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Vausseroux

Vausseroux est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Vausseroux
Vausseroux
L'église Sainte-Radegonde.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Parthenay
Intercommunalité Communauté de communes de Parthenay-Gâtine
Maire
Mandat
Philippe Albert
2020-2026
Code postal 79420
Code commune 79340
Démographie
Population
municipale
322 hab. (2020 en diminution de 4,45 % par rapport à 2014)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 33′ 07″ nord, 0° 08′ 06″ ouest
Altitude Min. 161 m
Max. 232 m
Superficie 19,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Gâtine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Vausseroux
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Vausseroux
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Vausseroux
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Vausseroux

    Géographie

    Cadastre Napoléonien de la commune de Vausseroux

    Latitude : 46.5511 ; longitude : -0.133333.
    46° 33′ 4″ nord, 0° 7′ 60″ ouest.
    Superficie Vausseroux 1 912 hectares 19,12 km² (7,38 sq mi).
    Altitude Vausseroux minimale 161 m, maximale 232 m, moyenne 197 m.
    Climat Vausseroux climat océanique avec été tempéré (classification de Köppen : Cfb).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 927 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menigoute_sapc », sur la commune de Ménigoute, mise en service en 1950[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 959,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, dans le département de la Vienne, mise en service en 1921 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Vausseroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,7 %), prairies (41 %), forêts (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vausseroux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vausseroux.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 72,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[20].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Vausseroux est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

    Histoire

    Pose de la première pierre de l’église et inauguration du pont :

    Le même jour, le dimanche 7 novembre 1847, une double cérémonie religieuse et civile se déroule à Vausseroux.

    1– la bénédiction par l’évêque de Poitiers de la première pierre de la nouvelle église.
    2– l’inauguration du pont sur la Petite Vonne par le Préfet des Deux-Sèvres.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1876 1877 François Garran de Balzan Sénateur
    1907 Antonnin Roulleau
    1927 Hubert Bordier (décès en 1927)
    1927 Maurice Fleury
    mars 1989 En cours Philippe Albert[27]

    Démographie

    À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Vausseroux, cela correspond à 2007, 2012, 2017[28], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2009, etc.) sont des estimations légales.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    523528546615623669630660639
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    646620618645650658639641602
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    600584587580580587550533518
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    482464395358326299335340337
    2017 2020 - - - - - - -
    326322-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Les données économiques de la ville de Vausseroux.
    Le taux de chômage en 2007 était de 7,4 % et en 1999 il était de 10,4 %.
    Les retraités et les préretraités représentaient 29,4 % de la population en 2007 et 27,4 % en 1999.
    Le taux d'activité était de 71,1 % en 2007 et de 61,3 en 1999

    Culture locale et patrimoine

    Église Sainte Radegonde

    L'église, construite au XIXe siècle, date de 1847. Elle remplace un édifice antérieur d'origine médiévale dont la localisation est incertaine.

    En 1914, elle a été amputée de son clocher pour des raisons de sécurité. L'église Sainte-Radegonde est un édifice curieux, dont la silhouette et les volumes surprennent.

    De style néo-gothique, l'église adopte un plan simple à nef unique, de quatre travées, couverte d'un berceau brisé charpenté. Le chœur d'une seule travée, est à chevet plat. La façade ouest est tronquée en hauteur. Les murs sont enduits et la couverture est en ardoise.

    L'église expose également deux tableaux du peintre parthenaisien E. Pidoux, dont le fils était le curé de Vausseroux[31].

    • Eglise Sainte Radegonde
    • Intérieur de l'église Sainte-Radegonde
      Chœur de l'église Sainte-Radegonde.

    Château de la Guillotière

    La seigneurie de la Guillotière est très ancienne, pouvant dater du début du XIIIe siècle. De forme quadrilatère, comportant à chaque angle une tour dont trois ont été arasées, celles-ci sont percées de meurtrières. Dans l'une d'elles, on peut voir encore quelques boulins, le château est entouré de douves alimentées par des sources, on y accède par un pont de pierre qui fut jadis un pont-levis.

    Le grand logis a subi, au début du XVIIe, des transformations : l'agencement a été modifié, deux cheminées en calcaire ont été ajoutées, l'une dans le grand salon, l'autre dans une des chambres. Les autres cheminées sont en granit.

    L'entrée a été modifiée par l'ajout d'un grand escalier en granit. De larges fenêtres à meneau ont été ouvertes au sud et à l'est, fenêtres qui devaient être bardées de grilles dont il ne reste que les accroches murales.

    Les murs du grand logis ont été arasés par la suite d'une hauteur de deux mètres environ.

    À proximité immédiate se trouve une grange dîmière datant probablement du XVe ou XVIe siècle dont l'encadrement en ogive de la porte principale est bien particulier.

    • Château de la Guillotière
    • Vue du ciel
      Vue du ciel.
    • grange dîmière.
      Porche d'entrée de la grange Dîmière
    • Photo de l'extérieur du château de la Guillotière, prise au sud-est de celui-ci en 1890.
      Photo de l'extérieur du château de la Guillotière, prise au sud-est de celui-ci en 1890.

    Château du Plessis Cherchemont

    Le château du Plessis-Cherchemont avait été établi à quelque 2 km au nord-est de Vausseroux, auprès d’un vaste étang de cinq hectares, dans une plaine assez peu vallonnée. Son appellation ne provient pas de cette situation topographique mais de son fondateur, Jean Cherchemont, homme de robe proche des rois Philippe le Long et Charles le Bel et propriétaire des lieux attesté en 1360.

    Quatre siècles de mutations de propriété mouvementées le mirent en possession de la famille de Jacques de Liniers (1753-1810), qui, né à Niort, finit ses jours comme vice-roi de Buenos-Aires.

    Initialement rectangulaire et flanqué d’une tour à chacun de ses angles, le château fut très remanié aux XVIIe et XVIIIe siècles, et prit la forme d’une équerre qui englobait les deux tours occidentales du château primitif. Il était élevé sur un terre-plein donnant à l’ouest sur l’étang. Aux angles du terre-plein s’élevaient des tours rondes ; celle du nord-ouest avait été aménagée en chapelle. Les bases de ces deux dernières tours, enfouies dans la végétation, sont les seules traces du château aujourd'hui.

    Un pont-levis sur les douves qui prolongeaient l’étang tout autour du terre-plein permettait la communication avec une cour ; cette dernière était entourée des dépendances destinées à l’engrangement des produits des quatre cent cinquante hectares du domaine, encore indivis au premier tiers du XIXe siècle.

    On accédait au château par une large allée bordée d’arbres - mise en scène obligée des abords d’une demeure socialement prestigieuse - ou bien, au sud, par la chaussée de l’étang[32].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Menigoute_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Vausseroux et Ménigoute », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Menigoute_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vausseroux et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Vausseroux », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur www.deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    27. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
    28. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. « Eglise Sainte Radegonde » (consulté le ).
    32. « Chateau du Plessis Cherchemont » (consulté le ).
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