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Saint-Priest (Creuse)

Saint-Priest (prononcé [sɛ̃pʁi][1]) est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Priest
Saint-Priest (Creuse)
L'église de Saint-Priest.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire
Mandat
Jean-Claude Dubsay
2020-2026
Code postal 23110
Code commune 23234
Démographie
Population
municipale
150 hab. (2020 en diminution de 6,25 % par rapport à 2014)
Densité 6,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 05′ 14″ nord, 2° 20′ 28″ est
Altitude Min. 420 m
Max. 585 m
Superficie 22,34 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Évaux-les-Bains
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Saint-Priest
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Saint-Priest

    Géographie

    Généralités

    La Tardes au pont de Bonlieu.

    Dans la moitié orientale du département de la Creuse, la commune de Saint-Priest s'étend sur 22,34 km2. Elle est arrosée au sud-ouest sur près de deux kilomètres par la Tardes. Ses affluents, la Valette également appelée Vezelle et la Méouze, arrosent le territoire communal sur respectivement près de quatre kilomètres et deux kilomètres.

    L'altitude minimale 420 mètres se trouve localisée à l'extrême sud-ouest, près de l'ancienne abbaye de Bonlieu, là où la Tardes quitte la commune et sert de limite entre celles du Chauchet et de Peyrat-la-Nonière. L'altitude maximale avec 585 mètres est située au sud, près du lieu-dit le Montmoreau.

    À l'intersection des routes départementales (RD) 24 et 65, le bourg de Saint-Priest est situé, en distances orthodromiques, vingt kilomètres au nord-est d'Aubusson.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 4 et 41.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Priest et des communes avoisinantes.

    Saint-Priest est limitrophe de six autres communes.

    Au sud-ouest, son territoire est distant d'environ 500 mètres de celui de Saint-Domet.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 917 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chambon Voueize », sur la commune de Chambon-sur-Voueize, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 842,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 67 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Priest est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (74,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,8 %), forêts (1,9 %), terres arables (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Priest est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Priest.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 30,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 164 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 65 sont en en aléa moyen ou fort, soit 40 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Priest est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Praejectus en 1197, Villa Sancti-Prejecti en 1202, Saint Pricst la Marche en 1555, Saint Prest en 1611.

    Du nom roman praejectus issu du latin praejacere : « être en avant », ce qui s'interprète en anthroponymie par « celui qui est projeté / élevé par la foi ».

    Durant la Révolution, de pluviôse an II à floréal an III, la commune porte le nom de La Républicaine[26] - [27].

    Histoire

    Une nécropole gallo-romaine a été fouillée de 1971 à 1987 au lieu-dit Louroux ; elle a révélé 173 sépultures à incinération[28].

    En 1195, la Villatte et le Montmoreau étaient des granges de l'abbaye de Bonlieu, c'est-à-dire des centres agricoles dirigés par un moine dit « grangier ». Au début du XIVe siècle, Saint-Priest appartient à la châtellenie de Sermur et passe avant la Révolution au Pays de Combraille. À la Révolution, elle dépend du canton de Mainsat de 1790 à 1801. En 1890, on recense 841 habitants dans la commune dont 95 dans le bourg. À la même date, le village du Meignoux, dénommé le Mesnyoulx en 1521, était le plus gros village de la commune avec 73 habitants.

    • Le Tromp, en 1199 « Capella dels Trons », constituait une paroisse qui dépendait, au début du XIVe siècle, de la châtellenie de Chambon. Elle a fait partie du canton de Mainsat de 1790 à 1801. Le , cette commune de 310 habitants a été fusionnée[26] avec ses dix villages (Bégouneix, la Chaussade, Grande Vezelle, Lavaux, le Mazeau, la Mazure, Moulin de Beauregard, Petite Vezelle, le Tromp, la Valette) à la commune de Saint-Priest.
    • Le château de Beauregard date des XVIIe et XVIIIe siècles et fut remanié au XIXe siècle. En 1770, il était habité par le marquis de Lentilhac. En 1789, il appartenait à Jean-Baptiste Grellet de Beauregard, député aux États Généraux puis au baron de Baillet. Aux XIXe et XXe siècles, Beauregard possédait un équipage de chasse à courre. En 1917, le baron de Baillet était le seul habitant de la commune à être abonné au téléphone.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1919 1944 Henri Paul Lenoble
    1944 1965 Jules Parry
    1965 1988 Xavier Fernand Parry
    1988 mai 2020 Albert Bondieu DVG Agriculteur retraité
    mai 2020 En cours Jean-Claude Dubsay

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 150 habitants[Note 6], en diminution de 6,25 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    502517591597567912894941969
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    930891882886857870841846805
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    820818781667608573530481417
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    407351311258230192181177164
    2015 2020 - - - - - - -
    160150-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La nef de l'église.
      La nef de l'église.
    • Le portail de l'ancienne église du Tromp.
      Le portail de l'ancienne église du Tromp.
    • Le pont de Bonlieu.
      Le pont de Bonlieu.
    • Notre-Dame des Neiges.
      Notre-Dame des Neiges.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Le lieu-dit s'appelle le Tromp : voir « le Tromp » sur Géoportail (consulté le 23 août 2018). et l'inscription gravée sur le tympan de ce portail
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Chambon Voueize - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Priest et Chambon-sur-Voueize », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Chambon Voueize - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Priest et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Priest », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Priest », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Avéré en tant que nom révolutionnaire sur Archives départementales de la Creuse, p. 6 à 16.
    28. Dominique Dussot, « La nécropole gallo-romaine à incinération de Louroux, commune de Saint-Priest (Creuse) », Aquitania, t. V, , p. 3 à 35 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Ancienne église du Tromps », notice no PA00100188, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 23 août 2018.
    33. « Pont de Bonlieu », notice no PA00100189, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 23 août 2018.
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