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Vatteville-la-Rue

Vatteville-la-Rue est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Vatteville-la-Rue
Vatteville-la-Rue
L'église Saint-Martin et logis du Roy.
Blason de Vatteville-la-Rue
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité CA Caux Seine Agglo
Maire
Mandat
Jacques Charron
2020-2026
Code postal 76940
Code commune 76727
Démographie
Gentilé Vattevillais
Population
municipale
1 146 hab. (2020 en augmentation de 1,15 % par rapport à 2014)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 21″ nord, 0° 41′ 11″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 125 m
Superficie 51,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Port-Jérôme-sur-Seine
Législatives 5e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Vatteville-la-Rue
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Vatteville-la-Rue
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Vatteville-la-Rue
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Vatteville-la-Rue
Liens
Site web http://www.vattevillelarue.fr/

    Géographie

    Description

    Verger normand et arbre tétard.

    Vatteville-la-Rue est une commune de la vallée de la Seine, dans le Sud de la Seine-Maritime.

    Elle fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 843 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jumièges », sur la commune de Jumièges, mise en service en 1978[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 844,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 39 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Vatteville-la-Rue est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,8 %), terres arables (11,7 %), prairies (7,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,4 %), eaux continentales[Note 7] (3,7 %), zones urbanisées (3,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes In Watevilla (variante Vatevilla) vers 1025, Ecclesias de Wativille (variante Vatheville, Wateville, Vatheville, Vateville) entre 1032 et 1047, Ecclesiam de Watteuilla en 1142, Capelle de Watevilla en 1198, In parrochia de Wateville en 1281, Vatevilla en 1337, Vateville en 1431, Saint Martin de Vatteville en 1717 (Archives de Seine-Maritime G. 2483, 3267, 741), Saint Martin de Vateville près Caudebec en 1460 et en 1464, Vatteville en 1715, Vatteville la Rue en 1757 (Cassini)[21].

    Il s'agit d’une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », dont le premier élément Vatte- représente vraisemblablement un anthroponyme selon le cas général[22] - [23] - [24]. Il existe plusieurs noms de personnes qui conviennent dont le nom germanique continental Watto[22] - [23] - [24] ou un nom anglo-saxon *Watta[22]. Le second n'est pas attesté ce qui affaiblit cette hypothèse, en revanche il existe un nom de personne norrois Hvati[25] qui convient phonétiquement et qui explique aussi les homonymes Vatteville / Vatteport (Eure, Vexin) et les Vattetot (Seine-Maritime, pays de Caux) situés tous dans une zone de diffusion de la toponymie scandinave, d'ailleurs -tot est issu de l'ancien norrois topt, toft « emplacement d'une ferme, ancien établissement »

    L'appellatif vieux norrois Vatn « eau » a aussi été invoqué pour expliquer le premier élément[26], alors qu'il n'existe aucune trace d'un [n] dans les formes anciennes et que l'emploi d'un appellatif, a fortiori scandinave, est rare dans les noms en -ville.

    Le déterminant complémentaire la-rue apparaît au XVIIIe siècle, mais un décret du donne officiellement à cette commune ce substantif qui lui permet de se déterminer par rapport aux autres communes normandes homonymes ou paronymes[27].

    Histoire

    Il existe, au moins depuis le VIe siècle, un fisc[Note 8] appartenant directement aux rois mérovingiens, et que c'est vraisemblablement à Vatteville, où dans les abords immédiats[Note 9], que se situe le palais d'Arelaune, résidence fameuse des rois mérovingiens, dont la première mention se rencontre dans le récits de Grégoire de Tours lors d'évènements survenus en 537. En 650, Clovis II est au palais et, en 713, Pépin d'Héristal évoque la présence du roi Dagobert III, âgé de 14 ans dans la maison de plaisance d'Arelaune. C'est dans ce palais que sont signées de nombreuses chartes, notamment des donations en faveur de l'abbaye de Fontenelle[28].

    Dans une charte datée de 1025, Richard II de Normandie confirme des donations, dont celle d'Hugues, évêque de Bayeux, de 10 acres de près à Vatteville[29], ce qui laisse supposer que l'ancien fisc mérovingien se serait trouvé dans le patrimoine des ducs de Normandie.

    Entre 1032 et 1047, Guillaume d'Arques comte de Talou, fils de Richard II et de Papie, qui est en possession des biens, restitue à l'abbaye de Saint-Wandrille, à la prière de Groult, son abbé, l'île de Belcinac[Note 10] où saint Condède a mené sa vie érémitique et donne les églises de Vatteville et de Brotonne ainsi que la dîme des cerfs, sangliers et toute autres bêtes chassées dans les forêt éponyme. Après la confiscation par le duc de Normandie, des terres du comte de Talou, à la suite de sa révolte contre son autorité, en 1082, Guillaume le Conquérant, confirme à l'abbaye de Saint-Wandrille les donations de ses prédécesseurs, notamment l'île de Belcinac, les églises de Vatteville et de Brotonne et les dîmes sur le gibier de la forêt de Brotonne, concessions qui seront renouvelées et étendues cinq ans plus tard[30].

