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Saint-VĂ©ran

Saint-Véran (en occitan Sant-Veran ou Sent-Veran, prononcé localement San-Vran) est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont les Saint-Vérannais.

Saint-VĂ©ran
Saint-VĂ©ran
Saint-VĂ©ran en hiver.
Blason de Saint-VĂ©ran
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Hautes-Alpes
Arrondissement Briançon
Intercommunalité Communauté de communes du Guillestrois et du Queyras
Maire
Mandat
Mathieu Antoine
2020-2026
Code postal 05350
Code commune 05157
DĂ©mographie
Population
municipale
171 hab. (2020 en diminution de 31,33 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 3,8 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 42′ 03″ nord, 6° 52′ 06″ est
Altitude Min. 1 756 m
Max. 3 175 m
Superficie 44,75 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Guillestre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-VĂ©ran
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Saint-VĂ©ran
Liens
Site web page officielle

    GĂ©ographie

    Vue de Saint-VĂ©ran
    Vue de Saint-VĂ©ran depuis la tĂŞte de la Cula.

    Cette commune des Hautes-Alpes d’environ 200 habitants est entièrement située dans le parc naturel régional du Queyras.

    Le centre du village (Ă©glise) est situĂ© Ă  2 042 m d'altitude et Saint-VĂ©ran est parfois qualifiĂ©e comme Ă©tant « la plus haute commune d'Europe »[1].

    Cependant Tignes, commune situĂ©e en Savoie, a un clocher Ă  1 790 m, mais la mairie, ainsi que sa seconde Ă©glise, se trouvent Ă  2 100 m dans la station de ski construite Ă  partir des annĂ©es 1950. Saint-VĂ©ran est Ă©galement prĂ©cĂ©dĂ© par Juf en Suisse (2 133 m) et Trepalle en Italie (2 069 m), mais ce sont des localitĂ©s dĂ©pendant de communes dont le bourg principal est plus bas dans la vallĂ©e.

    La devise ne porte pas seulement sur l'altitude à proprement parler, mais aussi sur la relation entre l'altitude et la culture du seigle, servant à faire le pain. Dans l'esprit des anciens habitants, Saint-Véran est le plus haut village où se mange le pain fait avec les céréales cultivées dans les champs alentour : « Lou plus aouto coumunoutas inte se mangeu lou pan de Diou » (« La plus haute commune où l'on mange le pain de Dieu » — inscription sur le cadran solaire sur le mur de l'église). Cependant, depuis les inondations de 1957 qui ont détruit les canalisations amenant l'eau au moulin, ce moulin n'existe plus et la farine n'est plus produite à Saint-Véran. La culture du seigle s'est aussi arrêtée après 1957.

    L'altitude minimale de la commune est de 1 756 m et son altitude maximale de 3 175 m. Les communes de Saint-Gervais-les-Bains et de Chamonix en Haute-Savoie, qui ont en commun le sommet du mont Blanc sur leur territoire, culminent en consĂ©quence Ă  4 810 m, mais leur centre est plus bas que celui de Saint-VĂ©ran. La station de sports d'hiver de Val Thorens, situĂ©e Ă  2 300 m sur la commune de Saint-Martin-de-Belleville, est probablement la localitĂ©, habitĂ©e Ă  l'annĂ©e, la plus Ă©levĂ©e des Alpes françaises.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Véran est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 0,7 % 31
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 3,0 % 132
    Forêts de conifères 12,9 % 577
    Pelouses et pâturages naturels 50,1 % 2243
    Forêt et végétation arbustive en mutation 1,5 % 68
    Roches nues 20,5 % 917
    Végétation clairsemée 11,3 % 505
    Source : Corine Land Cover[7]

    L'occupation des sols met en évidence la prédominance des alpages sur la forêt et les espaces ouverts avec peu ou sans végétation. Ceux-ci occupent la moitié du territoire.

    Toponymie

    Rentrée des transhumants de la Tête-de-Longet, carte postale du début du XXe siècle.

