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Cheviré-le-Rouge

Cheviré-le-Rouge est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, devenue le , une commune déléguée de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou[1].

Cheviré-le-Rouge
Cheviré-le-Rouge
Le centre de Cheviré-le-Rouge.
Blason de Cheviré-le-Rouge
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Canton Baugé
Commune Baugé-en-Anjou
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Patrick Mary
2020-2026
Code postal 49150
Code commune 49097
DĂ©mographie
Gentilé Cheviréens
Population 961 hab. (2013)
DensitĂ© 27 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 35′ 45″ nord, 0° 10′ 51″ ouest
Altitude 73 m
Min. 30 m
Max. 104 m
Superficie 35,96 km2
Historique
Fusion 1er janvier 2016
Commune(s) d'intégration Baugé-en-Anjou
Localisation
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Cheviré-le-Rouge
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Cheviré-le-Rouge
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Cheviré-le-Rouge
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Cheviré-le-Rouge

    Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au nord-ouest de la ville de Baugé.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans le Baugeois, au nord-ouest de Baugé, sur la route D 18 qui va de Baugé à Durtal[2].

    Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Il est délimité au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[3].

    GĂ©ologie et relief

    Sa superficie est de près de 36 km2 (3 596 hectares) et son altitude varie de 30 Ă  104 mètres[4], pour une altitude moyenne de 67 mètres.

    Son territoire se trouve sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[5]. Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

    Une partie de la commune comporte des zones naturelles d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour la zone de la forêt de Chambiers et celle du bois de la Roche-Hue[7].

    Climat

    Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, de par sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[6].

    Aux alentours

    Les communes les plus proches sont Montigné-lès-Rairies (km), Fougeré (km), Échemiré (km), Montpollin (km), Beauvau (km), Jarzé (km), Les Rairies (km), Saint-Quentin-lès-Beaurepaire (km), Sermaise (km) et Baugé (km)[8].

    Urbanisme

    Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

    En 2009 on trouvait 467 logements sur la commune de Cheviré-le-Rouge, dont 76 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 75 % des ménages en étaient propriétaires[9]. En 2013, on y trouvait 469 logements, dont 80 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 77 % des ménages en étaient propriétaires[10].

    Toponymie et héraldique

    Toponymie

    Étymologie : 1040 Chiviriaco, du nom d'homme gallo-romain Cavirius et suffixe -acum[11].

    Formes anciennes du nom : Ecclesia de Chiviriaco en 1040, Eclessia Caviriaci en 1050, Chiviriacus en 1077, Chevireyum Rubeum en 1333, Chevireium Rubei en 1308, Chevireyum propre Baugeium en 1517, avant de devenir Cheviré-le-Rouge en 1701[12] - [13].

    Nom des habitants : les Cheviréens[14].

    HĂ©raldique

    Blason de Cheviré-le-Rouge Blason
    D'azur au chevron d'or accompagné de quatre coquilles versées du même, trois en chef mal ordonnées et une en pointe.
    DĂ©tails
    Adopté par la municipalité.

    Histoire

    Préhistoire

    Il a été trouvé sur la commune quatre haches polies de la préhistoire, aux lieux-dits Pierre-Laits et d'Aupignelles[15].

    Moyen Ă‚ge

    Le domaine, ancienne villa gallo-romaine, appartient dès le Moyen Âge aux comtes d'Anjou. Au XIe siècle l'épouse de Geoffroy II d'Anjou, la comtesse Agnès de Bourgogne, fait construire une église. En 1047 elle est placée sous la tutelle de l'abbaye de la Trinité de Vendôme, qui y fait établir un prieuré[16] - [15].

    Le roi René en 1437 y autorise la fortification de l'église et de la cave du Bouil, petit fief de la paroisse. En 1694 la seigneurie est annexée à Jarzé[15].

    Ancien RĂ©gime

    Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé et du diocèse d'Angers.

    Époque contemporaine

    À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, en 1790 la commune est rattachée au canton de Montigné puis de Jarzé, et à son district[15]. En 1800 elle est rattachée au canton de Baugé et à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[17].

