Saison 1970-1971 du Paris Saint-Germain
La saison 1970-1971 du Paris Saint-Germain est la première saison du club de la capitale, fruit de la fusion entre le Stade saint-germanois et le Paris Football Club. L'équipe parisienne remporte à cette occasion la Division 2 1970-1971. L'équipe est entraînée par l’entraîneur-joueur de 35 ans Pierre Phelipon.
Saison 1970-1971
Couleurs | Rouge, bleu et blanc |
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Stade |
Stade municipal Georges-Lefèvre Stade Jean-Bouin (seulement quelques matchs) |
Président | Pierre-Étienne Guyot |
Entraîneur | Pierre Phelipon |
Division 2 |
Vainqueur (Groupe B) 45 pts (17V, 11N, 2D) 52 buts pour, 23 buts contre |
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Coupe de France |
Trente-deuxièmes de finale contre le CS Louhans-Cuiseaux (2-1) |
Meilleur buteur |
Championnat : Jacky Rémond (10) Michel Prost (10) Toutes compétitions : Jacky Rémond (11) |
Maillots
Domicile
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Extérieur
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Troisième
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Chronologie
Avant-saison
Pendant la saison 1968-1969, le Stade Saint-Germain, basé à Saint-Germain-en-Laye, atteint les quarts de finale de la Coupe de France, où ils affrontent l'Olympique de Marseille, le futur champion de France. Le match aller s'est joué au Parc des Princes et le match retour au Stade Vélodrome. L'OM remporte logiquement les rencontres (2-0 puis 5-1). Le match au Parc se joua devant 14 500 spectateurs parisiens. L'année suivante eut encore plus de succès après la montée du club en Division 2. Mais la capitale n'avait toujours pas de grand club. Les équipes des autres grandes villes de France avaient alors de grands clubs tel qu'à Nantes, Bordeaux, Saint-Étienne et Marseille. Les grands clubs parisiens du passé comme le Club français, l'Olympique de Paris ou le CA Paris avaient disparu du football professionnel français. Seul le Red Star se trouvait en Division 1, mais il restait une équipe de bas de tableau.
En 1969, un projet de relance du football de haut niveau à Paris donne naissance au Paris FC. Le club reste virtuel durant une saison, faute de joueurs, d'entraîneur, d'encadrement et de stade. Le , l'animateur radio Pierre Bellemare lance un appel aux dons sur Europe 1. Plus de 20 000 auditeurs répondirent à l'appel, et un groupe d'hommes d'affaires mené par Guy Crescent, CEO de Calberson, et Pierre-Étienne Guyot, vice-président du Racing Club de France, proposèrent aux dirigeants du Stade Saint-Germain de prendre parti au projet. Le , les associés du PFC se mettent d'accord avec le club, alors en Division 2, pour fusionner. Ce nouveau club est appelé « Paris Saint-Germain Football Club ». Le Paris Saint-Germain figure alors sur la liste des clubs inscrits en Division 2 1970-1971. Le protocole de fusion entre le Stade Saint-Germain et le Paris FC est paraphé le , le Paris Saint-Germain est né. Pierre-Étienne Guyot en devient le premier président.
La direction du nouvel ensemble est confiée aux deux vice-présidents : Guy Crescent (venu du Paris FC) et surtout Henri Patrelle, le président historique du Stade Saint-Germain, nommé président de la Commission sportive qui gère le football. Patrelle garde ainsi la main sur l'aspect sportif tandis que Crescent s'occupe de questions d'intendance. Pierre Phelipon devient le premier entraîneur du club, remplaçant Roger Quenolle. Jean Djorkaeff, capitaine de l'équipe de France et de l'Olympique de Marseille, rejoint le club dès le . André Pietrantoni quitte le club pour rejoindre Saint-Cyr.
À l'occasion du premier entrainement de l'équipe, composée à la fois de joueurs professionnels et d'amateurs, le nouvel entraîneur déclare :
« Le plus important pour moi, c’est de précipiter l’adaptation des amateurs avec les professionnels. Il y a toujours un peu de rivalité latente. Mais je suis convaincu qu’en l’espace de quelques jours, tout sera définitivement réglé. Ils ne doivent pas décevoir et ils se serreront les coudes. »
— Pierre Phelipon, le 28 juillet 1970[1].
