Université de Moncton
L’Université de Moncton est une université canadienne de langue française au Nouveau-Brunswick. Elle regroupe les campus d'Edmundston, de Moncton et de Shippagan.
Fondation |
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Type | |
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RĂ©gime linguistique | |
Fondateur |
Clément Cormier, prêtre |
Recteur |
Denis Prud'homme[1] |
Devise |
Surge illuminare (Lève-toi et rayonne) |
Membre de |
Agence universitaire de la Francophonie, L’Alliance de recherche numérique du Canada (d) |
Site web |
Étudiants |
5170 |
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Pays | |
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Campus | |
Ville |
L'université est fondée en 1963 à la suite des recommandations de la Commission royale d’enquête sur l’enseignement supérieur au Nouveau-Brunswick. Depuis, l'établissement est largement considérée l'héritière de plusieurs établissements d'enseignement supérieur acadiens tel le Collège Saint-Joseph[2].
L’université se veut généraliste, offrant des formations et participant à la recherche dans les domaines de l'administration, des arts, des sciences sociales, du droit, de l’ingénierie, des sciences de la nature, de la santé, des services communautaires et de l'éducation.
Étant la plus grande université canadienne exclusivement francophone à l’extérieur du Québec, l'université compte, en date du , 4 655 inscriptions à temps complet et 515 à temps partiel ; du nombre total, 65,5 % proviennent du Nouveau-Brunswick et 27,4 % de l'international.
Historique
Origines
En 1852, après son transfert de Tracadie en Nouvelle-Écosse, vers Memramcook, au sud-est du Nouveau-Brunswick, l'abbé François-Xavier Lafrance entame son projet de séminaire. C'est ainsi que le , le Séminaire Saint-Thomas de Memramcook ouvre officiellement ses portes à 95 élèves[3]. À cause de problèmes financiers, l'établissement ferme définitivement en 1862. L'abbé Lafrance lègue ses propriétés à son évêque et bon ami, l'évêque de Saint-Jean, Mgr John Sweeny (en), le , avec la promesse que ce dernier installe une communauté religieuse francophone dans le Séminaire[4].
Dès l'année suivante, Mgr Sweeny tient sa promesse. Grâce à la Congrégation de Sainte-Croix, le Collège Saint-Joseph voit le jour dans l'ancien Séminaire de l'abbé Lafrance et la direction de ce nouveau collège est confiée au soin de l'un de ses membres, le père Camille Lefebvre[5]. Le Collège Saint-Joseph accueille sa première cohorte d'étudiants le [6]. Après quatre années d'existence et à la suite de son incorporation, le Collège Saint-Joseph se voit donner la possibilité de décerner des diplômes de baccalauréat, de maîtrise et de doctorat. En 1888, il est reconnu à titre d'université. En 1928, l'Université du Collège Saint-Joseph fait peau neuve en se renommant Université Saint-Joseph[7]. En 1933, un incendie ravage l'université[8]. En 1953, l'Université Saint-Joseph déménagea une partie de ses effectifs à Moncton, créant l'ouverture d'un campus urbain pour cette université qui voit sa supervision être confiée au père Clément Cormier[9].
D'autre part, au début de l'année 1899, à Caraquet, au nord-est du Nouveau-Brunswick, les pères Eudistes ouvrent le Collège Sacré-Cœur. L'année suivante, le Collège reçoit le privilège de décerner des grades. Dans la nuit du , l'établissement est détruit à la suite d'un incendie. Le Collège Sacré-Cœur est alors reconstruit à Bathurst[10] et les cours ont repris en septembre 1916[11]. En 1941, le Collège Sacré-Cœur de Bathurst reçoit le statut d'université[8].
En 1943, les religieuses Notre-Dame du Sacré-Cœur fondent le premier collège pour filles à Memramcook au Nouveau-Brunswick, soit le Collège Notre-Dame d'Acadie[12]. Le Collège est déménagé à Moncton en 1949 dans un plus grand édifice.
