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Tribus arabes d'Algérie

Jusqu'au VIIe siècle, l'Algérie était essentiellement peuplée par des populations berbères. À la suite de l'expansion de l'Islam, l'Algérie a connu deux vagues migratoires arabes successives qui bouleverseront, comme le dit Ibn Khaldoun, la démographie et le paysage socio-culturel de la région: les invasions militaires accompagnés des élites politiques et commerçantes arabes qui s'installèrent majoritairement dans les grandes villes au VIIe siècle, puis les invasions hilaliennes (Beni Hilal, Beni Sulaym et Banu Maaqil) au XIe siècle qui conquièrent les zones rurales, notamment les plaines.

Homme arabe algérien au début du XXe siècle.

Par conséquent, si la première vague migratoire arabe engendra une arabisation du corps tribal "par le haut", la deuxième vague migratoire opéra quant à elle une arabisation "par le bas".

À l'aube de la colonisation française de l'Algérie, le pays est alors peuplé majoritairement de tribus arabes, dans lesquelles certaines tribus berbères se sont fondues dans le cadre de confédération tribale, ainsi que de tribus berbères. Toutefois, les Arabes et les Berbères ne formant pas deux ethnies différentes, mais seulement deux groupes linguistiques distincts, il est plus juste de parler d'une population arabo-berbère[1].

Préambule

Arch et çof berbère et arabe en Algérie au XIXe siècle[2]

D'un point de vue historique, une tribu consiste en une formation sociale existant préalablement à la formation de l'État. C'est une communauté fondée sur des codes communs, ayant un système politique commun, des croyances religieuses et une langue communes, et tirant primitivement leur origine d'une même souche.

Certains ethnologues utilisent le mot tribu pour désigner les sociétés organisées sur la base des liens de parenté, spécialement des familles ayant une même ascendance. Ainsi, plusieurs clans familiaux vivant sur un même territoire.

Histoire des berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionale, Volume 1, p196, Ibn Khaldoun[3].

Une société segmentaire est en anthropologie un modèle de société divisée sur plusieurs niveaux hiérarchiques en de nombreuses composantes similaires, opposées entre elles à chaque niveau mais intégrées dans un niveau supérieur. Le modèle segmentaire a été appliqué à de nombreuses sociétés, notamment du Maghreb.

Dans l’Algérie médiévale, le pouvoir tribal repose sur une cohésion interne des rapports sociaux, et sur le respect d'une hiérarchie horizontale : (partage des ressources, démocratie directe...), sous l'égide d'un chef charismatique à la fois décideur et arbitre. La formation tribale, attachée à son autonomie, parfois vivant en autarcie, est par principe anti-étatique.

Selon les affirmations des généraux français, inscrites dans leurs mémoires, l’Algérie comptait 1200 tribus[4]. L'ordre tribal au temps de l’Algérie ottomane avait une cohérence et pouvait être vu comme un système assez complexe et fonctionnel. Il fut bouleversé par les transformations induites par le régime colonial. Dès lors, il y eut un démantèlement de cet ordre tribal, entre le début de la Conquête de l'Algérie par la France en 1830 et la Première Guerre mondiale[5].

Recensement ethno-social de la population Algérienne - 1857

Celui-ci s’est effectué de plusieurs manières, soit par destruction physique, par dépossession foncière, ou en discréditant les structures d’autorité traditionnelles et en imposant de nouvelles normes culturelles au peuple autochtone[5]. La colonisation française a éliminé la tribu pour mettre en place des douar-communes, simples rouages de l'État colonial[6]. Malgré toutes les tentatives de destruction, le système tribal subsista. Il a cependant perdu progressivement toute force coercitive pour l'individu[6].

Les grandes enquêtes réalisées lors du Sénatus Consulte de 1863 montraient, par l'extrême confusion des traditions orales recueillies, l'impossibilité de distinguer chacun des deux groupes arabe et berbère, car l'islamisation et l'arabisation du pays avaient entraîné toute une série de reconstructions généalogiques mythiques[1]. Le système tribal notamment avaient facilité progressivement, la fusion des deux éléments arabe et berbère[1]. En effet, la tradition orale n'a guère retenu que le nom des grands ancêtres fondateurs et souvent les tribus se sont restructurées autour de personnages religieux (les Marabouts[7]) ou de personnages guerriers (Djouad)[7] - [6].

