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Usson-en-Forez

Usson-en-Forez est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes, et faisant partie de Loire Forez Agglomération.

Usson-en-Forez
Usson-en-Forez
Vue générale du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Loire Forez Agglomération
Maire
Mandat
Hervé Béal
2020-2026
Code postal 42550
Code commune 42318
DĂ©mographie
Gentilé Ussonnais, Ussonnaises
Population
municipale
1 490 hab. (2020 en diminution de 0,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 32 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 23′ 27″ nord, 3° 56′ 32″ est
Altitude Min. 767 m
Max. 1 137 m
Superficie 47,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Just-Saint-Rambert
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Usson-en-Forez
Liens
Site web usson-en-forez.fr

    GĂ©ographie

    Situation

    Comme son nom l'indique, Usson fait partie du Forez[1]. La commune est 42 km au sud-ouest de sa sous-prĂ©fecture Montbrison[2] et 51 km Ă  l'ouest de sa prĂ©fecture Saint-Étienne[3]. Usson se trouve aux limites du Velay, du Forez et de l'Auvergne. SituĂ©e sur un plateau montagneux, la commune bĂ©nĂ©ficie d'un micro-climat ensoleillĂ©. Usson-en-Forez compte 55 hameaux[1].

    Communes limitrophes

    Localisation du village et des communes aux alentours.

    Description

    La superficie de la commune est de 47,24 km2 ; son altitude varie de 767 Ă  1 137 mètres[4].

    Le Poyet est le hameau le plus Ă©levĂ©. Le point culminant est au nord, Ă  1 137 m sur un contrefort du Jametton (le sommet du Jametton est sur Saillant, Ă  1 206 m)[1].

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Chandieu. L'Ance coule sur la limite de la commune et le département de la Haute-Loire.

    Urbanisme

    Typologie

    Usson-en-Forez est une commune rurale ; elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8] - [9].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Icidmagus (lire *Icio-) au IVe siècle[10].

    Il remonte à un type toponymique gaulois Icio-mago[11], le second élément étant bien identifié, à savoir le gaulois magos « champ, marché » (cf. vieil irlandais mag, génitif maige « plaine, terrain découvert, champ »)[12] - [13]. Il a parfois abouti à la terminaison -on dans la toponymie française, aussi bien au nord qu'au sud (cf. certains Argenton).

    En revanche, la nature du premier élément Icio- pose davantage problème. On peut y voir un anthroponyme gaulois Iccius[12], que l'on retrouve dans le type toponymique *Icciacum (combiné au suffixe de localisation et de propriété -acum, d'origine gauloise) qui a donné les Issy, Issac, etc. ou encore un appellatif ico-, dont le sens est hypothétique, peut-être un nom d'oiseau proche parent du latin pīcus, pīca « pivert, pie »[14], on le rapproche alors du nom de personne Icovici, qui serait formé sur le même modèle que Brannovices sur branno- « corbeau »[14], à moins d'y voir un icos « pointe, pic, montagne »[14].

    Le village fait partie de l'aire d'influence de l'occitan et y est appelé Usson de Forés.

    Histoire

    Antiquité

    Usson succède Ă  un ancien site gallo-romain Iciomago. Des routes d'Ă©poque romaine sont d'ailleurs encore prĂ©sentes sur la commune. La ville est citĂ©e sur la table de Peutinger sur la voie Bolène reliant Aquis Segete (Moingt) et Reuessione (Ruessio, Saint-Paulien). La voie a Ă©tĂ© signalĂ©e Ă  Chalenconnet, 3,9 km au nord du bourg. Elle passait ensuite au hameau de la Boulaine Ă  km au nord-est d'Usson[15] Une borne milliaire portant le nom de l'empereur Maximin (235-238)[16] a Ă©tĂ© trouvĂ©e au hameau de Grangeneuve Ă  500 m au nord d'Usson, ainsi que des monnaies de Trajan, NĂ©ron, Domitien[17]… Elle est plus ou moins visible Ă  Jouanzecq (km au sud-ouest du bourg), après quoi elle descend la pente raide de la vallĂ©e de l'Ance et sort de la commune en traversant cette rivière aux abords de Pontempeyrat[18] - [1]. Le « GR 765 ouest » recoupe souvent son trajet sur la commune[1]. Une borne milliaire a Ă©tĂ© trouvĂ©e sur Usson-en-Forez, qui Ă©tait utilisĂ©e pour soutenir une galerie ; mais il semble qu'elle a Ă©tĂ© perdue, avant 1858[19]. Son inscription cite l'empereur Maximin (25-28) et, plus prĂ©cisĂ©ment, son proconsulat ; ce qui date la borne de l'an 236 au plus tard[20]. Cette inscription indique aussi qu'elle marque le quatorzième milliaire et qu'elle a Ă©tĂ© installĂ©e en remplacement d'une borne dĂ©truite par vĂ©tustĂ©[21].

