Saint-Roman-de-Malegarde
Saint-Roman-de-Malegarde est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Saint-Roman-de-Malegarde | |||||
Fontaine de Saint-Roman-de-Malegarde, sur la place de la Mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Vaucluse | ||||
Arrondissement | Carpentras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vaison Ventoux | ||||
Maire Mandat |
Marie-Claire Michel 2020-2026 |
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Code postal | 84290 | ||||
Code commune | 84117 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Romanais, Saint-Romanaises | ||||
Population municipale |
333 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 16′ 16″ nord, 4° 57′ 50″ est | ||||
Altitude | 200 m Min. 125 m Max. 366 m |
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Superficie | 8,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vaison-la-Romaine | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Géographie
Localisation
Située dans le nord Vaucluse, Saint-Roman-de-Malegarde est à mi-chemin entre Bollène (20 km), Vaison-la-Romaine (14 km) et Orange (20 km).
Voies routières
La route départementale 51 traverse la commune d'est en ouest, et la 51a rejoint la Drôme pour y devenir la route départementale 75. Une variante du GR4 passe sur la commune, au sud du bourg.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7, à la sortie de Bollène.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Commune desservie par le réseau régional Sud Mobilité[2].
Relief
La commune de Saint-Roman-de-Malegarde se situe sur la partie septentrionale d'une colline qui la sépare de celles de Roaix et de Rasteau[3]. La partie au nord du bourg (plaine de l'Aygues) est plus basse que celle au sud (collines).
Géologie
La croupe sur laquelle est établi le village provient d'un ancien fond marin du tertiaire où s'est déposée une molasse jaunâtre, le safre. Des coteaux d'argile blanche, mêlée de calcaire, s'étagent sur le versant sud. Les terrasses qui jouxtent l'Aygues sont formées d'alluvions du quaternaire.
Sismicité
Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse, dont celui de Vaison-la-Romaine auquel appartient la commune, sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[4].
Hydrographie et les eaux souterraines
Saint-Roman est située sur le bord de l'Aygues[3].
Saint-Roman-de-Malegarde dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 600 équivalent-habitants[5].
Climat
La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en altitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare. Son climat est donc soumis à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches (une brève en hiver, une très longue et accentuée en été), deux saisons pluvieuses, en automne (pluies abondantes et brutales) et au printemps[6]. Sa spécificité est son climat méditerranéen qui constitue un atout exceptionnel :
- Le mistral assainit le vignoble, principale culture de ce terroir
- La saisonnalité des pluies est très marquée
- Les températures sont très chaudes pendant l'été.
Saint-Roman-de-Malegarde n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Vaison-la-Romaine[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 3 | 6 | 8 | 12 | 15 | 18 | 18 | 14 | 11 | 6 | 3 | 9,7 |
Température moyenne (°C) | 6 | 7,5 | 11 | 13 | 17,5 | 21 | 23 | 23 | 19,5 | 15,5 | 9 | 6,5 | 14,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 10 | 12 | 16 | 18 | 23 | 27 | 30 | 30 | 25 | 20 | 13 | 10 | 19,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,4 1985 |
−14,5 1956 |
−9,7 2005 |
−2,9 1970 |
1,3 1979 |
5,7 1984 |
9 1953 |
8,3 1974 |
3,1 1974 |
−1,1 1973 |
−5,4 1952 |
−14,4 1962 |
|
Record de chaleur (°C) date du record |
20,3 2002 |
23 1960 |
27,2 1990 |
30,7 2005 |
34,5 2001 |
38,1 2003 |
40,7 1983 |
42,6 2003 |
35,1 1966 |
29,6 1985 |
24,6 1970 |
20,2 1983 |
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Précipitations (mm) | 36,5 | 23,3 | 24,9 | 42,7 | 45,6 | 25,4 | 20,9 | 29,1 | 65,8 | 59,8 | 52,8 | 34 | 460,6 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
10 2 36,5 | 12 3 23,3 | 16 6 24,9 | 18 8 42,7 | 23 12 45,6 | 27 15 25,4 | 30 18 20,9 | 30 18 29,1 | 25 14 65,8 | 20 11 59,8 | 13 6 52,8 | 10 3 34 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Selon Météo-France, le nombre par an de jours de pluies supérieures à 2,5 litres par mètre carré est de 45 et la quantité d'eau, pluie et neige confondues, est de 660 litres par mètre carré. Les températures moyennes oscillent entre 0 et 30° selon la saison. Le record de température depuis l'existence de la station de l'INRA est de 40,5 °C lors de la canicule européenne de 2003 le (et 39,8 °C le ) et −12,8 °C le . Les relevés météorologiques ont lieu à l'Agroparc d'Avignon.
