Villiers-sur-Seine
Villiers-sur-Seine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Villiers-sur-Seine | |||||
L'écluse de Villiers en cours de rénovation en 2010. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | ĂŽle-de-France | ||||
DĂ©partement | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Provins | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Bassée - Montois | ||||
Maire Mandat |
Agnès Sommer 2020-2026 |
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Code postal | 77114 | ||||
Code commune | 77522 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Villierots | ||||
Population municipale |
297 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 48° 27′ 18″ nord, 3° 22′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 56 m Max. 66 m |
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Superficie | 11,36 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Provins | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est située à environ 11,3 kilomètres au sud-ouest de Nogent-sur-Seine et 35 kilomètres au nord-est de Montereau-Fault-Yonne[Carte 1].
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1]. L'altitude varie de 56 mètres à 66 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 58 mètres d'altitude (mairie)[2].
RĂ©seau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatorze cours d'eau :
- la Seine, fleuve long de 774,76 km[3] ;
- un bras de la Seine[Note 1], long de 0,35 km[4] ;
- l’Orvin, long de 38,11 km[5], et ;
- le Resson, long de 23,71 km[6], et ;
- le Vieil Orvin, long de 3,65 km[7], affluents de la Seine ;
- le bras du Vieil Orvin , long de 1,75 km[8] ;
- le cours d'eau 01 des Thurets, long de 2,81 km[9], affluent de la Seine ;
- le fossé 01 de la Planchotte, long de 4,41 km[11], conflue avec le canal 01 de Mézières.
ainsi que :
- le canal 01 d'Athis, long de 1,38 km[12], conflue avec la Seine ;
- le canal 01 de la Bouteille, long de 1,43 km[13], conflue avec le vieil Orvin ;
- le canal 01 des Rochères, long de 2,67 km[14], conflue avec l’Orvin ;
- le canal 01 de la Commune de Villiers-sur-Seine, long de 4,82 km[15], conflue avec le Resson ;
- le canal de Beaulieu, long de 9,11 km[16], conflue avec la Seine.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 29,38 km[17].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[18].
La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[19]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[20].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 10,9 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[22]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[21]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[23]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Troyes-Barberey, qui se trouve à 54 km à vol d'oiseau[24], où la température moyenne annuelle évolue de 10,5 °C pour la période 1971-2000[25], à 10,8 °C pour 1981-2010[26], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[27].
RĂ©seau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[29] - [Carte 2] :
- la « Bassée », d'une superficie de 1 403 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine. Elle abrite la plus grande et l’une des dernières forêts alluviales du Bassin parisien ainsi qu’un ensemble relictuel de prairies humides[30] - [31].
et un au titre de la « directive Oiseaux »[29] :
- la « Bassée et plaines adjacentes », d'une superficie de 27 643 ha, une vaste plaine alluviale de la Seine bordée par un coteau marqué au nord et par un plateau agricole au sud. Elle abrite une importante diversité de milieux qui conditionnent la présence d’une avifaune très riche[32] - [33].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Villiers-sur-Seine comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3] - [34] - [Carte 3], les « boisements alluviaux entre Herme et Melz-sur-Seine » (939,4 ha), couvrant 4 communes du département[35] et la « noue de Champbertin » (12,74 ha)[36]. et deux ZNIEFF de type 2[Note 4] - [34] :
- les « Milieux Naturels et Secondaires de la vallée de la Seine (Bassée auboise) » (8 930,64 ha), couvrant 21 communes dont 14 dans l'Aube, 5 dans la Marne et 2 en Seine-et-Marne[37] ;
- la « vallée de la Seine entre Montereau et Melz-sur-Seine (Bassée) » (14 216,75 ha), couvrant 26 communes du département[38].
- Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
Villiers-sur-Seine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [39] - [40] - [41].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[42] - [43].
Lieux-dits et Ă©carts
La commune compte 64 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés consultables ici[44] (source : le fichier Fantoir) dont Athis.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,9 %), forêts (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), eaux continentales[Note 8] (10,6 %), zones urbanisées (4,1 %)[45].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[46] - [47] - [Carte 4]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 5].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[48].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[49] - [50].