    Moyen Ă‚ge

    Au Moyen Âge, un seigneur local avait construit un château dont il reste aujourd'hui des portions de fortification. Le château est cité dans le cartulaire de Chamalières, entre 954 et 981 et devait appartenir à la famille des Baffie. Plusieurs tours sont encore dressées. L'une d'entre elles est comprise dans l'enceinte de l'écomusée du Forez[22].

    Un des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle passe par Usson, en descendant de Montarcher. À l'âge d'or du monastère de la Chaise Dieu, des moines Casadéens étaient fixés à Usson sur le site de l'église de Chambriac.

    Au XIIIe siècle, le seigneur d'Usson appartenait à la famille de Rochebaron, puis à la famille de La Roue. Elle est pillée en 1361 par un seigneur de Polignac, probablement Armand IX. De nouveau attaquée vers 1380, le château et l'église Saint-Barthélemy sont saccagés. La paroisse dépendait au spirituel du diocèse du Puy-en-Velay et la ville possédait deux églises : Saint-Barthélemy, dite église majeure en 1347, et Saint-Symphorien.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ? 1943 Daniel Col révoqué par le Gouvernement de Vichy[23]
    1959 1971 Daniel Col commerçant
    1971 1977 Maurice Aubert hĂ´telier
    1977 1989 Jean Picard pâtissier
    1989 1997 Guy Rival restaurateur
    1997 2001 Jean Picard pâtissier
    mars 2001 2008 Jeanine Crozet fonctionnaire PTT
    mars 2008 En cours Hervé Béal[24] expert comptable

    Usson-en-Forez faisait partie de la communauté de communes du Pays de Saint-Bonnet-le-Château de 1996 à 2016, puis a intégré Loire Forez Agglomération.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2020, la commune comptait 1 490 habitants[Note 2], en diminution de 0,13 % par rapport Ă  2014 (Loire : +1,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 0003 5783 5062 8733 8003 7693 7883 7803 736
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 5613 4703 4593 2723 3413 1883 2263 1493 166
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9292 7962 8782 5072 4062 2012 2392 1031 922
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 8201 6981 4561 3421 2651 2321 3911 4101 466
    2015 2020 - - - - - - -
    1 5001 490-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Scieurs de long du Forez vers 1900
    Scieurs de long du Forez vers 1900.

    L'histoire économique du village a été marquée comme ailleurs dans la région, par l'agriculture, l'élevage et la sylviculture, mais aussi par la production de poix. Des fours à poix jalonnent la commune, en particulier en bordure de forêts. Cette poix était utilisée pour l'étanchéification des rambertes, barques en bois qui descendaient la Loire.

    Venus des monts du Forez, les scieurs de long partaient Ă  la scie de la Saint-Michel Ă  la Saint-Jean vers des climats plus mĂ©ridionaux. La montagne de Lure, suivie du mont Ventoux fut un de leurs lieux de prĂ©dilection. OrganisĂ©s en brigades, venant du mĂŞme village et souvent parents, ils apportaient leurs scies pour dĂ©biter les troncs des hĂŞtres en planches. MĂŞme si quelques-uns avaient fait le voyage au cours du XVIIIe siècle, le gros de leur contingent vint travailler dans les forĂŞts de Lure Ă  partir du premier Empire, oĂą Ă  Saint-Étienne-les-Orgues la population passa de 700 habitants, en 1806, Ă  1 326, en 1836. Leurs carnets d'ouvriers, obligatoirement visĂ©s par les autoritĂ©s, ont permis de connaĂ®tre leurs noms et leurs lieux d'origine. Ils arrivaient de Saillant, Usson-en-Forez et Saint-Julien-Chapteuil. Ils se nommaient Allivot, Savinel, Courveille, Jouvet, Bouillon ou Faveral et leurs patronymes se retrouvent encore sur place quand ils ont fait souche. InstallĂ©s, ils devenaient marchands de bois ou de vin[29].