En s'adressant aux joueurs, le président déclare :
« Désormais, vous appartenez à une famille. Paris Football-Club et Saint-Germain, c’est fini. Maintenant nous sommes le PSG ! »
— Guy Crescent, le 28 juillet 1970[1].
Pour renforcer son effectif, le Paris Saint-Germain profita d'une nouvelle disposition permettant au club de signer six joueurs professionnels. Ainsi, les arrivées de Roland Mitoraj, Patrice Py, Daniel Guicci, Živko Lukić, Jean-Claude Bras et Jacques Rémond. À la suite des demandes de l'« Association des Portugais de Paris », le PSG accepta de recruter Fernando Cruz, l'international portugais du Benfica[2].
Nom | Poste | Nationalité | Type | Provenance/Destination | Division |
Arrivées | |||||
Patrice Py | Gardien de but | France | Transfert | Olympique d'Alès | Division 2 |
Jean Djorkaeff | DĂ©fenseur | France | Transfert | Olympique de Marseille | Division 1 |
Fernando Cruz | Latéral droit | Portugal | Transfert | Benfica Lisbonne | Primeira Divisão |
Roland Mitoraj | Défenseur | France | Transfert | AS Saint-Étienne | Division 1 |
Daniel Guicci | DĂ©fenseur | France | Transfert | US Valenciennes-Anzin | Division 1 |
Jean-Pierre Destrumelle | Milieu défensif | France | Transfert | Olympique de Marseille | Division 1 |
Živko Lukić | Milieu défensif | Yougoslavie | Transfert | Aucune | |
Jean-Claude Bras | Attaquant | France | Transfert | RFC Liège | Division 1 |
Jacky RĂ©mond | Attaquant | France | Transfert | AS Monaco | Division 1 |
DĂ©parts | |||||
André Pietrantoni | Milieu gauche | France | Transfert | Saint-Cyr | ? |
Živko Lukić | Milieu défensif | Yougoslavie | Transfert | Libre |
Préparation de la saison
Pour préparer la saison, le PSG affronte l'US Quevilly le 1er août au Stade Jean-Bouin. Devant près de 2 000 spectateurs, c'est finalement les Normands qui s'imposent d'un but à trois. Jean-Claude Bras est l'unique buteur parisien du match[3]. Un deuxième match est joué le face à l'Entente Bagneux-Nemours-Fontainebleau, le match finit sur le score de un partout et Bernard Béreau est le buteur parisien[2].
Compétitions
Championnat
La saison 1970-1971 de Division 2 est la trente-troisième édition du Championnat de France de Division 2. La division oppose 48 clubs répartis dans trois poules géographiques de 16 clubs. Les vainqueurs des trois groupes s'affrontent sur un seul match, le meilleur de ces barrages est alors sacré champion.
Journées 1 à 15
À l'occasion de son premier match officiel, le Paris SG se déplace au Stade de la Pépinière pour affronter Poitiers devant 4 022 spectateurs. Après l'ouverture du score de l'attaquant Poitevin Alain Pédini, Bernard Guignedoux, sur un coup franc de 20 mètres, tire en force vers la lucarne et égalise[4]. Le score final est de un partout.
