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Tremblay-les-Villages

Tremblay-les-Villages est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Tremblay-les-Villages
Tremblay-les-Villages
Place de l'église à Tremblay-le-Vicomte.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Christelle Minard
2020-2026
Code postal 28170
Code commune 28393
Démographie
Population
municipale
2 228 hab. (2020 en diminution de 2,32 % par rapport à 2014)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 06″ nord, 1° 22′ 56″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 227 m
Superficie 63,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Tremblay-les-Villages
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Tremblay-les-Villages
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Tremblay-les-Villages
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Tremblay-les-Villages
Liens
Site web http://www.tremblaylesvillages.com

    Géographie

    Situation

    Tremblay-les-Villages a comme particularité de posséder une partie de son territoire, l'ancienne commune de Saint-Chéron-des-Champs, non reliée à la partie principale. Saint-Chéron-des-Champs forme une enclave au milieu des communes limitrophes qui la séparent de son chef-lieu.

    Position de Tremblay-les-Villages (en rouge) dans l'arrondissement de Dreux (en vert) au sein du département d'Eure-et-Loir (grisé).
    Position de Tremblay-les-Villages (en rouge) dans l'arrondissement de Dreux (en vert) du département d'Eure-et-Loir (grisé).
    Carte de la commune de Tremblay-les-Villages et des communes limitrophes

    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de l'enclave de Saint-Chéron-des-Champs
    Serazereux Néron
    Serazereux de l'enclave de Saint-Chéron-des-Champs Bouglainval
    Challet Berchères-Saint-Germain

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 641 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marville - Man », sur la commune de Marville-Moutiers-Brûlé, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 581,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 17 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tremblay-les-Villages est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,6 %), forêts (4 %), zones urbanisées (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Tremblay-les-Villages est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999 et 2018[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tremblay-les-Villages.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 57,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 996 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 603 sont en en aléa moyen ou fort, soit 61 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Tremblay-les-Villages est un néo-toponyme.

    Tremblay signifie « endroit où poussent des peupliers trembles ».

    Les Villages sont Tremblay-le-Vicomte, Chêne-Chenu, Écublé, Gironville-et-Neuville, Saint-Chéron-des-Champs, Theuvy-Achères.

    Histoire

    Avant 1972

    Avant cette date, six communes préexistent.

    Tremblay-le-Vicomte

    La commune de Tremblay-le-Vicomte a porté provisoirement, au cours de la Révolution française, le nom de Tremblay-Sans-Culottes[25].

    Entre 1795 et 1800, la commune voisine des Chaises est absorbée. En 1846, est aussi absorbée celle de Landouville[25].

    Chêne-Chenu

    • Chêne-Chenu absorbe en 1855, avec Marville-les-Bois, une partie de l'ancienne commune de Villette-les-Bois[26] ;
    • De 1873 à 1971, la commune de Chêne-Chenu est desservie par les trains de voyageurs circulant sur la ligne de Chartres à Dreux avec un point d'arrêt à Villette-les-Bois.

    Écublé

    L’ancienne commune d’Écublé est citée dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[27].

    Gironville-et-Neuville

    Avant 1933, le nom de la commune est Gironville[28].

    Saint-Chéron-des-Champs

    Selon les époques, est mentionnée l’appellation Saint-Cheron-des-Champs ou Saint-Chéron-des-Champs ou Trémémont[29].

    Theuvy-Achères

    • En 1839, Theuvy absorbe Achères et devient ainsi Theuvy-Achères[30] ;
    • De 1873 à 1971, la commune de Theuvy-Achères bénéficie d'une gare ouverte aux voyageurs circulant sur la ligne de Chartres à Dreux.

    1972 : création de Tremblay-les-Villages

    La commune de Tremblay-les-Villages est créée en 1972, sur l'impulsion de Martial Taugourdeau, maire de Tremblay-le-Vicomte, grâce à la fusion-association des six communes préexistantes :

    • Chêne-Chenu (208 habitants en 1968[26]) ;
    • Écublé (305 habitants en 1968[31]) ;
    • Gironville-et-Neuville (82 habitants en 1968[28]) ;
    • Saint-Cheron-des-Champs (63 habitants en 1968[29], qui forme une enclave disjointe du territoire communal ;
    • Theuvy-Achères (117 habitants en 1968[30]) ;
    • Tremblay-le-Vicomte (437 habitants en 1968[25]) ;

    soit une population totale de 1 212 habitants.

    Cette opération a pour objectif de mieux regrouper les moyens mis au service des citoyens et de donner à la nouvelle commune tous les éléments permettant son développement. Par son ampleur (fusion-association de six communes), elle peut également être considérée comme un projet précurseur, préfigurant le développement de l'intercommunalité dans les années 1990.

    En 2003, la commune rejoint la communauté de communes du Thymerais, puis en 2014 la communauté d'agglomération du Pays de Dreux.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1971 2001 Martial Taugourdeau RPR Député d'Eure-et-Loir (1978-1981), (1986-1989)
    Sénateur d'Eure-et-Loir (1989-2001)
    Président du conseil général d'Eure-et-Loir (1986-2001)
    Conseiller général du canton de Châteauneuf-en-Thymerais (1979-2001)
    2001 2008 Louis Pottier
    2008 2014 Francis Cousin
    2014 En cours Christelle Minard[32] - [33] LR Agricultrice céréalière sur grande exploitation
    Conseillère départementale du canton de Saint-Lubin-des-Joncherets (2015->)
    3e vice-présidente de la communauté d'agglomération du Pays de Dreux (2020->)
    Suppléante du député Olivier Marleix

    Population et société

    Démographie

    En 2020, la commune de Tremblay-les-Villages comptait 2228 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    520491507482487490520516557
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    547553529564582568590548528
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    522554535532491527511511486
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4334371 0361 2901 4511 8162 0152 0702 231
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 2812 2432 228------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Note : jusqu'à 1968 inclus, le chiffre indiqué est la population de la commune constituée du seul village de Tremblay-Le-Vicomte.

