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La Bonneville

La Bonneville (prononcer /la bÉ”nvil/) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 180 habitants[Note 1].

La Bonneville
La Bonneville
L'église Saint-Sébastien.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Étienne Asseline
2020-2026
Code postal 50360
Code commune 50064
Démographie
Population
municipale
180 hab. (2020 en diminution de 9,55 % par rapport à 2014)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 32″ nord, 1° 27′ 15″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 32 m
Superficie 6,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bricquebec
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 870 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bricquebec », sur la commune de Bricquebec-en-Cotentin, mise en service en 1969[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 1 207,9 mm pour la période 1981-2010[9].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 30 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Bonneville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,6 %), terres arables (24 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Merdosa villa au XIIe siècle, Merdose villa vers 1210, avant de devenir Bonam villam dans un État des fiefs du Roi en 1210[21].

    Pour définir ce que l'on a pu entendre par une « ville merdeuse ». Le mot merde a été abondamment utilisé en toponymie et hydronymie pour désigner l'impureté, la saleté ou la boue, aussi bien que l'excrément. Si un champ est dit merdeuz, il s'agit sans doute de boue ; dans le cas d'une fontaine, d'eau trouble ou boueuse ; pour une ruelle, c'est aux immondices de toutes sortes que le mot fait allusion. Pour les végétaux, l'adjectif a généralement le sens de « pourri ».

    Dans le cas d'une villa, c'est-à-dire d'un domaine rural médiéval, on pourra hésiter entre les sens de « boueux », « sale », et peut-être aussi « mal tenu » au figuré. Les données historiques font évidemment défaut à ce sujet, et il est pour l'heure impossible de préciser davantage.

    Bonne remplace au XIIIe siècle le qualificatif infamant pour donner « bon village »[22].

    Toponyme médiéval d'origine, créé au XIIIe siècle pour remplacer l'appellation primitive de Merdosa villa, latinisation d'une forme romane °Merdoseville non attestée, qui serait normalement devenue °Merdeuseville par la suite. On connaît en Normandie un certain nombre d'exemples de tels euphémismes, visant à remplacer un nom ressenti comme malséant par un autre, plus fade mais plus « convenable » : ainsi, Belleville-en-Caux (Seine-Maritime) est un plus ancien Merdosa villa au XIIe siècle ; le quartier d'Eauplet à Rouen est primitivement Merdeplud vers 1050, Merdepluet entre 1055 et 1174, « (l'endroit où la) merde pleut », ou «le marais (palud) merdeux», comme à Rouen toujours, la rue Malpalu, près de l'église Saint-Maclou ; le bourg de Dozulé dans le Calvados est d'abord appelé le bourg de Cul Uslé, villa de Cul Uslé en 1198, « cul brûlé », pudiquement remplacé par un « dos brûlé », etc.

    Étant donné l'existence de quatre autres Bonneville en Normandie (Calvados, Eure), Louis Du Bois proposa en 1828 l'appellation de la Bonneville-en-Hague pour la différencier des précédentes. Cette modification ne fut pas retenue.

    Histoire

    Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Néhou[23].