Sous la direction des Eudistes, le Collège Saint-Louis voit le jour à Edmundston, en septembre 1946. L'année suivante, le gouvernement du Nouveau-Brunswick lui donne sa charte universitaire et ainsi le Collège Saint-Louis devient l'Université Saint-Louis[8]. De leur côté, les Religieuses Hospitalières de Saint-Joseph avec en tête Sr Rhéa Larose, fondent le Collège Maillet situé à Saint-Basile. Ce collège, une institution pour les jeunes filles, se voit affilié directement avec l'Université Saint-Louis en 1949[13].
À la fin des années 1950, le Collège Jésus-Marie, un collège pour les jeunes filles, ouvre ses portes à Shippagan sous la gouverne de la Congrégation des religieuses de Jésus-Marie. En 1963, à la suite de la création de l'Université de Moncton, le Collège Jésus-Marie est affilié au Collège de Bathurst (anciennement Université Sacré-Cœur de Bathurst) qui a cédé son statut d'université pour redevenir un collège.
Fondation
Peu de temps après son élection à titre de premier ministre du Nouveau-Brunswick en 1960, Louis J. Robichaud, crée une Commission royale d'enquête sur l'enseignement supérieur au Nouveau-Brunswick. John J. Deutsch préside cette dernière qui en publie un rapport recommandant à la fois la création d'une seule université francophone pouvant décerner des grades dans la province et l'affiliation des différents collèges (anciennement universités) à celle-ci. C'est ainsi que l'Université Saint-Joseph de Memramcook, l’Université Sacré-Cœur de Bathurst et l'Université Saint-Louis d'Edmundston suspendent leur charte universitaire pour devenir des collèges affiliés à la nouvelle université [8]. L'Université de Moncton est officiellement créée le 19 juin 1963[14].
Gérée dès ses débuts par la congrégation de Sainte-Croix (le recteur-fondateur de l’Université de Moncton est le père Clément Cormier, c.s.c.), l’administration de l’institution se laïcise en 1967 avec la nomination, entre autres, d’un premier recteur et d’un premier chancelier laïcs, Adélard Savoie.
En 1965, des effectifs du Collège Saint-Joseph furent transférés sur le campus de l'Université de Moncton et le Collège Notre-Dame d'Acadie ferma ses portes.
En 1972, le Collège Saint-Joseph cessa d'exister et son enseignement fut assumé par la Faculté des arts du campus de l'Université de Moncton.
Le Collège Maillet et le Collège Saint-Louis fusionnent en 1972 et adoptent le nom de Collège Saint-Louis-Maillet.
En 1972, le Collège Jésus-Marie de Shippagan cessa son affiliation avec le Collège de Bathurst et fut affilié directement à l'Université de Moncton et offrit les deux premières années du programme des arts.
À la suite des recommandations formulées en 1975 par le Comité de l’enseignement supérieur dans le secteur francophone au Nouveau-Brunswick présidé par le juge Louis A. LeBel, l'Université de Moncton connaît une réorganisation majeure. En 1977, l’Université de Moncton devient une université composée de trois campus égaux, situés dans les trois grandes régions francophones de la province: Edmundston, Moncton et Shippagan. Le Collège Jésus-Marie est devenu le Centre universitaire de Shippagan, campus de l'Université de Moncton, et le Collège Saint-Louis-Maillet devient le Centre universitaire Saint-Louis-Maillet, campus de l'Université de Moncton. Moncton est sous le nom du Centre universitaire de Moncton, campus de l'Université de Moncton.
Le Collège de Bathurst a dû fermer ses portes. Les installations matérielles sont maintenant la propriété de la Commission des collèges communautaires du Nouveau-Brunswick.
Les désignations actuelles des trois constituantes de l'Université de Moncton sont : Université de Moncton, campus d’Edmundston (UMCE), Université de Moncton, campus de Moncton (UMCM) et Université de Moncton, campus de Shippagan (UMCS)[15].
