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Soligny-la-Trappe

Soligny-la-Trappe est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Orne en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 667 habitants[Note 1]. L'abbaye Notre-Dame de la Trappe est situĂ©e sur le territoire communal, et les cĂ©lĂšbres trappistes en sont originaires et en tirent leur nom.

Soligny-la-Trappe
Soligny-la-Trappe
L'abbaye de la Trappe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mortagne au Perche
Maire
Mandat
Thierry Cortyl
2020-2026
Code postal 61380
Code commune 61475
DĂ©mographie
Gentilé Solignois
Population
municipale
667 hab. (2020 en diminution de 2,49 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 34 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 36â€Č 54″ nord, 0° 32â€Č 08″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 294 m
Superficie 19,50 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mortagne-au-Perche
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Mortagne-au-Perche
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Soligny-la-Trappe
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Soligny-la-Trappe
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Soligny-la-Trappe
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Soligny-la-Trappe
Liens
Site web soligny-la-trappe.pagespro-orange.fr

    GĂ©ographie

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 831 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mortagne - Parc », sur la commune de Mortagne-au-Perche, mise en service en 1993[9] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 788,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et Ă  39 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă  10,9 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Soligny-la-Trappe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mortagne-au-Perche, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (61,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (33,1 %), terres arables (27,5 %), prairies (26,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7,6 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,7 %), zones urbanisĂ©es (2,2 %), eaux continentales[Note 9] (0,8 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Solinneium en 1091[23], de Soligneio en 1172[23] et Soulignyé en 1373[23]. Le toponyme serait issu de l'anthroponyme roman Solemnius[23] - [24]. Le second élément Trappe est une référence au monastÚre trappiste établi sur le territoire[24].

    Le gentilé est Solignois.

    Histoire

    À la crĂ©ation des cantons, Soligny est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimĂ© lors du redĂ©coupage cantonal de l'an IX (1801)[25].

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1977[26] mars 2001 Michel Jousse SE Directeur d'une scierie
    mars 2001[27] mai 2020 Jean-Michel Bréard[28] SE Agriculteur
    mai 2020[29] En cours Thierry Cortyl SE Éleveur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[29].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 667 habitants[Note 10], en diminution de 2,49 % par rapport Ă  2014 (Orne : −3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Soligny-la-Trappe a comptĂ© jusqu'Ă  1 247 habitants en 1876.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    863816897859911883916969946
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1491 2121 2331 247962906976935886
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    693698629707711678658652606
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    553538586624694708710686674
    2020 - - - - - - - -
    667--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Germain.
      Église Saint-Germain.
    • Plaque de cocher contre l'Ă©glise Saint-Germain.
      Plaque de cocher contre l'Ă©glise Saint-Germain.
    • La mairie.
      La mairie.

    Activité, label et manifestations

    Labels

    La commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[35].

    Personnalités liées à la commune

    Au nombre des personnalitĂ©s liĂ©es Ă  la commune de Soligny-la-Trappe, il convient de mentionner encore quelqu'un qui, lui, est nĂ© dans le village. Il s'agit de Thomas Hayot qui fait partie de la vague des premiers Ă©migrants percherons vers la Nouvelle-France (qui deviendra le Canada) ; il est nĂ© en 1609, il est mort au Canada en 1673. Il y Ă©tait arrivĂ© en 1638. Si l'on sait peu de choses de sa jeunesse dans le Perche, si ce n'est son mariage Ă  Mortagne en 1629, la suite de sa vie au Canada est, par contre, beaucoup mieux connue grĂące Ă  divers documents de l'Ă©poque. PrĂšs des fonts baptismaux de l'Ă©glise de Soligny et en souvenir de son baptĂȘme qui eut lieu lĂ , une plaque a Ă©tĂ© apposĂ©e Ă  la mĂ©moire de Thomas Hayot par l'association Perche-Canada. Il a de nombreux descendants au Canada ; leur nom a Ă©voluĂ© avec le temps, il est devenu Ayotte.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Mortagne - Parc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Soligny-la-Trappe et Mortagne-au-Perche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Mortagne - Parc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Soligny-la-Trappe et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mortagne-au-Perche », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    23. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, GenÚve, (lire en ligne), p. 589.
    24. RenĂ© Lepelley, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de communes de Normandie, CondĂ©-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 248.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    26. « L'ancien maire Michel Jousse expose à la Trappe », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    27. « Un troisiÚme mandat pour Jean-Michel Bréard », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    28. Réélection 2014 : « Soligny-la-Trappe (61380) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. « Municipales à Soligny-la-Trappe. Thierry Cortyl succÚde à Jean-Michel Bréard », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Laurence de Calan, PresybtÚres du Perche, éditions des Amis du Perche, collection "Présence du Perche", juillet 2012, p. 165. [ (ISBN 978-2-900122-983)]
    34. Michel Ganivet, "Le 5 mai 1753, le bourg de Soligny était anéanti par le feu", Cahiers Percherons (bulletin trimestriel des Amis du Perche), n°172, 2007-4, p. 1-18.
    35. « PalmarÚs du concours des villes et villages fleuris », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).

    Liens externes

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