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BĂ©char

BĂ©char (en arabe : بشار ; en tifinagh: ⴱⴻⵛⵛⴰⵔ), anciennement Colomb-BĂ©char pendant la colonisation française après 1902, est une commune de la wilaya de BĂ©char, en AlgĂ©rie, dont elle est le chef-lieu, situĂ©e Ă  1 150 km au sud-ouest de la capitale Alger, Ă  852 km au nord-est de Tindouf et Ă  environ 80 km Ă  l'est de la frontière marocaine. BĂ©char est la plus grande ville du sud-ouest algĂ©rien, sa population est de 171 724 habitants.

BĂ©char
BĂ©char
Place du 1er Novembre
Noms
Nom arabe بشار
Nom amazigh ⴱⴻⵛⵛⴰⵔ
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
RĂ©gion Saoura
Wilaya BĂ©char
DaĂŻra BĂ©char
Président de l'APC
Mandat
Abdallah Bouziane[1]
2017-2022
Code postal 08000
Code ONS 0801
DĂ©mographie
Gentilé Bécharien(ne)
Population 165 627 hab. (2008[2])
DensitĂ© 33 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 31° 37′ 00″ nord, 2° 13′ 00″ ouest
Altitude Max. 773 m
Superficie 5 050 km2
Localisation
Localisation de BĂ©char
Localisation de la commune dans la wilaya de BĂ©char.
Géolocalisation sur la carte : Algérie
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BĂ©char
Géolocalisation sur la carte : Algérie
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BĂ©char

    GĂ©ographie

    Situation

    Le territoire de la commune de Béchar est situé au nord de sa wilaya. Béchar se situe à la limite nord-ouest du Sahara algérien. On considère que la ville fait partie de la région de la Saoura.

    Communes limitrophes de BĂ©char
    Lahmar Mougheul Beni Ounif
    Kenadsa BĂ©char Beni Ounif
    Kenadsa Taghit Taghit

    Relief

    Béchar est entourée de chaînes de montagnes :

    Climat

    Neige tombée dans l'oasis de Qorai à Bechar
    Données climatiques à Béchar.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1 4 8 12 16 21 25 25 20 13 7 2 13
    Température moyenne (°C) 8 11 15 19 23 28 32 31 26 20 13 9 20
    Température maximale moyenne (°C) 15 18 22 26 30 35 40 38 33 27 20 16 27
    Précipitations (mm) 0 0 10 0 0 0 0 0 0 10 10 0 80
    Source : Weatherbase, statistiques sur 26 ans[3].

    Transport

    Béchar dispose d'un aéroport situé à km au nord-ouest de la ville. Des vols opérés par la compagnie Air Algérie la relient à Alger et à Oran.

    La commune de Béchar est traversée par la route nationale 6 (RN 6), dite « route des Oasis », qui relie la ville de Sig, située au nord-ouest de l'Algérie, à la ville de Timiaouine, située à l’extrême sud de l'Algérie à la frontière avec le Mali, via Béchar et Adrar.

    Le 15 juillet 2010, la ligne ferroviaire Oran-BĂ©char, longue de 700 km, a Ă©tĂ© inaugurĂ©e. Le voyage s'effectue en 10 heures. Cette ligne de train permettra au sud-ouest algĂ©rien un dĂ©senclavement et accentuera les Ă©changes commerciaux entre le nord et le sud algĂ©rien en desservant jusqu'Ă  Oran les villes suivantes : Oued Tlelat, Sidi Bel Abbes, Ras El Ma, Mecheria, Naâma, Ain Sefra, Beni Ounif.

    Localités de la commune

    En 1984, la commune de Béchar est constituée à partir des localités suivantes[4] :

    • BĂ©char-Centr
    • Kasr BĂ©char
    • Debdaba
    • BĂ©char Djedid
    • Ouakda
    • Benzireg
    • Hassi Haouari
    • Zouzfana
    • Gharassa
    • Manouarar Nekheila

    Un quartier s'appelle Mer Niger, du nom du Chemin de fer transsaharien[5].

