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Université Paris-Saclay

L’université Paris-Saclay est une université française créée le par décret paru au Journal officiel en tant qu’établissement expérimental public à caractère scientifique, culturel et professionnel[1]. Elle est l’héritière de l’université Paris-Sud-XI, créée le .

Université Paris-Saclay
Le bâtiment Pascal (530) au sein de l'université Paris-Saclay.
Histoire
Fondation
2015 : création de la ComUE
2019 : création de l’EPE
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)
Nom officiel
Université Paris-Saclay
Président
Estelle Iacona
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
48 000
Enseignants-chercheurs
9 000
Classement
Rang national
1e/85 ARWU (2022)
4e/85 THE (2022)
Rang international
13e/1 000 ARWU (2022)
117e/1 600 THE (2022)
Localisation
Pays
Campus
Localisation
Carte

Jusqu’en , l’université Paris-Saclay était une communauté d’universités et d’établissements (ComUE). Sa création a pour but initial de constituer le pôle de formation et de recherche de la « grappe industrielle » Paris-Saclay[2].

L’université Paris-Saclay succède à l’université Paris-Sud, supprimée le , et intègre l'École normale supérieure Paris-Saclay, CentraleSupélec, l’Institut d’Optique et AgroParisTech en tant qu’établissements-composantes ; ainsi que l’Institut des hautes études scientifiques (IHES) en tant qu’organisme de recherche[1]. Les universités de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines et d’Évry-Val-d’Essonne sont également membres associés de l’établissement et devraient évoluer vers un statut d’« universités intégrées » d’ici 2025.

Elle est membre et coordonne l’alliance universitaire européenne European University Alliance for Global Health depuis le [3] et de l'association Udice depuis 2020.

Histoire

Origine et contexte

En 2003, paraît le premier classement de Shanghaï, qui se fixe pour objectif de classer les meilleurs établissements d’enseignement supérieur du monde. La France ne compte que deux universités parmi les cent premières de ce classement, et la première n’arrive qu’à la 65e place[4].

Très critiqué, le classement de Shanghaï n’avantage pas les institutions d’enseignement supérieur et de recherche françaises, car ses critères favorisent les grandes structures produisant beaucoup de recherche. Or en France, le paysage académique est morcelé entre des grandes écoles de petite taille, des universités fragmentées et spécialisées à la suite des événements de mai 68 et des organismes de recherche qui, comme leur nom l’indique, concentrent l’essentiel de la recherche française mais ne délivrent pas de diplôme universitaire, et ne sont donc pas éligibles au classement.

Forts de ce constat et dans un contexte de mondialisation de l’enseignement supérieur qui accentue la compétition entre les acteurs[5], les gouvernements français successifs financent et encouragent une restructuration des institutions avec l’objectif affiché de faire émerger des pôles « d’excellence » ayant une visibilité mondiale.

Parallèlement et antérieurement à cela, le plateau de Saclay a vu s’installer un tissu académique et industriel dès l’immédiat après-guerre. L’université Paris-Saclay est l’un des deux pôles issus de la restructuration de ce tissu[6].

2007-2014 : genèse d’un regroupement au pôle Paris-Saclay

En 2007, le pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES) UniverSud Paris est créé sous la forme juridique d’un établissement public de coopération scientifique[7]. Le pôle a trois membres fondateurs.

En 2008, l’université Paris-Sud et l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines font partie des 21 établissements lauréats du Plan campus, auxquels le PRES est associé[8]. Ces établissements s’engagent alors dans une coopération de plus grande envergure, à savoir la constitution de l’Université Paris-Saclay. Le projet d’université est lancé à la suite de sa validation par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche dans le cadre du Plan campus[9].

La Fondation de coopération scientifique Campus Paris-Saclay, présidée à l’époque par Alain Bravo, avait été créée pour fédérer les différents établissements universitaires et scientifiques, assurer la gestion des réseaux thématiques de recherche avancée (RTRA) Digiteo et Triangle de la physique et assurer la création de la communauté[10]. En lien avec le projet d’aménagement du pôle technologique de Paris-Saclay, de nombreux établissements y prévoient leur déménagement[11] - [12].

Au dĂ©but des annĂ©es 2010, le FCS Campus Paris-Saclay rivalise avec l’universitĂ© Stanford et le Massachusetts Institute of Technology (MIT) en nombre de publications scientifiques, et les dĂ©passe en nombre de chercheurs : en 2009, Stanford en compte 1 900, le MIT 4 500 et Paris-Saclay 9 200[13]. En 2020, annĂ©e d’achèvement prĂ©visionnelle du projet, leur nombre devrait atteindre 12 000[13].

