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Musée dauphinois

Le Musée dauphinois est un service culturel relevant du Département de l’Isère. Situé à Grenoble, ancienne capitale de la province du Dauphiné, il est chargé de la mémoire et de l’histoire de ce territoire (qui recouvrait les départements de l’Isère, de la Drôme et des Hautes-Alpes). Il s’appuie pour remplir cette mission sur les recherches conduites en histoire, en archéologie et en ethnologie.

Musée dauphinois
Vue d'ensemble du musée et de ses jardins en terrasses.
Informations générales
Type
Alpine Museum (en), musée régional (d), collection (en), musée ethnographique
Ouverture
1906 (il y a 116 ans)
Dirigeant
Olivier Cogne[1]
Surface
4 500 m2
Visiteurs par an
84 195 (2018)[2]
Site web
Collections
Collections
Objets/ Documents liés au Dauphiné et aux Alpes françaises
Nombre d'objets
100 000 objets, 160 000 photographies, 22 000 documents iconographiques, 1 400 films, 2 000 enregistrements sonores et 20 000 ouvrages
Bâtiment
Protection
Logo monument historique ClassĂ© MH (1916)[3] (chapelle)
Logo monument historique ClassĂ© MH (1965)[3] (bâtiment)
Localisation
Pays
RĂ©gion
Commune
Adresse
30, rue Maurice-Gignoux, 38031 Grenoble cedex 1
Coordonnées
45° 11′ 42″ N, 5° 43′ 36″ E
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Créé en 1906, le Musée dauphinois est l’un des premiers musées de patrimoine régional en France (après le Musée Arlaten, fondé par Frédéric Mistral). Installé sur les premières hauteurs de la Bastille, dominant la ville, il occupe un ancien couvent de visitandines (XVIIe siècle), Sainte-Marie d’en-Haut. L’ensemble de l’édifice (extérieurs et toitures) ainsi que la chapelle sont classés au titre des Monuments historiques ; le musée bénéficie du label « Musée de France ».

Ce musée a deux espaces d’exposition qui présentent une synthèse de l’histoire et des cultures alpines ainsi que des expositions temporaires, sur les sujets souvent en résonance avec l’actualité.

Historique du musée

Le fondateur

C’est un érudit autodidacte, archéologue préhistorien et ethnologue, qui rassemble les premiers éléments qui deviendront les collections du Musée dauphinois : Hippolyte Müller. Reconnu par des préhistoriens, il bénéficie du soutien du professeur Arthur Bordier, qui obtient pour lui un poste de bibliothécaire à l’école de médecine. Müller va conduire ses recherches sur le Dauphiné, privilégiant le domaine alpin de l’ancienne province. Aux trouvailles archéologiques, il ajoute du matériel ethnographique, prélevé dans les communautés montagnardes (l'étude des sociétés traditionnelles françaises était l’objet du folklore davantage que de l'ethnologie)[4] - [5].

Chapelle Sainte-Marie d'en-Bas.

Première installation du Musée dauphinois

En 1906 que Müller, soutenu par nombre de personnalités grenobloises, convainc la mairie de Grenoble de la nécessité de créer un musée. La commune disposait déjà d’un musée des beaux-arts – bibliothèque et d’un muséum d’histoire naturelle. Cette nouvelle institution culturelle est installée dans la chapelle de l’ancien couvent de Sainte-Marie-d’en-Bas, alors désaffectée. Müller en est le premier conservateur. Le nom de Musée dauphinois lui est donné sur une suggestion de l’archiviste départemental, Auguste Prudhomme. Ce couvent situé au cœur de la vieille ville, rue Très-Cloîtres, avait été créé à la fin du XVIIe siècle pour l’ordre des Visitandines, trop à l’étroit à Sainte-Marie d’en-Haut[4].

Salle du Musée dauphinois à Sainte-Marie d'en-Bas, rue Très-Cloîtres.

Chapelle Sainte-Marie d'en-Bas

C’est dans cette chapelle que vont être conservées les collections, constituées des éléments lapidaires de la période gallo-romaine, des nombreuses trouvailles préhistoriques mises au jour par les fouilles de Müller et des objets issus des collectes qu’il a conduites dans le domaine alpin du Dauphiné, et tout particulièrement dans le Queyras. Les photos de la chapelle à cette période montrent bien l’absence de présentation de type muséographique (malgré la présence de quelques vitrines), mais au contraire une sorte d’accumulation ; le musée ne disposant pas de réserves. Le manque de place est évident[4] - [5].