Bibliothèques, musées et collections
Située sur le campus de Moncton, la Bibliothèque Champlain est la plus importante bibliothèque universitaire francophone des provinces de l'Atlantique avec ses centaines de bases de données, sa collection de centaines de milliers de livres, de centaine de milliers de périodiques autant en format papier qu’en format électronique. De plus, depuis , la bibliothèque s’est abonnée à la collection CloudSource OA qui fournit une collection sans cesse croissante et vérifiée de plus de quarante millions d’articles évalués par des pairs, des livres de non-fiction et d’autres documents disponibles en accès libre.
Situé au sous-sol de la Bibliothèque Champlain, le Centre d'études acadiennes Anselme-Chiasson possède la plus importante collection d'archives et de documentation au monde sur l'Acadie et les Acadiens. Sa bibliothèque compte plus de 12 000 livres, plus de 3 000 microfilms ainsi que l'inventaire complet de tous les journaux acadiens. Son mandat principal est de conserver toute la documentation acadienne. Le Centre fait connaître l’histoire et la culture de l’Acadie. Il est composé des cinq secteurs suivants : archives institutionnelles, archives privées, bibliothèque, généalogie, ethnologie et de folklore[16].
Le campus de Moncton possède deux autres bibliothèques: la Bibliothèque de droit Michel-Bastarache à la Faculté de droit ainsi que le Centre de ressources pédagogiques à la Faculté des sciences de l’éducation[17]. La Bibliothèque de droit Michel-Bastarache met à la disposition de la population étudiante, du corps professoral, des juristes et des membres du public une collection d'environ 150 000 volumes. En plus de vastes collections électroniques, la bibliothèque renferme les lois, les règlements et la jurisprudence du Canada, de l'Angleterre et des États-Unis ainsi qu'une importante sélection de recueils de jurisprudence d’autres pays de common law. Le Centre de ressources pédagogiques est situé à la Faculté des sciences de l’éducation. Il contient au-delà de 40 000 documents comprenant des tests normalisés, des manuels scolaires, des guides et des trousses pédagogiques, les programmes d’études des écoles du Nouveau-Brunswick et plus. On y retrouve également au Centre de ressources pédagogiques une bibliothèque pour les jeunes. Le Centre abrite la Petite galerie Eulalie et le Centre de documentation en Education Planétaire (ECPP).
La Bibliothèque Rhéa-Larose, au campus d'Edmundston, fut inaugurée le et elle occupe deux niveaux. Sa collection compte environ 50 000 volumes en plus des collections de publications gouvernementales canadiennes et néo-brunswickoises et des publications en série. Elle offre plus d'une centaine de bases de données, 240 000 périodiques électroniques et 650 000 livres électroniques. Elle abrite le Centre de documentation et d'études madawaskayennes (CDEM). Un projet majeur de rénovation a été réalisé en 2010 qui a fait de sorte qu'elle offre maintenant ses services à la communauté du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick - campus d'Edmundston.
La Bibliothèque du campus de Shippagan compte plus de 25 000 documents au format papier. Elle offre aussi des accès à plus de 30 000 livres électroniques avec le réseau des bibliothèques de l'Université de Moncton. On retrouve également plus de 6 000 publications gouvernementales, des documents audiovisuels et des livres rares. Elle possède quatre collections spécialisées, soit l'administration des affaires, le développement durable et zone côtière, l'éducation et la gestion de l'information. La Bibliothèque du campus de Shippagan offre plus de 300 journaux et périodiques au format papier. Elle offre aussi accès à plus de 10 000 titres de périodiques électroniques.