    À partir de 1873, l'économie d'Usson a connu un essor important après la construction du chemin de fer qui reliait directement la commune à Saint-Étienne. Cette voie est aujourd'hui interrompue. Seul subsiste un train touristique entre Estivareilles et Sembadel.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux-dits et hameaux

    Un lavoir en pierre situé au hameau de Daniecq.
    • Aurelle
    • la Borie
    • le Besset-Bas
    • le Besset-Haut
    • la Breure
    • la Breurette
    • Chalanconnet
    • Daniecq
    • Danizet
    • le Faveyrial
    • Fraisse la CĂ´te
    • Fraisse Rival
    • Fromentier
    • la Garde-Montsagny
    • la Garde-Paradis
    • Grangevieille
    • Grangeneuve
    • Jouanzecq
    • Lair
    • Lissac
    • Mons
    • le Moulin-Rival
    • le Pin
    • Pontempeyrat
    • les fonds
    • PĂ©rigaud
    • Roche
    • Salayes
    • les Sucs
    • les Terrasses
    • le TrĂ©molet
    • le Vernet
    • Teyssonnières
    • l'Hermet

    Lieux notables

    L'Ă©glise et la croix de mission construite en 1828.
    La reconstruction a été entreprise par les moines de l'abbaye de la Chaise-Dieu. Au moment de sa construction, l'église ne comprenait qu'une seule nef orientée est-ouest sur laquelle s'ouvraient dix chapelles latérales. Ces chapelles étaient desservies par des confréries ou des congrégations ou appartenaient à des familles de notables dans lesquelles elles avaient leurs bancs et leurs sépultures. Le cimetière entourait l'église sur trois côtés.
    Le clocher a été construit en 1601.
    En 1731, les deux chapelles proches du chœur et situées de part et d'autre — chapelle de la Vierge et chapelle Saint-Symphorien — sont agrandies pour former un transept. Quelques années plus tard, on ajouta à l'est à chacune de ses chapelles une sacristie.
    L'augmentation de la population de la commune nécessita d'agrandir l'église en 1883. Le curé Dumas fit reporter vers l'extérieur les murs des chapelles pour créer de part et d'autre de la nef centrale des collatéraux plus large que le vaisseau central.
    Le clocher est modifié en 1871 pour lui donner sa forme actuelle[32].
    • La chapelle Notre-Dame-de-Chambriac[33] qui date du XIIe siècle.
    • La chapelle Sainte-Reine au hameau de Lissac[34], qui contient une miniature originale sur les instruments de la Passion fabriquĂ©e en ivoire.
    • Des croix et des oratoires, dont les hameaux de la commune sont parsemĂ©s, Ă  la croisĂ©e des chemins. Ces croix, en pierre ou en mĂ©tal, sont très anciennes et caractĂ©ristiques de la rĂ©gion du Forez.
    • Ensemble.
      Ensemble.
    • Vaisseau central.
      Vaisseau central.
    • ÉlĂ©ment roman du Xe siècle rĂ©utilisĂ© dans l'Ă©glise actuelle.
      Élément roman du Xe siècle réutilisé dans l'église actuelle.
    • L'Ă©comusĂ©e des Monts du Forez (anciennement musĂ©e rural[35]), est situĂ© sur le site d'un ancien couvent, intĂ©grĂ© dans les ruines du château, labellisĂ© « musĂ©e de France » depuis 2002 et « jardin remarquable » depuis 2006. Entre 3000 et 10 000 visiteurs frĂ©quentent chaque annĂ©e ce musĂ©e[36]. C'est un chirurgien-dentiste, Alex FollĂ©as, qui initia le musĂ©e avec le don de la collection initiale, qui compte actuellement 1 500 m2 de surface d'exposition et un jardin de curĂ©[37].
    • La borne qui marque la frontière entre Forez, Auvergne et Velay.
    • Les fours Ă  poix.
    • Un plan d'eau, Ă  l'entrĂ©e du village, alimentĂ© par les eaux du Chandieu. Cette retenue n'Ă©tant pas surveillĂ©e, la baignade est interdite mais un Ă©tang qui se situe quelques mètres en amont constitue un plan d'eau idĂ©al pour baignade, pique-nique, partie de pĂ©tanque.
    • La ligne de chemin de fer touristique du Haut-Forez, qui franchit la rivière Ance par le viaduc de Pontempeyrat, reliant les communes d'Usson-en-Forez et de Craponne-sur-Arzon.
    • Viaduc de Pontempeyrat sur la ligne de chemin de fer touristique du Haut-Forez(Estivareilles-La Chaise-Dieu).
      Viaduc de Pontempeyrat sur la ligne de chemin de fer touristique du Haut-Forez
      (Estivareilles-La Chaise-Dieu).
    • Les piles du viaduc.
      Les piles du viaduc.
    • Le tracĂ© lĂ©gèrement courbe de la voie.
      Le tracé légèrement courbe de la voie.
    • Tunnel de Pontempeyrat.
      Tunnel de Pontempeyrat.