Un nouveau site pour le Musée dauphinois

Ce n’est qu’en 1965 que la nouvelle municipalité, conduite par Hubert Dubedout, envisage de déplacer le Musée dauphinois pour lui donner plus de place. L’administration des musées de France, par la voix de George Henri Rivière, directeur du Musée national des Arts et Traditions populaires, presse en effet la commune de veiller au développement de ce musée. Bernard Gilman (1931-2022), alors maire-adjoint chargé des affaires culturelles, veillera sur ce projet et dotera le musée d’un conservateur professionnel (Marcel Boulin, 1919-1983). Depuis le décès de Müller, en 1933, le musée avait été dirigé, entre autres, par Joseph Colomb, gendre de Müller, puis par Joseph Laforge, galeriste et antiquaire. La municipalité décidera alors, dans le cadre d’un vaste chantier d’urbanisme qui va métamorphoser Grenoble à la faveur des Jeux olympiques d’hiver de 1968, de déplacer le Musée dauphinois dans l’ancien couvent de Sainte-Marie d’en-Haut. La période est très favorable, et le maire et son adjoint savent pouvoir compter sur d’importantes subventions, de l’État notamment[4] - [5].

Jean-Pierre Laurent, directeur

Au terme d’une lourde et coûteuse campagne de travaux, le musée sera inauguré au moment des Jeux olympiques par le ministre de la Culture, André Malraux, le 3 février 1968. Mais Bernard Gilman ne peut se satisfaire des expositions ouvertes pour l’occasion et ira personnellement recruter un nouveau conservateur, alors en poste au Musée-château d’Annecy : Jean-Pierre Laurent (1927-2015). En fonction dès 1971, ce dernier va, reprendre en quasi-totalité la présentation des collections. Sous l’expression « L’homme se retrouve », il va déployer une politique d’expositions dans lesquelles les objets témoignent des formes de vie des hommes et des femmes de la montagne. Il conquiert de nouveaux publics, en plaçant « les gens » au cœur de la démarche muséale. Les expositions telles que « Hache, ébénistes à Grenoble », « La main du gantier », « Enfants des montagnes » et plus encore « Le Roman des Grenoblois » ou « Les chartreux, le désert et le monde », ont donné au Musée dauphinois une certaine notoriété. Laurent est assisté notamment par Charles Joisten (1936-1981), qui a été collecteur des contes et récits légendaires des Alpes, et fondateur de la revue Le Monde alpin et rhodanien[6] - [7].

Nouvelles Ă©quipes

Viendront se joindre plus tard à cette équipe Jean Guibal et Jean-Claude Duclos, jeunes conservateurs, nommés en 1981, qui auront la charge de succéder à Jean-Pierre Laurent (en 1987) et qui vont veiller à poursuivre son œuvre dans l’esprit qu’il avait donné à cette maison[4] - [5].

La Conservation du patrimoine de l’Isère (CPI)

À partir de 1992, le Musée dauphinois passe sous la tutelle du Conseil général de l’Isère (aujourd’hui Conseil départemental) et revoit son projet en conséquence. Déjà engagé dans le soutien aux « petits » musées locaux, il systématise son aide technique, mais organise aussi le dépôt de collections qui sont le plus souvent en réserves. En dix ans, ce sont une quinzaine d’établissements de la sorte qui sont rénovés ou créés de toutes pièces et assistés par l’équipe du Musée dauphinois : à La Mure, à Mens, à Aoste, à Bressieux, à Charavines, à Allevard, à Saint-Chef, à Hières-sur-Amby, etc. Dans la même perspective, celle d’une écomuséologie à l’échelle d’un vaste territoire, le Musée dauphinois devient le siège d’un service au public (d’abord aux communes et à leurs élus, puis aux associations patrimoniales et aux particuliers) capable de répondre à toutes les demandes dans le domaine du patrimoine. Le rapprochement du Centre d’archéologie historique des musées de Grenoble et de l’Isère (CAHMGI) avec ses archéologues et ses architectes, autour du Musée dauphinois, permettra de remplir parfaitement ces missions, voire de lancer des inventaires systématiques du patrimoine de certains territoires. Ces travaux sur le territoire isérois prendront une grande importance, au point qu’il faudra recruter des animateurs du patrimoine pour assurer le suivi sur le terrain et la relation avec les publics. Le Musée de l’ancien Évêché, à Grenoble, sera créé en 1998 pour rendre compte au public de ce large travail. Quelque peu débordé par une telle activité extérieure, le Musée dauphinois deviendra le siège d’un nouveau service : la Conservation du patrimoine de l’Isère. Le succès de cette démarche sera tel que, au moment où le ministère de la Culture tentera de reprendre une politique de décentralisation de la gestion du patrimoine (dès l’origine vouée à l’échec, tant ce ministère ne vit que par la centralisation parisienne), c’est avec le Département de l’Isère et avec son service patrimonial (la CPI) que sera signé le protocole. L’aventure de la CPI durera une douzaine d’années, avant que le Conseil général de l’Isère ne décide de supprimer ce service à une époque où d’autres musées départementaux étaient apparus ou avaient été rénovés au fil des ans, plaçant la collectivité devant de lourdes charges, qu’elle devait assumer directement.