Le Musée acadien du campus de Moncton est le plus ancien musée de la sorte, ayant été fondé en 1886 au Collège Saint-Joseph. Maintenant situé dans l'édifice Clément-Cormier, la collection dépasse 44 000 objets et photographies. Le mandat du Musée est : collectionner, préserver, rechercher et démontrer les objets en lien avec la culture et l'histoire des Acadiennes et Acadiens. Elle offre une exposition permanente et des expositions temporaires.
La Galerie d'art Louise-et-Reuben-Cohen[18] du campus de Moncton est l'un des résultats en lien avec la création du Département des arts visuels à l'Université de Moncton. Son nom antérieurement était la Galerie d’art de l’Université de Moncton, mais celle-ci en 2005, change son nom à la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen pour rendre honneur à Reuben Cohen (en) ainsi que son épouse Louise qui ont été de grands donateurs dans le domaine des arts à l’Université de Moncton. La Galerie d'art Louise-et-Reuben-Cohen est située dans l'édifice Clément-Cormier.
La collection d'art inuit Esther et Isadore Fine, à la Bibliothèque Champlain, a été léguée par ce couple de Moncton et compte 242 pièces datant de la période classique, soit de 1930 à 1975, de 150 artistes dont Pudlo Pudlat, Kananginak Pootoogook et Kinuajuak Asivak. La collection est librement accessible[19].
Campus
Localisation des campus |
L'Université de Moncton a trois campus exclusivement de langue française.
Campus de Moncton
Le campus de Moncton accueille plus de 70 % des étudiantes et étudiants et offre l'ensemble des programmes, à l'exception de la foresterie (offerte à Edmundston) ainsi que la gestion de l'information et du développement durable et zone côtière (offerts à Shippagan). Situé au nord de la ville, le campus de Moncton regroupe une dizaine de pavillons, le centre sportif CEPS Louis-J.-Robichaud, l'aréna J.-Louis-Lévesque, le Musée acadien, la Galerie d'art Louise-et-Ruben-Cohen et plusieurs résidences et appartements pour répondre aux besoins des étudiantes et étudiants (chambres, studios et appartements universitaires).
Le campus de Moncton devait à l'origine être compact, notamment en raison du site venteux, mais possède plutôt des édifices très espacés, selon un plan dépendant de l'automobile[20]. Contrairement au style « gothique collégien » de la plupart des campus nord-américains, il possède un style d'inspiration moderniste. Plusieurs architectes locaux, dont des Acadiens, ont contribué à la construction du campus, mais l'influence de l'architecture québécoise reste palpable par l'usage de briques de couleur chamois pâle[20]. Parmi les grandes réalisations figurent, selon John Leroux, le pavillon des sciences Rémi-Rossignol, avec son plan en « X », son escalier central en spirale et son foyer circulaire ; l'aréna J.-Louis-Lévesque ; la résidence étudiante Lafrance ; le pavillon des Arts ; le pavillon Jean-Cadieux, constitué de béton préfabriqué, ainsi que la Chaudière. L'édifice Léopold-Taillon, l'ancien Couvent Good Shepherd construit en 1948, est le dernier chef-d'œuvre de René-Arthur Fréchet[20]. Le pavillon d'ingénierie, d'un style postmoderne, possède une verrière voûtée traversant le corps de l'édifice, l'un des meilleurs exemples dans la province selon John Leroux. Le pavillon des Sciences de l'environnement, du même style, représente, selon Pierre Gallant, le « leadership d'un style acadien naissant » par son inspiration technologique.
Campus d'Edmundston
Le campus d'Edmundston est bâti sur un secteur en amont du centre-ville, près de la route Transcanadienne. Il compte quatre pavillons, un centre étudiant et une résidence pouvant héberger près de 90 étudiantes et étudiants. Il accueille plus de 500 étudiantes et étudiants. Le pavillon sportif d'Edmundston est situé sur les terrains du campus dans lequel on y retrouve une piscine, un mur d'escalade, différents gymnases et plus. Un amphithéâtre de 2 400 sièges qui sert pour le hockey et les spectacles est également juxtaposé au pavillon sportif. À l'extérieur, on retrouve un terrain d'athlétisme à six couloirs avec estrades.