Tribus et clans arabes algériens notables

Arabes citadins (premières implantations)

Les arabes citadins constituent la première implantation des tribus arabes au Maghreb, et ce dès le VIIe siècle :

Arabes bédouins (secondes implantations)

Si la première migration arabe vers le Maghreb au VIIe siècle lors des premières conquêtes était essentiellement composée de nobles clans arabes sédentarisés en nombre plus restreint, la deuxième vague quant à elle est beaucoup plus conséquente en ce qu'elle était majoritairement composée de tribus nomades.

L'objectif des Fatimides était triple: rétablir la vassalité des Zirides, peupler le Maghreb jusqu'alors insuffisamment exploité et renverser la tendance démographique afin que les Berbères ne soient plus majoritaires. La tribu originelle des Banu Hilal est alors composée de trois fractions, elles-mêmes constistuées en sous-factions :

  • Athbedj : Doreid (Drid), Taouba, Bokhtor, Kherfa, Dahhak, Iyad, Latif ;
  • Riyāh : Mohammed, Mirdass, Sinber, Dhouaouda, ‘Amr Ibn Mūhāmmād al-Akḥdārī ;
  • Zoghba : Malek, Amer, Suwayd...

Lors de leur migration vers le Maghreb, les Banu Hilal sont joints par trois autres groupes tribaux arabes :

  • Jochem : Qorra, al-Assem, Moqaddem, Kholt, Sofiane, Djaber ;
  • Maqil : Hedadj, Kharadj, Chebanat, Ghosl, Metarfa, Thaleba, Ahlaf ;
  • Sulaym : Zoghb, Heïb, Aouf, Kaoub, Hakim, Debbab, Ouchah, Djouari.

De plus, comme le précise Ibn Khaldoun, on cite aussi parmi elles la tribu de Rebiâ, mais nous ne connaissons à présent aucune peuplade de ce nom, à moins que ce soit celle qu’on appelle les Maaqil, ainsi que le lecteur verra plus tard. Avec la tribu de Hilal, il entra en Ifrikya une foule mélangée, composée d’Arabes appartenant aux tribus des Fezara et d’Achedja (branches de celle de Ghatafan), de Djochem Ibn Muawya Ibn Bekr Ibn Houazen, de Seloul Ibn Morra Ibn Sâasâa Ibn Muawya, d’El-Maqil, branche de la grande famille des Arabes yéménites, d’Aniza Ibn Asad Ibn Rebiâ Ibn Nizar, de Thawr ibn Muawya Ibn Abbada Ibn Rebiât el Bekka Ibn Amer Ibn Sâasâa, d’Adouan Ibn Omar Ibn Caïs Ibn Ghaylan, et de Matrud, famille de a tribu de Fahm Ibn Qays. Mais toutes ces fractions de tribu étaient, pour ainsi dire, englobées dans la tribu de Hilal et surtout dans la tribu-branche d’El-Athbedj, parce que cette famille exerçait le commandement sur toutes les autres lors de leur entrée eu Ifrikya."[8]

Aussi, bon nombre de tribus zénètes musulmanes, partageant également le même mode de vie nomade, se sont fondus dans "l'essaim" hilalien. Par conséquent, la qualification d'arabe de ces tribus se justifie par une dominance de l'arabité — par la filiation patrilinéaire, l'adhésion à une confédération tribale dominée par un clan arabe, la prédominance des mœurs et coutumes bédouines et naturellement la primauté de la langue arabe — dans un même groupe très généralement composé de certains groupes berbères. Ce faisant, si l'on s'en tient essentiellement à la dimension ethnique, il s'agirait de tribus arabo-berbères où la composante culturelle arabe, bédouine notamment, prédomine.

L'afflux des Hilaliens fut un facteur majeur dans l'arabisation linguistique, culturelle et ethnique du Maghreb et dans la propagation du nomadisme dans les domaines où l'agriculture avait précédemment dominé. Les estimations en termes de déplacement de populations arabes dès le XIe siècle varient selon les historiens entre 200 000 et 1 000 000[9] - [10]. Selon Luis del Mármol Carvajal les hilaliens auraient été plus d'un millions à immigrer, et il estime la population hilalienne à son époque a 1 000 000[11] - [12] en 1573.

