Vaulandry
Vaulandry est une commune déléguée française, située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire
Vaulandry | |||||
L'ancienne mairie. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Canton | Baugé | ||||
Commune | Baugé-en-Anjou | ||||
Statut | commune déléguée | ||||
Maire délégué Mandat |
Luc Gourin 2020-2026 |
||||
Code postal | 49150 | ||||
Code commune | 49380 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Vallilandriais | ||||
Population | 313 hab. (2010) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 35′ 51″ nord, 0° 02′ 34″ ouest | ||||
Altitude | Min. 46 m Max. 87 m |
||||
Superficie | 27,65 km2 | ||||
Historique | |||||
Fusion | 1er janvier 2013 | ||||
Commune(s) d'intégration | Baugé-en-Anjou | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
| |||||
Le , Vaulandry fusionne avec Clefs pour former la commune nouvelle de Clefs-Val d'Anjou[1], dont elle est une commune déléguée. Le , Clefs et Vaulandry fusionnent avec d'autres communes, pour former la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou dont elles constituent depuis cette date des communes déléguées.
GĂ©ographie
Localisation
Ce village angevin de l'Ouest de la France se situe dans le Baugeois, au nord-est de Baugé, sur la route D195 qui va de Baugé à Thorée-les-Pins (Sarthe)[2].
Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Il est délimité au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[3].
Territoire
L'altitude de la commune varie de 46 à 87 mètres[4], pour une altitude moyenne de 67 mètres, et s'étend sur près de 28 km2 (2 765 hectares)[4].
Son territoire se trouve sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[5]. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.
Située dans une vallée, dont les bords boisés se relèvent au Nord, une partie de la commune est classée Natura 2000 pour le site d'importance communautaire de la vallée du Loir de Vaas à Bazouges et ses abords, et comporte plusieurs zones naturelles d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour la zone humide et lande en forêt du Pugle, les prairies humides des trufferiez, les prairies humides de Turbilly, les prairies humides du ruisseau du Gué-de-Bré, la vallée des Cartes et de la Vesotière, celles des bois de Lanfray, bois de Parnay, massif du Graffard et bois de La Roltière, et celle de la vallée du Loir de Pont-de-Braye à Bazouges-sur-Loir[7].
Hydrographie
Le ruisseau des Cartes prend sa source et traverse la commune. Il a pour principal affluent le ruisseau de la Valette[2].
Climat
Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, de par sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelés rares et les étés ensoleillés[6].
Aux alentours
Les communes les plus proches sont Clefs (4 km), Montpollin (5 km), Saint-Martin-d'Arcé (5 km), Pontigné (5 km), Saint-Quentin-lès-Beaurepaire (6 km), Genneteil (7 km), Baugé (8 km), Savigné-sous-le-Lude (8 km), Lasse (8 km) et Fougeré (9 km)[8].
Toponymie et héraldique
Toponymie
Formes anciennes du nom : Vallis Landardi en 1073, Parrochia de Vallibus et Vallis Landrici au XIIe siècle, Ecclesia Sancti Petri de Valle Landrici en 1159, Valis Landri en 1326, Vaulandry en 1685[9], puis Vollandry, Vaulandry et Volandry aux XVIIIe et XIXe siècles[10], pour devenir définitivement Vaulandry au XXe siècle (décret du )[11] - [12] - [13].
Nom des habitants : les Vallilandriais[14].
HĂ©raldique
|
Écartelé : au 1er d'or au chardon de sinople, fleuri de gueules et mouvant d'un croissant du même, au 2e de sinople au pairle d'argent, la branche senestre alésée et aiguisé, chargé de quatre fers de moulin de sable posés à plomb, au 3e de sinople à la tour d'or, maçonnée de sable, ouverte et ajourée du champ, au 4e d'or au sanglier de sable surmonté de deux pommes de pin au naturel[15]. |
---|
Le blason de la commune Vaulandry représente : le blason de la Famille de Menon de Turbilly, qui a fondé la paroisse Saint-Pierre de Vaulandry (en haut à gauche), le ruisseau des Cartes, qui prend sa source à Vauclandry (en haut à droite), la chateau de Turbilly (en bas à gauche) et l'élevage de sangliers et les forêts de pins [16].