En , les différents membres adoptent les statuts de la communauté d'universités et établissements (ComUE) « université Paris-Saclay », lui permettant de délivrer les diplômes de licence, master et doctorat[14]. Les statuts sont approuvés par un décret signé le [15]. La première rentrée a lieu en [16].

2015-2019 : communauté d’universités et établissements

Confronté aux désaccords entre ses membres (entre écoles et universités, ou entre leurs ministères de tutelle[17]), le projet végète comme le constate la Cour des comptes dans son rapport du [18], pointant notamment un manque de logements et de moyens de transport, ainsi qu’un manque de vision stratégique[19], et ce malgré cinq milliards d’euros prévus (engagés ou envisagés)[20].

L’université Paris-Sud propose alors en avril 2017 sa fusion dans l’université Paris-Saclay, et l’intégration des écoles au futur établissement en tant qu’établissements-composantes[21].

Ce blocage amène Emmanuel Macron à annoncer le , lors de son inauguration du nouveau campus de CentraleSupélec, la séparation des différents membres en deux entités universitaires, l’université Paris-Saclay et l’institut polytechnique de Paris[22] - [23] - [24].

Sous ce périmètre restreint, un nouvel établissement public expérimental (EPE) « université Paris-Saclay » est créé le [1]. La ComUE et l’université Paris-Sud disparaissent le au profit de l’EPE[25].

2020 - aujourd’hui : établissement public expérimental

En , l’université Paris-Saclay fait son entrée dans le classement de Shanghai en étant placée au 1er rang mondial dans le domaine des mathématiques ainsi qu’au 9e rang mondial dans le domaine de la physique[26].

Alors qu’elles devaient initialement fusionner avec l’université Paris-Saclay, les universités de Versailles – Saint-Quentin-en-Yvelines et d’Évry-Val-d’Essonne évolueront plutôt vers un statut d’« universités intégrées » d’ici 2025, conservant ainsi leur personnalité morale[27] - [28]. Cette décision a notamment été soutenue par la première présidente de l’université Sylvie Retailleau avant son départ pour le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en mai 2022[29].

Gouvernance

L’université Paris-Saclay est dirigée par un président élu par le conseil d’administration. Le conseil d’administration comprend 36 administrateurs, représentant les établissements membres, le personnel, les étudiants, les collectivités territoriales et le monde socio-économique. Le conseil académique, composé de 141 membres, exerce un rôle délibératif et consultatif[1].

Présidents
IdentitéPériode
DĂ©butFin
Sylvie Retailleau[30] - [31]
Estelle Iacona (d)[32]

Organisation

Contrainte simultanément par l’histoire de l’enseignement supérieur et de la recherche en France et par un modèle anglo-américain disposant d’une meilleure visibilité internationale[note 2] - [33], l’université Paris-Saclay a opté pour une organisation matricielle[34], dans laquelle des opérateurs agissent sur des structures internes.

Ces opérateurs proviennent d’horizons très divers : internes, issus de l’université Paris-Sud ; ou externes comme les grandes écoles et organismes de recherche, de statut public ou privé.

Opérateurs

Les opérateurs de l’université Paris-Saclay sont les composantes, établissement-composantes, universités membres associés ou organismes nationaux de recherche et organismes de recherche partenaires qui participent à la gouvernance de ses structures internes, contribuent à leurs missions et leur attribuent des moyens[1].

Composantes

Les composantes sont les opérateurs internes de l’université, c’est-à-dire ceux ne disposant pas d’une personnalité morale[35].

Instituts universitaires de technologie

Au , l’université Paris-Saclay comprend les instituts universitaires de technologie suivants[1] :

Polytech Paris-Saclay

Polytech Paris-Saclay est l’école d’ingénieurs interne de l’université[1].

Unités de formation et de recherche

Au , l'université Paris-Saclay regroupe les unités de formation et de recherche suivantes, nommées facultés[1] :

Établissements-composantes

Au , l’université Paris-Saclay regroupe les « établissements-composantes » suivants[1] :

Universités membres associés

Au , l’université Paris-Saclay regroupe les membres associés suivants[1] :

Organismes de recherche

Au , l’université Paris-Saclay comprend un organisme de recherche[1] :

Organismes nationaux de recherche partenaires

Au , l’université Paris-Saclay associe à sa gouvernance les organismes nationaux de recherche suivants[1] :

Structures internes

Les activités de formation et recherche de l’université sont réparties au sein de nouvelles structures internes, établies selon des principes d’autonomie et de subsidiarité[1].

