Accueil🇫🇷Chercher

Trun (Orne)

Trun est une commune française située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 1 223 habitants[Note 1].

Trun
Trun (Orne)
La chapelle de la maison de retraite.
Blason de Trun
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Argentan
Intercommunalité Communauté de communes Argentan Intercom
Maire
Mandat
Jacques Prigent
2020-2026
Code postal 61160
Code commune 61494
Démographie
Gentilé Trunois
Population
municipale
1 223 hab. (2020 en diminution de 7,49 % par rapport à 2014)
Densité 134 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 36″ nord, 0° 01′ 59″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 151 m
Superficie 9,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argentan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argentan-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Trun
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Trun
Géolocalisation sur la carte : Orne
Voir sur la carte topographique de l'Orne
Trun
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Trun
Liens
Site web www.trun.fr

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 671 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Champeaux -les- », sur la commune des Champeaux, mise en service en 1978[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 825,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et à 46 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Trun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argentan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,3 %), prairies (27,8 %), zones urbanisées (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Trun en 1059, Tram en 1063, apud Trunum en 1338[23].

    Le toponyme serait issu de l'anthroponyme latin Trunnius[24].

    Aujourd'hui on peut expliquer trun par un mot gaulois dont l'équivalent gallois est trwyn, en toponymie « cap, promontoire »[25], une hauteur escarpée au nord-est de Trun, le mont Ormel.

    Le gentilé est Trunois.

    [26] Histoire

    " A mi-chemin entre Exmes et Falaise, situées au milieu des terres de Roger de Montgomeri, les quelques maisons qui s'étaient établies en ce lieu sont devenues des gites d'étape pour toutes les personnes qui circulaient à pied et à cheval, ainsi que pour les convois d'animaux et de marchandises. Le développement commercial a été facilité par les franchises accordées par Roger de Montgomeri qui exemptaient le commerce de redevances féodales. C'est à cette époque, au milieu du 11ème siècle, que Trun a pris son caractère commercial et hôtelier.

    Roger de Montgomeri donne le bourg de Trun à l'abbaye de Saint-Etienne de Caen, charte qui sera confirmée par Guillaume le Conquérant le 13 septembre 1077. Il autorise le passage du chemin carrossable par le bourg de Trun. Cette nouvelle voie qui traverse le bourg alors que la voie romaine le contournait, devient la Grande Rue, laquelle voit s'installer de nombreuses auberges le long de son parcours.

    Au début du 12ème siècle, le bourg de Trun relève de l'abbé de Saint-Etienne de Caen qui porte le titre de baron de Trun. Il lève les taxes, assure la police et rend la justice, alors que l'abbé de Troarn partage avec le curé de Trun la dime perçue sur tous les produits de la terre.

    A la fin du 12ème siècle, vers 1180, les habitants du bourg de Trun, les bourgeois, prennent l'initiative de créer un Hôtel-Dieu, en réalité un asile pour isoler les miséreux. Pendant deux siècles les dons vont être nombreux, en argent, en terre ou en nature.

    En 1595, le roi Henri IV prétendit que cet Hospice appartenait au pouvoir royal et il fit nommer le sieur Isaac Simonnet comme administrateur, ce qui ne plut pas aux habitants de Trun qui répliquèrent en nommant un autre administrateur en la personne de François Boitard. Soixante-dix ans plus tard, l'affaire recommença avec Louis XIV qui fit nommer Jacques Godard et la nomination, en riposte, par les habitants de Thomas Dudouyt, avocat à Trun. Mais cette fois l'affaire est allée en justice. En effet, Godard a assigné Dudouyt. Il en a résulté un long procés qui se conclut par la reconnaissance des bourgeois de Trun par le roi.

    Pendant la Révolution, le bourg a connu plusieurs révoltes liées à la famine consécutive à la pénurie d'approvisionnement des halles en blé.

    Il existait au milieu de la place principale trois halles qui avaient été construites à la fin du Moyen Âge par l'abbaye de Saint-Etienne de Caen pour relancer le commerce après la guerre de cent Ans: une grande halle aux grains, une petite pour les boulangers et une encore plus petites pour les merciers. En 1855, les petites halles sont détruites et la grande le sera en 1895." (Jacques Prigent HISTOIRE DE TRUN)

    Héraldique

    Le logo de la commune.
    Armes de Trun

    Les armes de la commune de Trun se blasonnent ainsi :
    De gueules aux deux lions d'or[27].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1929 1948 Charles Diard
    1948 1950 Julien Léger
    1950 1953 Charles Diard
    1953 1959 Pierre Darey
    1959 1962 Maurice Gérard
    1962 1989 François Oriot UDR>RPR Conseiller général du canton de Trun (1966-1994)
    1989[28] En cours Jacques Prigent[29] DVG Avocat
    Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[29].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 1 223 habitants[Note 9], en diminution de 7,49 % par rapport à 2014 (Orne : −3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Trun a compté jusqu'à 1 672 habitants en 1866.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    1 5161 4581 6431 4881 5741 5781 5661 5781 516
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 6261 6721 6161 6321 6171 6281 4381 5701 550
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 4361 3831 1571 1501 1621 1241 2891 3381 337
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    1 3781 3441 3391 2301 3071 3221 3251 3081 245
    2020 - - - - - - - -
    1 223--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    [34] Économie

