Viuz-en-Sallaz
Viuz-en-Sallaz (se prononce [vjy ɑ̃ sala] ; mais le -az ne se prononce pas traditionnellement[Note 1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Viuz-en-Sallaz | |||||
Vue du ciel. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Bonneville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des quatre rivières | ||||
Maire Mandat |
Pascal Pochat-Baron 2020-2026 |
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Code postal | 74250 | ||||
Code commune | 74311 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Viuziens | ||||
Population municipale |
4 532 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 216 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
193 881 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 08′ 54″ nord, 6° 24′ 40″ est | ||||
Altitude | Min. 550 m Max. 1 500 m |
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Superficie | 20,99 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Genève (SUI)-Annemasse (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Genève (SUI)-Annemasse (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bonneville | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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La commune accueille avec Bogève, Onnion et Saint-Jeoire la station de sports d'hiver des Brasses. Elle est membre de la communauté de communes des Quatre Rivières.
Géographie
Situation
Assis sur une colline, plein sud, à mi-chemin entre Genève, Annecy et Chamonix, Viuz-en-Sallaz est un village dont le territoire s'étale de 600 m à 1 503 m d'altitude. Sa population actuelle s'élève à environ 4 000 habitants. Viuz-en-Sallaz se situe dans l'ancien canton de Saint-Jeoire et dans le nouveau canton de Bonneville.
Le mont Vouan
Le mont Vouan est un petit massif de moyenne altitude qui culmine à 978 m.
Jusqu'au début du XXe siècle, les roches du Vouan ont été exploitées pour tailler des meules de moulin[4]. On peut encore voir aujourd'hui, à l'endroit où les meules étaient extraites, de grands trous ronds de près de deux mètres de hauteur dans la roche.
Le Vouan possède de nombreuses carrières de pierre meulière. Les deux plus importantes sont « la grande gueule » — aussi appelée la grotte aux fées ou la grande meulière à Boisinges —, dont on aperçoit l'ouverture depuis la route d'Annemasse mais dont le plafond s'est effondré et « la meulière à Vachat », sur la falaise qui surplombe « la Gouille au Mort » (petite mare).
Le Vouan était également traversé par le « chemin des contrebandiers » ; ceux-ci apportaient à Genève le blé du moulin de Pont-Morand et rapportaient de l'alcool, du tabac, etc.
De nombreuses légendes tournent autour du Vouan. Parmi celles-ci : une jeune fille donnant des feuilles qui se changent en or habiterait le Vouan et ce massif possèderait une grotte renfermant un jeu de quilles en or. Mais également une légende dit qu'un homme, qui taillait des pierres, avait refusé d'aller à la messe du dimanche afin de terminer son travail. Le dimanche, il était tombé de la falaise dans la célèbre gouille au Mort. On n'a jamais retrouvé son corps.
Communes limitrophes
Saint-André-de-Boëge | Bogève | Saint-Jeoire | ||
Fillinges | N | La Tour | ||
O Viuz-en-Sallaz E | ||||
S | ||||
Marcellaz | Peillonnex | Ville-en-Sallaz |
Urbanisme
Typologie
Viuz-en-Sallaz est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Genève (SUI)-Annemasse (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 35 communes[8] et 193 881 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,3 %), forêts (39,6 %), zones urbanisées (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,6 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
Le toponyme « Viuz » provient du nom latin « vicus », signifiant une petite agglomération[14]. Une inscription sur le pignon de l'église du XIXe siècle donne Vicus in Sala.
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Viu (graphie de Conflans) ou Viuz (ORB)[15].
Histoire
Viuz-en-Sallaz appartient au mandement de Thiez, composé des paroisses de Bogève, Saint-André, Viuz et Ville-en-Sallaz. Il relevait des seigneurs de Faucigny jusqu'à ce que l'évêque de Genève, Arducius de Faucigny, en hérite et le lègue à ses successeurs, les évêques de Genève[16].
On trouve mention, en date du , de la « terre de Viuz » dans l'accord intervenu entre l'évêque Nantelme et les chevaliers Guillaume et Amédée Pofeis[17], de même, le , est fait mention de la « Terre de Sallaz », lors d'une discussion entre Aymon II de Faucigny et l'évêque Bernard Chabert[17].
Ce mandement est occupé par François Ier en 1536 et passa à la Savoie en 1539[18].
Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 16 pour la commune[21] - [22]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[23].
Politique et administration
Liste des maires
Espaces verts, fleurissement
En 2014, la commune de Viuz-en-Sallaz bénéficie du label « ville fleurie » avec « trois fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[25].
Population et société
Démographie
Ses habitants sont appelés les Viuziens[26]. On peut parfois trouver les formes Sallazienne, Viuly.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2020, la commune comptait 4 532 habitants[Note 5], en augmentation de 10,46 % par rapport à 2014 (Haute-Savoie : +6,65 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Viuz a conservé quelques témoignages du passé, tels que des mesures à grains, une ancienne prison, des maisons traditionnelles, une église dédiée à saint Blaise néo-classique du XIXe siècle ou encore des « mazots »[31].
L'écomusée Paysalp regroupe quatre sites, dont deux à Viuz-en-Sallaz :
- Le musée paysan où sont exposés des objets d'époque et des reconstitutions d'univers de vie haut savoyard ;
- Paysalp.