1re journée | Stade poitevin | 1 – 1 | Paris SG | Stade de la Pépinière, Buxerolles | |
Pédini 30e | (1 – 0) | 69e Guignedoux | Spectateurs : 4 022 Arbitrage : Emile Mallereau | ||
Rapport |
2e journée | Paris SG | 3 – 2 | US Quevilly | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Djorkaeff 18e (pén.) Prost 65e Béreau 81e |
(1 – 1) | 3e Parmentier 47e Horlaville |
Spectateurs : 3 792 | ||
Rapport |
3e journée | Le Havre AC | 2 – 2 | Paris SG | Stade Jules-Deschaseaux, Le Havre | |
Bazaud 75e Yvinec 80e |
(0 – 1) | 18e Bras 75e (pén.) Djorkaeff |
Spectateurs : 3 651 |
4e journée | Paris SG | 2 – 0 | SM caennais | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Prost 8e 84e | (1 – 0) | Spectateurs : 2 197 |
5e journée | FC Lorient | 0 – 0 | Paris SG | Stade du Moustoir, Lorient | |
(0 – 0) | Spectateurs : 7 119 |
6e journée | Paris SG | 2 – 1 | Stade brestois | Stade Jean-Bouin, Paris | |
RĂ©mond 17e Prost 24e |
(2 – 0) | 59e Sylvestre | Spectateurs : 3 903 |
7e journée | FC Bourges | 1 – 1 | Paris SG | Stade Jacques Rimbault, Bourges | |
Juliani 23e | (1 – 0) | 81e (csc) Plaza | Spectateurs : 5 875 |
8e journée | US Le Mans | 0 – 0 | Paris SG | Stade Léon-Bollée, Le Mans | |
(0 – 0) | Spectateurs : 5 863 |
9e journée | Paris SG | 0 – 2 | LB Châteauroux | Stade Georges-Lefèvre, Saint-Germain-en-Laye | |
(0 – 1) | 22e Hasson 75e Walker |
Spectateurs : 2 498 |
10e journée | AAJ Blois | 2 – 5 | Paris SG | Stade des Allées, Blois | |
Collin 5e Piat 69e |
(1 – 2) | 10e 65e Béreau 20e Bras 87e Djorkaeff 88e Rémond |
Spectateurs : 6 177 |
11e journée | Paris SG | 3 – 0 | EDS Montluçon | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Prost 23e Guignedoux 58e RĂ©mond 88e |
(1 – 0) | Spectateurs : 3 671 |
12e journée | Stade lavallois | 1 – 2 | Paris SG | Stade Francis-Le-Basser, Laval | |
Clair 42e | (1 – 2) | 30e Guignedoux 31e Rémond |
Spectateurs : 3 513 |
13e journée | Paris SG | 5 – 0 | Stade quimpérois | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Brost 24e 69e Prost 48e Bras 65e Djorkaeff 89e (pén.) |
(1 – 0) | Spectateurs : 3 081 |
14e journée | Limoges FC | 0 – 1 | Paris SG | Stade municipal des Sports, Limoges | |
(0 – 1) | 11e Guignedoux | Spectateurs : 7 416 |
15e journée | Paris SG | 1 – 1 | FC Rouen | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Djorkaeff 82e (pĂ©n.) | (0 – 0) | 83e PospĂchal | Spectateurs : 6 304 |
Journées 16 à 30
17e journée | Paris SG | 1 – 0 | Le Havre AC | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Bras 23e | (1 – 0) | Spectateurs : 1 972 |
18e journée | SM caennais | 1 – 2 | Paris SG | Stade de Venoix, Caen | |
Lecanu 83e | (0 – 2) | 8e Bras 34e Prost |
Spectateurs : 3 010 |
19e journée | Paris SG | 2 – 1 | FC Lorient | Stade Jean-Bouin, Paris | |
RĂ©mond 56e Guignedoux 68e |
(0 – 0) | 89e Fuentes | Spectateurs : 2 588 |
21e journée | Paris SG | 4 – 0 | FC Bourges | Stade Jean-Bouin, Paris | |
BĂ©reau 56e Brost 23e RĂ©mond 65e 82e |
(2 – 0) | Spectateurs : 2 082 |
16e journée Match en retard |
US Quevilly | 0 – 0 | Paris SG | Stade Amable Lozai, Le Petit-Quevilly | |
(0 – 0) | Spectateurs : 12 193 |
22e journée | Paris SG | 1 – 1 | US Le Mans | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Prost 69e | (0 – 1) | 21e Marchi | Spectateurs : 1 762 |
