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Saint-Martin-de-la-Porte

Saint-Martin-de-la-Porte est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Martin-de-la-Porte
Saint-Martin-de-la-Porte
Carrière de calcaire.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Savoie
Arrondissement Saint-Jean-de-Maurienne
Intercommunalité Communauté de communes Maurienne-Galibier
Maire
Mandat
Guy Ratel
2020-2026
Code postal 73140
Code commune 73258
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Marteninches<bt>Saint-Martenins
Population
municipale
679 hab. (2020 en diminution de 1,31 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 35 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 14′ 27″ nord, 6° 26′ 48″ est
Altitude Min. 655 m
Max. 2 824 m
Superficie 19,25 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Julien-Mont-Denis
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Jean-de-Maurienne
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Modane
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Martin-de-la-Porte
Liens
Site web https://smlp.fr/

    GĂ©ographie

    Situation

    Le village de Saint-Martin-de-la-Porte s'Ă©tend sur une superficie de 1 925 hectares (19,25 km2), de 655 mètres Ă  2 824 mètres d'altitude.

    Saint-Martin-de-la-Porte a pour communes limitrophes Montricher-Albanne, Saint-Michel-de-Maurienne et Valloire.

    Le village est entouré de forts, de refuges et de sommets prisés par les touristes et les promeneurs, parmi lesquels :

    • le fort du TĂ©lĂ©graphe ;
    • le col du Bonhomme ;
    • la pointe de la Grande Childe ;
    • le refuge de la Sausse Chalets ;
    • le sommet de la Croix des TĂŞtes.

    Le bourg est installé sur le cône de déjection du ruisseau Saint-Bernard qui descend du col des Encombres au nord et se jette dans l'Arc après avoir franchi l'autoroute A43 et la route départementale 1006 par le biais d'un pont-rivière. Les autres hameaux de la commune sont La Porte, La Villette, Mollard Durand, Planchette, Chalengette, Charbutan ainsi que de nombreuses fermes et alpages.

    Communes limitrophes

     Saint-Martin-de-la-Porte et les communes voisines.
    Saint-Martin-de-la-Porte et les communes voisines.

    Saint-Martin de la Porte est limitrophe de Saint-Michel-de-Maurienne, Saint-Martin-de-Belleville, Valloire, Saint-Julien-Mont-Denis, Montricher-Albanne et Saint-Martin-d'Arc.

    Voies de communication et transports

    Dans le fond de la vallée, le long de l'Arc, la commune est traversée par l'autoroute A43, la route départementale 1006 et la ligne de Culoz à Modane (frontière). La route départementale 219 dessert les différents hameaux de la commune. Un chemin carrossable à accès réglementé permet de gagner la vallée des Belleville en Tarentaise par le col des Encombres.

    L'un des accès de creusement du tunnel de base du Mont d'Ambin sur la future Liaison ferroviaire transalpine Lyon - Turin se trouve sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-de-la-Porte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Julien-Mont-Denis, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[4] et 2 297 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (33,5 %), forêts (18,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), zones urbanisées (2,1 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Toponymie

    Saint-Martin-de-la-Porte est mentionnée, dans les documents médiévaux, sous les formes Parrochia Sancti Martini (vers 1100), Parrochia S. Martini (1200), Apus S. Martinum de Porta (1297), ecclesie S. Martini de Porta (1310) ou encore Curatus Sancti Martini de Porta (XIVe siècle)[10].

    La commune porte le nom de son saint patron, Martin, évêque de Tours au IVe siècle[10]. Il est associé au nom Porte provenant d'un ancien village, qui était traversé par la voie romaine[10]. Il a été adjoint à la paroisse vers la fin du XIIIe siècle pour le distinguer des villages homonymes[10].

    En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Sin Martïn (graphie de Conflans) ou Sent-Martin(-la-Porta) (ORB)[11].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 GĂ©rard Ratel
    mars 2008 2020 Jean-Pierre Bernard
    2020 En cours Guy Ratel
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Ses habitants sont appelés les Saint-Marteninches et les Saint-Martenins[12].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[14].

    En 2020, la commune comptait 679 habitants[Note 4], en diminution de 1,31 % par rapport Ă  2014 (Savoie : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    679679698667757717753722723
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    766761728752741748925971970
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    876822802765814875864814708
    1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 -
    754671625685688702686679-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee Ă  partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2005, 51,5 % d'hommes pour 48,5 % de femmes.

    • La population masculine de 0 Ă  19 ans est de 21,6 %.

    De 20 Ă  39 ans, elle compte 24,3 %.
    La tranche d’âge de 40 à 59 ans est de 26,1 %.
    La population des 59 ans et plus représente 28,0 % des villageois.

    • La population fĂ©minine de 0 Ă  19 ans est de 16,9 %.

    De 20 Ă  39 ans, elle compte 18,6 %.
    La tranche d’âge des 40 à 59 ans est de 31,4 %.
    La population des plus de 59 ans représente 33,1 % des villageois.