Le Musée dauphinois actuel

Le musée est encore aujourd'hui un lieu de découverte et de réflexion. Son équipe est toutefois moins importante. Olivier Cogne, son directeur, essaie d'interroger le rapport qu’entretiennent nos contemporains avec le patrimoine : « Égyptomania » en est l’exemple le plus récent, mais l’exposition sur Rose Valland ou sur le peuple Nunavik, ou encore « L’ivresse des sommets : eaux de vie et liqueurs des Alpes » ont la même fonction auprès des publics. La direction de la culture et du patrimoine du Département, conduit actuellement (2023) un grand projet de réserves départementales, communes aux douze musées relevant de cette collectivité. Cela implique un grand chantier des collections, incluant le récolement, la numérisation voire la restauration pour certains documents, sur lequel le Musée dauphinois est déjà engagé. En octobre 2019, à l'occasion de la célébration du 400e anniversaire de la pose de la première pierre du couvent de Sainte-Marie d’en-Haut, le président du Département de l'Isère, Jean-Pierre Barbier, annonce la réhabilitation des jardins du musée dont les travaux devraient débuter en octobre 2023. Parallèlement, il prend la décision de faire construire à Saint-Martin-d’Hères de nouvelles réserves pour le réseau des musées départementaux où seront conservées notamment les collections du Musée dauphinois[4] - [8].

Les collections et le centre de ressources documentaires

Les collections du Musée dauphinois témoignent de l'histoire des hommes et des femmes de l'ancienne province du Dauphiné et, plus largement, des Alpes françaises. Elles sont constituées de :

  • plus de 100 000 objets, depuis les premiers silex taillĂ©s de la haute prĂ©histoire au snowboard de la dernière gĂ©nĂ©ration ;
  • 160 000 photographies dont 1 000 autochromes ;
  • 22 000 documents iconographiques : dessins, estampes, affiches, cartes et plans, cartes postales ;
  • 1 400 films ;
  • 2 000 enregistrements sonores : enquĂŞtes orales sur les savoir-faire, les coutumes, les patois… ;
  • et plus de 20 000 ouvrages, anciens et rĂ©cents.

Le MusĂ©e dauphinois conserve Ă©galement les archives de l'alpiniste et gĂ©odĂ©sien, Paul Helbronner, comprenant entre autres 15 000 plaques de verre formant des tours d’horizon photographiques Ă  360° pris de tous les sommets des Alpes[9].

Les collections s'enrichissent régulièrement par des dons, des collectes, ou par de nouvelles acquisitions, comme en 2019 avec la grande huile sur toile de Théodore Ravanat, Chemin de la Grande Chartreuse par la vallée du Grésivaudan, présentée actuellement à l’entrée du musée.

Ă€ ce jour, près de 70 000 objets et documents ont Ă©tĂ© numĂ©risĂ©s.

  • Chaussures de ski alpin pour enfant, annĂ©es 1960
    Chaussures de ski alpin pour enfant, années 1960
  • Tresseurs de chanvre, photographie des frères Cristille, fin XIXe siècle
    Tresseurs de chanvre, photographie des frères Cristille, fin XIXe siècle
  • Vièle Ă  roue, XIXe siècle
    Vièle à roue, XIXe siècle
  • Collection de silex, photographie d’Hippolyte MĂĽller, dĂ©but XXe siècle
    Collection de silex, photographie d’Hippolyte Müller, début XXe siècle
  • Vue du sommet du Pelvoux (dĂ©tail), aquarelle de Paul Helbronner, vers 1900
    Vue du sommet du Pelvoux (détail), aquarelle de Paul Helbronner, vers 1900

Les expositions

Les expositions de référence

Le choix de Jean-Pierre Laurent de privilégier une dense politique d’expositions temporaires est toujours d’actualité. Ce choix s'explique en partie par les contraintes du site, en effet, difficilement accessible, il impose de rechercher et d’attirer les visiteurs. Deux expositions sont de longue durée. Elles ont pour fonction de donner une vision concise mais très documentée des sociétés installées dans les Alpes dauphinoises. La première avait été d’abord créée par Jean-Pierre Laurent sous le titre « Gens de là-haut », reprise en 1998 sous le titre « Gens de l’alpe », elle est en cours de réadaptation sous le titre « Alpins, 7 000 ans d’histoires » (ouverture en septembre 2023). La seconde a pour mission de rendre compte des usages contemporains de la montagne et des changements qu’ils ont entraînés. Sous le titre « Le rêve blanc. L’épopée des sports d’hiver dans les Alpes », elle évoque à la fois l’histoire du ski et la conquête des espaces d’altitude ; mais elle invite aussi à une réflexion sur le rôle de la montagne et des montagnards en contexte de crise écologique. Un autre espace est consacré à l’histoire de l’ancien couvent, dans un couloir desservant la chapelle[10].

