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Serquigny

Serquigny est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Serquigny
Serquigny
L'Ă©glise Notre-Dame, Logo monument historique ClassĂ© MH (1862).
Blason de Serquigny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Frédéric Delamare
2020-2026
Code postal 27470
Code commune 27622
DĂ©mographie
Gentilé Serquignaçais
Population
municipale
1 793 hab. (2020 en diminution de 11,15 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 157 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 06â€Č 38″ nord, 0° 42â€Č 48″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 155 m
Superficie 11,4 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Beaumont-le-Roger
(banlieue)
Aire d'attraction Bernay
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bernay
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Serquigny
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Serquigny

    GĂ©ographie

    Localisation

    Serquigny est un nƓud ferroviaire, au cƓur d'un triangle dont les trois branches se dirigent vers Rouen via Oissel, Caen via Bernay et Lisieux, et enfin Paris via Évreux et Mantes-la-Jolie.

    Le Petit-Nassandres est un hameau de la commune.

    Hydrographie

    Le point de confluence de la Risle[3] et de la Charentonne se situe sur le territoire de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 735 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Menneval », sur la commune de Menneval, mise en service en 1962[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 780,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et Ă  37 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14] Ă  10,8 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11,2 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Serquigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Beaumont-le-Roger, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 4 communes[20] et 5 723 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21] - [22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bernay, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (53,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (55,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (34,3 %), terres arables (33,6 %), prairies (15,2 %), zones urbanisĂ©es (11,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,7 %), eaux continentales[Note 8] (0,1 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    La plus ancienne mention qui soit conservĂ©e de Serquigny remonte au Xe siĂšcle sous la forme latinisĂ©e Sarchinneium (charte de fondation de la Sainte-TrinitĂ© de Beaumont), puis Sarchinneio avant 1131, Sarquignie en 1206 (chartes de la NoĂ«). Ensuite, on trouve Cerquigny, Sarquigniacum en 1231 (charte de Guillaume Malvoisin), Sartiniacus en 1557 (Robert CƓnalis)[27], Cerquigny en 1719 (nom marquĂ© sur le boisseau du seigneur), Cerquigny en 1793[28], jusqu'Ă  sa graphie actuelle attestĂ©e pour la premiĂšre fois en 1785.

    Il s'agit d'une formation de basse latinité du type *SARCHINIACU, composé du nom de personne germanique Sarchinus suivi du suffixe -i--ACU ou Sar(a)cho[29] suivi du suffixe allongé -INIACU.

    Ce genre de formation gallo-romane ou mérovingienne en -ACU composée avec un nom de personne germanique est fréquente, notamment le type Glatigny, le plus représenté en Normandie avec le nom de personne germanique Glatto / Glattinus.

    Le passage de /ar/ à /er/ est commun (cf. la forme normande d'« argent » : ergent).

    Industrie chimique

    Serquigny abrite un site de production et de recherche (Cerdato : Centre de Recherche, Développement, Applications et Technique de l'Ouest) de la société Arkema. C'est dans cette petite ville que fut mis au point le polyamide 11 qui porte le nom commercial de Rilsan, nom inspiré par celui de la riviÚre traversant cette commune : la Risle. L'usine Arkema est la plus importante usine de polymérisation produisant le PA 11 au monde.

    Une ancienne usine chimique ayant traitĂ© de la monazite stocke 2 000 mĂštres cubes de remblais contenant de l'uranium[30].

    Des déchets radioactifs sont aussi entreposés sur le site d'une ancienne usine de production de nitrate de thorium[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1900 Paul Rolier Ingénieur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1965 1989 Jean Herry
    mars 1989 2020 Lionel Prévost PS puis SE Retraité
    Ancien vice-président du conseil général de l'Eure
    2020 En cours Frédéric Delamare PS Fonctionnaire
    Vice-président de l'Intercom Bernay Terres de Normandie

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[33].

    En 2020, la commune comptait 1 793 habitants[Note 9], en diminution de 11,15 % par rapport Ă  2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    824882866846809785723838884
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9711 0101 3841 3201 3351 2611 1981 0531 198
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2151 2051 1891 4411 2331 1881 3641 2271 454
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 6351 7942 1122 2362 1972 0532 1462 1392 051
    2015 2020 - - - - - - -
    2 0031 793-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • mairie
      Mairie.
    • gare
      Gare.
    • monument aux morts
      Monument aux morts.
    • Ă©cole
      École.

    Natura 2000

    • Risle, Guiel, Charentonne[41].

    ZNIEFF de type 1

    • Les prairies et les Ă©tangs de Launay[42] ;
    • Les prairies et les Ă©tangs du moulin Saint-Victor[43].

    ZNIEFF de type 2

    • La vallĂ©e de la Risle de la FerriĂšre-sur-Risle Ă  Brionne, la forĂȘt de Beaumont, la basse vallĂ©e de la Charentonne[44].

    Personnalités liées à la commune

    • Famille d'AchĂ©
    • Paul Rolier (1844-1918).
      Cet ingĂ©nieur des Arts et MĂ©tiers est nommĂ© capitaine Ă  26 ans dans Paris assiĂ©gĂ©e par les Allemands, en 1870. Porteur d’un courrier urgent pour l'armĂ©e de la Loire, il s'envole de la gare du Nord et atterrit en NorvĂšge. Cet exploit inspirera Jules Verne pour son roman, L'Île mystĂ©rieuse. Il crĂ©e par la suite une fabrique de papier Ă  Serquigny et devient maire de cette commune avant de s'Ă©teindre Ă  Paris en 1918.

    HĂ©raldique

    Armes de Serquigny

    Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

    écartelé, au premier et au quatriÚme de gueules aux deux léopards d'or passant l'un sur l'autre, au deuxiÚme d'or à deux fasces de gueules, au troisiÚme d'or à trois chevrons de gueules.



    Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Risle (H6--0200) ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Menneval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Serquigny et Menneval », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Menneval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Serquigny et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station mĂ©tĂ©orologique d'Évreux-Huest - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    15. « Station mĂ©tĂ©orologique d'Évreux-Huest - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    16. « Station mĂ©tĂ©orologique d'Évreux-Huest - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Beaumont-le-Roger », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    27. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de l’Eure, Paris, , p. 211.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 193.
    30. « Alerte à la pollution nucléaire », revue Capital, octobre 2008
    31. Mary Byrd Davis, « La France nucléaire : matiÚres et sites », Wise, 2001, 338 p..
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Notice n°PA00099577 ».
    36. Le dire de l'architecte des bĂątiments de France .
    37. « Notice n°IA00018260 ».
    38. Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des chĂąteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du ChĂȘne, coll. « ChĂąteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 211.
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    40. « Menhir du Croc », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    41. « Risle, Guiel, Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    42. « Les prairies et les étangs de Launay », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    43. « Les prairies et les étangs du moulin Saint-Victor », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    44. « La vallĂ©e de la Risle de la FerriĂšre-sur-Risle Ă  Brionne, la forĂȘt de Beaumont, la basse vallĂ©e de la Charentonne », sur MusĂ©um national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).

    Articles connexes

    Liens externes

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