Histoire
Moyen Ă‚ge
Au XVe siècle le Roi René, qui aime venir chasser dans les forêts de la région, fait reconstruire le château de Baugé.
Ancien RĂ©gime
Sous l'Ancien Régime, la commune dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé.
Époque contemporaine
À la réorganisation administrative qui suit la Révolution en 1790, la commune est d'abord rattachée au canton de Fougeré, puis en 1800, à celui de Baugé. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[10].
Commune nouvelle de Clefs-Val-d'Anjou
En 2011, les communes de Cheviré-le-Rouge, Clefs, Fougeré, Saint-Quentin-lès-Beaurepaire et Vaulandry consultent la population afin d'engager un regroupement de communes, sur le même modèle que Baugé-en-Anjou. Deux communes ayant voté contre, le projet est abandonné[17] - [18].
Les équipes municipales de Clefs et de Vaulandry décident alors un rapprochement entre leurs deux seules communes, sous la forme d'une commune nouvelle régie par la loi du , et initialement dénommée « Clevaulanjou »[19].
Après deux réunions publiques organisées dans les deux communes en octobre[20], le projet est voté par les deux conseils municipaux le . Déposé auprès de la préfecture de Maine-et-Loire, le projet est validé par le préfet le , sous le nom de Clefs-Val d'Anjou[1].
Nom de la commune | Population (2010) | Surface (hectares) | Alt. mini (mètres) | Alt. maxi (mètres) |
---|---|---|---|---|
Clefs | 979 | 2 592 | 30 | 97 |
Vaulandry | 313 | 2 765 | 46 | 87 |
Ensemble | 1 292 | 5 357 | 30 | 97 |
En 2014, un nouveau projet de fusion se dessine, les municipalités de la communauté de communes du canton de Baugé envisageant de se réunir en une seule commune. Le , le conseil communautaire se prononce en faveur du projet de commune nouvelle constituée des communes déléguées de Baugé, Montpollin, Pontigné, Saint-Martin-d'Arcé, Le Vieil-Baugé, Clefs, Vaulandry, Bocé, Cuon, Chartrené, Cheviré-le-Rouge, Le Guédeniau, Échemiré, Fougeré, Saint-Quentin-lès-Beaurepaire[22]. Le , l'ensemble des conseils municipaux votent en faveur de la création de la commune nouvelle[23]. L'arrêté préfectoral est signé le et porte sur la création au de la commune nouvelle de « Baugé-en-Anjou », groupant les communes de Baugé-en-Anjou, Bocé, Chartrené, Cheviré-le-Rouge, Clefs-Val d'Anjou, Cuon, Échemiré, Fougeré, Le Guédeniau et Saint-Quentin-lès-Beaurepaire[24].
Politique et administration
Administration actuelle
Le Vaulandry devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Clefs-Val d'Anjou, disposant d'un maire délégué[1], puis le une commune déléguée de Baugé-en-Anjou[24]. Le conseil municipal de la commune de Baugé-en-Anjou du a décidé de la création de 15 conseils communaux, un par commune déléguée, composés d'élus et de conseillers consultatifs pour assister le maire délégué[25] - [26].
Administration ancienne
La commune est créée à la Révolution. Commune en 1790[10]. Au , le conseil municipal était composé de 11 élus[28].
Jumelage
La commune ne comporte pas de jumelage.
Intercommunalité
Au , la commune était intégrée à la communauté de communes canton de Baugé ; structure intercommunale ayant pour objet d’associer des communes au sein d’un espace de solidarité, en vue de l’élaboration d’un projet commun de développement et d’aménagement de l’espace[29].
Créée en 1994[30], cette structure intercommunale regroupait jusqu'en quinze communes du canton, dont Baugé, Clefs et Vaulandry.
La communauté de communes était, à cette date, membre du syndicat mixte Pays des Vallées d'Anjou (SMPVA), structure administrative d'aménagement du territoire regroupant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, canton de Baugé, canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué, Portes-de-l'Anjou.
Autres administrations
Au , la commune de Vaulandry était adhérente du conseil de développement du Pays des Vallées d'Anjou (CDPVA), du syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement de l’agglomération baugeoise, du syndicat mixte intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou (SIVERT), du syndicat intercommunal pour l'aménagement du Couasnon (SIAC)[31].
Le SIVERT était, à cette date, le syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, situé à Lasse[32].
Autres circonscriptions
Au , la commune de Vaulandry faisait partie du canton de Baugé et de l'arrondissement de Saumur. Le canton de Baugé comprenait à cette date quinze communes, dont Cuon, Bocé et Le Vieil-Baugé. C'est l'un des quarante et un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département.
À cette date, Vaulandry faisait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons dont Longué-Jumelles et Noyant. La troisième circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34] - [Note 1].
En 2010, la commune comptait 313 habitants.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (27,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est sensiblement égale à la population féminine.
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 49,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,7 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 20,4 %, 45 à 59 ans = 13,8 %, plus de 60 ans = 26,3 %) ;
- 50,3 % de femmes (0 Ă 14 ans = 19,5 %, 15 Ă 29 ans = 20,1 %, 30 Ă 44 ans = 17,5 %, 45 Ă 59 ans = 14,3 %, plus de 60 ans = 28,6 %).
Vie locale
Services publics présents sur la commune : mairie, école maternelle et primaire. D'autres services publics se trouvent à Baugé, dont le collège, l'hôpital intercommunal et le centre de secours[31].
La plupart des structures de santé se trouvent à Baugé (8 km)[8], dont l'hôpital local, l'hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (95 places), et plusieurs maisons de retraite[39].
La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du canton de Baugé. La déchetterie intercommunale se situe sur la commune de Saint-Martin-d'Arcé[32].
Très répandu dans le Baugeois, un cercle de Boule de fort est présent sur la commune.
Économie
Au XVIIIe siècle, le marquis de Turbilly prend la tête du vaste domaine en partie à l'abandon. Préoccupé pour le remettre en l'état et fournir du travail aux habitants, il fait défricher et assécher les marais, et se lance dans des travaux agricoles. Ils donneront lieu à donner une courte notoriété à la commune[40].
Commune principalement agricole, en 2008, 23 établissements étaient présents sur la commune, dont 61 % relevaient du secteur de l'agriculture[41]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 28 établissements présents, 50 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 4 % du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 32 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[42].
Liste des AOC sur le territoire[43] :
- IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué,
- IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton,
- IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosé, IGP Maine-et-Loire rouge.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Vaulandry comporte plusieurs inscriptions Ă l'inventaire du patrimoine[44], dont un monument historique[45].
- Église Saint-Pierre, du XIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques le (PA00109413)[46].
- Le clocher.
- Chapelle Sainte-Anne, du XVIIIe siècle, Inventaire général.
- Château de Turbilly, des XVe, XVIIe et XVIIIe siècles, Inventaire général.
- Plusieurs fermes et maisons, des XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général.
- Fours Ă chaux.
- Manoir dit la Cour, des XVIIe, XIXe et XIXe siècles, Inventaire général.
- Plusieurs moulins, des XVIIIe et XIXe siècles, Inventaire général.
- Presbytère dit le Prieuré, du XVIIe siècle, remanié au XVIIIe, Inventaire général.
Personnalités liées à la commune
- Louis François Henri de Menon (1717-1776), marquis de Turbilly, agronome à l'origine de défrichements au XVIIIe siècle dont il rédigera Mémoire sur les défrichements en 1760[40].
- Jean-François Clouet des Pesruches (1918-1957), résistant, Compagnon de la Libération, cinéaste, mort à Vaulandry.
- Jean-Michel Sanejouand (1934-2021), peintre et sculpteur français, mort à Vaulandry.