Le pavillon Simon-Larouche, conçu pas l'architecte québécois Edgar Courchesne en 1950, est inspiré du style art-déco et est typique des monastères et collèges québécois par son plan symétrique, ses détails francs et l'usage de la pierre grise.
Campus de Shippagan
Le campus de Shippagan est situé dans le nord-est du Nouveau-Brunswick. Il regroupe quatre pavillons (pavillon Irène-Léger, pavillon Bibliothèque, Sciences et technologie, pavillon Zones côtières, pavillon sportif Armand-Caron) ainsi que l'Institut de recherche sur les zones côtières VALORĒS et trois édifices à logements universitaires. La piscine régionale de Shippagan est annexée au pavillon sportif Armand-Caron. Le campus accueille plus de 500 étudiantes et étudiants.
Le pavillon Irène-Léger est en reconnaissance de sœur Irène Léger. La partie originale fut construite en 1949 et un agrandissement a eu lieu en 1968. Le pavillon est situé en plein centre-ville de la Ville de Shippagan. Il portait le nom de Couvent Jésus-Marie puisqu'il fut construit à l'origine pour la congrégation des religieuses Jésus-Marie.
Vie Ă©tudiante
Plusieurs activités sociales et physiques sont offertes, telles que des spectacles, la musique, le cinéma, le théâtre, la radio étudiante, l’improvisation, les conseils étudiants, la piscine, les terrains de racquetball et de squash, le gymnase, les salles de conditionnement physique et plus.
Sports
L'Université de Moncton est représentée par neuf équipes dans différentes ligues de Sport universitaire de l'Atlantique (SUA) et d'U Sports (anciennement : Sport interuniversitaire canadien (SIC)), qui compétitionnent sous le nom Aigles Bleus et Aigles Bleues. Elle est représentée par des équipes masculines et féminines de hockey, de soccer, d'athlétisme, de cross-country et d'une équipe féminine de volleyball.
Le Stade Croix-Bleue Medavie, situé sur le campus de Moncton, compte 10 000 à 20 000 places. Il permet à l'Université de Moncton d'accueillir sur son campus des évènements sportifs et récréatifs d'envergure. Il a été inauguré en 2010.
MĂ©dias
- Radio Ă©tudiante: Codiac FM et avant CKUM-FM
Professeures, professeurs, anciennes et anciens
- Michel Bastarache, doctorats honoris causa, ex-juge Ă la Cour suprĂŞme du Canada.
- Herménégilde Chiasson, poète et ancien lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick.
- Alain Deneault, philosophe, essayiste et professeur.
- Stéphane Dion, ex-professeur en science politique et ancien leader du Parti libéral du Canada.
- Gérard Étienne, ancien écrivain et professeur en journalisme à l'Université de Moncton.
- Brian Gallant, ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick.
- Corinne Gallant, professeure émérite et féministe.
- Jeanne d'Arc Gaudet, professeure et militante.
- Alain Haché, physicien et auteur de travaux sur les phénomènes supraluminiques.
- Emilie Grace Lavoie (1990-), artiste visuelle.
- Francis LeBlanc, astrophysicien et auteur du livre An Introduction to Stellar Astrophysics.
- Bernard Lord, ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick.
- Antonine Maillet, auteure canadienne et gagnante du Prix Goncourt.
- Percy Mockler, sénateur canadien.
- Annie France Noël (1987-), artiste visuelle.
- Claude Roussel, artiste en art visuel et fondateur du Département des arts visuels et de la Galerie d’art de l'Université de Moncton.
- Donald Savoie, expert en administration publique.
- Christine St-Pierre, ancienne journaliste à la Société Radio-Canada, députée de l'Assemblée nationale du Québec et ministre au gouvernement québécois.
