Saint-Jean-de-Moirans
Saint-Jean-de-Moirans est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Saint-Jean-de-Moirans | |||||
Vue du village Ă flanc de coteau | |||||
HĂ©raldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | Grenoble | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays voironnais | ||||
Maire Mandat |
Laurence Boutantin-BĂ©thune 2020-2026 |
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Code postal | 38430 | ||||
Code commune | 38400 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Jeannais | ||||
Population municipale |
3 563 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 554 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
62 558 hab. (2020) | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 20′ 31″ nord, 5° 34′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 186 m Max. 304 m |
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Superficie | 6,43 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Voiron (banlieue) |
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Aire d'attraction | Grenoble (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Tullins | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Isère
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Liens | |||||
Site web | www.st-jean-de-moirans.fr | ||||
Autrefois rattachée à l'ancienne province du Dauphiné, la commune de Saint-Jean-de-Moirans appartient également à la communauté d'agglomération du Pays voironnais et au canton de Tullins, au débouché septentrional de la basse vallée de l'Isère, connue également sous la dénomination de Sud Grésivaudan.
GĂ©ographie
Situation et description
Le territoire communal de Saint-Jean-de-Moirans est situé dans le centre-est de la France, à proximité du centre géographique du département de l'Isère, au nord-ouest de Grenoble. La commune se positionne dans un secteur de plaines et de collines, située en moyenne à 200 m d'altitude.
La commune est positionnée entre les territoires de Voiron, Moirans et de Coublevie, toutes situées, comme elle, dans la communauté d'agglomération du Pays voironnais, à 25 km de Grenoble, chef-lieu du département de l'Isère, 87 km de Lyon, chef-lieu de la région Auvergne-Rhône-Alpes ainsi qu'à 557 km de Paris et 299 km de Marseille[1].
GĂ©ologie
Le territoire de Saint-Jean-de-Moirans est implanté en grande partie dans la bordure septentrionale de la plaine de la Basse Isère en aval de la cluse de Voreppe, marquée par la courbe inscrit par cette rivière qui en amont de la cluse s'écoule vers le nord-ouest puis après avoir contourné le bec de l'Échaillon vers le sud-ouest. La partie méridionale du territoire, limitrophe de Moirans, se situe en marge d'une vaste surface autrefois marécageuse formée par le comblement d'un lac créé à la suite la fonte du glacier de l'Isère qui occupait la vallée durant la dernière glaciation de Würm, enregistré en tant que dernier maximum glaciaire achevé, il y a environ 10 000 ans. La partie la plus large de ce lac (dénommé « ombilic de Moirans » par les géologues) s'inscrit à l'extérieur de la courbe de l'Isère que celle forme après avoir franchi la pointe nord du Vercors[2].
Le territoire communal est en outre situé, dans sa partie septentrionale, sur le cône de déjection de la Morge, tout en étant dominé par un système de moraines et de terrasses fluviatiles holocènes, face à la plaine alluviale de l'Isère, datant de la même période[3].
Communes limitrophes
Climat
La partie du territoire du département l'Isère dans lequel se situe la commune de Saint-Jean-de-Moirans est formée de plaines à l'ambiance tempérée, de bas plateaux et de collines assez peu élevées au climat un peu plus rude. Du fait de ce relief peu accentué, les masses d'air venues du nord et du sud circulent assez aisément.
Hydrographie
Le territoire communal est sillonné de plusieurs cours d'eau, dont :
- La Morge
Cette rivière, d'une longueur de 27,2 km[4], est un affluent de l'Isère et donc un sous-affluent du Rhône. Elle a un caractère torrentiel et reçoit l'apport de quelques ruisseaux en traversant la commune de Moirans. Celle-ci possède, en outre, un affluent principal qui la rejoint sur le territoire de Tullins, la Fure. Cette rivière traverse le territoire communal selon un axe nord sud.
Les routes
- L'ancienne route nationale 92 (RD 1092)
L'ancienne route nationale 92 ou « RN 92 » est une route nationale française reliant autrefois Valence à Genève. La portion qui part de Romans-sur-Isère pour aller à Voiron, après avoir traversé Moirans a été déclassée en « RD 1092 » dans le département de l'Isère. Cette route traverse le territoire de Saint-Jean depuis le sud-ouest, limite de la commune de Moirans et vers le nord, commune de Voiron sous la dénomination de avenue Gaston de Bonnardel et avenue du Dr Valois.
L'autoroute
La bretelle de sortie no 11 permet de rejoindre la partie orientale de la commune de Saint-Jean-de-Moirans et la zone industrielle de Moirans par la route départementale 1085 (ancienne route nationale 85). La sortie no 11 nécessite l'usage d'un rond-point dit de l'Égala à la limite de la commune voisine de Voreppe.
Urbanisme
Typologie
Saint-Jean-de-Moirans est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Voiron, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[8] et 62 558 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11] - [12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,8 %), zones agricoles hétérogènes (26,3 %), zones urbanisées (18,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), cultures permanentes (4,2 %), forêts (3,5 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux lieux-dits et Ă©carts
Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux (ainsi que les écarts) qui composent le territoire de la commune de Saint-Jean-de-Moirans, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[14]. Les principaux hameaux et lieux-dits sont indiqués en caractères gras.