École universitaire de premier cycle Paris-Saclay

Créée en 2019, l’école universitaire de premier cycle Paris-Saclay a accueilli ses premiers étudiants en [36]. L’école gère l’ensemble des formations du premier cycle de l’université : licences, licences professionnelles, DUT, DEUST, BUT ainsi que des années préparatoires avant d’autres études scientifiques ou médicales[37].

Seule exception, l’école ne gère pas les licences double-diplômes (une licence adossée à un diplôme universitaire[38]), plus sélectives[39]. Selon Frédéric Baudin et Yves Lévi, enseignants à Paris-Saclay, il y a ainsi une distinction entre les licences délivrées par l’école universitaire de premier cycle Paris-Saclay et celles réellement estampillées université Paris-Saclay[40].

L’école universitaire Paris-Saclay est composée de 10 campus dans l’Essonne, le Val-de-Marne, les Hauts-de-Seine et les Yvelines[36].

Écoles graduées

Les « écoles graduées » (traduction proposée de graduate school) sont des structures internes portant les diplômes de niveaux masters et doctorat, ainsi que la recherche sur un périmètre disciplinaire, thématique ou une mission[1].

Chaque école graduée rassemble un ou plusieurs opérateurs, qui apportent des moyens humains et financiers à la structure. L’un de ces opérateurs est nommé coordinateur de l’école : par exemple l’école de physique est coordonnée par la faculté des sciences d’Orsay[35], tandis que celle des sciences de l’ingénierie et des systèmes est coordonnée par CentraleSupélec[41] - [34].

Si le fonctionnement initial est matriciel (chaque opérateur participe à plusieurs écoles ; chaque école reçoit la participation de plusieurs opérateurs), l’état final devrait voir la responsabilité juridique du personnel et les budgets correspondants transférés au coordinateur. Il y aura alors équivalence entre les structures politiques et les périmètres scientifiques. Ces convergences pourraient être visibles dès 2025 pour certaines écoles[34].

Institut des sciences de la lumière

L’Institut des sciences de la lumière est une structure interne de l’université Paris-Saclay élaborant et mettant en œuvre une stratégie de recherche en synergie avec des écoles graduées[1].

Formations

L’université propose différentes formations, à savoir[42] :

Recherche

En , l’université Paris-Saclay regroupe quelque 230 laboratoires[43].

Les laboratoires de l’université Paris-Saclay

  • AccĂ©lĂ©rateur linĂ©aire Ă  Orsay.
    Accélérateur linéaire à Orsay.
  • L’accĂ©lĂ©rateur linĂ©aire et tandem Alto Ă  Orsay.
    L’accélérateur linéaire et tandem Alto à Orsay.
  • Institut d’astrophysique spatiale Ă  Orsay.
    Institut d’astrophysique spatiale à Orsay.
  • Le Centre de protonthĂ©rapie d’Orsay.
    Le Centre de protonthérapie d’Orsay.

Sans exhaustivité, nous pouvons mentionner quelques laboratoires notables, dont l'université partage la tutelle :

Scientométrie

Classements internationaux :

Nom Année Rang (monde) Rang (France)
CWUR[44] 2022-2023 32 2
QS Top Universities[45] 2023 69 4
Shanghai Ranking[46] 2022 16 1
Times Higher Education[47] 2022 117 4

En 2022, l’université Paris-Saclay est classée à la 16e place mondiale dans le classement de Shanghai mais reste au 1er rang mondial dans le domaine des mathématiques et au 9e rang mondial dans le domaine de la physique.

En 2021, l’université Paris-Saclay se hisse à la 13e place mondiale dans le classement de Shanghai et reste au 1er rang mondial dans le domaine des mathématiques et au 9e rang mondial dans le domaine de la physique.

En 2020, l’université Paris-Saclay fait son entrée dans le classement de Shanghai à la 14e place mondiale[48], en étant classée au 1er rang mondial dans le domaine des mathématiques et au 9e rang mondial dans le domaine de la physique[26]. Dans le Center for World University Rankings 2020-2021, elle est classée 32e meilleure université du monde et 2e en France[49].