Les expositions temporaires

On observe des thèmes récurrents dans les expositions temporaires :

  • le patrimoine issu de l’archĂ©ologie rĂ©gionale, prĂ©historique ou historique : « Premiers alpins » ; « Nos villages ont cinq mille ans » ; « Premiers princes celtes » » ; « Chevaliers de l’an mil »
  • le patrimoine industriel : « CathĂ©drales Ă©lectriques » ; « Les MaĂ®tres de l’acier » ; « Fait main. Quand Grenoble gantait le monde »
  • le patrimoine dit immatĂ©riel : « Inventer le monde, les RhĂ´nalpins et leurs langages » ; « Peurs bleues, l’enfant et les croque-mitaines » ; « L’ivresse des sommets. Eaux de vie et autres breuvages des Alpes »
  • l’art : « Rose Valland. En quĂŞte de l’art spoliĂ© », « Bretelles et fibulation », « Art et science »,

On note aussi un intérêt particulier pour les communautés d’origine immigrée faisant partie intégrante de la culture régionale ainsi que des thèmes « sociétaux » ayant fait l’objet d’expositions et de publications : « La Différence » (avec le Musée d’ethnographie de Neuchâtel et le Musée de la Civilisation de Québec) ; « Les Millénaires de Dieu » ; « Rester libres ! » [10]

Expositions temporaires depuis 1990

  • Hymne au parfum (janvier 1990 - fĂ©vrier 1990)
  • Pays, paysans, paysages du Vercors (mai 1990 - septembre 1990)
  • Inventer le monde. Les rhĂ´nalpins et leurs langages (mai 1990 - novembre 1991)*
  • Bijoux berbères du Maroc. Traditions juives et arabes, au creuset du monde berbère (octobre 1990 - mars 1991)
  • GaĂ«tan Gatian de ClĂ©rambault. Psychiatre et photographe (octobre 1990 - dĂ©cembre 1990)
  • Premiers princes celtes (novembre 1990 – aoĂ»t 1991)
  • MĂ©dinas et ksours. Une culture millĂ©naire (fĂ©vrier 1991 – mars 1991)
  • Les champs de la ville. Grenoble et ses campagnes (mai 1991 – juin 1993)
  • IcĂ´nes roumaines sur verre. Art sacrĂ© populaire des Modèle:S2-XVIII (dĂ©cembre 1991 - avril 1992)
  • PrĂ©sentation de l'automate « Les joueurs de cartes » (dĂ©cembre 1991 - janvier 1992)
  • Passion bergers, cloches et sonailles. Usages et fabrication (mars 1992 - juin 1992)
  • Homo turisticus. Cent ans de tourisme ordinaire en montagne (mai 1992 - dĂ©cembre 1992)
  • L'homme et les alpes (octobre 1992 - janvier 1993)
  • Des grecs. Les grecs de Grenoble. Les costumes de la Grèce traditionnelle (mars 1993 - janvier 1994)*
  • Le temps des rafles (avril 1993 - juin 1993)
  • Les annĂ©es noires. La rĂ©pression Ă  Grenoble durant l'occupation (avril 1993 - janvier 1994)
  • Tibet en exil. Le DalaĂŻ Lama et le bouddhisme tibĂ©tain (octobre 1993 - janvier 1994)
  • Potiers en Isère. XIXe-XXe siècles (octobre 1993)
  • Chevaliers paysans de l'an mil au lac de Paladru (octobre 1993- mai 1996)
  • Le cinĂ©ma Ă  cent ans ! Cent ans de cinĂ©ma en Isère (avril 1994 - octobre 1994)*
  • Le balcon de Belledonne. Photographies de Francis Helgorsky (juin 1994 - janvier 1995)
  • Patrimoine en Isère. Pays de Vizille (octobre 1994 - dĂ©cembre 1994)
  • Hommage aux paysans de montagne. Photographies de Jean-Pierre Bonfort (avril 1995 - septembre 1995)
  • Nos villages ont cinq mille ans (juin 1995 - octobre 1995)
  • Premiers alpins. Des derniers chasseurs de la prĂ©histoire aux premiers paysans (septembre 1995 - janvier 1997)
  • Patrimoine en Isère. Pays de Domène (dĂ©cembre 1995 - janvier 1996)
  • L'image de l'autre dans la photographie. L'immigration en France vue par 45 photographes (fĂ©vrier 1996 - avril 1996)
  • La diffĂ©rence. Trois musĂ©es. Trois regards (fĂ©vrier 1996 - octobre 1996)
  • Les maĂ®tres de l'acier. Histoire du fer dans les alpes (octobre 1996 - dĂ©cembre 1998)
  • Patrimoine en Trièves (fĂ©vrier 1997 - mai 1997)
  • D'Isère et d'ArmĂ©nie. Histoire d'une communautĂ© (avril 1997 - juin 1999)*
  • Épreuves d'ArmĂ©nie. Photographies de Guy Martin-Rave (avril 1997 - juin 1999)
  • Hache. ÉbĂ©nistes Ă  Grenoble (octobre 1997 - mars 1999)
  • Entre l'eau et la lumière. Les hommes de l'hydraulique. Une crĂ©ation photographique de Anne-Marie Louvet (dĂ©cembre 1997 - avril 1998)
  • Les alpes Ă  l'affiche (novembre 1998 - janvier 1999)
  • Corps de classe. Une crĂ©ation photographique de Catherine Poncin (mars 1999 - octobre 1999)
  • Patrimoine en Chambaran (dĂ©cembre 1999 - mars 2000)
  • Racines (juin - dĂ©cembre 2000)
  • Pour que la vie continue - D'Isère et du Maghreb, mĂ©moires d'immigrĂ©s (octobre 1999 - dĂ©cembre 2000)*
  • Peurs bleues. L'enfant et les croquemitaines (avril 2000 - avril 2001)
  • Les millĂ©naires de Dieu. Une vielle histoire pleine d'avenir(novembre 2000 - dĂ©cembre 2001)*
  • Patrimoine en Oisans (octobre 2001 - dĂ©cembre 2001)
  • Potiers et faĂŻenciers en DauphinĂ© (octobre 2001 - janvier 2003)
  • Les gĂ©ographes inventent les Alpes. Deux siècles de gĂ©ographie alpine (dĂ©cembre 2001 - janvier 2003)
  • Martinotto frères. Photographes Ă  Grenoble (juin 2002 - janvier 2003)
  • Les Alobroges. Gaulois et Romains du RhĂ´ne aux Alpes (octobre 2002 - septembre 2003)*
  • Art post'alpe. La correspondance de 200 artistes postaux autour du bestiaire alpin (janvier - mars 2003)
  • Transhumance. ÉtĂ© 1951. Sur la route des alpages (mars - juillet 2003)*
  • Français d'Isère et d'AlgĂ©rie (mai 2003 - septembre 2004)*
  • Un air de famille. Berriat Ă  Grenoble, TevĂ©záros Ă  Budapest. Deux quartiers de villes en changement (octobre 2003 - mars 2004)*
  • Patrimoine en Isère / Pays de Roussillon (dĂ©cembre 2003 - juin 2004)
  • Hippolyte MĂĽller. Aux origines de la prĂ©histoire alpine (mai 2004 - mai 2006)*
  • TrĂ©sors d'Égypte. La « Cachette » de Karnak (septembre 2004 - janvier 2005), exposition-hommage Ă  Georges Legrain Ă  l'occasion du IXe congrès international d'Ă©gyptologie.*
  • Germaine Tillion. ItinĂ©raire et engagements d'une ethnologue (fĂ©vrier - mai 2005)
  • Louis Mandrin. Malfaiteur ou bandit au grand cĹ“ur ? (mai 2005 - mars 2006)*
  • Papetiers des alpes. Six siècles d'histoire. (octobre 2005 - juillet 2007)*
  • Le monde n'est pas un panorama (avril - juin 2006)*
  • Le MusĂ©e dauphinois a cent ans ! (octobre 2006 - juin 2008)
  • ĂŠtres fantastiques. De l'imaginaire alpin Ă  l'imaginaire humain (octobre 2006 - juin 2008)*
  • Rester Libres ! Les expressions de libertĂ©. Des allobroges Ă  nos jours (juin - septembre 2007)*
  • Contez les boutons - Installation - ÉvĂ©nement (juin - septembre 2007)
  • EugĂ©nie Goldstern 1884-1942. ĂŠtre ethnologue juive dans l’Europe alpine des deux guerres (novembre 2007 - juin 2008)*
  • Premiers bergers des Alpes. De la prĂ©histoire Ă  l'AntiquitĂ© (avril 2008 - juin 2009)*
  • ĂŠtre ouvrier en Isère. XVIIIe – XXIe siècle (octobre 2008 - janvier 2010)*
  • Rompre le silence. MĂ©moires de chĂ´meurs et prĂ©caires en Isère. 1975-2008 (novembre 2008 - janvier 2009)
  • Habiter (avril 2009 - juin 2010)*
  • TibĂ©tains. Peuple du monde (octobre 2009 - janvier 2011)*
  • Matrice (mai - septembre 2010)
  • Vaucanson et l’homme artificiel. Des automates aux robots (avril 2010 - juin 2011)*
  • Sur les bords de la rivière Sangha (fĂ©vrier 2011)
  • Les anneaux de la mĂ©moire (avril 2011)
  • DĂ©sert en fĂŞte (juin - aoĂ»t 2011)
  • Ce que nous devons Ă  l'Afrique (octobre 2010 - janvier 2012)*
  • Hannibal et les Alpes. Une traversĂ©e, un mythe (avril 2011 - juillet 2012)*
  • Un air d'Italie. La prĂ©sence des Italiens en Isère (novembre 2011 - janvier 2013)*
  • CĹ“ur d'ouvriers. Un travail photographique de Bernard Ciancia (dĂ©cembre 2011 - septembre 2012)*
  • Voyage dans ma tĂŞte. La collection d'Antoine de Galbert (mars - juillet 2012)*
  • L'Isère en relief. Les maquettes monumentales des fortifications de Grenoble et de Fort Barraux (octobre 2012 - janvier 2013)*
  • Chambre noire pour amateurs Ă©clairĂ©s. Collection photographique Flandrin (novembre 2012 - septembre 2013)*
  • Angèle, Suzanne, Martine et moi... (septembre 2013 - janvier 2014)
  • Bretelles et fabulations (fĂ©vrier - juin 2014)*
  • Les dessous de l'Isère. Une histoire de la lingerie fĂ©minine (mars 2013 - septembre 2014)*
  • Caractères d'altitude. Portraits sonores et photographiques des Écrins (co-production avec le Parc national des Écrins et le Centre de l'oralitĂ© alpine - Conseil gĂ©nĂ©ral des Hautes-Alpes) (octobre 2013 - mai 2014)*
  • Voir midi Ă  sa porte. Cadrans solaires de l'Isère (dĂ©cembre 2013 - janvier 2015)
  • Ă€ l'arrière comme au front. Les IsĂ©rois dans la Grande Guerre (mars 2014 - juin 2015)*
  • [K]rânes42. La catacombe artistique (dĂ©cembre 2014 - dĂ©cembre 2015)*
  • Confidences d'outre-tombe. Squelettes en question (dĂ©cembre 2014 - janvier 2016)*
  • Premières couleurs. La photographie autochrome (mai - septembre 2015)*
  • Grenoble 1925, La grande mutation (dĂ©cembre 2015 - septembre 2016)*
  • Tsiganes. La vie de bohème ? Six siècles de prĂ©sence en Isère (octobre 2015 - janvier 2017)*
  • Nunavik. En terre Inuit (mars 2016 - janvier 2017)*
  • Portrait large. Paysages sensibles du Pays voironnais. Photographes de Thierry Bazin (octobre 2016 - fĂ©vrier 2017)
  • Life. Affiches de Kazumasa Nagai (novembre 2016 - janvier 2017)
  • Si on chantait ! La La La La ... (dĂ©cembre 2016 - janvier 2018)*
  • Alpes lĂ  ! (mars - octobre 2017)
  • Lesdiguières, le prince oubliĂ© (octobre 2017 - juillet 2018)
  • Pop en France. Portraits d'artistes 1967-2017 (novembre 2017 - juin 2018)
  • Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changĂ© l'Isère (fĂ©vrier 2018 - octobre 2019)*
  • Des samouraĂŻs au kawaii. Histoire croisĂ©e du Japon et de l’Occident (octobre 2018 - juin 2019)*
  • L'ivresse des sommets. Eaux-de-vie, liqueurs et autres breuvages des Alpes (mars 2019 - novembre 2020)*
  • Enclosed, Tony Manent (juin - dĂ©cembre 2019)*
  • Rose Valland. En quĂŞte de l'art spoliĂ© (novembre 2019 - juin 2020)
  • Refuges alpins. De l'abri de fortune au tourisme d'altitude (juin 2020 - juin 2021)
  • RĂ©sidences photographiques/ KĂ©dougou [SĂ©nĂ©gal] 2020-2021 (mai 2021 - dĂ©cembre 2021)
  • L'Homme et la forĂŞt en Isère. Enjeux d'hier et d'aujourd'hui (septembre 2021 - Janvier 2022)
  • Art et science (novembre 2021 - novembre 2022)
  • Fait main. Quand Grenoble gantait le monde (mars 2022 - mars 2023)*
  • Égyptomania (novembre 2022 - novembre 2023)*
[réf. nécessaire]
  • Confidences d'outre-tombe. Squelettes en question
    Confidences d'outre-tombe. Squelettes en question
  • Nunavik. En terre Inuit
    Nunavik. En terre Inuit
  • Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changĂ© l'Isère
    Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changé l'Isère
  • Des samouraĂŻs au kawaii. Histoire croisĂ©e du Japon et de l'Occident
    Des samouraïs au kawaii. Histoire croisée du Japon et de l'Occident
  • L'ivresse des sommets. Eaux-de-vie, liqueurs et autres breuvages des Alpes
    L'ivresse des sommets. Eaux-de-vie, liqueurs et autres breuvages des Alpes
  • Rose Valland. En quĂŞte de l'art spoliĂ©
    Rose Valland. En quête de l'art spolié
  • Refuges alpins. De l'abri de fortune au tourisme d'altitude
    Refuges alpins. De l'abri de fortune au tourisme d'altitude
  • RĂ©sidences photographiques / KĂ©dougou [SĂ©nĂ©gal]
    Résidences photographiques / Kédougou [Sénégal]
  • Fait main. Quand Grenoble gantait le monde
    Fait main. Quand Grenoble gantait le monde
  • Egyptomania
    Egyptomania

Expositions temporaires avant 1990

Éditions

La revue Le Monde alpin et rhodanien

Revue régionale d'ethnologie, Le Monde alpin et rhodanien a publié, entre 1973 et 2006, deux à quatre numéros par an d'études et d'articles sur les pays du grand sud-est, autour des Alpes et du Rhône, du Lyonnais à la plaine du Pô et du Léman à la Camargue. Fondée en 1973 par Charles Joisten, la revue est éditée par le Centre alpin et rhodanien d’ethnologie (CARE), association dont le siège est au Musée dauphinois. Le CARE publie aussi une collection d'ouvrages : les Documents d'ethnologie régionale. La mémoire et le patrimoine culturel sont parmi les thèmes privilégiés d'une large approche des communautés rurales ou urbaines, anciennes ou contemporaines, et des hommes de cette région. Une telle réflexion sur les racines des cultures régionales engage de nombreuses disciplines. Sont ainsi étudiés : les croyances, les rites et des coutumes ; la langue, la littérature orale et la chanson ; les arts populaires, les modes de vie et les comportements. Ethnologues, historiens et linguistes collaborent étroitement au sein de l'équipe rédactionnelle. Mais la parole est souvent donnée à ceux, témoins directs, autodidactes de l'histoire ou de l'ethnologie, qui peuvent apporter sur les multiples facettes du monde traditionnel le témoignage irremplaçable du vécu. Pour le Musée dauphinois, dont une partie de l'équipe collaborait à la revue, cette édition constituait un outil de diffusion scientifique de première importance[5].

La revue L'Alpe

Proposée par André Pitte dans les années 1990, et née de l'amitié qui le liait tant à Jacques Glénat qu'à Jean Guibal, alors directeur du musée dauphinois, la revue L'Alpe connait une parution trimestrielle depuis 1998. « Elle s'intéresse à ces hommes qui, de la Provence à l'Autriche, des Alpes helvétiques à la Slovénie, ont su s'acclimater à un environnement exceptionnel et se servir de la montagne pour écrire une histoire faite d'échanges, de migrations et d'ouvertures. » Fondé sur un savoir rigoureux, L'Alpe n'est pas pour autant une revue savante. Elle utilise les apports de l'histoire, de la géographie, de l’archéologie, de l'ethnologie, de la littérature, etc. pour répondre à l'attente de publics de plus en plus nombreux, en quête d'émotion culturelle. « Basée au Musée dauphinois, l'équipe rédactionnelle de L'Alpe profite du réseau de relation du musée et de ses ressources documentaires. » L'Alpe participe, en contrepartie, au rayonnement euro-alpin du Musée dauphinois[5].

La collection « Les Patrimoines »

Publiée par le quotidien régional Le Dauphiné libéré (dont l’aire de diffusion recouvre la plus grande partie des Alpes françaises, mais aussi le nord de l’Isère, la Drôme, l’Ardèche, etc.) cette collection a pour ambition de porter jusqu’au plus large public les éléments majeurs du patrimoine régional. Les sites culturels les plus fréquentés, les personnages historiques célèbres, les villes de la région, les produits de terroir, etc., font l’objet d’une présentation à la fois concise (les ouvrages comptent 50 pages) et parfaitement informée (ce sont toujours des spécialistes qui sont chargés de l’écriture des textes). Le succès d’une telle collection tient dans ces caractères majeurs mais aussi dans la parfaite lisibilité et la qualité de l’iconographie de ces petits livres. Plus d’une centaine d’ouvrages ont déjà été édités depuis 1998 ; et plus d’un million d’exemplaires qui ont été vendus. Un tel outil de diffusion, que seul peut assurer un grand quotidien régional, est parfaitement complémentaire des missions d’un musée de patrimoine régional tel que le Musée dauphinois.

Fréquentation

Évolution de la fréquentation du Musée dauphinois

Nombre de visiteurs par année au Musée dauphinois
Année 20002001200220032004200520062007200820092010 2011
Nombre de visiteurs 49432502674958041698107398523445351648313451645720565826 62304
Année 20122013201420152016201720182019202020212022
Nombre de visiteurs 9299767629610026375274514598958419477097304882891567071

Les conservateurs

Conservateurs directeurs Années
Hippolyte MĂĽller 1906 - 1933
Joseph Colomb[11] 1933 - 1952
Victor Piraud 1952 - 1955
Joseph Laforge 1955 - 1966
Marcel Boulin[12] 1966 - 1969
Michel Colardelle 1969 - 1970
Marcel Maget 1970
Jean-Pierre Laurent[13]
Jean Guibal 1986 - 2000
Jean-Claude Duclos[14] 2000 - 2011
Jean Guibal 2011 - 2016
Olivier Cogne 2016 - actuel
Autres conservateurs
Charles Joisten 1970 - 1981
Annie Bosso 1978 - 1994
Michel Hue 1992
Chantal Spillemaecker 1982 - 2017
Jean-Pascal Jospin 1983 - 2020
Isabelle Lazier 1985 - 2005
Franck Philippeaux 1999 - actuel
Valérie Huss 2000 - 2015

Accès

  • En transports en commun, par la ligne 40.
  • En voiture, par la rue Maurice-Gignoux dĂ©bouchant sur le quai Perrière. La rue Maurice-Gignoux rendant hommage au gĂ©ologue Maurice Gignoux est la seule rue en pente naturelle de la ville de Grenoble.
  • Ă€ pied, par la montĂ©e de Chalemont, dĂ©marrant place de la Cymaise, en face du pont Saint-Laurent dans le quartier Saint-Laurent.

Notes et références

  1. petit-bulletin.fr du 22 novembre 2016, Olivier Cogne, du Musée de la Résistance au Musée dauphinois.
  2. [PDF] pro.isere-tourisme.com 2018
  3. Notice no PA00117195, base Mérimée, ministère français de la Culture
  4. Jean-Claude Impr. Les Deux-Ponts), Cent ans : [Musée dauphinois, 1906-2006], Musée dauphinois, (ISBN 2-905375-89-2 et 978-2-905375-89-6, OCLC 421973113, lire en ligne)
  5. Duclos 2006.
  6. Mireille, ... Gansel et Impr. des Deux-Ponts), Et l'homme se retrouve! : cheminements muséographiques : entretiens avec Mireille Gansel, Musée dauphinois, (ISBN 978-2-35567-020-6 et 2-35567-020-X, OCLC 470692780, lire en ligne)
  7. Laurent Jean-Pierre, ... Et l'homme se retrouve ! Cheminements Muséographiques, Ed. Musée dauphinois, Département de l'Isère, Grenoble, 2008
  8. « Grenoble. Musée dauphinois : une impressionnante opération de traitement des collections », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. glenatlivres.com
  10. « Liste des expositions - Portail des Musées », sur isere.fr (consulté le ).
  11. Jean-Claude Duclos, « Hippolyte Müller et le Musée Dauphinois », Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie,‎ (lire en ligne).
  12. Michel Colardelle, « Marcel Boulin, refondateur du Musée Dauphinois », Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie,‎ (lire en ligne).
  13. « Décès de Jean-Pierre Laurent, conservateur emblématique du Musée dauphinois » [archive du ], sur Actu Montagne, .
  14. Jean-Claude Duclos, « De l’immigration au Musée dauphinois », Hommes & migrations [En ligne], 1297 | 2012, mis en ligne le 31 décembre 2014, consulté le 16 novembre 2019. URL : http://journals.openedition.org/hommesmigrations/1551 ; DOI : 10.4000/hommesmigrations.1551

Voir aussi

Bibliographie (par ordre alphabétique d'auteur)

  • Antzamidakis ÉloĂŻse, Huss ValĂ©rie, La bibliothèque d’Etienne May, un fonds d’exception au MusĂ©e dauphinois, in Regards sur les Alpes : 100 livres d’exception 1515-1908 [exposition]. Éd. du Mont-Blanc, 2011, p. 8.
  • Antzamidakis ÉloĂŻse, avec la contribution de Huss ValĂ©rie, La phonothèque du MusĂ©e dauphinois : Ă©volution, questions de droits et mĂ©thodologie envisagĂ©e, in Photo son et vidĂ©o dans les musĂ©es – Questions de droit et mĂ©thodes, Ă©d. Association gĂ©nĂ©rale des conservateurs des collections publiques de France PACA, pp. 86–92, 2011.
  • Jean-Claude Duclos, Cent ans, Grenoble, Ed. MusĂ©e dauphinois, (ISBN 2-905375-89-2).
  • Fau Élise, Huss ValĂ©rie, Le fonds Helbronner au MusĂ©e dauphinois, in Les Alpes d’Helbronner, mesures et dĂ©mesure. Éd. GlĂ©nat, 2015, pp. 10–11.
  • Huss ValĂ©rie (dir.), Martinotto Frères, photographes Ă  Grenoble [exposition]. Ed. Conseil gĂ©nĂ©ral de l'Isère - MusĂ©e dauphinois, 2002, 120 p.
  • Huss ValĂ©rie (dir.), Louis Mandrin, malfaiteur ou bandit au grand cĹ“ur ? [exposition]. Ed. Conseil gĂ©nĂ©ral de l'Isère - MusĂ©e dauphinois, 2005, 144 p.
  • Huss ValĂ©rie, Blumenfeld-Chiodo ZoĂ© (dir.), Chambre noire pour amateurs Ă©clairĂ©s. Photographies de la collection Flandrin [exposition]. Ed. Conseil gĂ©nĂ©ral de l'Isère - MusĂ©e dauphinois, 2012, 104 p.
  • Huss ValĂ©rie, Le MusĂ©e dauphinois pendant la Grande Guerre, in A l’arrière comme au front, les IsĂ©rois dans la Grande Guerre [exposition]. Éd. Conseil gĂ©nĂ©ral de l’Isère – MusĂ©e dauphinois, 2014, p 133.
  • Huss ValĂ©rie (dir.), Premières couleurs. La photographie autochrome. Ed. DĂ©partement de l'Isère - MusĂ©e dauphinois, 2015, 120 p.
  • Jospin Jean-Pascal (dir.), Hippolyte MĂĽller, Aux origines de la PrĂ©histoire alpine, , Ed. DĂ©partement de l'Isère - MusĂ©e dauphinois, 2004 (ISBN 2-905375-61-2)
  • Laurent Jean-Pierre - Entretiens avec Mireille Gansel, ...Et l'Homme se retrouve, Cheminements MusĂ©ographiques, Ed. DĂ©partement de l'Isère - Coll. MusĂ©e dauphinois, 2008 (ISBN 978-2-35567-020-6)
  • Spillemaecker Chantal, Sainte-Marie d’en-Haut Ă  Grenoble. Quatre siècles d’histoire. Ed. DĂ©partement de l'Isère - MusĂ©e dauphinois, 2010 (ISBN 978-2-35567-041-1)

Annexes

Articles connexes

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