    Quand à la confirmation de 1086, signée apud Vattevillam, qui reprend celle du duc Guillaume, elle émane de Roger de Beaumont (v. 1015-1094), comte de Meulan, et de ses fils Robert et Henri[30].

    Politique et administration

    Mairie.
    Mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1860 Hulin
    1895 1912 Émile Hulin
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 2014 Jean-Claude Ropers PCF
    2014 En cours Jacques Charron SE Responsable de service étude
    Réélu pour le mandat 2020-2026[31] - [32]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2020, la commune comptait 1 146 habitants[Note 11], en augmentation de 1,15 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1651 2601 3141 2631 2261 1641 2581 1821 113
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0651 0411 031994911902913908855
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    842832732659616619625767735
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7446946367468978901 0161 0341 107
    2017 2020 - - - - - - -
    1 1401 146-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,5 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 575 hommes pour 561 femmes, soit un taux de 50,62 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,10 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    0,7
    4,5
    75-89 ans
    5,5
    16,5
    60-74 ans
    16,9
    22,4
    45-59 ans
    20,3
    19,7
    30-44 ans
    22,5
    14,5
    15-29 ans
    12,4
    22,1
    0-14 ans
    21,6
    Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    6,4
    75-89 ans
    9,4
    16,3
    60-74 ans
    17,3
    19,7
    45-59 ans
    19,3
    18,5
    30-44 ans
    17,7
    19,1
    15-29 ans
    17,5
    19,4
    0-14 ans
    17

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.
    • Le Logis du Roy.
      Le Logis du Roy.
    • La Ferme des Ancres.
      La Ferme des Ancres.
    • Ruines du Château de Quesney.
      Ruines du Château de Quesney.

    Personnalités liées à la commune

    • François Massieu, ingénieur des Mines, physicien né à Watteville le , décédé à Paris le et inhumé à Watteville. François Massieu est le créateur de la notion de potentiel thermodynamique, fondamentale pour la thermodynamique chimique.
    • Alain Etchegoyen, philosophe, y a été inhumé le samedi .
    • Pierre Poulingue (1933-2017), coureur cycliste professionnel né à Vatteville, ayant terminé 48e du Tour de France 1957.

    Héraldique

    Armes de Vatteville-la-Rue

    Les armes de la commune de Vatteville-la-Rue se blasonnent ainsi :
    De gueules au trois-mâts d'or ; au chef d'argent chargé d'une salamandre de sable accostée d'une feuille de hêtre à dextre et d'une feuille de chêne à senestre, toutes deux versées et du même[42].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Photo-Club Rouennais (préf. Gaston Le Breton, ill. Jules Lecerf), Normannia. Documents sur la Normandie, J. Lecerf, , 75 p. (OCLC 81680380, BNF 34102943), « L'église de Vatteville-la-Rue (Seine-Inférieure) »

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Vatteville-la-Rue », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Grand domaine et unité administrative regroupant une ou plusieurs unités économiques (villae).
    9. Son emplacement précis n'est toujours pas connu malgré l'abondance des trouvailles archéologiques, et on ne sait pas s'il il s'agit d'une construction d'époque mérovingienne où si l'on a réutilisé une villa antérieure, et rien ne prouve qu'il s'agit d'un palais construit par Clovis.
    10. L'ile invisible aujourd'hui était située à la hauteur de Villequier, et se trouve englobé, à la suite de l'endiguement de 1846, dans les prairies humides de Vatteville.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    7. « Station Météo-France Jumièges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Vatteville-la-Rue et Jumièges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Jumièges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Vatteville-la-Rue et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de Seine-Maritime comprenant les noms de lieux anciens et modernes, 1982 (réédition), p. 1042.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 161.
    23. .
    24. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen, Éditions Charles Corlet, 2003 (ISBN 978-2847061420), p. 264a
    25. Site de Nordic Names : nom de personne Hvati.
    26. Guy Chartier, « De l'étymologie de certains noms de communes normandes » in Annales de Normandie, Année 1999, p; 113.
    27. Christian Guerrin, « Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime » in Nouvelle revue d'onomastique, Année 2000, page 313.
    28. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 21.
    29. Flambard Héricher 2023, p. 22.
    30. Flambard Héricher 2023, p. 24.
    31. « Municipales 2020. Jacques Charron brigue un nouveau mandat avec la liste « Tous ensemble pour Vatteville » : Maire depuis 2014, Jacques Charron s’inscrit dans la continuité de ce qui a été réalisé précédemment », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu municipal depuis 2008 et maire depuis 2014, Jacques Charron mène la liste « Tous ensemble pour Vatteville », comportant 9 élus sortants, aux prochaines élections municipales ».
    32. « Vatteville-la-Rue. Jacques Charron a été réélu maire », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vatteville-la-Rue (76727) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Seine-Maritime (76) », (consulté le ).
    39. « Notice n°PA00101081 ».
    40. Paris-Normandie, Vatteville-la-Rue : la restauration de l’église va commencer, 8 février 2019.
    41. « Notice n°PA76000022 ».
    42. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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