    Personnalités liées à la commune

    Jean-Claude Courveille, fondateur des Maristes.
    • Jean-Claude Courveille (1787-1866), un des trois fondateurs des Maristes. Fils de Marguerite Beynieux et de Claude Courveille, marchand demeurant Ă  Usson, il naquit dans cette commune le . Durant la RĂ©volution, ses parents, fervents catholiques, cachèrent dans leur maison une statue de la Vierge vĂ©nĂ©rĂ©e dans le village sous le vocable de Notre-Dame-de-Chambriac et qui Ă©tait dite miraculeuse[38].
    • Jean-Pierre Bravard (1811-1876), Ă©vĂŞque de Coutances et Avranches de 1862 Ă  1876, est nĂ© Ă  Usson.

    HĂ©raldique

    Les armoiries de Usson-en-Forez se blasonnent ainsi :
    Écartelé : au 1er de gueules au dauphin d’or et au chef de gueules chargé d'une divise ondée cousue d’azur, aux 2e et 3e de sinople à la tour droite d’argent ouverte de sable, au 4e d’or au gonfanon de gueules frangé de sinople et au chef d'or chargé d’une divise ondée d’azur.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Gabrielle TrĂ©nard, Dictionnaire du monde religieux dans la France contemporaine, tome VI, Jean-Claude Courveille, p. 134–135, sous la direction de Xavier de Montclos, Ă©d. Beauchesnes, Paris, 1994 (ISBN 2701013054)

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes

      Références

      1. « Usson-en-Forez, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
      2. © les contributeurs d'OpenStreetMap, « Distance par la route entre Usson-en-Forez et Montbrison », OpenStreetMap (consulté le ).
      3. © les contributeurs d'OpenStreetMap, « Distance par la route entre Usson-en-Forez et Saint-Étienne », OpenStreetMap (consulté en ).
      4. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
      5. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      7. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      10. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 691a.
      11. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Ă©ditions Errance, (ISBN 2-87772-237-6), p. 186.
      12. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
      13. Xavier Delamarre, op. cit., p. 213.
      14. Xavier Delamarre, op. cit., p. 187.
      15. [Faure 1997] Roger Faure, « En suivant la voie Bolène », Village de Forez, nos 71-72, supplément, 25 p.,‎ , p. 21 (lire en ligne [PDF] sur forezhistoire.free.fr, consulté en ).
      16. « Milliaire (Usson-en-Forez, rue du Stand) », notice no IA42000414, base Mérimée, ministère français de la Culture.
      17. J.-E. Dufour, Dictionnaire topographique de la Loire, 1007-1008, Publications de l'université de Saint-Étienne, Saint-Étienne, 2006 (ISBN 978-2862724126).
      18. Faure 1997, p. 23.
      19. [Bernard 1859] Auguste Bernard, « Première lettre de A. Bernard à M. Guillien du 22 décembre 1858 », dans Supplément à la « Description du pays des Ségusiaves » (cette lettre donne de nombreux détails sur la « colonne milliaire » de Moingt et sur d'autres bornes milliaires des alentours), Paris, libr. Dumoulin, , 171 p. + supplément 61, sur books.google.fr (lire en ligne), p. 6 de cette lettre
        médaille d'or pour cet ouvrage au concours des Antiquités nationales de 1859 (voir vers la fin du livre, entre les deux "Suppléments").
      20. [Maret 1858] Alain Maret, « La colonne milliaire d'Usson en Forez », Revue du Lyonnais, t. 17,‎ , p. 317-320 (voir p. 318 pour la datation) (lire en ligne [sur books.google.fr], consulté en ).
      21. Maret 1858, p. 320.
      22. Voir le site de l'écomusée du Forez.
      23. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6490619t/f4.highres
      24. « USSON-EN-FOREZ », sur le site de l'association des maires de France (consulté le ).
      25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      29. Guy Barruol, André de Réparaz et Jean-Yves Royer, La Montagne de Lure, op. cit., p. 102.
      30. Notice no IA42000263, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église Saint-Symphorien.
      31. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
      32. Documentation : panneau d'information à l'intérieur de l'église.
      33. Notice no IA42000401, base Mérimée, ministère français de la Culture : Chapelle ; couvent de filles, Notre-Dame de Chambriac.
      34. Notice no IA42000454, base Mérimée, ministère français de la Culture : chapelle Sainte-Reine.
      35. Visiter l'écomusée d' Usson-en-Forez, Forez Infos, 22 novembre 2007
      36. Fréquentation sur la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture et de la Communication
      37. Musée, Usson-en-Forez
      38. Gabrielle Trénard, op. cit., p. 134.
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