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Petit-Couronne

Petit-Couronne est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Petit-Couronne
Petit-Couronne
La maison de Pierre Corneille.
Blason de Petit-Couronne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Joël Bigot
2020-2026
Code postal 76650
Code commune 76497
DĂ©mographie
Gentilé Couronnais
Population
municipale
8 732 hab. (2020 en diminution de 2,11 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 682 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 23â€Č 11″ nord, 1° 01â€Č 42″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 108 m
Superficie 12,8 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Grand-Quevilly
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Petit-Couronne
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Petit-Couronne
Liens
Site web ville-petit-couronne.fr

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
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    Carte topographique
    Carte topographique
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 806 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  13 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Petit-Couronne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Rouen, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (47,1 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (45 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (40,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (23,8 %), zones urbanisĂ©es (21 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,2 %), eaux continentales[Note 8] (5,1 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (2,3 %), prairies (2,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Voies de communication et transports

    • Les bus 6 et 27 passent par la ville selon des itinĂ©raires diffĂ©renciĂ©s.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Curtehulm, Curtehulmi, Curte hulmi vers 1025 (archives de la Seine-Maritime, H 26); Curthelmi (charte de Richard II de Normandie); Corhulma entre 1032 et 1035[24], Corolme vers 1040 et 1050[25]; Coroma, Corona fin XIIe siÚcle[26]; Corone 1261 - 1270[27].

    Il s'agit d'un type toponymique scandinave, composĂ© de deux Ă©lĂ©ments. Le second -hulma reprĂ©sente vraisemblablement l’ancien scandinave holmr « petite Ăźle, ilot », trouvĂ© frĂ©quemment dans la toponymie normande en composition (cf. Thorholmus, ancien nom de l'Ăźle d'Oissel) ou en usage autonome (cf. les nombreux le Hom[me], le Houlme, etc.)[24]. Le premier Ă©lĂ©ment Curt(e)- est obscur[24], cependant on peut le rattacher au nom de personne anglo-saxon Cort[26]. Ça ne semble pas nĂ©cessaire puisque l'ancien scandinave possĂšde l'anthroponyme Kurt empruntĂ© au vieux bas allemand[28] et qu'il existe par ailleurs un adjectif kurtr, kortr « court » Ă©galement empruntĂ© au germanique occidental[29], dont le -t- entre les deux -r- se serait amuĂŻ de maniĂšre prĂ©coce pour donner naissance Ă  une forme *Corrholme (Corhulma 1032), devenu Corolme par assimilation du [h] ou [x]. Le sens global serait celui d’« Ăźlot de Kurt ou Cort » ou plus vraisemblablement, d’« Ăźlot peu Ă©tendu ». À l'origine, ce nom de lieu s'appliquait Ă  une Ăźle situĂ©e en face de Petit-Couronne et rattachĂ©e depuis Ă  la commune. Au XIIe siĂšcle, le toponyme Ă©tant devenu opaque, il est tombĂ© dans l'attraction du français couronne[26].

    Le composĂ© Milthuit (Milquetuit ou Miqueltuit 1239; Miquetuit 1507 - 1612 ; Mictuit 1734) reconnu dans le nom du Bois de Milthuit, sur la commune et celle de Grand-Quevilly, est d'origine scandinave, puisqu'il contient l'Ă©lĂ©ment -thuit signifiant « essart », appellatif toponymique issu de l'ancien scandinave ĂŸveit (autrement notĂ© thveit) de mĂȘme sens. Le premier Ă©lĂ©ment Mil- reprĂ©sente vraisemblablement l'ancien scandinave mikill « grand », d'oĂč le sens global de « grand essart »[26]. Homonymie avec Micklethwaite, Angleterre[26].

    La scission entre Petit-Couronne et Grand-Couronne a dĂ» se produire vers le XIIe siĂšcle, vers la mĂȘme Ă©poque que celle de Grand-Quevilly et Petit-Quevilly[24].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Lors des Ă©lections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste menĂ©e par JoĂ«l Bigot, jusqu'alors maire adjoint de Dominique Randon — qui ne se reprĂ©sentait pas — a Ă©tĂ© la seule liste candidate et a donc Ă©tĂ© Ă©lue au premier tour, marquĂ© par 71,80 % d'abstention[30].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1864 M. de Saint-Vulfran
    1929 Victor Bernard
    1945 Jean Grenier
    Gaston Piolé
    1977 juillet 2004 GĂ©rard Letailleur PS puis PG
    juillet 2004 mars 2008 Claude Piolé PS
    mars 2008 mai 2020[31] Dominique Randon PS Cadre administratif,
    conseiller gĂ©nĂ©ral de Grand-Couronne (2002 → 2015)
    mai 2020[32] - [33] En cours
    (au 10 août 2020)
    Joël Bigot PS Syndicaliste, retraité de Shell et Pétroplus

    Jumelages

    La commune de Petit-Couronne entretient des accords de coopération[34] avec :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[36].

