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Saint-Sardos (Lot-et-Garonne)

Saint-Sardos [sɛ̃ saʁdɔs] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de Lot-et-Garonne (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Sardos
Saint-Sardos (Lot-et-Garonne)
La mairie
Blason de Saint-Sardos
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas
Maire
Mandat
Xavier Mas
2020-2026
Code postal 47360
Code commune 47276
DĂ©mographie
Population
municipale
301 hab. (2020 en augmentation de 1,01 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 21 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 20â€Č 30″ nord, 0° 28â€Č 43″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 187 m
Superficie 14,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Confluent
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Granges-sur-Lot, LacépÚde, Lafitte-sur-Lot et Montpezat.

    Communes limitrophes de Saint-Sardos[1]
    Granges-sur-Lot
    Lafitte-sur-Lot Saint-Sardos Montpezat
    LacépÚde

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 792 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Prayssas », sur la commune de Prayssas, mise en service en 1995[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 811 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et Ă  22 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sardos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (100,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (52,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29,8 %), cultures permanentes (12,6 %), prairies (5,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Sardos est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sardos.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[24]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 6] - [25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2008 et 2009, par la sécheresse en 2005, 2008 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[27].

    Histoire

    Le village se trouve sur une terrasse Ă  l'Ă©cart du Lot. Un prieurĂ© dĂ©pendant de l’abbaye de Sarlat est fondĂ© en 1153, sur la paroisse de l’ancienne Ă©glise matrice situĂ©e au lieu appelĂ© l’Église Rouge, disparue avant 1668.

    Saint-Sardos est mentionnĂ© comme castrum vers 1280. À la suite du contrat de parĂ©age conclu en 1289 entre l'abbĂ© de Sarlat et Philippe le Bel, la fondation de la bastide, encouragĂ©e par le roi de France Charles IV est Ă©tablie en 1318 sur un territoire contrĂŽlĂ© par Édouard II d'Angleterre. Charles IV accorde le statut de bastide Ă  Saint-Sardos et y envoie un sergent pour planter un poteau aux armes du roi de France. Ce statut permet une installation libre des immigrants ce qui inquiĂšte la noblesse locale. Ceux-ci, avec Ă  leur tĂȘte Raymond Bernard seigneur de Montpezat, dĂ©cident de brĂ»ler la bastide le et pendent le reprĂ©sentant de Charles IV au poteau du roi. Ce qui est saisi est transportĂ© au chĂąteau de Montpezat. C'est le prĂ©texte au dĂ©clenchement de la guerre dite de Saint-Sardos. Charles IV pense que c'est le sĂ©nĂ©chal de Guyenne, Ralph Basset de Drayton, reprĂ©sentant d’Édouard II qui est Ă  l'origine de cette attaque. Cette animositĂ© franco-anglaise en Aquitaine est une cause profonde de la guerre de Cent Ans. En , le roi de France Charles IV n'ayant pas obtenu du roi d'Angleterre les satisfactions qu'il demandait, il met une armĂ©e de 7 000 hommes en campagne commandĂ©e par Charles de Valois en [28]. Sans possibilitĂ© de rĂ©sistance, le sĂ©nĂ©chal de Guyenne doit se rendre Ă  La RĂ©ole, le . Une trĂȘve est conclue en 1325.

    Des nĂ©gociations s'ouvrent alors entre le roi de France et le roi d'Angleterre Ă  l'initiative d'Isabelle de France qui aboutissent au traitĂ© du . Édouard II cĂšde Ă  Charles IV tout ce qu'il a gagnĂ© au cours de la guerre de Saint-Sardos et doit prĂȘter l'hommage lige au roi de France pour le reste du duchĂ© d'Aquitaine en . Mais Édouard II meurt en 1327 et Charles IV en 1328, remplacĂ©s par Édouard III et Philippe VI.

    AprĂšs que le roi d’Angleterre ait retrouvĂ© ses prĂ©rogatives sur la Guyenne, la ville neuve de Saint-Sardos, reçoit la confirmation de ses privilĂšges en 1328.

    La bastide est Ă©tablie sur une plate-forme grossiĂšrement circulaire dont l’église occupe le centre, entourĂ©e de fossĂ©s encore partiellement visibles. À l’intĂ©rieur, le cadastre napolĂ©onien montre que l’habitat villageois forme une 1re aurĂ©ole autour de l’église, prolongĂ©e vers le nord-ouest autour d’une place ; deux rues longitudinales orientĂ©es nord-ouest / sud-est paraissent commander le parcellaire de la seconde aurĂ©ole dont les laniĂšres s’étendent jusqu'aux fossĂ©s.

    Les destructions de la guerre de Cent Ans (d'aprĂšs G. Tholin, la bastide de Saint-Sardos est considĂ©rĂ©e comme non-valeur dans des comptes de 1363 Ă  1367) ont contrariĂ© durablement le dĂ©veloppement de l’agglomĂ©ration, la plupart des parcelles de la seconde aurĂ©ole Ă©tant encore de nos jours occupĂ©es par des jardins. ExceptĂ©es quelques maisons en pan-de-bois des XVIe et XVIIe siĂšcles, la plupart du bĂąti date des XVIIIe et XIXe siĂšcles.

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Sardos Blason
    De gueules Ă  l’épĂ©e d’or posĂ©e Ă  senestre, adextrĂ©e d’un lĂ©opard du mĂȘme en pointe, au franc-quartier cousu d’azur chargĂ© d’une fleur de lys aussi d’or, Ă  la filiĂšre du mĂȘme chargĂ©e de onze tourteaux du champ.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1964 1992 Alexandre Claverie
    janvier 1992 2020 Claude Ressegat Agriculteur
    mai 2020 En cours Xavier Mas Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[30].

    En 2020, la commune comptait 301 habitants[Note 8], en augmentation de 1,01 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    464482532431524612930902854
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    865739694619604619586559558
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    477473438397447477465377398
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    347326254263260243323333303
    2017 2020 - - - - - - -
    295301-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Tympan du portail roman de l'Ă©glise Saint-Sardos

    Vie pratique

    Enseignement

    • École Ă©lĂ©mentaire de Saint-Sardos.

    Culture et manifestation

    • Association culturelle Au Plaisir de Lire ;
    • Troupe de thĂ©Ăątre Lous BlagayrĂšs.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Passerat, La guerre des bastides en Agenais et la fondation de Valence, p. 175-179, Bulletin de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique de Tarn-et-Garonne, 1987, tome 112 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[26].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Prayssas - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Sardos et Prayssas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Prayssas - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Sardos et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Saint-Sardos », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    26. Article R214-112 du code de l’environnement
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    28. G. Tholin et P. Benouville, Le Chñteau de Madaillan prùs d'Agen. - II. Madaillan et ses seigneurs au Moyen Âge, p. 455, Revue de l'Agenais, 1886, tome 13 (lire en ligne)
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Eglise Saint-Sardos », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    34. « Église paroissiale Saint-Amans », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
    35. « Église paroissiale Notre-Dame de Lussac », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
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