23e journée | LB Châteauroux | 1 – 2 | Paris SG | Stade Gaston-Petit, Châteauroux | |
Strappe 82e | (0 – 2) | 6e 35e Guignedoux | Spectateurs : 4 590 |
24e journée | Paris SG | 1 – 0 | AAJ Blois | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Béreau 85e | (0 – 0) | Spectateurs : 3 120 |
16e journée Match en retard |
Stade brestois | 1 – 1 | Paris SG | Stade de l'Armoricaine, Brest | |
Delorme 46e | (0 – 1) | 5e Béreau | Spectateurs : 10 212 |
25e journée | EDS Montluçon | 2 – 1 | Paris SG | Stade Dunlop, Montluçon | |
Yoboué 15e Périgaud 61e |
(1 – 0) | 64e Brost | Spectateurs : 5 414 |
26e journée | Paris SG | 1 – 0 | Stade lavallois | Stade Jean-Bouin, Paris | |
Prost 29e | (1 – 0) | Spectateurs : 2 448 |
28e journée | Paris SG | 0 – 0 | Limoges FC | Stade Jean-Bouin, Paris | |
(0 – 0) | Spectateurs : 3 588 |
29e journée | FC Rouen | 1 – 3 | Paris SG | Stade Robert-Diochon, Le Petit-Quevilly | |
Notheaux 36e | (1 – 1) | 33e Prost 61e Bras 74e Béreau |
Spectateurs : 14 963 |
27e journée Match rejoué |
Stade quimpérois | 1 – 1 | Paris SG | Stade de Penvillers, Quimper | |
Pohon 80e | (0 – 0) | 90e Bras | Spectateurs : 8 450 |
30e journée | Paris SG | 4 – 1 | Stade poitevin | Stade Georges-Lefèvre, Saint-Germain-en-Laye | |
Bras 22e RĂ©mond 49e 81e Delplanque 63e |
(1 – 0) | 54e Pédini | Spectateurs : 2 274 |
Barrages
Poule finale - Deuxième match | AS Monaco | 2 – 2 | Paris SG | Stade Louis-II, Monaco | |
Floch 9e Dell'Oste 24e |
(2 – 1) | 13e (csc) Piana 54e Bras |
Spectateurs : 1 905 |
Poule finale - Troisième match | Paris SG | 4 – 2 | Lille OSC | Stade Jean-Bouin, Paris | |
BĂ©reau 1re RĂ©mond 20e Guignedoux 68e Prost 80e |
(2 – 0) | 52e Bajić 88e Dubaële |
Spectateurs : 4 755 |
Classement final
Le Paris Saint-Germain termine premier du groupe B avec 17 victoires, 11 matchs nuls et 2 défaites[6]. Une victoire rapportant deux points et un match nul un point, le PSG totalise 45 points soit quatre de plus que le FC Rouen. Les Parisiens possèdent la meilleure différence de buts de leur groupe. Ils affrontent lors des barrages l'AS Monaco et le Lille OSC. Le titre est attribué à Paris. Les trois clubs montent dans la division supérieure, soit la Division 1.
Extrait du classement de Division 2 1970-1971 - Groupe B[6]
Rang | Équipe | Pts | J | P | Diff |
---|---|---|---|---|---|
1 | Paris SG | 45 | 30 | 2 | +29 |
2 | FC Rouen | 41 | 30 | 5 | +28 |
3 | Limoges FC | 36 | 30 | 7 | +15 |
4 | EDS Montluçon | 35 | 30 | 8 | +17 |
5 | Stade brestois | 35 | 30 | 6 | +10 |
Rang | Équipe | Pts | J | P | Diff |
---|---|---|---|---|---|
6 | FC Lorient | 34 | 30 | 9 | +13 |
7 | US Quevilly | 34 | 30 | 7 | +8 |
8 | AAJ Blois | 34 | 30 | 9 | -2 |
9 | US Le Mans | 29 | 30 | 10 | -4 |
10 | LB Châteauroux | 24 | 30 | 12 | -8 |
11 | Stade quimpérois | 24 | 30 | 13 | -21 |
12 | FC Bourges | 23 | 30 | 14 | -18 |
13 | Stade lavallois | 22 | 30 | 14 | -19 |
14 | SM caennais | 22 | 30 | 16 | -17 |
15 | Stade poitevin | 22 | 30 | 12 | -19 |
16 | Le Havre AC | 19 | 30 | 17 | -12 |
Coupe de France
La Coupe de France 1970-1971 est la 54e édition de la Coupe de France, une compétition à élimination directe mettant aux prises tous les clubs de football amateurs et professionnels à travers la France métropolitaine. Elle est organisée par la FFF et ses ligues régionales.