- Le mistral
Le vent principal est le mistral, dont la vitesse peut aller au-delà des 110 km/h. Il souffle entre 120 et 160 jours par an, avec une vitesse de 90 km/h par rafale en moyenne[8]. Le tableau suivant indique les différentes vitesses du mistral enregistrées par les stations d'Orange et Carpentras-Serres dans le sud de la vallée du Rhône et à sa fréquence au cours de l'année 2006. La normale correspond à la moyenne des 53 dernières années pour les relevés météorologiques d'Orange et à celle des 42 dernières pour Carpentras[9].
Toponymie
Le nom de la commune est attesté, à partir 1317, sous la forme Sancti Romani de Mala Gardia. Ce qualificatif provient du germain ward (garde → tour de garde) qui a été latinisé en gardia. Le premier castrum de ce site avait donc fort mauvaise réputation[1] - [10].
Histoire
Antiquité
Au bas du village, l'ancienne chapelle Saint-Nazaire a succédé à un fanum romain. Autour de ce site, très tôt christianisé, il a été retrouvé les vestiges d'un cimetière paléochrétien[11]. Le seul autre objet datant de la colonisation romaine est un miroir qui a été retrouvé dans la première partie du XXe siècle[1].
Les Templiers et les Hospitaliers
Au milieu du XIIe siècle, ce territoire dépendait de la Principauté d'Orange[12] dont les princes l'avaient inféodé aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem d'Orange[1]. Le château et son donjon furent édifiés au cours du XIIIe siècle[3]. Son enceinte, de forme quadrangulaire, était flanquée de tours aux quatre angles[12].
Commanderie des Templiers[13] : Domaine du Temple de Buisson, Maison du Temple de Roaix.
Jean XXII, second pape d'Avignon, décida, en 1317, de récupérer tous les biens des Hospitaliers du Comtat Venaissin et de ses terres adjacentes. Saint-Roman devient dès lors fief pontifical attribué à des seigneurs laïques. Le nom de l'un de ceux-ci fut Jacques Elziaire[1]. Ce fut à la fin du XIVe siècle que ce fief revint à Guillaume des Baux, prince d'Orange[12]. Il en rendit hommage à Benoît XIII avant que celui-ci quittât Avignon et entra en possession de Saint-Roman en janvier 1405[1].
Renaissance
En mars 1427, le prince d'Orange légua ce fief, « avec château, ville, fort et territoires », à son neveu et héritier universel Jean de Rivette[1]. En 1429, ce fut son fils Aleman de Rivette, déjà co-seigneur de Bonnieux, qui hérita[12].
Au cours du XVIe siècle, ce fief fut en co-seigneurie entre les Rostang et les Ancézune. Ce qui n'empêcha point que le village et son château furent attaqués par les religionnaires de Nyons en 1574[12]. Le paréage prit fin au XVIIe siècle puisque les seuls seigneurs furent les Adhémar de Monteil comte de Grignan[1].
Période moderne
Le paréage reprit au cours du XVIIIe siècle puisque les Limeil et les Lebeau-Béraud en furent co-seigneurs[1].
Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.
La commune décida par deux fois de changer de nom en 1794. La première fois, elle se débaptisa en Roman-sur-Aygues et la seconde, elle prit la dénomination de Roman-Montagne[1].
Ce fut en 1856 que fut entièrement démoli le donjon après un vote du conseil municipal qui avait besoin de pierres pour édifier une digue sur les berges de l'Aygues[3].
Période contemporaine
Saint-Roman-de-Malegarde, fait partie des 18 communes de Vaucluse qui ont le droit de classer leurs vins en côtes-du-rhône villages, AOC reconnue depuis le .
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Commune membre de la Communauté de communes Pays Vaison Ventoux.