- Ghislain Taschereau, animateur, humoriste et romancier.
- Camille Thériault, ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick.
- Karelle Vignon-Vullierme, blogueuse culinaire.
- Donald Violette, mathématicien.
Notes et références
- Université de Moncton. Rectorat. Biographie du recteur et vice-chancelier
- « Historique », sur umoncton.ca (consulté le )
- Philéas F. Bourgeois, Vie de l'abbé François-Xavier Lafrance ; suivie d'une Courte notice biographique de l'abbé François-Xavier Cormier, premier prêtre né dans la paroisse de Memramcook /, Montréal, Librairie Beauchemin, limitée, , 234 p. (lire en ligne), p. 118-128
- Philéas F. Bourgeois, Vie de l'abbé François-Xavier Lafrance ; suivie d'une Courte notice biographique de l'abbé François-Xavier Cormier, premier prêtre né dans la paroisse de Memramcook /, Montréal, Librairie Beauchemin, limitée, , 234 p. (lire en ligne), p. 139-140
- Nicolas Landry et Nicole Lang, Histoire de l'Acadie, Sillery, Septentrion, , 335 p. (ISBN 2-89448-177-2), p. 171
- Centre d'études acadiennes Anselme-Chiasson, « Chronologie historique », sur Centre d'études acadiennes Anselme-Chiasson, (consulté le )
- Marc Robichaud et Maurice Basque, Histoire de l'Université de Moncton, Moncton, Institut d'études acadiennes, , 383 p. (ISBN 978-0-9920012-2-3), p. 69
- Archives provinciales du Nouveau-Brunswick, « La formation postsecondaire au Nouveau-Brunswick », sur Archives provinciales du Nouveau-Brunswick, 1988-2022 (consulté le )
- Marc Robichaud et Maurice Basque, Audacieux et téméraire: le père Clément Cormier, c.s.c (1910-1987), recteur fondateur de l'Université de Moncton, Moncton, Institut d'études acadiennes, , 433 p. (ISBN 978-1-897214-38-1), p. 209-217
- Ville de Caraquet, « Site du Collège de Caraquet », sur Ville de Caraquet (consulté le )
- Les Eudistes, « Collège Sacré-Cœur de Bathurst », sur Les Eudistes (consulté le )
- Marc Robichaud et Maurice Basque, Histoire de l'Université de Moncton, Moncton, Institut d'études acadiennes, , 383 p. (ISBN 978-0-9920012-2-3), p. 133
- Religieuses Hospitalières de Saint-Joseph, « Historique du Centre Maillet », sur Les Archives des Religieuses Hospitalières de Saint-Joseph- Saint-Basile de Madawaska, N.-B.-, (consulté le )
- (en) Acadia of the Maratimes, Moncton, Chaire d'Ă©tudes acadiennes, , 859 p. (ISBN 2-921166-08-9), p. 83
- Marc Robichaud et Maurice Basque, Histoire de l'Université de Moncton, Moncton, Institut d'études acadiennes, , 383 p. (ISBN 978-0-9920012-2-3), p. 213,227-237
- « Bibliothèque du CEAAC », sur Université de Moncton (consulté le )
- « Bibliothèques », sur Université de Moncton (consulté le )
- « Galerie d'art Louise et Reuben-Cohen », sur Université de Moncton (consulté le )
- « Collection d'art inuit », sur Université de Moncton (consulté le )
- (en) John Leroux, Building New Brunswick : An Architectural History, Fredericton, Goose Lane Editions, , 310 p. (ISBN 978-0-86492-504-6), p. 206-212.
Voir aussi
Bibliographie
- Marc Robichaud et Maurice Basque, Histoire de l’Université de Moncton, Moncton, Institut d’études acadiennes, Université de Moncton, 2013.
Articles connexes
- L'Acadie, l'Acadie?!?, documentaire relatant les grèves étudiantes de 1968 et 1969 à l'Université de Moncton.