C'est le Stade rennais UC qui remportera cette édition de la coupe de France en battant sur le score d'un but à zéro l'Olympique lyonnais.
Cinquième tour | FC Dieppe | 0-1 | Paris SG | Stade des Vertus | |
Lundi |
(0-0) | 83e RĂ©mond ( Bras) | Spectateurs : 2 375 Arbitrage : Raymond Poncin | ||
Rapport |
Sixième tour | Paris SG | 1-0 | AS Étaples | Stade Georges-Lefèvre | |
Dimanche |
Guignedoux 47e | (0-0) | Spectateurs : 1 999 | ||
Rapport |
Trente-deuxième de finale | CS Louhans-Cuiseaux | 2-1 | Paris SG | Stade Gaston-Gérard | |
Jeudi |
(Lorenzatti ) Girardot 30e 88e | (1-0) | 57e Destrumelle | Spectateurs : 4 500 Arbitrage : Bernard Amiotte | |
Rapport |
Joueurs et encadrement technique
Effectif et encadrement
Joueurs | Encadrement technique | ||
---|---|---|---|
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Statistiques individuelles
Nom | Division 2 | Coupe de France | Total | |||
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MJ | B | MJ | B | MJ | B | |
Camille Choquier | 31 | 0 | 1 | 0 | 32 | 0 |
Patrice Py | 1 | 0 | 2 | 0 | 3 | 0 |
Jean Djorkaeff | 26 | 5 | 3 | 0 | 29 | 5 |
Jean-Claude Fitte-Duval | 22 | 0 | 3 | 0 | 25 | 0 |
Daniel Guicci | 20 | 0 | 1 | 0 | 21 | 0 |
Pierre Phelipon | 3 | 0 | 3 | 0 | ||
Fernando Cruz | 25 | 0 | 2 | 0 | 27 | 0 |
Roland Mitoraj | 29 | 0 | 3 | 0 | 32 | 0 |
Jean-Pierre Destrumelle | 29 | 0 | 3 | 1 | 32 | 1 |
Thierry Carré | 7 | 0 | 7 | 0 | ||
Dominique Delplanque | 2 | 1 | 2 | 1 | ||
Bernard Guignedoux | 31 | 8 | 3 | 1 | 34 | 9 |
Živko Lukić | 1 | 0 | 1 | 0 | ||
Alain Garillière | 1 | 0 | 1 | 0 | ||
Bernard BĂ©reau | 27 | 8 | 3 | 0 | 30 | 8 |
Jean-Louis Brost | 24 | 5 | 3 | 0 | 27 | 5 |
Jacky RĂ©mond | 26 | 10 | 3 | 1 | 29 | 11 |
Jean-Claude Bras | 25 | 10 | 3 | 0 | 28 | 10 |
Michel Prost | 32 | 10 | 3 | 0 | 35 | 10 |
But contre son camp | 2 | 0 | 2 | |||
Total | 32 | 58 | 3 | 3 | 35 | 61 |
Notes et références
- « Une date historique », psg.fr, 28 juillet 2010.
- « PSG70 : Saison 1970/71 », sur psg70.free.fr (consulté le )
- « 1er août 1970, le premier match du PSG », sur psg.fr (consulté le )
- « On a retrouvé le premier buteur de l'histoire du PSG », 20 minutes (consulté le )
- « Collection des matchs », sur psgmag.net (consulté le )
- « Classement général 1970-1971 », sur lfp.fr (consulté le )
- « Statistiques du Paris SG 1970-1971 », sur footballdatabase.eu (consulté le )
- Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
- Seule la sélection la plus importante est indiquée.