    Pendant la Première Guerre mondiale, 42 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, sept habitants sont tués[18].

    En 2014, un projet de fusion de l'ensemble des communes de l'intercommunalité se dessine. Le , les conseils municipaux de l'ensemble des communes du territoire communautaire votent la création d'une commune nouvelle au 1er janvier de l'année suivante[19]. L'arrêté préfectoral est signé le 10 juillet et porte sur la création au de la commune nouvelle de « Baugé-en-Anjou », groupant les communes de Baugé-en-Anjou, Bocé, Chartrené, Cheviré-le-Rouge, Clefs-Val d'Anjou, Cuon, Échemiré, Fougeré, Le Guédeniau et Saint-Quentin-lès-Beaurepaire[1].

    Politique et administration

    Administration actuelle

    Depuis le , Cheviré-le-Rouge constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou et dispose d'un maire délégué.

    Liste des maires délégués successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2016 mai 2020 André Guévara[20]
    mai 2020 en cours Patrick Mary[21]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Administration ancienne

    La commune est créée à la Révolution. Commune en 1790[17]. Le conseil municipal est composé de 15 élus[22].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1935 Achille Arnous-Rivière
    1965 1979 Gaston Joguet
    1979 1995 Paul Arnous-Rivière
    1995 mars 2008 Philippe Laureau Technico-commercial EDF
    mars 2008 décembre 2015 André Guévara[23] Retraité de la gendarmerie

    Jumelages

    La commune ne comporte pas de jumelage[24].

    Intercommunalité

    La commune était intégrée à la communauté de communes canton de Baugé. Créée en 1994[25], cette structure intercommunale regroupait les dix communes du canton, dont Montigné-lès-Rairies, Fougeré et Échemiré[26]. Elle avait pour objet d'associer des communes au sein d'un espace de solidarité, en vue de l’élaboration d’un projet commun de développement et d’aménagement de l’espace[27].

    La communauté de communes est membre du pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire. Le syndicat mixte du pays des vallées d'Anjou (SMPVA) regroupe six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué, Portes-de-l'Anjou[28].

    Autres administrations

    Conseil de développement du pays des vallées d'Anjou (CDPVA), syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement de l’agglomération baugeoise, syndicat mixte intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou (SIVERT), syndicat intercommunal pour l'aménagement du Couasnon (SIAC)[29].

    Le SIVERT est le syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’Est Anjou, qui se trouve à Lasse[30].

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Cheviré-le-Rouge fait partie du canton de Baugé et de l'arrondissement de Saumur[31]. Ce canton compte alors les dix mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[32].

    Cheviré-le-Rouge fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons dont Longué-Jumelles et Noyant. La troisième circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă€ partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂŞte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[34] - [Note 1].

    En 2013, la commune comptait 961 habitants, en augmentation de 8,34 % par rapport Ă  2008 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 4861 4051 4781 7061 7411 6351 7241 7251 625
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 6421 5731 6041 5891 6281 5521 5901 5031 460
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 4421 3851 1971 2331 1611 0611 1401 042956
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2013 -
    902774753756724798910961-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,3 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

    • 50,3 % d’hommes (0 Ă  14 ans = 25,5 %, 15 Ă  29 ans = 13,8 %, 30 Ă  44 ans = 22,9 %, 45 Ă  59 ans = 19,2 %, plus de 60 ans = 18,5 %) ;
    • 49,7 % de femmes (0 Ă  14 ans = 24,8 %, 15 Ă  29 ans = 14,6 %, 30 Ă  44 ans = 23,7 %, 45 Ă  59 ans = 18,4 %, plus de 60 ans = 18,5 %).
    Pyramide des âges à Cheviré-le-Rouge en 2008 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ans ou +
    0,2
    6,1
    75 Ă  89 ans
    7,5
    12,0
    60 Ă  74 ans
    10,8
    19,2
    45 Ă  59 ans
    18,4
    22,9
    30 Ă  44 ans
    23,7
    13,8
    15 Ă  29 ans
    14,6
    25,5
    0 Ă  14 ans
    24,8
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[38].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ans ou +
    1,1
    6,3
    75 Ă  89 ans
    9,5
    12,1
    60 Ă  74 ans
    13,1
    20,0
    45 Ă  59 ans
    19,4
    20,3
    30 Ă  44 ans
    19,3
    20,2
    15 Ă  29 ans
    18,9
    20,7
    0 Ă  14 ans
    18,7

