[34].
Lors de la rĂ©volution, le curĂ© d'Ătienville, Louis Galliot (1751-1804) refusa de prĂȘter serment et s'exila Ă Londres, avant de revenir y finir ses jours et oĂč il a sa pierre tombale[34].
Le Bon Sauveur
Le Bon Sauveur Ă Pont-l'AbbĂ©, hameau Ă cheval sur les communes de Picauville et d'Ătienville, fut un hospice pour pauvres crĂ©Ă© en 1837 et dirigĂ© par les sĆurs du Bon Sauveur ; au fil des ans s'y ajoutĂšrent un pensionnat, un institut de sourds et muets, un ouvroir pour jeunes ïŹlles et un orphelinat, tous de taille modeste. En 1853, l'Ă©tablissement est autorisĂ© Ă accueillir les aliĂ©nĂ©s. En 1903, lâasile du Bon Sauveur de Pont-lâAbbĂ©-Picauville accueille les aliĂ©nĂ©s des deux sexes des arrondissements de Cherbourg et de Valognes et les aliĂ©nĂ©s masculins des arrondissements de Saint-LĂŽ et de Valognes. Il reçoit aussi « une grande partie de ses pensionnaires du dĂ©partement de la Seine, qui chaque annĂ©e dĂ©verse le trop plein de ses asiles dans les Ă©tablissements de province ayant des places libres » ; l'asile accueille alors 360 hommes et 550 femmes ; parmi elles Liouba Bortniker, d'origine russe et premiĂšre femme reçue Ă l'agrĂ©gation de mathĂ©matiques en 1885. Les archives de l'asile ont disparu lors des bombardements du [35].
HĂ©raldique
|
Les armes de la commune d'Ătienville se blasonnent ainsi : |
---|
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[39].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[41].
En 2020, la commune comptait 376 habitants[Note 8], en augmentation de 1,62 % par rapport Ă 2014 (Manche : â0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et CrÚme d'Isigny[44].
Lieux et monuments
- ChĂąteau de la Cour (XVIe, XVIIIeâââXIXe siĂšcles). De style post-renaissance avec parc Ă la française, il est partiellement inscrit aux monuments historiques[45] depuis 1975.
- PresbytĂšre et ses jardins (2 ha) : monument rare du XVeâââXVIe siĂšcle, inscrit Ă©galement[46], il constitue avec l'Ă©glise et le chĂąteau de la Cour un ensemble historique sur le marais de la Douve, au centre du Cotentin, sur le passage d'une voie romaine.
- Ăglise Saint-Georges (XIIIe, XVIIeâââXVIIIe siĂšcles), inscrite aux monuments historiques[47]. Elle abrite plusieurs Ćuvres classĂ©es au titre objet : Vierge Ă l'Enfant (XVIIIe), Ă©pitaphes en marbre noir de Louise-Isabelle de Garaby et HervĂ© de Pierrepont[Note 9] (XVIIIe), calice et sa patĂšne (XVIIe), confessionnal, stalles (XVIIIe), statue de saint Georges terrassant le dragon (XVIe), maĂźtre-autel (XVIIe), christ en croix (XVIIe)[48], ainsi qu'une statue de saint Jean-Baptiste (XIIIe).
- Chapelle du Bon-Sauveur (XXe siÚcle). Située en partie sur Picauville, elle est inscrite avec son mobilier aux monuments historiques[49]. Détruite en 1944, elle a été reconstruite par les architectes René Levavasseur et H. Lebreton.
- Le monument aux morts, situĂ© route de l'Ă©glise, Ă cĂŽtĂ© de l'Ă©glise. Il est surmontĂ© de la statue du Poilu au repos, rĂ©alisĂ©e par Ătienne Camus.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- HervĂ© de Pierrepont (â 1662), chevalier, fut seigneur et patron d'Ătienville, Flottemanville, Urville (HĂ©mevez), du Ronceray, et gouverneur pour le roi aux ville et forteresse de Granville.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ătienville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ătienville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
- « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg â Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
- « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg â Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
- « Station mĂ©tĂ©orologique de Cherbourg â Maupertus - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Jean Adigard des Gautries, Les noms de personnes scandinaves en Normandie de 911 Ă 1066, Lund, 1954, p. 176.
- François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 117.
- Julie Fontanel, Le cartulaire du chapitre cathédral de Coutances, Archives départementales de la Manche, Saint-LÎ, 2003, p. 252, § 126.
- Ibid., p. 279, § 149.
- Paul Le Cacheux, Essai historique sur l'HÎtel-Dieu de Coutances, l'HÎpital général et les Augustines hospitaliÚres depuis l'origine jusqu'à la Révolution, 1895-1899.
- Pouillé du DiocÚse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 300C.
- Compte du DiocĂšse de Coutances, pour lâannĂ©e 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, op. cit., p. 380F.
- EugÚne Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. II), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXII, Caen, 1895, p. 264.
- Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
- Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
- Carte de Cassini.
- Gautier 2014, p. 196.
- http://smf4.emath.fr/Publications/Gazette/2011/129/smf_gazette_129_51-68.pdf.
- « GASO, la banque du blason - Ătienville Manche » (consultĂ© le ).
- « La commune rend hommage à deux anciens élus », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Patrice Lucas élu maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
- « Ătienville (50360) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- AOP Beurre d'Isigny et CrĂšme d'Isigny.
- « Chùteau », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « PresbytÚre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Ăglise », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
- Ćuvres mobiliĂšres Ă Ătienville.
- « Chapelle du Bon Sauveur », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
Voir aussi
Bibliographie
- RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Ăditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 196.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- RĂ©sumĂ© statistique d'Ătienville sur le site de l'Insee