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Souancé-au-Perche

Souancé-au-Perche est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Souancé-au-Perche
Souancé-au-Perche
L'Ă©glise Saint-Georges
Logo monument historique Inscrit MH (1930, 1935).
Blason de Souancé-au-Perche
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Perche
Maire
Mandat
Émilie Daigneau (dĂ©missionnaire)
2020-2026
Code postal 28400
Code commune 28378
DĂ©mographie
Gentilé Souancéens
Population
municipale
514 hab. (2020 en diminution de 5,17 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 27 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 16â€Č 04″ nord, 0° 51â€Č 20″ est
Altitude Min. 123 m
Max. 270 m
Superficie 18,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nogent-le-Rotrou
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nogent-le-Rotrou
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Souancé-au-Perche
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Souancé-au-Perche
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Souancé-au-Perche
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Souancé-au-Perche

    GĂ©ographie

    Situation

    La commune se situe dans la région naturelle du Perche, au sein du canton de Nogent-le-Rotrou.

    Construit autour de la riviùre la Rhone, affluent de la rive gauche de l’Huisne, le village propose une vision typique du Perche : bocage, lavoir et sources. Deux sources coulent dans le village aux fontaines Saint-Marc et Saint-Georges.

    • Situation gĂ©ographique
    • SouancĂ©-au-Perche dans son arrondissement.
      Souancé-au-Perche dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de SouancĂ©-au-Perche.
      Carte de la commune de Souancé-au-Perche.

    Communes et département limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 754 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne, mise en service en 1993[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 756,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « ChĂąteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et Ă  44 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Souancé-au-Perche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (92,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (55,3 %), prairies (33,1 %), forĂȘts (7,1 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (3,2 %), zones urbanisĂ©es (1,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de SouancĂ©-au-Perche est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Jambette et la RhĂŽne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1995 et 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Souancé-au-Perche.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des effondrements généralisés de terrains[23].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 96,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 296 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 290 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 98 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Suenci, vers 1128 (BibliothÚque nationale de France-Manuscrit Latin 9223 Cartulaire Notre-Dame de Josaphat) ; Suentheium, 1141 (Cartulaire de Thiron, t. 2) ; Suhenci, vers 1150 (BibliothÚque nationale de France-ManuscritLatin 9223 Cartulaire Notre-Dame de Josaphat) ; Souencé, , (Archives nationales.-JJ 90, n° 331, fol. 169 v°) ; Souencé, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Souancé au Perche, décret du .

    Du bas latin Swabincacus. Swabinc, nom de personne d’origine germanique, et pseudo-suffixe de possession iacus.

    Histoire

    Moyen Âge

    Les seigneurs de Montdoucet et de la Chaise, vassaux des Rotrou, possédaient un domaine à Souancé. Deux des tours du chùteau Saint-Jean à Nogent-Le-Rotrou portent le nom des seigneurs Montdoucet et Chaise[26].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 François Jacques
    mars 2008 juillet 2020 Patrick Gouhier SE Cadre
    juillet 2020 mars 2021[27] Émilie Daigneau Infirmiùre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 514 habitants[Note 8], en diminution de 5,17 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0099269151 0161 0741 1141 1351 2101 237
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1211 0861 008949990968917914875
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    855832852710728738701647623
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    589551530579547514544547537
    2020 - - - - - - - -
    514--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le chƓur.
    Le chƓur de l'Ă©glise Saint-Georges.

    Église Saint-Georges

    L'Ă©glise Saint-Georges, Logo monument historique Inscrit MH (1930, 1935), date des XIIe, XIIIe et XVIe siĂšcles[32].

    Plusieurs Ă©lĂ©ments de mobilier sont remarquables, dont des vitraux du XVIe siĂšcle classĂ©s monuments historiques, ainsi qu'une peinture sur toile de la mĂȘme Ă©poque reprĂ©sentant la crucifixion de JĂ©sus, Ă©galement classĂ©e.

    ChĂąteau de la GalaisiĂšre

    Bien que remanié depuis lors, construit au XVIIe siÚcle par Louis Aubin, huissier au cabinet de la duchesse d'Orléans dont la fille Françoise Louise l'apporta à son époux François de Mauduison (également constructeur du chùteau d'OursiÚres à Argenvilliers), Secrétaire du Roi. Il est resté dans la descendance directe de son constructeur, passant par mariage, à la famille de Carpentin, puis Fergon, Colin de Marnes et enfin, Guillier de Souancé, ses actuels propriétaires.

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques Guillier de SouancĂ© (1749-1812), propriĂ©taire Ă  SouancĂ©, dĂ©putĂ© d'Eure-et-Loir au Corps lĂ©gislatif de 1808 jusqu'Ă  sa mort.
    • Charles Rappoport (1865-1941) et son Ă©pouse Sophie Rappoport-Oguse ont habitĂ© SouancĂ© de 1904 Ă  1908. Sophie y a succĂ©dĂ© Ă  madame Sarraute comme mĂ©decin. Charles Rappoport, grande figure des dĂ©buts du socialisme, dut rapidement quitter SouancĂ© aprĂšs s'ĂȘtre prĂ©sentĂ© aux Ă©lections municipales en 1908[33]. Pour obliger les Rappoport Ă  s'en aller, le comte de SouancĂ© fit venir un mĂ©decin qui soignait les malades Ă  ses frais.

    HĂ©raldique

    Blason de Souancé-au-Perche Blason
    Parti : au 1er fascé de gueules et d'argent, les cinq premiÚres fasces chargées de deux croisettes tréflées, la derniÚre d'une seule, de l'un en l'autre, au 2d d'or à une tour de sable maçonnée du champ[34].
    DĂ©tails
    Le premier fait rĂ©fĂ©rence aux armes de la famille de Montdoucet, seigneurs de la seigneurie du mĂȘme nom, aujourd'hui hameau de SouancĂ©-au-Perche.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Souancé-au-Perche
    Alias du blason de Souancé-au-Perche
    D'azur au chevron d'or ; au chef d'or chargé de trois tourteaux de gueules[34].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Miermaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Souancé-au-Perche et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Miermaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Souancé-au-Perche et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chùteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chùteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chùteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Souancé-au-Perche », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    26. Recueil des antiquitez du Perche, comtes et seigneurs de ladicte province... / par Bart des Boulai
    27. StĂ©phane Marchand, « Émilie Daigneau a dĂ©missionnĂ© de tous ses mandats Ă  la mairie de SouancĂ©-au-Perche », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Église », notice no PA00097214, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    33. Une vie rĂ©volutionnaire : 1883-1940 : les mĂ©moires de Charles Rappoport / texte Ă©tabli et annot. par Harvey Golberg, Georges Haupt ; Ă©d. achevĂ©e et prĂ©sentĂ©e par Marc Lagana, Paris : Maison des sciences de l'homme, 1991, 1 vol. (513 p.) : ill., couv. ill. ; 22 cm. BNF Notice nÂș FRBNF35475707
    34. « 28378 Souancé-au-Perche (Eure-te-Loir) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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