    Vie locale

    Services publics présents sur la commune : mairie, école maternelle et primaire, avec cantine scolaire, garderie périscolaire, bibliothèque, point poste. D'autres services publics se trouvent à Baugé, dont le collège et le centre de secours[29].

    La plupart des structures de santé se trouvent à Baugé (km)[8], comme l'hôpital local, l'hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (95 places), et plusieurs maisons de retraite[39].

    La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du canton de Baugé. La déchèterie intercommunale se situe sur la commune de Saint-Martin-d'Arcé[30].

    On trouve plusieurs sociétés de boule de fort sur la commune de Cheviré : L'Agriculture, La Fraternité, Le Progrès et Le cercle des Laboureurs, situé dans le hameau du Pont[40].

    Économie

    Tissu Ă©conomique

    Commune principalement agricole, fin 2008, sur les 70 établissements présents sur la commune, 44 % relevaient du secteur de l'agriculture[41]. Deux ans plus tard, en 2010, sur 79 établissements présents, 39 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 11 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 38 % de celui du commerce et des services et 6 % du secteur de l'administration et de la santé[9].

    Sur 70 établissements présents sur la commune à fin 2013, 36 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 14 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 31 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[10].

    Agriculture

    Liste des appellations présentes sur le territoire[42] :

    • IGP BĹ“uf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de LouĂ©, IGP Volailles du Maine, IGP Ĺ’ufs de LouĂ©,
    • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton,
    • IGP Maine-et-Loire blanc, IGP Maine-et-Loire rosĂ©, IGP Maine-et-Loire rouge.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune de Cheviré-le-Rouge comporte plusieurs inscriptions à l'inventaire du patrimoine[43], dont un monument historique[44] :

    • Ă©glise paroissiale Saint-MĂ©dard, Monument historique classĂ© le 11 juin 1966 pour le chĹ“ur et le clocher, clocher du XIe et XIIIe siècle, chĹ“ur Ă©difiĂ© au XIIIe siècle, de style gothique PlantagenĂŞt, et nef et transepts du XIXe siècle[45] ;
    • Église Saint-MĂ©dard.
      Église Saint-Médard.
    • Église Saint-MĂ©dard.
      Église Saint-Médard.
    • Église - clocher.
      Église - clocher.
    • Église - abside.
      Église - abside.
    • chapelle funĂ©raire Saint-Louis-Saint-RenĂ©, des XVIe et XIXe siècles, Inventaire gĂ©nĂ©ral ;
    • château la Crochardière, du XIXe siècle, Inventaire gĂ©nĂ©ral ;
    • château Moulines, des XIVe XVIe XVIIe et XVIIIe siècles, Inventaire gĂ©nĂ©ral ;
    • château de la Roche-Hue du XIXe siècle, sur des ruines du XVIIe siècle, Inventaire gĂ©nĂ©ral ;
    • plusieurs manoirs, dont manoir Hautpignel et chapelle du XVe siècle, manoir la Grande-Mulottière des XIVe XVIe XVIIe et XVIIIe siècles, manoir de Bois-Bineteau des XVe XVIe et XVIIIe siècles, Inventaire gĂ©nĂ©ral ;
    • presbytère, du XVIIIe siècle, Inventaire gĂ©nĂ©ral ;
    • prieurĂ© de BĂ©nĂ©dictins, du XVe siècle, Inventaire gĂ©nĂ©ral ;
    • temple de Protestants dit le PrĂŞche, lieu-dit Beauvais, du XVIIe siècle, Inventaire gĂ©nĂ©ral ;
    • plusieurs fermes et maisons, des XVe XVIe XVIIe et XVIIIe siècles, Inventaire gĂ©nĂ©ral.

