Sainte-Marguerite-sur-Mer
Sainte-Marguerite-sur-Mer est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime en Normandie.
Sainte-Marguerite-sur-Mer | |||||
Photo du premier phare d'Ailly en 1883. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CA de la Région Dieppoise | ||||
Maire Mandat |
Olivier de Conihout 2020-2026 |
||||
Code postal | 76119 | ||||
Code commune | 76605 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Margueritais | ||||
Population municipale |
463 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 86 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 54′ 29″ nord, 0° 56′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 87 m |
||||
Superficie | 5,41 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Unité urbaine | Hautot-sur-Mer (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Dieppe (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Dieppe-1 | ||||
Législatives | 6e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.ste-marguerite-sur-mer.fr | ||||
Ses habitants sont les Saint-Margueritais.
Géographie
Description
Sainte-Marguerite-sur-mer est une commune littorale et balnéaire située le long de la Manche.
Localisation
Manche | Manche | Manche | ||
Quiberville | N | Varengeville-sur-Mer | ||
O Sainte-Marguerite-sur-Mer E | ||||
S | ||||
Longueil |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dieppe », sur la commune de Dieppe, mise en service en 1949[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 798,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 61 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Sainte-Marguerite-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Hautot-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[17] et 3 348 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dieppe dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[23] - [24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (25,9 %), forêts (25,2 %), prairies (13,5 %), zones urbanisées (3,6 %), zones humides côtières (2,1 %), zones humides intérieures (1,5 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attestée sous les formes Quievremont en 1319[27], Chievremont en 1337, Chevremont en 1426[28], Sainte Marguerite de Quièvremont en 1517 et 1518[29], Quievremont sur la Mer entre 1503 et 1565, Ecclesia Sanctae Margaritae de Quièvremont en 1703[30], Sainte Marguerite de Caprimont en 1714[31], Caprimont sur la mer en 1726, Sainte Marguerite de Caprimont en 1736[30], Sainte Marguerite de Caprimont en 1715, Sainte Marguerite en 1757, Quevremont ou Sainte Marguerite de Quevremont avant la Révolution française[32] en 1788, Sainte Marguerite sur Mer 1953[33].
Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée simplement Sainte-Marguerite, porte provisoirement le nom de Phare-de-l'Ailly[34].
Histoire
- 1822 : Blancmesnil est rattachée à Sainte-Marguerite[34].
- : les hommes du 4e Commando britannique de Lord Lovat débarquent sur la Orange Beach et prennent la batterie Hess et sa garnison. Ce sera le seul succès de l'opération Jubilee.
- 1981 : Sainte-Marguerite prend le nom de Sainte-Marguerite-sur-Mer[34].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2020, la commune comptait 463 habitants[Note 8], en diminution de 4,54 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Les chiffres ne tiennent pas compte de la population de Blancmesnil.
Économie
En 2003, Olivier Frébourg fonde à Sainte-Marguerite-sur-Mer les éditions des Équateurs[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Cap d'Ailly.
- Le phare d'Ailly.
- Jardin du Vasterival : le Vasterival, jardin de 9 hectares créé en 1957 par la princesse Greta Sturdza[44], après le rachat de l'ancienne propriété d'Albert Roussel, vice-présidente de la Royal Horticultural Society et présidente de l'International Dendrology Society, est un jardin exceptionnel qui attire depuis des années les connaisseurs du monde entier[45] - [46].
- Église Sainte-Marguerite.
- Le château de Sainte-Marguerite sur Mer : à l'origine, datant de la période fin XVIe siècle, début XVIIe siècle. Le château[47] est reconstruit à plusieurs reprises sur les bases en grès de l’ancienne demeure féodale. Une campagne de travaux à la fin du XVIIIe siècle lui donne sa physionomie actuelle, avec son corps central marqué de deux tourelles carrées et d’un fronton à l’antique. Les deux ailes symétriques ne sont pas de la même époque. L'aile Ouest est la plus ancienne. L’aile Est est ajoutée au XIXe siècle. Le colombier figure parmi les 50 plus beaux colombiers de Haute-Normandie et inscrit à l’inventaire des monuments historiques depuis 2007[48]. Édifié au début du XVIIe siècle, de forme cylindrique, il peut s’enorgueillir d’un très bel appareil polychrome orné de motifs en damiers et en losanges, décliné en pierre blanche, silex et brique. Le toit en poivrière est percé de trois lucarnes d'envol. Le four à pain pourrait avoir été bâti sur l’emplacement d’une chapelle existante au XIVe siècle.