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 683-686.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire : N-Z, t. 3, Angers, Lachèse & Dolbeau, , 1re éd. (BNF 34106676), p. 671-673.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012324-0001 portant création de la commune nouvelle de Clefs-Val d'Anjou, du 19 novembre 2012 (JORF no 0292 du 15 décembre 2012 page 19589 texte no 23).
- IGN et BRGM, Géoportail Vaulandry (49), consulté le 23 avril 2012.
- Paul Wagret, Jacques Boussard, Jacques Levron et Simone Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, (BNF 31614504), p. 10.
- IGN, Répertoire géographique des communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Les régions naturelles, le climat », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du 28 janvier 2010 sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
- DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 5 juillet 2011.
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Vaulandry (49) », sur Lion1906 (version du 3 mars 2016 sur Internet Archive), consulté le 23 avril 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- Célestin Port 1878, p. 671-673 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
- EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Vaulandry, consultée le 23 avril 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- CĂ©lestin Port 1996, p. 683-686.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 206.
- INSEE, Code Officiel Géographique, Modifications des communes de Maine-et-Loire, consultées le 24 juin 2012.
- C.C. du Canton de Baugé, Commune de Vaulandry, consultée le 23 avril 2012.
- Blason de Vaulandry sur le site de « la mairie de Clefs-Val d'Anjou »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 25 juillet 2015.
- L'armorial des villes de France (site web)
- Saumur Kiosque, Il n'y aura pas de seconde nouvelle commune dans le Baugeois, article du 19 mai 2012.
- Mairie de Cheviré-le-Rouge, « Réunion du 15 mai 2012 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Le Courrier de l'Ouest, Clefs-Vaulandry : Le préfet rebaptise la commune nouvelle, édition du 16 novembre 2012.
- Le Courrier de l'Ouest, Clefs/Vaulandry : Commune nouvelle, verdict le 30 octobre, Ă©dition du 18 octobre 2012.
- Population : Insee, Populations municipales 2010, mis Ă jour le .
Surfaces et altitudes : IGN, Répertoire géographique des communes (RGC 2011), consulté le 23 novembre 2012. - Communauté de communes du canton de Baugé, Compte rendu de séance Conseil communautaire, Séance du 29 avril 2015, p. 11-28.
- Le Courrier de l'Ouest, Dix communes pour en faire une, Édition du 19 mai 2015, p. 3.
- Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté préfectoral no DRCL-2015-525 du 10 juillet 2015, RAA spécial du 15 juillet 2015 p. 13, portant création de la commune nouvelle.
- « Baugé-en-Anjou. Municipales : les quinze maires délégués élus en 2020 », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- « Conseillers communaux », sur Mairie de Baugé-en-Anjou, (consulté le ).
- « Conseillers communaux », sur Mairie de Baugé-en-Anjou (consulté le ).
- Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
- Statuts de la Communauté de communes du Canton de Baugé, Arrêté préfectoral no 2007-107, du 9 mai 2007.
- Arrêté préfectoral no D3-94-932 portant création de la communauté de communes du canton de Baugé, du 23 décembre 1994.
- C.C. du Canton de Baugé, Communauté de communes, consultée le 7 juillet 2011.
- SIVERT, C. C. du canton de Baugé, consulté le 20 décembre 2010.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
- [ Calendrier départemental des recensements], sur le site de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2009 .
- « Évolution et structure de la population à Vaulandry en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- Fédération Hospitalière de France, Hôpital local (Baugé), consulté le 6 octobre 2011.
- Dictionnaire Célestin Port, édition révisée de 1996, op. cit., p. 620-621 (Turbilly, L.-F.-H. de Menon).
- Insee, Statistiques locales 2008 du territoire de Vaulandry, consultées le 7 juillet 2011.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Vaulandry (49), mis à jour le 30 décembre 2012.
- INAO, Fiche de Vaulandry (49), consultée le 6 juillet 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
- Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée, consultée le 24 avril 2012.
- Service Départemental de l'Architecture et du Patrimoine, Maine et Loire, consulté le 7 février 2011.
- Notice no PA00109413, base Mérimée, ministère français de la Culture).