En 2019, l’ancienne université Paris-Sud était placée au 37e rang mondial classement de Shanghai[50].

En 2013, l’ancienne université Paris-Sud était classée 8e dans le top 100 des meilleures universités au monde ayant moins de 50 ans[51].

En 2015, l’ancienne université Paris-Sud est placée au 41e rang mondial du classement de Shanghai ; elle occupait le deuxième rang français et le neuvième rang européen[52].

Dans le domaine général sciences et mathématiques, Paris-Sud est en deuxième place des universités françaises, au 23e rang mondial en 2015. Dans le secteur médecine-pharmacie, Paris-Sud rentre dans le top 100, où se trouvent seulement deux autres universités françaises : l’ancienne université Paris-Descartes, devenue université de Paris, et l’ancienne UPMC, devenue Sorbonne Université. Dans les classements disciplinaires, Paris-Saclay est en 23e position mondiale en physique, et deuxième française[53]. En mathématiques, Paris-Saclay est stable à la 10e position mondiale en 2015[54].

Étudiants et enseignants notoires

Vie Ă©tudiante

La vie des campus a deux aspects : la culture associative et la qualité de la représentation par les élus étudiants.

Image du Lumen Learning Center en travaux.
Le Lumen Learning Center, encore en travaux, en août 2022.
Le Proto204, un tiers-lieu destiné à l’entrepreneuriat étudiant sur le campus d'Orsay de l’Université Paris-Sud (Paris-Saclay).

Les ressources documentaires devraient être regroupées au sein du Lumen Learning Center, dont le bâtiment conçu par l’agence Beaudouin en association avec MGM Architectos servira également d’espace de travail collaboratif[55].

Associations Ă©tudiantes

Les associations Ă©tudiantes sont de plusieurs types :

  • disciplinaires, avec des associations de tutorat en PACES, corporations en mĂ©decine et pharmacie, et les associations de filières des diffĂ©rents Master ou Ă©cole d’ingĂ©nieurs Polytech Paris-Saclay ;
  • culturelles comme des associations d’éloquence, de secourisme, jeux de rĂ´le et imaginaire, musique, jeux vidĂ©o, etc. ;
  • reprĂ©sentatives.

Certaines composantes comme les Unités de Formation et de Recherche (UFR) de Pharmacie et de Sciences ont une vie étudiante facilitée du fait des locaux laissés à leur disposition : couloir des associations à Châtenay-Malabry pour l’UFR de Pharmacie ou à Sceaux pour l’UFR Droit-Économie-Gestion, locaux dans différents bâtiments d’enseignement et la MAPS (Maison des Associations de Paris-Saclay), destinée en partie aux étudiants et personnels de l’université.

Évolution démographique

Évolution démographique de la population universitaire
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
26 488[56]25 992[57]26 369[58]26 413[59]26 247[60]26 348[61]26 188[62]26 876[63]
2008 2009 2010 2011 2015 2022 - -
27 017[64]27 470[65]27 307[66]27 289[67]30 172[68]48 000[69]--

Rôle dans la création du cluster technologique Paris-Saclay

L’université Paris-Saclay bénéficie du Plan campus ou Opération campus lancée en 2008 par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle fait partie des quatre dossiers qui ont été retenus[70], sur les vingt dossiers de la deuxième vague qui ont été déposés[71].

Ce projet bénéficie de fonds issus du « Grand emprunt 2010 », et peut être rattaché au Grand Paris dans la mesure où il contribue au développement du cluster technologique Paris-Saclay, dont il constitue l’un des trois piliers.

Galerie

  • L’entrĂ©e principale et le théâtre de l’ENS Paris-Saclay, encore en travaux en dĂ©cembre 2019.
    L’entrée principale et le théâtre de l’ENS Paris-Saclay, encore en travaux en .
  • L’IUT de Sceaux.
    L’IUT de Sceaux.
  • Vue sur le bâtiment 608 de l’universitĂ© Paris-Saclay, occupĂ© par l’IUT d’Orsay, depuis le Jardin argentĂ©.
    Vue sur le bâtiment 608 de l’université Paris-Saclay, occupé par l’IUT d’Orsay, depuis le Jardin argenté.

Notes et références

Notes

  1. Le pôle Paris-Saclay regroupe la majeure partie des bâtiments de l’université ; néanmoins et pour des raisons historiques, de nombreuses autres communes abritent des sites de ce regroupement universitaire. Voir au cas par cas pour chacune des structures.
  2. Les universités de Princeton et de Cambridge ont notamment servi d’inspiration.

Références

  1. « Décret no 2019-1131 du portant création de l’université Paris-Saclay et approbation de ses statuts », sur Légifrance, (consulté le ).
  2. Laurent Carroué, « Paris-Saclay, une Silicon Valley à la française ? », sur Géoconfluences, (consulté le ).
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  5. « Mondialisation et enseignement supérieur : quelles perspectives ? » [PDF], sur oecd.org, (consulté le ).
  6. « Sylvie Retailleau : l’université Paris-Saclay devrait être la première d’Europe en termes de recherche et de formation », sur usinenouvelle.com, (consulté le ).
  7. DĂ©cret no 2007-379.
  8. « L’Opération Campus : un plan exceptionnel en faveur de l'immobilier universitaire », sur enseignementsup-recherche.gouv.fr, (consulté le ).
  9. « L’Opération Campus : un plan exceptionnel en faveur de l’immobilier universitaire », sur www.enseignementsup-recherche.gouv.fr, , mis à jour .
  10. DĂ©cret du 25 janvier 2011.
  11. « Sarkozy annonce l’arrivée d’écoles de prestige sur le campus Paris-Saclay », sur Le Point, (consulté le ).
  12. Sophie Blitman, « Les mines de Paris jugent incompatible l’Idex de Saclay avec le projet ParisTech », sur letudiant.fr/educpros, .
  13. (en) Declan Butler, « Paris plans science in the suburbs », sur Nature, (consulté le ).
  14. Céline Authemayou, « Dominique Vernay (Paris-Saclay) : “Les établissements vont signer un pacte irréversible” », sur letudiant.fr/educpros, (consulté le ).
  15. Décret du 29 décembre 2014.
  16. Université Paris-Saclay officiellement créée, actu.u-psud.fr.
  17. Camille Stromboni et Marine Miller, « À Saclay, la guerre froide entre grandes écoles et universités s’intensifie », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  18. Cour des comptes, « Le projet Paris-Saclay : le risque de dilution d’une grande ambition », sur ccomptes.fr, (consulté le ).
  19. Jean-Yves Guerin, « Paris-Saclay, une bonne idée à la base mais qui, faute de stratégie, a du plomb dans l’aile », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  20. Camille Stromboni, « La Cour des comptes appelle à sortir de l’impasse à Saclay », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  21. Camille Stromboni, « Université Paris-Saclay au point mort », sur lemonde.fr, .
  22. Camille Stromboni, « Paris-Saclay : Macron acte le divorce entre Polytechnique et les universités », sur lemonde.fr, .
  23. « Emmanuel Macron annonce la création de deux pôles universitaires à Saclay », sur polytechnique.edu, .
  24. DĂ©cret du 6 juin 2019.
  25. L’Usine Nouvelle, « "L’Université Paris-Saclay devrait être la première d’Europe", les ambitions de Sylvie Retailleau - L’Usine Campus », usinenouvelle.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Juliette Daumont, « Paris-Saclay, l’université française championne du monde des mathématiques », sur Les Échos, (consulté le ).
  27. « Paris-Saclay : "Fusionner nos cœurs de métier n’implique pas d’avoir une seule administration centrale" (A. Bui, UVSQ) », sur aefinfo.fr (consulté le ).
  28. « "2024 marquera la deuxième étape de l’université Paris-Saclay" (Estelle Iacona, présidente) », sur aefinfo.fr (consulté le ).
  29. Soazig Le Nevé, « Les fusions d’universités : succès d’image, doute pédagogique », sur Le Monde, (consulté le )
  30. « Délibération de l'université Paris-Saclay du 3 mars 2020 » (consulté le )
  31. « Université Paris-Saclay : Estelle Iacona devient présidente par intérim »
  32. « https://www.lesechos.fr/pme-regions/ile-de-france/universite-paris-saclay-estelle-iacona-devient-presidente-par-interim-1410173 »
  33. « Idex de Saclay : « Il y a eu une accélération de l’histoire début janvier » (Dominique Vernay, président de la FCS) », sur www.aefinfo.fr, (consulté le ).
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  70. Communiqué de presse du [PDF].
  71. Communiqué de presse du [PDF].

Voir aussi

Textes réglementaires

Articles connexes

Liens externes

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