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 163 dont 100 % de maisons.
Parmi ces logements, 74,2 % étaient des résidences principales, 13,5 % des résidences secondaires et 12,3 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 91,7 % contre 6,6 % de locataires et 1,7 % logés gratuitement[51] -[Note 9].
Transports
La commune est desservie par la ligne régulière d'autocars du réseau de bus Cars Moreau No 3 (Noyen-sur-Seine - Longueville)[52].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Vilers en 1201 ; Villiers en 1400[53].
Villiers : À l’origine, ce nom désignait une partie de la villa (grand domaine agricole de l’époque gallo-romaine). Il s’agissait des dépendances qui comprenaient généralement les habitations des ouvriers et les bâtiments agricoles. De nos jours, ce nom désigne un écart ou un village.
La Seine est un fleuve français qui coule dans le Bassin parisien
Histoire
Un habitat daté de la période de transition entre les âges du bronze et du fer (900-750 avant Jésus-Christ) a été retrouvé. Composé de deux résidences accompagnées de greniers, de fosses et ceint de quatre fossés concentriques bordés d'un talus, il comportait un riche mobilier de céramiques, parures en bronze et armes en fer[54].
- Objets en bronze,
- pots,
- exposition ArkéAube à Troyes.
Politique et administration
Dans le canton No 1 de Bray sur Seine et la 4e circonscription.
Liste des maires
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [57] - [58].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Villiers-sur-Seine ne dispose pas d'assainissement collectif[59] - [60].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[61]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[59] - [62].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[59] - [63] - [64].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bassée Montois[65].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[67].
En 2020, la commune comptait 297 habitants[Note 10], en diminution de 1,98 % par rapport Ă 2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Villiers-sur-Seine dispose d’une école élémentaire, située 2 Grande Rue. Cet établissement public, inscrit sous le code UAI (Unité administrative immatriculée) : 0770080U, comprend 21 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[70].
Il ne dispose pas d’un restaurant scolaire.
La commune dépend de l'Académie de Créteil ; pour le calendrier des vacances scolaires, Villiers-sur-Seine est en zone C.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 123, représentant 293 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 21 160 euros[71].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 42, occupant 123 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 62,8 % contre un taux de chômage de 9,7 %.
Les 27,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 6,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,7 % de retraités ou préretraités et 13,7 % pour les autres inactifs[72].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 25 dont 11 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 2 dans l’industrie, 1 dans la construction, 8 dans le commerce-transports-services divers et 3 étaient relatifs au secteur administratif[73].
Ces établissements ont pourvu 17 postes salariés.
Agriculture
Villiers-sur-Seine est dans la petite région agricole dénommée la « Bassée » ou « Basse Seine », au sud-est du département[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[74].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[75]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 16 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 50 ha en 1988 à 91 ha en 2010[74]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villiers-sur-Seine, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension Ă©conomique[74] - [Note 12] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 16 | 10 | 7 |
Travail (UTA) | 17 | 12 | 8 |
Surface agricole utilisée (ha) | 797 | 705 | 636 |
Cultures[76] | |||
Terres labourables (ha) | 778 | 701 | 636 |
Céréales (ha) | 578 | 470 | 414 |
dont blé tendre (ha) | 338 | 266 | 208 |
dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) | 171 | 71 | 58 |
Tournesol (ha) | 72 | s | |
Colza et navette (ha) | s | 78 | 99 |
Élevage[74] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 13]) | 63 | 48 | 154 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Aignan, XVIe siècle.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
- Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Villiers-sur-Seine », p. 93–94
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Villiers-sur-Seine sur le site de la CC Bassée-Montois
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Nature en attente de mise Ă jour.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Localisation de Villiers-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 3 juin 2018)..
- « Sites Natura2000 de Villiers-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Zones ZNIEFF de Villiers-sur-Seine » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
- « Villiers-sur-Seine - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
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- Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 des Thurets (F21-0540) » (consulté le ).
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