    Économie

    Industrie

    C’est sur cette commune qu’a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e la première usine de Maurienne exploitant les ressources hydroĂ©lectriques de la vallĂ©e : en 1890, les frères Bernard, de Creil, y fondaient l’usine d’aluminium auquel Tristan, le neveu des fondateurs, un temps directeur, donna le nom de Calypso, par dĂ©rision sans doute vu l’aspect sinistre du site. Cette localisation Ă©tait commandĂ©e par celle de la centrale turbinant les eaux de la Valloirette, affluent de rive gauche de l’Arc. Sept ans plus tard, l’établissement Ă©tait rachetĂ© par Alais Froges et Camargue (la future Pechiney). Le procĂ©dĂ© d’électrolyse HĂ©roult y a Ă©tĂ© substituĂ© au procĂ©dĂ© concurrent Hall vers 1914. Mais le site ne se prĂŞtant pas Ă  de grands dĂ©veloppements fut abandonnĂ© en 1932 malgrĂ© une qualitĂ© exceptionnelle qui faisait de la marque Calypso une rĂ©fĂ©rence. L’établissement fut rouvert en 1956 pour le traitement de mĂ©taux de grande valeur. Du silicium extra-pur on passa par la suite Ă  d’autres mĂ©taux spĂ©ciaux comme le bĂ©ryllium et jusqu’à 110 emplois furent ainsi recrĂ©Ă©s vers 1960. Plus tard ce furent le tantale, le samarium… mais en quantitĂ©s apparentant l’usine Ă  un laboratoire, jusqu’à la fermeture dĂ©finitive dans les annĂ©es 1970[17].  

    Autre activitĂ© notoire : la carrière exploitant un gisement de calcaire redressĂ© en lame verticale en rive gauche de la gorge de la Valloirette. Le front de taille s’élevait sur 250 mètres de hauteur entre les cotes 740 et 985. Ce mode de gisement Ă  pendage vertical explique un type d’exploitation vĂ©ritablement minier : l’abattage Ă©tait opĂ©rĂ© sur le front de carrière successivement sur cinq niveaux superposĂ©s Ă  partir de puits verticaux intĂ©rieurs d’oĂą partaient des galeries bĂ©antes sur le vide. Tous les deux mois environ Ă  l’un de ces niveaux Ă©tait projetĂ©e dans le vide une tranche de 5 mètres d’épaisseur, soit 35 000 tonnes. Toute circulation et toute vie Ă©taient alors suspendues dans la vallĂ©e. Ce calcaire particulièrement pur Ă©tait, pour partie, transformĂ© en chaux sur place. Saint-Gobain, propriĂ©taire de la carrière, trouvait lĂ  son approvisionnement pour son usine de carbure de calcium de Villarodin-Bourget. Au total, en 1971, 35 personnes Ă©taient employĂ©es (jusqu’à 45 en haute conjoncture)[18].

    À partir des années 2000, les travaux de reconnaissance puis de construction du tunnel de base du Mont d'Ambin, qui doit faire passer la liaison ferroviaire transalpine Lyon - Turin en 2030, débutent sur le territoire de la commune. L'entrée du tunnel est situé au Plan des Saussaz, dans la montagne en aval du hameau de la Porte. La base de vie du chantier et l'usine à voussoirs sont situées entre la montagne et la route départementale 1006. Un convoyeur à bande en part, longeant l'autoroute A43 jusqu'en aval du bourg, entre l'Arc et l'autoroute où est installée une gravière.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Tour du Mollaret[19] ;
    • maison-forte de La Buffette[20] ;
    • maison-forte de la Tour CarrĂ©e[21].
    • Église Saint-Martin de Saint-Martin-de-la-Porte, style baroque[22].

    Espaces verts et fleurissement

    En 2014, la commune de Saint-Martin-de-la-Porte bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[23].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 387-395. ([PDF] lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Saint-Julien-Mont-Denis », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Jean-de-Maurienne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 504..
    11. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 24
      Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
      .
    12. « Saint-Martin-de-la-Porte », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    17. Louis Chabert, Les Grandes Alpes industrielles de Savoie, , 559 p., p. 127-128, 156.
    18. Louis Chabert, Les grandes Alpes industrielles de Savoie, , 559 p., p. 207-208.
    19. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 159-160.
    20. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti = », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 160.
    21. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 160-161.
    22. Dominique Peyre, En Maurienne : sur les chemins du Baroque, vol. 3, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Patrimoines », , 190 p. (ISBN 978-2-84206-169-2, lire en ligne), p. 111-118.
    23. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    24. Michelle Leroy, Geneviève de Montleau et Fondation pour l'action culturelle internationale en montagne, En Beaufortain et Val d'Arly : sur les chemins du Baroque, vol. 1, La Fontaine de Siloé, , 190 p. (ISBN 978-2-84206-108-1, lire en ligne), p. 112.
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