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Flottemanville

Flottemanville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie. Elle est aussi appelée Flottemanville-Bocage pour la différencier de Flottemanville-Hague, également dans le Cotentin. Elle est peuplée de 219 habitants[Note 1].

Flottemanville
Flottemanville
L'église Saint-Clément.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Hubert Lemonnier
2020-2026
Code postal 50700
Code commune 50186
Démographie
Population
municipale
219 hab. (2020 en augmentation de 18,38 % par rapport à 2014)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 28″ nord, 1° 27′ 19″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 43 m
Superficie 4,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
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Flottemanville
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Flottemanville

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 902 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[9].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 22 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Flottemanville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [14] - [15] - [16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (36,4 %), zones agricoles hétérogènes (35,5 %), prairies (22,2 %), mines, décharges et chantiers (6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Flottemanville est attesté sous les formes latinisées (pour des textes rédigés en latin) Flotemanvilla en 1147 et Flottemanvilla en 1250[21].

    Il s'agit d'une formation toponymique en -ville, appellatif toponymique ayant le sens ancien de « domaine rural »[21].

    Le premier élément est un nom de personne comme c'est généralement le cas dans les composés en -ville.

    Certains auteurs ont identifié l'anthroponyme anglo-danois Floteman qui signifierait « viking » en vieil anglais, ainsi qu'on le retrouve dans Flotemanby, Yorkshire[21]. Cependant, le vieil anglais est plutôt flot-mån(n) « marin, pirate »[22] et -by est un élément toponymique scandinave. Par conséquent, on peut y voir l'ancien scandinave flottamaðr « fugitif »[23] qui convient à la fois mieux sur le plan phonétique et qui s'accorde davantage avec la présence d'établissements scandinaves nombreux dans le Cotentin. Ce nom de personne se retrouve par exemple dans le texte Tveggia postola saga petrs ok pals rédigé en vieil islandais : « Eigi em ek flottamaðr, helldr hraustr riddari mins konungs. Ef ec vissa eigi vist, at ek skyllda fyrir 4° þenna dauða koma til lifs oc dyrðar, þa munda… »[24].

    Elle s'est appelée autrefois Flottemanville-près-Valognes.

    Homonymie avec Flottemanville-Hague et Flottemanville, lieu-dit du Bessin.

    Histoire

    La voie romaine 20, Alauna-Cosedia, traversait la commune[25].

    La famille de Pierrepont (XIVe siècle) est la première famille connue à tenir la seigneurie de Flottemanville jusqu'en 1622[25]. Hervé de Pierrepont († 1662), chevalier, fut seigneur et patron d'Étienville, Flottemanville, Urville (Hémevez), du Ronceray, et gouverneur pour le roi aux ville et forteresse de Granville[26].

    En 1858, la commune a été coupée en deux par la ligne de chemin de fer Paris-Cherbourg. L'église et le château à l'est des rails, et la mairie à l'ouest. Le pont Cochon est le trait d'union pour les habitants de la commune[27].

    Politique et administration

    Liste des maires[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1913 1919 Jules Noël Fermier
    1920 1922 Paul Huet (1844-1922) Propriétaire-cultivateur, décédé en cours de mandat
    1923 1925 Auguste Burnouf Cultivateur
    1925 1941 Jean Burnouf Cultivateur
    1941 1978 Maurice Lucas (1896-1988) SE Agriculteur, député MRP de la Manche de 1946 à 1958
    1978 mars 2008 Victor Quesnel SE Agriculteur
    mars 2008 En cours Hubert Lemonnier[29] SE Journaliste à La Presse de la Manche
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2020, la commune comptait 219 habitants[Note 9], en augmentation de 18,38 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    416399463433373369364361342
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    310318306286297295274262250
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    248238240197180165206202222
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    183184147149181176196201195
    2014 2019 2020 - - - - - -
    185218219------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[34].

    Lieux et monuments

    Le manoir de la Cour.
    Elle abrite un maître-autel à baldaquin en bois ciselé (XVIIe), un groupe sculpté (XVIe) dit sainte Jeanne de Chantal, une Vierge à l'Enfant (XIVe), le monument funéraire de Françoise de Longaunay († 1597), épouse de Guillaume de Pierrepont (2e moitié du XVIe siècle), une statue de sainte Catherine d'Alexandrie (XVIe), œuvres classées au titre objet aux monuments historiques[36], des verrières : calvaire (XIXe) et douze verrières (XXe) vie de saint Clément classées à l'Inventaire général du patrimoine culturel, les statues de saint Claude et saint Clément (XVe).
    • Le manoir de la Cour (XVe, XVIIe – XVIIIe siècles). Le manoir, avec sa chapelle située dans une des deux tours octogonales, est inscrit au titre des monuments historiques[37].
    • La ferme-manoir du Ruage (XVIe siècle), situé de l'autre côté du chemin de fer.
    • La ferme-manoir des Portes (XVIe siècle).
    • La ferme-manoir du Grand Manoir (XVIe siècle).
    • Le manoir du Cul-de-Fer, à proximité du pont dit romain.
    • Le ferme-manoir de La Navette (XVIe siècle) : la façade ouest a été remaniée au XVIIe siècle[38]. On accède au colombier situé dans les combles au niveau de la lucarne de gauche par la tour d'escalier.
    • Le pont du Cul-de-Fer (dit romain) sur le Merderet.
    • Croix de cimetière (XVIIe siècle).
    • La Croix Blanche (XVIIe siècle), la Croix Manchon (XVIIe siècle), la Croix de chemin sur la D24 (XVIIIe siècle), la Croix des Véziels (XVIIIe siècle), la Croix des Frênes (XXe siècle).

    Personnalités liées à la commune

    • Maurice Lucas, maire de la commune et député de la Manche sous la Quatrième République.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 204.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Flottemanville et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Flottemanville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425).
    22. Fernand Mossé, Manuel du vieil anglais
    23. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1).
    24. Tveggia postola saga petrs ok pals.
    25. Gautier 2014, p. 204.
    26. « Plaque funéraire d'Hervé de Pierrepont, seigneur et patron d'Étienville et autres lieux, et son cadre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    27. Le château de Flottemanville - L'histoire de ses propriétaires : Édition salon du livre 17/18 novembre 2012 Valognes, Réal. Joseph Montreuil - Bibliothèque de Caen, , 31 p., p. 10.
    28. Article sur Wikimanche.
    29. Réélection 2014 : « Flottemanville (50700) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
    35. « Église », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Œuvres mobilières à Flottemanville.
    37. « Manoir de la Cour », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 158.
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