    Histoire

    Vers la fin du XVIIe siècle, le Bey de l’Ouest mande des expéditions dans le Sahara vers lequel il voulait étendre sa domination[6]. Les objectifs de ces expéditions étaient doubles : établir une cartographie de cette partie du Sahara et trouver de l'eau. Une récompense fut promise à toute personne découvrant des points d'eau encore inconnus. Ces derniers, recevant une prime annuelle étaient de plus exemptés d’impôt et d'obligation militaire. Parmi ces explorateurs, beaucoup moururent de soif ou en se perdant dans le Sahara loin des routes commerciales. Néanmoins, bon nombre d’entre eux découvrirent des zones minières et des sources d'eau (mais le plus souvent saumâtres)[7].

    Les traditions locales rapportent qu'un jour, un voyageur demanda audience au Bey, puis lui présenta dans une guerba en peau de chèvre de l'eau limpide qu'il expliqua avoir recueillie dans une source qu'il aurait découverte dans la vallée de Zousfana. Le Bey remercia publiquement l'envoyé, puis, après l'avoir félicité, il surnomma l'explorateur "'El Bechar" signifiant celui qui apporte une bonne nouvelle, surnom qui sera repris pour désigner toute la région[6] - [7].

    Ancien Ksar de BĂ©char.

    Comme la région était assez plane, cela facilita la création de palmeraie grâce à la possibilité d’utiliser l'eau de la source nouvellement découverte. Le Bey choisit entre autres la tribu des Ouled Nasir pour travailler la terre de la région et pour s'y installer. Il offrit à ces derniers divers animaux (chevaux, mulets et moutons) pour faciliter leur installation et ordonna la construction d'un premier fort dans cette nouvelle place[6].

    Rapidement, la nouvelle palmeraie prospéra et fut réputée dans la région pour ses figues et dattes, mais aussi pour les divers animaux provenant de la chasse. Elle atteignit l'oued Guir, non loin de cet endroit et assura la prospérité de la nouvelle ville qui rapidement vit de nombreuses tribus nomades se mettre sous la protection de la ville et camper non loin de Béchar[6]. Néanmoins, quelques décennies plus tard, la région connue pour les fortes crues de l'oued motiva les Ouled Nasir à quitter le pays pour s'installer plus au nord dans les plaines marocaines du Gharb.

    Avertis de ces terribles événements, le bey de l'Ouest rechercha de nouveaux volontaires pour aller continuer l'œuvre des Ouled Nasir mais la plupart des tribus et citoyens du beylicat de l’ouest de la Régence d'Alger refusèrent, de peur de mourir dans le désert des mêmes conditions. Devant cette situation, le Bey décida d'envoyer des esclaves et tribus de force et constitua ainsi la place d'Abda. Il y construisit le fort de Zoukourt où vécut une grande partie des esclaves. Rapidement, de nombreuses personnes venant du Tell accoururent dans la région et furent si nombreuses que les gens d'Abda décidèrent de construire un nouveau ksar à côté de celui de Zoukourt, qui fut nommée Zekakor (ou petit Zakour)[6]. Ainsi, la région de Béchar devint une plaine fertile couverte de cultures, depuis le barrage d'Ouakda et la vallée de l'oued actuel jusqu'à la palmeraie d'Ait Hamou Aissa et le pied du Djebel Béchar, à mi-chemin de la piste de Béchar à Gharassa[6].