Patrimoine religieux
Le village compte aussi quelques traces de la piété locale, tels des oratoires ou des chapelles :
- l'église est dédiée à saint Blaise[26]. La décoration intérieure fut confiée au peintre J.B. Ferraris[32] ;
- en général, les oratoires datent du XIXe siècle, ils ont été érigés par des familles et sont souvent dédiés à la Vierge Marie. Ils portent les noms ou initiales des fondateurs, la date d'érection et une invocation ;
- la chapelle des Palluds : à la suite d'un éboulement, appelé « Le Déluge », survenu le [33], trois villages (Fontaine, Grisard et Etrable) furent engloutis faisant 34 victimes dans 9 familles[34]. Laurent Gaillard-Pallud, originaire du village des Palluds, fit construire une chapelle sous le vocable de la Sainte Vierge, et ce en remerciement pour avoir été épargné. Elle fut bénie le , restaurée en 1865 et récemment dans les années 1980. La petite cloche est celle qui annonçait les assemblées populaires du bourg, à l'époque révolutionnaire ;
- la chapelle de Sevraz est dédiée à saint Jacques et à saint Christophe, due à la générosité d'un émigré, Jacques Gavard-Perret. Il légua une somme pour sa construction. Son neveu et exécuteur testamentaire, Pierre Magnon, la fit construire. À l'entrée de la chapelle, au-dessus de la porte, une inscription rappelle son érection. Les tableaux du chemin de croix sont de 1850. Elle a été restaurée dans les années 1980.
Patrimoine historique
- Le château de Thyez ou Thiez/Thy/Tez, dit aussi de Viuz ou de Salaz[35] - [36] - [37] est une ruine située à environ 500 mètres au sud-ouest du village de Ville-en-Sallaz, au bord du ruisseau du Thy. Édifié au XIIe siècle par la famille de Faucigny, il devient ensuite la propriété des évêques de Genève. La maison forte est citée implicitement au mois d', lors d'un séjour de l'évêque Aymon de Grandson, dans un échange intervenu entre l'abbaye de Saint-Maurice d'Agaune et Pierre II de Savoie. Elle est mentionnée le dans l'abergement concédé par l'évêque Robert de genève in domo nostra de Tez[17]. Au mois d', le dauphin de Viennois Humbert I de la Tour du Pin, investit la Terre de Sallaz, enlève le château et y place une garnison. Excommunié, il doit rétrocéder le mandement et sa maison forte. Après la Réforme, elle servit de prison épiscopale, puis fut laissé à l'abandon.
- Château de Marcossey (Brégny), possession des Fournier, seigneurs de Marcossey, détruit en 1589 par les Bernois et les Genevois[38] - [37], un second portant le même nom était situé à Brénaz.
Héraldique
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Les armes de Viuz-en-Sallaz se blasonnent ainsi : Parti ; au premier d'or au pal de gueules, au second de gueules à une clé contournée d'or et emboutée de sable. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Mathieu de La Corbière, Martine Piguet, Catherine Santschi. Terres et châteaux des évêques de Genève, éd. de l'Académie Salésienne.
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 473-479 « Viuz-en-Sallaz ».
- Abbé Edmond Rollin, Monographie de Viuz-en-Sallaz. Diocèse d'Annecy (Haute-Savoie), t. 19, Mémoires et documents, Annecy, Académie salésienne, , p. 1-236.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Le -z final ne se prononce pas, mais indique que l'accentuation du mot va sur la première syllabe[1] - [2] - [3].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[19] - [20].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Henri Dénarié, « Berlioz ne rime pas avec myxomatose », La Voix des Allobroges,‎ (lire en ligne) (Article publié dans le numéro 13 de La Voix des Allobroges, été 2007)
- Jean-Baptiste Serron avec Marc Bron, « Comment bien prononcer les noms de nos communes? », L'Essor savoyard,‎ (lire en ligne).
- « Toponymie arpitane : les noms en -oz, -az, -ex, -ix », sur Arpitan.com - Fédération internationale de l'arpitan (consulté le ).
- ce qui explique le nom de "Molire" que lui donnent les habitants de la région
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Genève (SUI)-Annemasse (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Claude Raffestin, Paul Guichonnet et Jocelyne Hussy, Frontières et sociétés : Le cas franco-genevois, L'âge d'homme, , 231 p. (ISBN 978-2-8251-3018-6, lire en ligne), p. 20.
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 15Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- Site de la Mairie de Viuz-en-Sallaz.
- Mathieu de La Corbière, Martine Piguet, Catherine Santschi, Terres et châteaux des évêques de Genève, Académie salésienne, p.xxx.
- « Archives de Genève: 11 La perte du mandement de Thiez », sur ge.ch/archives.
- Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
- Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
- Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne).
- Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 167.
- Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
- Historique des maires de Viuz-en-Sallaz, sur viuz-en-sallaz.fr
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- « Viuz-en-Sallaz », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Les mazots sont une sorte de grenier, qui servaient autrefois de réserve pour stocker les habits du dimanche et les biens précieux de la famille. Ces bâtiments étaient construits à l'écart de la maison pour éviter qu'en cas d'incendie tout ce qu'ils contenaient soit détruit.
- Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, lire en ligne), p. 365.
- « http://www.quid.fr/communes.html?mode=detail&id=35047&req=Viuz-en-Sallaz&style=fiche »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « 4 E 152 - 1646-1750. - 1646-1750 Archives Départementales de la Haute-Savoie, page 106/336 », sur Archives départementales de Haute-Savoie (consulté le )
- Paul Lullin et Charles Le Fort, Régeste genevois : Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 542 p. (lire en ligne), p. 532.
- Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Thyez (section) », Mémoires & documents, vol. 47,‎ , p. 192-193 (lire en ligne).
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance. Collection L'amateur Averti, , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2).
- Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Marcossey (section) », Mémoires & documents, vol. 47,‎ , p. 190-192 (lire en ligne).