    Autres lieux et monuments :

    • lavoir des Langottières,
    • sociĂ©tĂ©s de boule de fort.

    Personnalités liées à la commune

    • Marie de La Bouillerie (1822-1894), sous-prĂ©fet et homme politique français du XIXe siècle, dĂ©cĂ©dĂ© Ă  La Roche-HuĂ© (commune de ChevirĂ©-le-Rouge)[46].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • CĂ©lestin Port (Ă©dition rĂ©visĂ©e par Jacques Levron et Pierre d'HerbĂ©court), Dictionnaire historique, gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 740-742.
    • CĂ©lestin Port, Dictionnaire historique gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re Ă©d., p. 691-693.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂŞte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. « Arrêté no DRCL-2015-525 du 10 juillet 2015 portant création de la commune nouvelle de Baugé-en-Anjou », Recueil spécial des actes administratifs de la préfecture de Maine-et-Loire, no 47,‎ (lire en ligne [PDF]).
    2. IGN et BRGM, Géoportail Cheviré-le-Rouge (49), consulté le 14 mars 2012.
    3. Paul Wagret, Jacques Boussard, Jacques Levron et Simone Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, (BNF 31614504), p. 10.
    4. IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
    5. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
    6. Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Les régions naturelles, le climat », sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014 (version du 28 janvier 2010 sur Internet Archive), consulté le 24 mai 2011.
    7. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 5 juillet 2011.
    8. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Cheviré-le-Rouge (49) », sur Lion1906 (version du 5 mai 2016 sur Internet Archive), consulté le 14 mars 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
    9. Insee, Statistiques locales du territoire de Cheviré-le-Rouge (49), mis à jour le 31 décembre 2012.
    10. Insee, Statistiques locales du territoire de Cheviré-le-Rouge (49), consultées le 20 juillet 2016.
    11. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux de France, Larousse, 1963.
    12. Célestin Port 1874, p. 691-693 — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
    13. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 63.
    14. C.C. du canton de Baugé, Commune de Cheviré-le-Rouge, consultée le 12 avril 2012.
    15. CĂ©lestin Port 1965, p. 740-742.
    16. Prieuré, voir sur Wiktionnaire.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cheviré-le-Rouge », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    18. Memorialgenweb.org - Cheviré-le-Rouge : monuments et morts de la commune, consulté le 21 décembre 2013.
    19. Le Courrier de L'Ouest, « Feu vert à la création de la commune nouvelle : les résultats du vote », sur courrierdelouest.fr, .
    20. « Conseillers communaux », sur Mairie de Baugé-en-Anjou (consulté le ).
    21. « Baugé-en-Anjou. Municipales : les quinze maires délégués élus en 2020 », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    22. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
    23. Le Courrier de l'Ouest, André Guévara pour un deuxième mandat, article du 31 mars 2014.
    24. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    25. Arrêté préfectoral n° D3-94-932 du 23 décembre 1994 portant création de la Communauté de Communes du canton de Baugé.
    26. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012361-0003 portant modification des statuts de la Communauté de Communauté du Canton de Baugé, du 26 décembre 2012.
    27. Statuts de la Communauté de communes du Canton de Baugé, Arrêté préfectoral no 2007-107 du 9 mai 2007.
    28. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté no 2012354-0007 portant modification des statuts du Syndicat Mixte du Pays des Vallées d'Anjou, du 19 décembre 2012.
    29. C.C. du canton de Baugé, Communauté de communes, consultée le 7 juillet 2011.
    30. SIVERT, C.C. canton de Baugé, consulté le 20 décembre 2010.
    31. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Cheviré-le-Rouge, consultée le 21 février 2015.
    32. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    33. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
    37. « Évolution et structure de la population à Cheviré-le-Rouge en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. Fédération Hospitalière de France, Hôpital local (Baugé), consulté le 6 octobre 2011.
    40. Mairie de Cheviré-le-Rouge, Les associations, consulté le 23 avril 2013.
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