    • Heller, fabricant de maquettes en plastique, a été cédé en 2019 à Glow2B distributeur Heller et Joustra en Allemagne.
    • Préfac Ouest, entreprise spécialisée dans les pièces moulées en béton, notamment des mâts pour l'éclairage public.
    • Établissements Lepicard, stockage de céréales.
    • Viplast, entreprise de plasturgie installée sur le site historique des maquettes Heller.
    • Leprince-Borel, entreprise spécialisée dans la fabrication de moules et de modèles.
    • Douillet machines agricoles.
    • INOXO, entreprise de fabrication de structure métalliques.
    • Commerces et services
    • Boulangeries (3), Boucheries (2), Carrefour Contact, Coiffeurs (3), Salon d'esthétique, Magasin de chaussures.
    • Garages automobiles (2), Plombiers (2)

    Médical

    Médecins (3), Cabinets d'infirmiers (2), Kinésithérapeutes, Ostéopathe

    Pharmacie

    Vétérinaire

    (sources: site officiel Trun)

    [26] - [34] Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul reconstruite au début des années 1820 à l'emplacement de celle qui, laissée à l'abandon après la Révolution, avait fini par s'écrouler. Le clocher est construit sur un dolmen. Il a été restauré par les Templiers au XIIe siècle.
    • Monument aux morts (1921). Le Poilu a été fondu par Gustave Leblanc-Barbedienne sur un modèle sculpté par Michel Léonard Béguine. L'inauguration a eu lieu le dimanche .
    • La mairie date de la Reconstruction. La précédente mairie, construite en 1903, a été détruite lors des bombardements d'.
    • Le champ de foire sur lequel se trouve l'ancienne école de garçons construite dans les années 1850.
    • La maison de retraite, actuellement EHPAD Pierre-Wadier, est toujours à l'emplacement où les bourgeois de Trun ont créé un hôtel-Dieu vers 1180.
    • La médiathèque Stéphane Hessel.
    • Le garage Delaunay.
    • Le plan d'eau.
    • L'ancienne école et pensionnat de garçons au champ de foire.
      L'ancienne école et pensionnat de garçons au champ de foire.
    • L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
      L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
    • La mairie.
      La mairie.
    • La chapelle et l'entrée de l'EHPAD Pierre-Wadier.
      La chapelle et l'entrée de l'EHPAD Pierre-Wadier.
    • Le garage Delaunay
      Le garage Delaunay

    Activité et manifestations

    Sports

    Badminton Club de Trun

    Judo Club

    Vélo Sport Trunois

    USATT Club de foot

    Golf du Bief, parcours de 18 trous en bord de Dive.

    Manifestations

    La Foire aux Oignons se tient tous les ans le dernier week-end de septembre.

    Associations et culture

    Ecole municipale de musique

    Le Devon Trunois

    L'Echo de Trun (chorale)

    Association Vie et Partage (animation EHPAD)

    Club des Anciens

    Ecole de peinture

    Club de scabble

    Etablissements scolaires

    Ecole publique maternelle et primaire

    Ecole privée maternelle et primaire

    Collège André Malraux

    Maison Familiale et Rurale

    Maison de la Petite Enfance "Le Petit Pré"

    JUMELAGES

    Drapeau de la Hongrie Fajsz (Hongrie) depuis 2002.

    Ebern (Allemagne)

    Personnalités liées à la commune

    Bibliographie

    • R. Bonnet de la Tour, L'Hospice et le Bourg de Trun, ,
    • Pierre Camus et Ghislain Gondouin, Mémoire en images, le canton de Trun, éd. Alan Sutton, .
    • Jacques Prigent, Histoire de Trun, Éditions OREP,
    • Jacques Prigent, BALADE À TRUN, coolLibri, [35]
    • Jacques Prigent, TRUN EN CARTES POSTALES, 2022[36]

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Champeaux -les- - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Trun et Les Champeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Champeaux -les- - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Trun et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Argentan », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 673 - (ISBN 2600028838).
    24. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud,1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 688.
    25. François Falc'Hun - 1982 -Les noms de lieux celtiques, Volume 1, page 52.
    26. Jacques Prigent, Histoire de Trun, dl 2021 (ISBN 978-2-8151-0607-8 et 2-8151-0607-8, OCLC 1259449050, lire en ligne)
    27. « GASO, la banque du blason - Trun Orne » (consulté le ).
    28. « Jacques Prigent, maire, briguera un 5e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. Réélection 2020 : « Municipales à Trun. Jacques Prigent réélu pour un septième mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « site officiel commune Trun », sur site officiel de la commune
    35. Jacques PRIGENT, BALADE A TRUN, COOLLIBRI, (ISBN 9 791039 630061, coollibri.com/bibliotheque)
    36. Jacques PRIGENT, TRUN EN CARTES POSTALES, COOLLIBRI, (ISBN 9 791039 631198, coollibri.com/bibliotheque-en-ligne)

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.