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Risques sismiques
L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Jean-de-Moirans est situé en zone de sismicité n°4, en limite de la zone n°3 (sur une échelle de 1 à 5) qui se positionne vers l'ouest et le nord-ouest du département de l'Isère[15].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 4 | Sismicité moyenne | accélération = 1,6 m/s2 |
Toponymie
Le nom de la commune se présente en deux parties aux origines distinctes :
- Saint-Jean
Cette partie du nom de la ville trouve son origine dans la référence à son saint patron Jean le Baptiste
- Moirans
Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Moirans est attesté sous la forme latinisée Morginnum au IVe siècle (Table de Peutinger)[17] - [18] - [19], Morvennum vers le VIIe siècle[20], Moringum en 928[21], locus Moirencus et Moiricensis au XIe siècle, castrum Moirenc, villa Moirencii et prior Moiracensis au XIIe siècle, Moiranc et Moirent au XIVe siècle[18].
Le toponyme Morginnum est dérivé de l'hydronyme la Morge, avec le suffixe -inum[20], selon un processus de dérivation archaïque bien avéré dans la toponymie française. Dans ce cas, cependant le redoublement de n pose problème à moins qu'il ne s'agisse d'une cacographie.
Histoire
Antiquité
Durant l'Antiquité, le pays voironnais est peuplé par les Allobroges, un peuple gaulois dont le territoire était situé entre l'Isère, le Rhône et les Alpes du Nord. À partir de , ce territoire, nommé Allobrogie, est intégré dans la province romaine du Viennois avec pour capitale la cité de Vienne qui était aussi le siège de l’ancien diocèse romain de Vienne.
Moyen Ă‚ge
C'est le , par le traité de Paris et par mandement de l'évêque à ses diocésains, que Voiron et Saint-Jean-de-Voyron furent rattachées au Dauphiné et donc à la France, à qui Humbert II avait cédé son domaine en 1349.
Les Hospitaliers
Le pouillé du diocèse de Grenoble dressé en 1110, ne mentionne pas Saint-Jean-de-Moirans. La paroisse était le siège d'un établissement de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui avait probablement remplacé un établissement des Templiers détruit.
La chapelle Saint-Jean de la Buisse est un édifice du XIIe siècle[22]. La plus ancienne mention de la chapelle de la commanderie des Hospitaliers, jadis sur le territoire de la paroisse de la Buisse, se trouve en 1260 dans l'acte de fondation par Béatrix de Savoie de la commanderie des Échelles. De l'ensemble des bâtiments qui composaient à l'origine le monastère ne subsiste que la chapelle amputée de son abside[23].
Le , « dans les champs au-dessus de la Maison de l'hôpital de Saint-Jean, supra Moyrencum », des conventions furent passées entre Édouard de Savoie et le dauphin Jean, afin d'observer une trêve d'un an et trois mois, et d'obtenir une libération réciproque des prisonniers faits durant les guerres entre les Dauphinois et les Savoyards.
Temps modernes
Avant 1789, Saint-Jean-de-Moirans n'existait que comme paroisse dépendant des châtelleries de Moirans, Voiron et la Buisse.
Révolution française
Durant la Révolution, Saint-Jean-de-Moirans a eu Moiranxis comme nom révolutionnaire.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2020, la commune comptait 3 563 habitants[Note 3], en augmentation de 5,66 % par rapport à 2014 (Isère : +2,73 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble (Zone A).
Manifestations culturelles et festivités
- février / mars : tour pédestre de la commune.
- week-end du 21 juin : fĂŞte de la Saint-Jean, avec artisanat et gastronomie tournant autour de la cerise (clafoutis), dont Saint-Jean-de-Moirans est la capitale, et utilisation des fours Ă pain traditionnels, ainsi qu'un grand feu et une retraite au flambeau le soir. Rencontres photographiques.
- août / septembre : heures d'orgue.
Presse Ă©crite
Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Chartreuse et Sud Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Lieux de culte
La communauté catholique et l'église de Saint-Jean-de-Moirans (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint Thomas de Rochebrune qui comprend les églises de cinq autres communes et un monastère. Celle-ci est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[29].
Économie
Le secteur agricole
Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[30] - [31].
Saint-Jean-de-Moirans est une des communes d'un secteur de vignobles pouvant revendiquer le label IGP « Coteaux-du-grésivaudan », comme la plupart des communes de la moyenne vallée de l'Isère (Grésivaudan et cluse de Voreppe).
Entreprises locales
Les sociétés suivantes ont leur siège social à Saint-Jean-de-Moirans :
- Skis Rossignol, célèbre fabricant et concepteur de skis et de matériel liés au sport de neige, fondée en 1907 par Abel Rossignol[32]
- Paraboot, fabricant de chaussures[33].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Le manoir de la Colombinière
- Cet édifice datant du XVIe siècle[22] fut un pavillon de chasse du duc François de Bonne de Lesdiguières. C'est dans cette demeure qu'il installa Marie Vignon dite la « Dame de Moirans ». Les façades et les toitures à l'extérieur, les cheminées en pierre de la grande salle au rez-de-chaussée et des deux salles du Nord-Est au premier étage à l'intérieur font l'objet d'une inscription partielle au titre des monuments historiques par arrêté du 27 décembre 1974[34].
- La roue Ă aubes :
- Cette roue est présente sur une maison du côté de la Buisse (chemin des Nugues), elle attire beaucoup de regards. Aujourd'hui, elle tourne toujours mais seulement pour "décorer", son rôle étant autre fois d'alimenter des machines pour fabriquer des outils.
- Les fours communaux
- Environ treize fours ornent les rues du village. Certains sont allumés à l'occasion de la fête du village. Beaucoup d'autres existent chez des particuliers et constituent un patrimoine caractéristique de Saint-Jean.
- Le manoir de la Tour, du XVIIe siècle[22].
- De nombreuses fontaines coulent dans les rues et chemins, témoins d'un passé rural.
- La commune est traversée par le sentier muletier qui reliait Saint-Quentin dans l'Aisne à Rome, dont en reste la partie appelée le « chemin des contrebandiers ».
- Au hameau des Vouises, des vieilles demeures des XVIIe et XVIIIe siècles[22].
- Place et mairie du village avant les travaux de 2013
- Monument aux morts en 2015
- Nichoir Ă livres, mairie
- Autre vue du monument aux morts
Patrimoine religieux
- L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
- Cet église héberge l'orgue mécanique Silbermann inauguré en 1978, rehaussé de sculptures[35]. Les fonts baptismaux récupérés de l'ancienne église de Saint-Cassien, sont antérieurs à 1523
- La chapelle Saint-Jean de la Buisse
- Il s'agit d'un édifice du XIIe siècle ; c'est la chapelle de la Commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean.
- Église Saint-Jean-Baptiste
- Parvis
- Façade
- Clocher et abside
- Portail de l’église
Historique de la langue locale
Le territoire de Saint-Jean-de-Moirans et du pays voironnais se situent dans la partie centrale du Haut Dauphiné, et donc au sud de la zone des patois dauphinois, lesquels appartiennent au domaine des langues dites francoprovençales ou arpitanes, au même titre que les patois savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens.
Historiquement, l'idée du terme francoprovençal, attribué à cette langue régionale parlée dans le quart centre-est de la France, différent du français, dit langue d'oïl et de l'occitan, dit langue d'oc, est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques.
Contes locaux et légendes régionales
Il existe encore quelques ouvrages qui relatent les contes et les légendes du Dauphiné et du Grésivaudan, y compris pour les montagnes et les vallées environnantes. Le plus connu de ceux-ci est un ouvrage notable, fruit d'une recherche importante, a été écrit par Charles Joisten (1936-1981), ancien conservateur du Musée dauphinois du conseil départemental de l'Isère situé à Grenoble, et qui relate, parmi les autres légendes, le bestiaire fantastique et les légendes de l'ensemble des pays dauphinois[36].
HĂ©raldique
Blason | De gueules au lion d'argent, au chef cousu d'azur chargé de deux fleurs de lys d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site annuaire mairie, page "Distances des grandes villes avec Saint-Jean-de-Moirans", consulté le 1er octobre 2018
- Site Persée "L'évolution holocène de la plaine alluviale de l'Isère dans l'ombilic de Moirans
- Site géol alp, page sur Moirans et Tullins
- Site Sandre, fiche sur la Morge
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Voiron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Site géoportail, page des cartes IGN
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- Jean Baptiste Bourguignon d' Anville, Notice de l'ancienne Gaule: tirée des monumens romains, Académie des inscriptions & belles-lettres (France),
- Site d'Henry Suter, NOMS DE LIEUX DE SUISSE ROMANDE, SAVOIE ET ENVIRON (lire en ligne)
- André Plank, L'origine des noms des communes du département de l'Isère, Artès, 1995, p. 78
- Henry Suter, ibidem
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 442b.
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 461-463.
- « Commanderie de Saint Jean de Moirans », sur Commanderie Hospitalière des Echelles (consulté le ).
- Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Site messe-info, page sur la Saint Thomas de Rochebrune, consulté le 01 octobre 2018
- Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
- Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
- Site Kompass, fiche sur la société Rossignol, consulté le 1er octobre 2018
- Juliette Garnier, « Les chaussures Paraboot victimes de leur succès sur Instagram. La marque française peine à répondre à la demande, faute de personnel suffisant dans son usine de Saint-Jean-de-Moirans », Le Monde,‎ (lire en ligne)
- « Manoir de la Colombinière », notice no PA00117257, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Site fondation-patrimoine, page "orgue de Saint-Jean-de-Moirans, consulté le 01 octobre 2018
- Êtres fantastique en Dauphiné
Voir aussi
Bibliographie
- Tous les mois paraît le petit journal municipal « Jour après Jour ».
- Livre St Jean de Moirans autrefois, archives paroissiales et historiques du père Jean Chapel.
- « Le Renouillard », revue périodique locale.
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site du Pays Voironnais
- Site de Saint-Jean-de-Moirans