    Enseignement

    La commune dispose d'une école primaire, le groupe scolaire J.J. Sevin, partagée avec la commune de Serazereux et administrée par un syndicat mixte regroupant les 2 communes, le SIVOM de Tremblay et Serazereux.

    Le collège de secteur est La Pajotterie à Châteauneuf-en-Thymerais et le lycée général de secteur est le lycée Édouard Branly à Dreux.

    Les transports scolaires jusqu'aux trois établissements sont administrés par la communauté d'agglomération de Dreux.

    Économie

    Entreprises

    La plus importante entreprise de la commune la fabrique d'encre d'imprimeries Brancher Kingwood (filiale d'un groupe Chinois) a été placée le en redressement judiciaire. Elle emploie 62 personnes[36].

    Revenus et fiscalité

    Le revenu médian annuel des habitants s'élève à 21 262 â‚¬. Il est plus élevé que le revenu médian en France (19 785 â‚¬).

    La commune affiche un taux de pauvreté de 7,4 %, largement moins important que celui de la France (13,9 %).

    Seuls 33,1 % de foyers fiscaux sont non imposables[37].

    Culture locale et patrimoine

    Tremblay-le-Vicomte

    • Restes de l'ancien château du XIIIe siècle, Logo monument historique Inscrit MH (1928)[38] ;
    • Église Saint-Martin de Tremblay-le-Vicomte.
    • Tremblay-le-Vicomte
    • L'ancien château.
      L'ancien château.
    • Maisons et rue.
      Maisons et rue.
    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.

    Chêne-Chenu et Villette-les-Bois

    • Église Saint-Paul de Chêne-Chenu ;
    • À Villette-les-Bois, passe la ligne de chemin de fer de Chartres à Dreux, le service voyageurs a cessé en 1971 et le fret des céréales stockées dans les silos bordant la ligne a également cessé, comme on peut le constater depuis 2021 au passage à niveau de Villette-les-Bois où les rails sont démontés.
    • Chêne-Chenu
    • L'église Saint-Paul.
      L'église Saint-Paul.
    • Façade ouest et monument aux morts.
      Façade ouest et monument aux morts.
    • Mur nord de l'église.
      Mur nord de l'église.
    • Ligne Chartres-Dreux à Villette-les-Bois en juillet 2020.
      Ligne Chartres-Dreux à Villette-les-Bois en juillet 2020.

    Écublé et Bilheux

    • Calvaire ;
    • Église Saint-Sulpice d'Écublé et dolmen intégré au mur du cimetière ;
    • Monument aux morts ;
    • Sculptures en bois sur la place de Bilheux ;
    • Circuit de motocross, rue Saint-Jacques[39].
    • Écublé
    • Calvaire.
      Calvaire.
    • L'église Saint-Sulpice et la mare.
      L'église Saint-Sulpice et la mare.
    • Dolmen enchâssé dans le mur du cimetière.
      Dolmen enchâssé dans le mur du cimetière.
    • Sculptures de Bilheux.
      Sculptures de Bilheux.

    Gironville-et-Neuville

    • Église Saint-Martin de Gironville.
    • Gironville
    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.
    • Chevet envahi par le lierre.
      Chevet envahi par le lierre.
    • Verrières aux vitrages cassés.
      Verrières aux vitrages cassés.

    Saint-Cheron-des-Champs

    • Chapelle Saint-Cheron de Saint-Cheron-des-Champs, ancienne église paroissiale. L'édifice est situé hors bourg, entouré du cimetière de la paroisse ;
    • Monument aux morts dans le cimetière entourant la chapelle.
    • Saint-Cheron-des-Champs
    • Chemin d'accès à la chapelle.
      Chemin d'accès à la chapelle.
    • La chapelle Saint-Chéron de Saint-Chéron-des-Champs.
      Chapelle et cimetière.
    • Tinkea Séréko, mort pour la France.
      Tinkea Séréko, mort pour la France.
    • Ruines du prolongement de la nef.
      Ruines du prolongement de la nef.

    Theuvy-Achères

    • Église Notre-Dame et Saint-Quitaire de Theuvy ;
    • Ferme fortifiée de Theuvy ;
    • Église Saint-Brice d'Achères.
    • Theuvy-Achères
    • Église Notre-Dame et Saint-Quittaire de Theuvy
      Église Notre-Dame et Saint-Quittaire de Theuvy
    • Ferme fortifiée avec douves de Theuvy.
      Ferme fortifiée avec douves de Theuvy.
    • Église Saint-Brice Achères.
      Église Saint-Brice Achères.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi : de gueules à la barre d’argent accompagnée de six merlettes du même ordonnées en orle.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Bases de données et dictionnaires

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Marville - Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tremblay-les-Villages et Marville-Moutiers-Brûlé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Marville - Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tremblay-les-Villages et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Tremblay-les-Villages », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Tremblay-les-Villages », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Chêne-Chenu », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    27. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Gironville-et-Neuville », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
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