    La Bonneville eut pour seigneur Charles le Fournier de Bernaville (1634-1718)[24] - [Note 8]. Puis à la fin de l'Ancien Régime, Henri-Jacques Le Fauconnier (1735-1795), émigré en 1795, il commandait à Quiberon la compagnie des gentilshommes normands[24] - [Note 9].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 mars 2001 Léon Flambard
    mars 2001 mars 2008 André Legendre
    mars 2008[25] En cours Louisette Lepetit[26] SE
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2020, la commune comptait 180 habitants[Note 10], en diminution de 9,55 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    445409540473499485451457427
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    405387377383348339331318276
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    296266238220238219264202163
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    190205173154129143158162195
    2018 2020 - - - - - - -
    178180-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église de la Bonneville (XIIIe, XVIIe – XXe siècles). Elle a deux patrons : sainte Marguerite et saint Sébastien. Le chÅ“ur et la nef, dans leur parties non remaniées, sont du tout début du XIVe siècle. Le chÅ“ur de deux travées est vouté sur croisée d'ogive. Dans une niche, située prés du chÅ“ur, on peut voir le gisant de style gothique flamboyant d'un chevalier revêtu de son armure du XVIe siècle avec deux écus chargés d'une croix ansée[31] - [Note 11], accompagné de deux angelots au niveau de la niche. Le blason, de sable à la croix ancrée d'or, indique qu'il s'agirait du chevalier, seigneur du lieu[Note 12], Georges Ier de Trousseauville[33]. À voir également un bas-relief la légende de saint Eustache du XIVe siècle représentant Placide, un général romain qui se convertira au christianisme, prenant le nom d'Eustache, après avoir vu apparaître un crucifix entre les bois d’un cerf qu’il poursuivait. Sur le panneau sculpté en dessus, Eustache voit deux de ses fils enlevés sur chacune des rives d'un fleuve, d'un côté par un loup et de l'autre, par un lion, fils qu'il parviendra à délivrer[31].
    Sont classés au titre objet aux monuments historiques, outre le gisant[34] et le bas-relief[35], un calice et sa patène (XVIIe)[36]. L'église abrite également un maître-autel (XVIIIe), les statues de sainte Marguerite (fin XVIe) en pierre polychrome située près de l'autel, saint Marc (XVe), saint Sébastien et saint Joseph (XVIIIe), une Vierge à l'Enfant (XVIIe), un saint évêque (XVe), une verrière (XXe) de A. Vigneron.
    Sous le porche, le portail arbore une épitaphe due à Guillaume Groult, vicaire de 44 ans au temps des guerres de Religion : « Vray serviteur de Dieu, ce facteur des humains qui allait guerroyant le maling hérétique… ».
    • Manoir des Broches du XVIe siècle[37] avec une porterie Renaissance classique. Les armoiries ont été martelées.
    • Croix de cimetière (XVIIIe siècle), calvaire (XIXe siècle).
    • Manoir de la Cour (XVIIe siècle).
    • La Binorie (XVIIIe siècle).
    • La Vignetterie.
    • La Motte.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 273.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Charles le Fournier de Bernaville fut lieutenant du roi au château de Vincennes puis à la Bastille de 1708 à 1718. Son successeur, Jourdan de Launey, était seigneur de la Bretonnière à Golleville[24].
    9. Henri-Jacques Le Fauconnier sera fait prisonnier et fusillé. Son nom figure sur le mausolée de la chartreuse d'Auray à Quiberon[24].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Bien que sur la pierre la croix semble « ancrée », pour certains héraldiste, la famille de Trousseauville portait une croix « anillée ».
    12. « L'état des personnes nobles en l'élection de Valognes établi en l'année 1576 » mentionne à La Bonneville Georges de Trousseauville, seigneur du lieu[32].

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Bricquebec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre La Bonneville et Bricquebec-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Bricquebec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Bonneville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Supplément aux annales de Normandie, 13e année, n°3 - Octobre 1963 les Noms des Communes de Normandie (suite), page 6, numéro 385 : « La Bonneville (Saint-Sauveur-le-Vicomte, M.) : [] Comme on le voit, c'est au début du XIIIe siècle que le nom moderne a supplanté la fâcheuse dénomination antérieure. »
    22. Ernest Nègre - 1998 -Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1423, (ISBN 2600028846).
    23. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 184.
    24. Gautier 2014, p. 273.
    25. « Louisette Lepetit élue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    26. Réélection 2014 : « Louisette Lepetit réélue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 121.
    32. Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 27.
    33. Panneau d'indication dans la commune, d'après un article de l'abbé Pierre Le Borgne paru dans « Horizons ».
    34. « Gisant, grandeur nature : Un Chevalier en armure ».
    35. « Bas-relief : La Légende de saint Eustache ».
    36. « Calice, patène »
    37. Girard et Lecœur 2005, p. 163.
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