    En 2020, la commune comptait 8 732 habitants[Note 9], en diminution de 2,11 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5101 1909841 5991 5891 5851 612985982
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    889850810737715756802771740
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7658169141 1431 1682 2282 5532 7623 574
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3 9014 8615 6866 3408 1228 6218 6998 6909 209
    2015 2020 - - - - - - -
    8 7428 732-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    La commune abrite le centre régional jeunesse et sport (C.R.J.S)

    Économie

    Un bac permet de traverser la Seine et de rejoindre Val-de-la-Haye.

    La raffinerie de Petit-Couronne (anciennement PĂ©troles Jupiter) a Ă©tĂ© construite en 1929. Elle se situe entre Petit-Couronne et Grand-Couronne. FermĂ© en avril 2013, le site se trouve depuis 2014 ĂȘtre une expĂ©rience de dĂ©pollution sans Ă©quivalent. Le projet de rĂ©industrialisation a Ă©tĂ© mĂ©diatisĂ© lorsque le nom d'Amazon a Ă©tĂ© citĂ©[39] comme potentiel occupant d'une partie de l'emprise.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Site classé

    Personnalités liées à la commune

    Équipements culturels

    • La MĂ©diathĂšque "Louis Aragon"
    • La Compagnie CommĂ©diamuse
    • L'École Nationale de Musique et de Danse
    • Le Sillon (Salle de Spectacle)
    • Le RĂ©veil Couronnais (Harmonie Couronnaise)
    • Association Wertes Group

    HĂ©raldique

    Blason de Petit-Couronne Blason
    D’azur Ă  l’ancre de marine d’argent, aux deux flambeaux d’or passĂ©s en sautoir, brochant sur le tout, surmontĂ©s de trois tĂȘtes de lions arrachĂ©es cousues de gueules, rangĂ©es en chef, soutenues d’un filet ondĂ© aussi d’argent[42].
    DĂ©tails
    création : Robert Louis, adoptée par délibération du conseil municipal du 27 juin 1986.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Guy Pessiot, Histoire de l’agglomĂ©ration rouennaise : la rive gauche, Rouen, Ă©d. du P’tit Normand, , 287 p. (ISBN 978-2-906258-22-8, OCLC 463515558)
    • Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 264 p., brochĂ© (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5)
    • Guy Pessiot, Les communes de l'agglomĂ©ration de Rouen : De Maromme Ă  Ymare, vol. 2, Rouen, Éd. des Falaises, , 512 p. (ISBN 978-2-84811-063-9).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Petit-Couronne et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Petit-Couronne et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 87.
    25. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite), p. 240.
    26. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, Ă©ditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 65.
    27. Joseph Reese Strayer, The Royal Domain in the Baillage of Rouen, Princeton, Princeton University Press, 1936, p. 35.
    28. Site de Nordic Names : Kurt (lire en anglais)
    29. Old Norse Kurtr / kortr sur Online Etymology Dictionary (lire en anglais)
    30. « Petit-Couronne 76650 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    31. « Dernier conseil municipal pour le maire Dominique Randon Ă  Petit-Couronne : Le dernier conseil municipal de la mandature a permis d’adopter le buget primitif de la Ville, prĂ©sentĂ© par l’adjointe aux finances. Hommage a Ă©tĂ© rendu au maire qui s’en va », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    32. Pascale Bertrand, « Municipales 2020 : JoĂ«l Bigot, adjoint Ă  la mairie de Petit-Couronne, aspire Ă  devenir maire : AprĂšs quatre mandats de premier adjoint, JoĂ«l Bigot aspire Ă  devenir maire. Histoire d’« aller au fond des choses ».... Petit-Couronne. AprĂšs quatre mandats de premier adjoint, JoĂ«l Bigot aspire Ă  devenir maire. Histoire «d’aller au fond des choses».
 », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « À 64 ans, JoĂ«l Bigot tente une nouvelle aventure, devenir maire. DĂ©jĂ  premier adjoint - «avec trois maires diffĂ©rents» - il n’a qu’un pas Ă  faire d’autant plus qu’aucune autre liste ne s’est encore dĂ©clarĂ©e Ă  Petit-Couronne ».
    33. « Municipales 2020. JoĂ«l Bigot, Ă©lu maire Ă  Petit-Couronne : Lors de la sĂ©ance d’investiture, JoĂ«l Bigot a remerciĂ© ses collĂšges pour leur Ă©nergie et leur motivation. Petit-Couronne. Le conseil municipal d’investiture s’est tenu mercredi Ă  huis clos au Sillon. Dominique Randon a passĂ© le flambea », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    34. « Jumelage(s) de Petit-Couronne », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du MinistÚre des Affaires étrangÚres (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Projet d'entrepĂŽt Amazon Ă  Petit-Couronne : l'avis du tribunal administratif se fait attendre, parisnormandie.fr, 9 janvier 2022.
    40. Musée Pierre Corneille sur le site du Conseil départemental de Seine-Maritime
    41. « La Pierre d'État, menhir situĂ© dans la forĂȘt domaniale de Rouvray », sur Carmen - L'application cartographique au service des donnĂ©es environnementales (consultĂ© le ).
    42. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f76497 « Copie archivée » (version du 18 février 2015 sur Internet Archive).
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