Urbanisme
Typologie
Saint-Roman-de-Malegarde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (64,9 %), forêts (23,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,1 %), zones urbanisées (3,7 %), terres arables (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Fiscalité locale
Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
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Taxe d'habitation (TH) | 6,86 % | 0,00 % | 7,55 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 11,62 % | 0,00 % | 10,20 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 40,32 % | 0,00 % | 28,96 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 00,00 % | 11,52 % | 13,00 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
Budget et fiscalité 2017
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :
- total des produits de fonctionnement : 225 000 €, soit 670 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 199 000 €, soit 591 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 92 000 €, soit 274 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 258 000 €, soit 768 € par habitant ;
- endettement : 2 000 €, soit 5 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 6,86 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,62 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 42,28 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 401 €[26].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2020, la commune comptait 333 habitants[Note 2], en augmentation de 0,3 % par rapport à 2014 (Vaucluse : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008 la commune compte 330 habitants, mais sa population augmente très fortement pendant les périodes estivales.
Économie
Tourisme
La commune est constituée de plusieurs maisons secondaires occupées pendant tout l'été ; il y a un restaurant et plusieurs gîtes sont à louer.
Agriculture
Dans le courant du XIXe siècle, la commune produisait essentiellement des fruits, dont des cerises précoces qui étaient alors considérées comme les meilleures de la région[3]
Aujourd'hui, l'agriculture est constituée principalement de vignes qui produisent des vins classés en côtes-du-rhône villages (AOC). Il existe sur la commune le Domaine de Font-Croze. Les vendanges sont apportées dans la cave Costebelle de Tulette. On y produit également quelques cultures fruitières (pêche, abricot).
Commerces
Le bar Chez Claudette, qui porte le label Bistrot de pays[31] - [32], adhère à une charte dont le but est de « contribuer à la conservation et à l’animation du tissu économique et social en milieu rural par le maintien d’un lieu de vie du village ».
Le domaine Fond Croze, vigneron indépendant.
Patrimoine, lieux et monuments
Patrimoine civil
- Ancien château dont il reste trois tours[33].
- Les fontaines, le lavoir, le vieux pont[34].
- Sculptures de Richard Di Rosa[35].
Patrimoine religieux
Patrimoine environnemental
Sur la colline séparant les villages de Saint-Roman-de-Malegarde, Rasteau et Cairanne il existe plusieurs sentiers botaniques[39].
Équipements ou Services
Enseignement
La commune dispose d'une école primaire publique en classe unique (école Jean-Moulin) [40], collège Joseph-d'Arbaud à Vaison-la-Romaine[41], puis vers les lycée Jean-Henri-Fabre à Carpentras[42].
Sports
Plusieurs sentiers de promenade, pratique de la pêche, VTT, etc.
Santé
Il n'y a ni pharmacie, ni docteur, ni dentiste sur cette commune. Les plus proches se trouvent à Visan ou à Cairanne. Le centre hospitalier se trouve sur Vaison-la-Romaine (chef-lieu de canton)[43].
Vie locale
Cultes
- Culte catholique, Paroisse de Vaison-la-Romaine[44], Diocèse d'Avignon.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Robert Bailly, op. cit., p. 379.
- Réseau régional Sud Mobilité
- Jules Courtet, op. cit., p. 290.
- Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48.
- Description de la station d'épuration
- La climatologie du Vaucluse
- « Station météo la plus proche : Vaison-la-Romaine », MSN Météo.
- Jean Vialar, Les vents régionaux et locaux, 1948 ; réédité par Météo-France en 2003.
- Source : Services techniques d'Inter Rhône à Avignon Données météorologiques concernant l'année 2006 [PDF].
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1919.
- Robert Bailly, op. cit., p. 380.
- Jules Courtet, op. cit., p. 291.
- « Maisons et Commanderies de l'Ordre du Temple en France », sur www.templiers.net (consulté le )
- Vexillologie et Héraldique Provençale : Saint-Roman-de-Malegarde, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- Armorial du Comtat Venaissin
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Plan local d'urbanisme : diagnostic
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Impôts locaux à Saint-Roman-de-Malegarde », taxes.com.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
- Fédération nationale des bistrots de pays
- L'ancien château-fort des Templiers
- Le patrimoine du village
- Sculptures de Richard Di Rosa
- Église paroissiale Saint-Roman
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) : Saint-Roman-de-Malegarde
- Monument aux morts. Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 et 1939-1945
- Sentiers botaniques
- Enseignement publique primaire en Vaucluse
- Carte scolaire du Vaucluse
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse de Vaison-la-Romaine
Voir aussi
Bibliographie
- Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, 1986, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
- Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Saint-Roman-de-Malegarde, p. 1086
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Saint-Roman-de-Malegarde sur le site de l'Institut géographique national
- Saint-Roman-de-Malegarde sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes