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Saint-Python

Saint-Python est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Saint-Python
Saint-Python
Le centre du village.
Blason de Saint-Python
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté de communes du Pays solesmois
Maire
Mandat
Georges Flamengt
2020-2026
Code postal 59730
Code commune 59541
Démographie
Gentilé Piatonais
Population
municipale
1 013 hab. (2020 en augmentation de 3,47 % par rapport à 2014)
Densité 136 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 11′ 26″ nord, 3° 28′ 57″ est
Altitude Min. 58 m
Max. 117 m
Superficie 7,43 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Solesmes
(banlieue)
Aire d'attraction Solesmes
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Caudry
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Saint-Python
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Saint-Python
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Saint-Python
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Saint-Python
Liens
Site web https://saint-python.fr/

    Géographie

    Une entrée de la commune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Python
    Haussy Vertain
    Saint-Vaast-en-Cambrésis Saint-Python
    Viesly Solesmes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 735 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Hydrographie

    La Selle à Saint-Pithon.

    Le territoire du village est traversé du sud au nord par la Selle, affluent de l'Escaut.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Python est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Solesmes, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 5 354 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Solesmes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,1 %), prairies (12,6 %), zones urbanisées (8,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    En 1176 un titre de la léproserie de Cambrai cite Santus Piatus, puis on trouve Sancto Piato dans une lettre de Roger de Wavrin évêque de Cambrai en 1182, ainsi que dans la charte communale de Solesmes en 1202[24]. Python est une déformation de Piatus ou Piat. L'église de la commune est sous le vocable de saint Piat nommé également Piat de Seclin, confirmant ainsi l'origine du nom du village.

    Histoire

    Saint-Python, orthographiée Saint-Piton, était le siège d'une seigneurie avant la Révolution française. Vers 1713, le titulaire en est Charles Louis Joseph Armand Parisot, écuyer, seigneur de Saint-Piton, fils d'Antoine, écuyer, seigneur de Blécourt, et de Vivine Adolphine de Herbais. Charles nait à Cambrai, est colonel de cavalerie. Il épouse à Lille le Marie Catherine de Montmonier, fille de Pierre, écuyer, seigneur du Puis, conseiller secrétaire du roi, commissaire général de l'Intendance, et d'Élisabeth Claire Fournier. Elle nait à Lille en octobre 1686 (baptisée le ) et meurt à Cambrai[25].

    Héraldique

    Les armes de Saint-Python se blasonnent ainsi : D'hermines à trois losanges de gueules.

    Politique et administration

    Situation administrative

    La mairie.

    La commune de Saint-Python se situe dans le département du Nord et fait partie de la région Hauts-de-France. Elle appartient à l'arrondissement de Cambrai (à 19 km) et au Canton de Caudry (à 11 km).

    La commune est membre de la Communauté de communes du Pays Solesmois, qui rassemble 15 communes (Beaurain, Bermerain, Capelle, Escarmain, Haussy, Montrécourt, Romeries, Saint-Martin-sur-Écaillon, Saint-Python, Saulzoir, Solesmes, Sommaing, Vendegies-sur-Écaillon, Vertain et Viesly) pour une population totale d'un peu moins de 15 000 habitants.

    Liste des maires

    Maire de 1802 à 1807 : H. Ch. Cardon[27] - [28].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 ? Michel Chopin
    En cours Georges Flamengt[29] PS Conseiller général du canton de Solesmes (2004 → 2015),
    Secrétaire général de l’Association des maires du Nord ( → ),
    Président de la CCPS (2014 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Le monument aux morts.

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

    En 2020, la commune comptait 1 013 habitants[Note 8], en augmentation de 3,47 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3401 3161 3821 4631 6171 5941 6281 7361 709
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7931 8711 9101 8891 9411 8191 8281 7471 693
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5741 4491 4561 2901 3951 3331 2701 2641 309
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 3651 4121 3491 2511 1181 0141 0369721 012
    2020 - - - - - - - -
    1 013--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 519 hommes pour 507 femmes, soit un taux de 50,58 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    1,2
    5,6
    75-89 ans
    10,2
    17,7
    60-74 ans
    16,5
    20,8
    45-59 ans
    21,5
    18,5
    30-44 ans
    19,6
    15,6
    15-29 ans
    14,3
    21,7
    0-14 ans
    16,9
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Cyclisme

    Lieux et monuments

    L'un des chemins de Compostelle, la via septentriones templi passe par le village, venant de Haussy, passe par le parc municipal, puis la place de l'église, avant de repartir en serpentant dans les rues vers Saint-Vaast-en-Cambrésis par des chemins de randonnée. Plusieurs balises sont en effet incrustées dans le goudron, plus deux étiquettes sur le trajet[36].
    L'église Saint-Piat de Saint-Python

    • Vue du clocher.
      Vue du clocher.
    • La nef.
      La nef.
    • Le retable du bas-côté sud.
      Le retable du bas-côté sud.
    • Vue des stalles.
      Vue des stalles.
    • Reliquaire.
      Reliquaire.

    Personnalités liées à la commune

    • Raymond Poirette (1928-1944), jeune résistant Solesmois abattu à 16 ans alors qu'il transportait des tracts.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
    • Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Insee

      Autres références

      1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
      7. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      8. « Orthodromie entre Saint-Python et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
      9. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      10. « Orthodromie entre Saint-Python et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
      11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      17. « Unité urbaine 2020 de Solesmes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Solesmes », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
      21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      24. Mannier 1861, p. 306.
      25. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.374-376 (lire en ligne).
      26. Source : Cambrésis terre d'histoire
      27. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
      28. « Annuaire statistique département du Nord Année 1807 », p. 146-147.
      29. Décoré de l'ordre national du mérite
      30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Python (59541) », (consulté le ).
      35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
      36. « Saint-Python », .
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