    Le siège de la forteresse de Zakour

    Le sultan Lakhal (sultan du Gharb et du Tafilalet) apprit que Béchar possédait en abondance une région très fertile et de nombreuses sources d'eau de bonne qualité et résolut ainsi de s'emparer du ksar de Zakour dont il fit le siège. Il coupa tous les barrages et toutes les séguias qui alimentaient les jardins, et détruisit bon nombre de cultures. Le siège du Zakour durait depuis un an, sans succès pour les assiégeants. Les traditions locales, que rapporte notamment L. Cesard dans ses travaux anthropologiques de la région, narrent que les habitants du Ksar, lorsqu'il ne restait plus que quelques kilogrammes de blé et moins d'une dizaine de génisses, décidèrent sur les conseils d'un « ancien » de l'assemblée d'Abda de nourrir une des génisses qu'il possédait avec les céréales qu'il restait avant de la libérer pour qu'elle soit récupérée par les assiégeants. La nuit suivante, la génisse fut capturée par les assiégeants qui l'égorgèrent avant de s'apercevoir que l'estomac de la bête était rempli de blé. Le sultan assiégeant, informé de ce fait, décida de lever le siège[6].

    Quelques années plus tard, des familles nomades des tribus berbères des Ait Atta vinrent s'installer à Bechar, édifiant notamment le Ksar El Beidh. Par la suite, de nombreuses autres tribus nomades vinrent s'installer dans la région avec leur troupeaux, mais la plupart ne restèrent que temporairement.

    Harcèlement de Béchar par diverses tribus

    Les Ghenanma, tribu bédouine du Draa, implantée notamment dans la vallée de la Saoura menèrent de nombreuses incursions sur Béchar et ses environs pour se ravitailler en dattes et céréales essentiellement. Les habitants de la région firent appel aux tribus bédouines des Doui Menia, récemment installés dans la vallée du Guir, pour les protéger en échange de terrain. Ces derniers acceptèrent, avant pour certains de rompre le contrat afin de reprendre leur vie nomade.

    Sidi M'hammed Ben Bouziane, riche érudit alors installé à Béchar, partira à cette époque dans la ville voisine de Kénadza où il fondera sa Zaouïa. De leur côté, les tribus des Ghenanma et des Doui Menia s'étaient déclaré la guerre et, comme les Douia Menia ne passaient à Béchar qu'à certaines périodes de l'année pour acheter des dattes, une partie des Ghenanma profita de la situation pour piller les récoltes. Les Doui Menia décidèrent, après avoir été informés de la situation par Sidi M'hammed Ben Bouziane et être appelés par les habitants de la région, de livrer bataille contre les Ghenanma. La bataille eut lieu à Redjem Kaam (entre Guelb El Aouda et Gueltet Amed ben Salah) : le Cheikh Aissa, chef des Doui Menia y provoqua en duel singulier Kaam, le chef des Ghenanma, qui fut tué. Privés de leur chef, les Ghenanma se débandèrent et furent vaincus par les Doui Menia.

    Dans les années 1800, des pluies anormalement abondantes transformèrent l'Oued Béchar en torrent qui dévasta la région, et qui fut nommée l'Oued Lakhal à cause de la couleur de ce dernier. Cette crue marqua et creusa plus profondément le lit de l’Oued et détruisit entre autres les principaux systèmes d'irrigation de Béchar dont notamment la grande seguia des Ait Atta[6].

    Époque contemporaine

    Vue de Colomb-BĂ©char par Alexandre Iacovleff

    En 1902, lors de la colonisation française, la ville est rattachée à la partie des Territoires du Sud, subdivision de l'Algérie française entre 1902 et 1957. La ville, durant la période coloniale, tire son nom composé de Colomb-Béchar du général français Louis Joseph Jean François Isidore de Colomb (1823-1902) qui servit dans la région de l'Oranais et du sud Oranais (Laghouat, Mascara, Tlemcen) et mourut l'année même du rattachement de la ville à la France[8], et du nom indigène précolonial de Béchar, ou porteur de bonnes nouvelles en arabe, suivant une légende qui remonte au début de la période turque. En 1958, elle fait partie du département de la Saoura. Dans le but de sécuriser la zone frontalière algéro-marocaine, foyer d'agitation permanente, Lyautey installa de nouveaux postes destinés à assurer la sécurité de la région régulièrement menacée par les incursions des tribus hostiles à l'implantation française. Il établit ainsi une ligne de postes partant au sud de Béchar alors située dans les territoires non-délimités par le Traité de Lalla Maghnia[9], il occupa en 1903 le Ksar de Béchar et le rebaptisa "Colomb" puis l'intégra aux départements français d’Algérie.

    Café à Béchar, 1932. Photographie de Walter Mittelholzer, ETH-Bibliothek.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, un camp de concentration vichyste est installé à Colomb-Béchar, où sont soumis au travail forcé des prisonniers républicains espagnols, communistes français[10] et des Juifs[11]. C’est à proximité de Béchar que le général Leclerc a trouvé la mort le dans le crash de son B-25 Mitchell, lors d’une tempête de sable au cours d’une tournée d’inspection. Les 13 occupants de l'appareil sont tués sur le coup. Elle devient une commune de plein exercice le [12].

    L'armée française installe en 1947 une base militaire de lancement de fusées et de fusées-sondes appelée le Centre interarmées d'essais d'engins spéciaux. Cette base fut utilisée encore après l'indépendance de l'Algérie, jusqu'en 1967, selon les termes des accords d'Évian entre la France et l'Algérie[13]. Le charbon, découvert dès 1907, ne connut un début d'exploitation qu'en 1917, puis une expansion pensée et préparée lors de la Deuxième Guerre mondiale, qui isole l'Algérie de la Métropole et nécessite un accroissement rapide des sources d'énergie locales[14]. C'est l'expansion du Bassin houiller de Djerada dans les années 1950 : une centrale thermique est installée et la voie ferrée normale Méditerranée-Niger prolongée jusqu'à Kenadsa[14]. Après l'indépendance, la ville reprend le nom de Béchar[15].

    Administration

    Le 19 mai 2020, le président de l'APC est suspendu par le wali, à la suite de poursuites judiciaires engagées pour « concussion, corruption, trafic d'influence, infractions commises dans le cadre de la passation de marchés publics et dilapidation de deniers publics »[1].

    Éducation

    L'université de Béchar regroupe 13 spécialités dont les sciences technologiques, le droit, la gestion et les lettres arabes.

    Santé

    Cette commune abrite des salles de soins, polycliniques et maternités relevant de la Direction de la Santé et de la Population (DSP) de la wilaya de Béchar ainsi que du ministère de la Santé.

    Les consultations spécialisées ainsi que les hospitalisations des habitants de cette commune se font dans l'un des hôpitaux de la wilaya de Béchar :

    Elle chapeaute 10 salles de soins sur un total de 19 que compte la wilaya de BĂ©char.

    Cette commune chapeaute 2 polycliniques sur un total de 5 polycliniques que compte la wilaya de BĂ©char.

    Cette commune chapeaute 2 maternités sur un total de 8 maternités que compte la wilaya de Béchar.

    Économie

    Le développement rapide de Béchar est étroitement lié à la présence de l'armée algérienne notamment le long de la frontière marocaine.

    Colomb-Béchar doit être le point de départ d'un des premiers segments du chemin de fer transsaharien Alger-Gao-Bamako-Dakar.

    Sport

    La ville de Béchar est représentée par plusieurs clubs dans la discipline du football, beaucoup d'entres eux ont pu arriver en D2, tels que : l'ES Béchar, US Béchar Djedid, MC Debdaba ; mais seul est parvenu à se hisser en D1 algérienne en l'occurence la JS Saoura.