Liste des tribus arabes d'Algérie[13] - [14] - [15] - [16]
Tribu Clan Factions (Zmala) Sous-factions Localisations
Banu Hilal[17] - [18]
  • Doreïd[19](Ouled Attia[29] - [30], Ouled Serour[31], Djar-Allah[32], Touba)
  • Gerfa (Beni Mohammed, Beni Merouane ou Merouania, Hadjelate (Kleïb, Chebib, Sabah, Serhane) Nabete)[33]
  • 'Amour[19](Ouled Zekrir[34] - [35], Ouled Farès, Ouled Aziz, Ouled Mad'i[36])
  • Dahhak et Iyad[19] (Mehaïa, Oulad Difel, Beni Zobeïr[37] - [38], Mortafa (Ouled Tebbane[39], Ouled Hannach[40], Ouled Abd-es-Salam, Oulad Guendouz[41]), Kharadj, Oulad Sakher, Rahma)
  • Latif[19](Yetama (Dawi Motref[42] - [43], Dawi Bou Khalil[44], Dawi Djelal[45] - [46] - [42]), Lokmane (Oulad Djerrir, Braz)
  • Mirdass (Sinber, Douaouida, Amr, Meslem, Djaber, Moussa, Mohamed, Messaoud)[58]
  • Ali (Fader, Dahmane)[60]
  • Amr (al-Akhdar[61]: Oulad Sidi Yahia ben Zakra, al-Briket, al-Khamès (origine berbère) Oulad Youcef, Oulad Fedhala)
  • Saïd (Oulad Youssouf (Mekhadma, Roïwat, Bohour), Atba, Ouled Amer)
  • Dhouaouda[59](Ziban/Larbâa; Ouled Ben Gana, Ouled Ben Saïd[62], Debbaâh ; Ferdjiwa: Ouled Ben Achour ; Médjiana: Ouled Khelouf[63], Ouled Ben Gherman, Ouled Ben Guendouz, Ouled Mokran ; Zouagha : Oulad Ben Azzedine, Ouled ben Cheikh. Oulad Sakhr[64], Oulad Messaoud, Oulad Ali)[16]
  • Amer
  • Malek
  • Hossaïn
  • Aroua
  • Yezid
  • Nader
  • Hamiyan
  • Beni Amer[67] (Yakoub, Hamid et Chafaï: Oulad Sidi Ghalem, Ouled Ali, Ouled Sidi Bouzid[68], Ouled Laghouati, Ouled Brahim el-Amarna[69] - [70](les Amarna (Beni Amran) sont issues des Beni Maaqil[71]) Hassassna, Ouled Mimoun, Ouled Sleimane, Oulad Sidi Abdelli, Ouled Daho, Ouled Zeir, Hazej, Ouled Sidi Messaoud, Chefaa, Ouled Sidi Khaled, Ouled Bouammar, Ouled Ali Benyoub, Ouled Djebara[72], Djaïza, Ouled Sidi Ahmed Ben Youcef, Oulad Sidi Maâchou, Djaïza, al-Mehadja)[73]
  • Malek (Banu Suwayd (dont les Medjaher[74] - [75], les Mehal[59] et les Flitah[76] - [77] - [78] - [79] divisés en grandes factions: Oulad al-Aïd, Chelogh Kebbar, Chelogh Seghar, Oulad Roumia, Beni Louni, divisées elles-mêmes en sous-faction: Oulad Ahmed ben Soltan, El-Mahal, Oulad ben Chaa, Oulad sidi Harrat, Oulad Souid, Oulad Rziq, Oulad ben Ali, Hassassna, Zaouïa Sidi Mohammed ben Aouda, Chorfa Menasfa[80], Hannetra, Oulad ben Jahia, Oulad Sidi Mohamed ben Aïssa, Oulad Amer, Oulad Rached[81], Oulad Barket, Beni Issed, Oulad Raqfa, Beni Lawma, Beni Dargoun. Oulad Qoçaïr)[16],Ghrib et Attaf des Beni Harith (Beni Yakoub), Dialem (Beni Bou Ziad, Dehakna, Noual, Akkerma))[19]
  • Hossaïn[82] (Djendel, Kharrach (Oulad Messaoud, Oulad Feredj, Oulad Taref))[83] - [84]
  • Aroua (En-Nadr: Oulad Khelifa[85], Hamakna, Cherifa, Sahari, Dawi Ziane, Oulad Slimane ; Homeïs[86]: Obeidallah, Fedar', Yakdan (Oulad Naïl))[19]
  • Yezid (Ouled Lahek, Saad (Beni Madi, Beni Mansour, Zoghli), Khachna, Beni Moussa, Mouafaa, Djouab, Herz, Marbâa, Hamiyan[87] - [88])
  • Nader (Sahari)
  • Hamiyan[89] (Gharaba: al-Makhaoula, Rezaïna, Oulad Serour[90], Oulad Djerir, Oulad Fares ; Cheraga: Chefaa, Lanbah, Oulad Mebarek, Denaqa, Ouled Sidi Cheikh (Gharaba au Maroc, Cheraga en Algérie)[91] - [92] - [93] )[94]
Banu Maqil
  • Beni Mokhtar: Dawi Hassan, Roqaïtat[96], Shibanat[19]
  • Dawi Mansour: Oulad Bou al-Hossain, Hossein, Amran (Amarna alliés aux Ouled Brahim des Beni Amer)[71], Mounabate[19]
  • Dawi' Ubayd Allah:(Dj'aouna, Ghocel, Metarfa, Oulad Othmane ou Othmana)[19]
  • Ababsa (Ouled Rahou, Ikhaf, Ouled Hamed, Ouled Mahdi)[97] - [98]
  • Shibanat[99] (Beni Thabit, Beni Ali)[16]
  • Dawi 'Ubayd Allah (Ahl Angad[100] Cheraga: Oulad Sidi Khalifah, Beni Matar, Oulad Bel-Horr, Oulad el-Hamel, Kharidji, Ouled Belagh[90], Achacha)[101]
  • Ghocel[102](Beni Ouazan[103], Oulad Ala, Karazba, Awamer, Oulad el-Khouan, factions Zenata, Oulad Rchal, Mgannia, Mediouna Gharaba[104], el-Faoul, Mediouna Cheraga)
Banu Sulaym[105] - [106]
  • Debbah (Ouled Ahmed, Beni Yezid, Sobh'a, H'amarna, Khardja, Oulad Ouchah' (Mehamid, Djouari, Hariz), Oulad Sinane, Slimane)[108]
  • Heïb (Chemmakh, Beni Lebid, Salem (Ahmed, Amaïm, Aalaouana, Ouled Merzoug)[108]
  • Aouf (Mirdass, Allak (Beni Ali: Ouled Mrai, Ouled Soura, Ouled Nemi, Bedrana[109] - [110], Hadra, Hedjelane, Djomeïate, Homr, Messania, Ahl Hossein, Medji ; Beni Hakim: Ouled Djaber, Chr'aba, Naïr, Djouïne, Ziyad, Makâd, Molâab, Ahmed)[108]
  • Aalaouna de Tiaret
  • Mhamid de Mascara et de Constantine
  • Ouled Aouf de Saïda
  • Ouled Bellil d'Aumale
  • Les Troud du Sahara constantinois[43]
Chorfa
Autres Jebel Amour: Djoued et Zenakhra[115]Mitidja: Hadjoutes [116]

Cartographies

Carte de l'Algérie divisée par tribus, E. Carette et A. Warnier, 1846[117].

Notes et références

  1. Jean-Pierre Durand et Habib Tengour, L'Algérie et ses populations, FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-402-03978-9, lire en ligne), p. 94
  2. Louis RINN, Le Royaume d'Alger sous le Dernier Dey, Alger (lire en ligne), p. 32
  3. Abd al-Rahman b Muhammad Ibn Khaldun, Histoire des berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionale, Imprimerie du Gouvernement, (lire en ligne), p. 196
  4. « Hadjout : Le passé de la tribu des Hadjoutes revisité », sur El-watan-dz.com, (consulté le ).
  5. « Des tribus en Algérie ? À propos de la déstructuration tribale durant la période coloniale », sur journals.openedition.org, (consulté le ).
  6. Jean-Pierre Durand et Habib Tengour, L'Algérie et ses populations, FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-402-03978-9, lire en ligne)
  7. L'Algérie assimilée. Étude sur la constitution et la réorganisation de l'Algérie. Par un Chef de Bureau arabe, (lire en ligne), p. 61
  8. Ibn Khaldoun, Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique septentrionale, p86.
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  10. Xavier Yacono, Histoire de l'Algérie : de la fin de la régence turque à l'insurrection de 1954, FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-402-10032-8, lire en ligne)
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  12. Ernest MERCIER (Chevalier de la Légion d'Honneur.), Histoire de l'établissement des Arabes dans l'Afrique Septentrionale, selon les documents fournis par les auteurs Arabes et notamment par l'Histoire des Berbères, d'Ibn Khaldoun, etc, (lire en ligne)
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  14. Ibn Khaldoun, Les Prolégomènes, Al-Muqaddima
  15. « Répertoire alphabétique des tribus et douars de l'Algérie / dressé d'après les documents officiels sous la direction de M. le Myre de Vilers »
  16. « Tableau de la situation des établissements Français dans l'Algérie »
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  19. Ernest Mercier, Histoire de l'Afrique septentrionale (Berbérie) depuis les temps les plus reculés jusqu'à la conquête française (1930), Ernest Leroux, (lire en ligne), p. 13
  20. J.B. Eyries et Conrad Malte-Brun, Nouvelles annales des voyages, de la geographie et de l'histoire, ou recueil des relations ... ou collection des voyages nouveaux, Librairie de Gide fils, (lire en ligne), p. 225
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  22. Recueil des notices et mémoires de la Société archéologique de la province de Constantine, Alessi et Arnolet, (lire en ligne), p. 101
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  24. Eyries et Malte-Brun 1865, p. 220.
  25. Melchior Joseph Eugène Daumas, Le Sahara Algérien; Etudes géographiques, statistiques et historiques sur la région au sud des etablissements français en algerie... publiés par l'autorisation der Marechal Duc de Dalmatie (Soult?), Fortin, Masson et Cie, (lire en ligne), p. 48
  26. PROHUZA, Les Mekhadma: etude sur l'évolution d'un groupe humain dans le Sahara moderne, Arts et métiers graphiques, (lire en ligne)
  27. Algeria, Exploration scientifique de l'Algérie pendant les années 1840, 1841, 1842. Sciences historiques et géographiques, (lire en ligne), p. 252
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  29. (es) Enciclopedia universal ilustrada europeo-americana: etimologías sánscrito, hebreo, griego, latín, árabe, lenguas indígenas americanas, etc. : versiones de la mayoría de las voces en francés, italiano, inglés, alemán, portugués, catalán, esperanto, Espasa-Calpe, (lire en ligne), p. 1095
  30. Revue africaine: journal des travaux de la Société Historique Algérienne, (lire en ligne), p. 204
  31. (ar) احمد، مصطفى ابو ضيف, آثار القبائل العربية في الحياة المغربية: خلال عصري الموحدين وبني مرين، ٥٢٤-٨٧٦ ھ.، ١١٣٠-١٤٧٢ م, دار النشر المغربية،, (lire en ligne), p. 198
  32. (ar) احمد، مصطفى ابو ضيف, آثار القبائل العربية في الحياة المغربية: خلال عصري الموحدين وبني مرين، ٥٢٤-٨٧٦ ھ.، ١١٣٠-١٤٧٢ م, دار النشر المغربية،, (lire en ligne), p. 199
  33. Ernest MERCIER (Chevalier de la Légion d'Honneur.), Histoire de l'établissement des Arabes dans l'Afrique Septentrionale, selon les documents fournis par les auteurs Arabes et notamment par l'Histoire des Berbères, d'Ibn Khaldoun, etc, (lire en ligne), p. 144
  34. Georges Marçais, Les arabes en Berbérie du XIe au XIVe siècle, E. Leroux, (lire en ligne), p. 585
  35. Mathéa Gaudry, La sociéte féminine au djebel Amour et au Ksel: étude de sociologie rurale nord-africaine, Société algérienne d'impressions diverses, (lire en ligne), p. 10
  36. Daumas 1845, p. 100.
  37. Louis DuCouret (called 'Abd al-Hamid bey), Les mystères du désert: souvenirs de voyages en Asie et en Afrique, E. Dentu, (lire en ligne), p. 283
  38. Bulletin de la Société de géographie, Société de Géographie, (lire en ligne), p. 195
  39. Société archéologique du département de Constantine, Recueil des Notices et Memoires, (lire en ligne), p. 192
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  43. Alfred le Chatelier et Ismaël Hamet, Les Musulmans français du nord de l'Afrique, Collection XIX, (ISBN 978-2-346-08448-7, lire en ligne).
  44. Ernest MERCIER (Chevalier de la Légion d'Honneur.), Histoire de l'établissement des Arabes dans l'Afrique Septentrionale, selon les documents fournis par les auteurs Arabes et notamment par l'Histoire des Berbères, d'Ibn Khaldoun, etc, (lire en ligne), p. 144
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