- Villa gallo-romaine
Personnalité liée à la commune
- Marcelly (Petit-Couronne 1882 — Sainte-Marguerite 1966), chanteur de music-hall
Héraldique
|
Les armes de la commune de Sainte-Marguerite-sur-Mer se blasonnent ainsi : D’argent à la jumelle ondée d’azur surmontée d’une inscription de deux lignes en lettre du même, « Ste Marguerite » et « sur Mer », au chef ondé de gueules chargé de cinq marguerites tigées et feuillées de deux pièces du champ ordonnées 2 et 3[49]. |
---|
Pour approfondir
Bibliographie
- J. Daoust, Varengeville-sur-mer. Sainte-Marguerite-sur-mer. Les églises, Luneray I.B. Impressions, 2001.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Sainte-Marguerite-sur-Mer sur le site de l'Institut géographique national
- Webcam de la plage de Sainte-Marguerite-sur-Mer
- « Dossier complet : Commune de Sainte-Marguerite-sur-Mer (76605) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Dieppe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sainte-Marguerite-sur-Mer et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Dieppe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sainte-Marguerite-sur-Mer et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Hautot-sur-Mer », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dieppe », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267.
- Archives de Seine-Maritime G 27-28.
- Archives de Seine-Maritime G 98.
- Archives de Seine-Maritime G 1698.
- Archives de Seine-Maritime G 738.
- Christian Guerrin, « Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime » [article], Nouvelle revue d'onomastique Année 2000, page 316.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 899.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Jean-Yves Nedelec démissionne de son poste : SAINTE-MARGUERITE-SUR-MER.Il était maire depuis 2002 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Sainte-Marguerite-sur-Mer : Jean-Yves Nedelec, ancien maire de la commune, n’est plus : Jean-Yves Nedelec, est décédé à Rouen la semaine dernière. Il avait dirigé la commune durant dix ans », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Sainte-Marguerite-sur-mer entre 2001 et 2011, Jean-Yves Nedelec a succombé à la maladie samedi 22 août, à Rouen ».
- « Olivier de Conihout présente une liste à Sainte-Marguerite-sur-Mer : Le conseiller municipal à Ouville-la-Rivière a déménagé à Sainte-Marguerite-sur-Mer où il se présente aux municipales », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Claude Ferchal, maire de Sainte-Marguerite-sur-Mer, a décidé de ne pas se représenter aux municipales et l’a annoncé il y a plusieurs mois. La plus grande partie de ses conseillers municipaux ont pris la même décision. Mais le maire a trouvé un éventuel successeur en la personne d’Olivier de Conihout ».
- « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
- Frédéric Durand, « En Seine-Maritime, le château de Sainte-Marguerite-sur-Mer en pleine renaissance : Racheté, sauvé de la mérule et entièrement restauré le domaine entre ciel et mer situé près de Dieppe va revivre à travers le tourisme d’affaires », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est à l'arrivée de l'archiviste-paléographe Isabelle de Conihout et de son mari Olivier, président d'un groupe d'une dizaine de start-ups, qu'il entamera sa renaissance (...) On a foncé », explique le Dieppois Olivier de Conihout, dont les racines remontent à la construction du phare d'Ailly, « que mon père a reconstruit en 1959 ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Éditions des Équateurs sur le site de la commune.
- Margaretha Kvaal, princesse Georges-Michel Sturda (1914-2009)
- Princesse Greta Sturdza, « Le Vastérival, jardin d’une passion », dans La Maison Rustique, 1998.
- Site du Jardin de Vasterival
- Propriétaire actuel, « Histoire du château de Sainte-Margeurite-sur-Mer », sur stemsm.com
- Notice no PA76000080, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- GASO - Banque du blason - 76605.