    La JS Saoura qui joue régulièrement le haut de tableau du championnat national de football de première division, a également participé deux fois aux coupes internationales africaines ( Champions League africaine et coupe de la CAF )

    Personnalités

    • Mohamed Abou El Kacem Al Kandoussi, un soufi, un Ă©crivain et un grand calligraphe qui joua un grand rĂ´le dans la culture de son Ă©poque (XIII s. h. /XIX)
    • Yahia Chebloune, originaire de BĂ©char, diplĂ´mĂ© de l’universitĂ© Claude Bernard de Lyon, le Docteur-chercheur Yahia Chebloune est un virologue qui a occupĂ© plusieurs postes de recherche en France et aux États-Unis. Il est depuis 2013 chef du laboratoire de NanoBio2 Ă  l’universitĂ© de Grenoble (France) et du Viral Pathogenesis Kansas University Medical Center, Kansas City, USA. Il est aussi directeur de recherche en France.
    • Yasmina Khadra, nĂ© Ă  Kenadsa est un Ă©crivain, auteur de plusieurs romans et rĂ©cipiendaire de plusieurs prix littĂ©raires. Ses romans sont traduits et publiĂ©s dans une cinquantaine de pays. L'AcadĂ©mie française lui a dĂ©cernĂ© le Grand prix de littĂ©rature Henri-Gal, Prix de l'Institut de France 2011 pour l'ensemble de son Ĺ“uvre,
    • Pierre Rabhi, nĂ© Ă  Kenadsa est un agriculteur, Ă©crivain et penseur franco-algĂ©rien.
    • Alla, musicien et instrumentaliste algĂ©rien et grand maĂ®tre du oĂ»d.
    • Moustapha Djallit est un footballeur algĂ©rien.
    • Nahida Touhami est une coureuse algĂ©rienne.
    • Hicham Boudaoui est un footballeur international algĂ©rien

    Relations internationales

    La ville de Béchar est jumelée avec deux villes :

    Notes et références

    1. Le président de l'APC de Béchar et trois autres élus suspendus en raison de poursuites judiciaires, agence APS, 19 mai 2020.
    2. [PDF]Recensement 2008 de la population algérienne, wilaya de Béchar, sur le site de l'ONS.
    3. « Béchar, Algeria », sur weatherbase.com (consulté le ).
    4. [PDF]Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret no 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya de Béchar, page 1489.
    5. « Les quartiers Ksar et Mer-Niger renouent avec le calme », sur Djazairess (consulté le )
    6. Gens et Choses de Colomb-BĂ©char (Sud Oranais), L. CĂ©ard.
    7. Archives de l'Institut Pasteur d'Algérie Publication Trimestrielle, Tome XI (1933)
    8. Claude Merle, « COLOMB », sur www.histoire-de-guerre.net (consulté le )
    9. « TRAITE DE LALLA-MARNIA (18 mars 1845) » (consulté le )
    10. Evelyn Mesquida, La Nueve, 24 août 1944. Ces républicains espagnols qui ont libéré Paris, Paris, Le Cherche-Midi, 2011, collection « Documents ». (ISBN 978-2-7491-2046-1), p. 219
    11. Michael R. Marcus et Robert O. Paxton (trad. de l'anglais), Vichy et les Juifs, Paris, Calmann-LĂ©vy, , 601 p. (ISBN 978-2-7021-5702-2), page 247
    12. « Fac-similé JO du 01/01/1958, page 11976 - Legifrance », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
    13. Interview de Pierre Messmer, ancien ministre français de la Défense par Vincent Jauvert, grand reporter, Nouvel Observateur no 1720, semaine du jeudi 23 octobre 1997
    14. "Une cité minière au Nord-Sahara: Béchar-Djedid" E. Dalmasso Méditerranée 1962
    15. Atlas de l'Algérie 1830-1960, Paris, Éditions Archives & Culture, , 80 p. (ISBN 978-2-35077-157-1, présentation en ligne)
    16. « Hôpital 240 lits de Béchar », sur Djazairess (consulté le )
    17. http://www.letempsdz.com/content/view/136353/1/
    18. « 2 associations de Nantes dans la wilaya de Béchar », sur Djazairess (consulté le )
    19. « Béchar : L'ambassadeur de France en visite », sur Djazairess (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

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