    Sant Veran en occitan, doit son nom à l'un des deux évêques qui furent canonisés : Véran de Cavaillon († 589), ou Wrain latinisé en Veranus ou Uranus, évêque de Cavaillon, fêté le 19 octobre et Véran de Vence († 449), évêque de Vence.

    Les bergers de ce territoire se placèrent, ainsi que leurs troupeaux, sous la protection de saint Véran, le protecteur des bergers et de leurs troupeaux.

    Histoire

    Des mines de cuivre étaient exploitées dès l’âge du bronze (IIe millénaire av. J.-C.) sur le territoire de la commune[8]. La bornite y était extraite : certaines excavations y sont encore visibles (comme la Tranchée des Anciens)[9], ou des entrées de galeries, beaucoup plus récentes.

    Le village alpin reconstitué à Grenoble en 1925, lors de l'Exposition internationale de la houille blanche.

    La légende de saint Véran de Cavaillon raconte que l'évêque de Cavaillon, né dans le Gévaudan au VIe siècle, blessa un dragon[10] qui ravageait la région de Cavaillon, dans le Sud du département du Vaucluse, et le chassa en lui ordonnant d'aller mourir dans les Alpes. Ce Coulobre, saignant lors de sa retraite, a laissé tomber des gouttes de sang ; d'où la présence en France d'autres villages nommés Saint-Vérand, dans le Vaucluse, l'Isère et le Rhône.

    Une grande partie de la population fut protestante et avait fui les persécutions comme l'attestent le temple et les versets bibliques inscrits au-dessus des portes.

    Autrefois, le village avait une activité artisanale importante : vannerie, outillage, ébénisterie, charpentes et agricole, élevage (chèvres, vaches). Il avait aussi une activité de production d'ardoises dans des galeries creusées dans la falaise.

    En 1925, le village est choisi pour être reconstitué lors de l'exposition internationale de la houille blanche qui se déroule à Grenoble.

    Les producteurs de l'émission de France 3, C'est pas sorcier y ont tourné deux éditions pour Noël 1995 et pour le réveillon 1996.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1983 André Lantier
    Pierre Marrou ébéniste
    2001 Jean-Pierre Weber hĂ´telier
    mars 2001 août 2006 Jean-Marc Plichon
    août 2006 mars 2008 Jacqueline Turina
    mars 2008 juin 2020 Danielle Guignard[11] DVD
    juillet 2020 En cours
    (au 15 septembre 2020)
    Mathieu Antoine

    Intercommunalité

    Saint-VĂ©ran fait partie :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13].

    En 2020, la commune comptait 171 habitants[Note 2], en diminution de 31,33 % par rapport Ă  2014 (Hautes-Alpes : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    724520562640800831874842839
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    748751740668641639664633598
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    579536539451404422412379255
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    236220232275257267290286257
    2015 2020 - - - - - - -
    236171-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee Ă  partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les élèves commencent leur scolarité à l'école primaire de Saint-Véran, qui accueille 25 élèves. Elle dépend de l'académie Aix-Marseille[16]. Ils poursuivent leur étude au collège de Guillestre[17].

    Sports

    Comme de nombreux villages des Alpes, les sports d'hiver sont présents à Saint-Véran, avec la présence d’équipements spécifiques et pistes[18]. Le sport est également praticable l'été, notamment avec des activités d'accrobranches, ou de multiples sports proposés par l'UCPA[19].

    Cultes

    Les membres de l'église catholique disposent de plusieurs lieux de culte, dont l'église paroissiale. Des messes sont également célébrées dans les chapelles de la commune[20]. La paroisse dépend du diocèse de Gap et d'Embrun.

    Les membres de l'Ă©glise protestante unie de France disposent d'un temple Ă  Villar-Saint-Pancrace, le plus proche de Saint-VĂ©ran[21].

    Économie

    Comme de nombreux villages alpins, Saint-VĂ©ran s'est peu Ă  peu mĂ©tamorphosĂ© au cours du XXe siècle grâce au tourisme. C'est ainsi une station de sports d'hiver familiale qui peut accueillir environ 1 800 personnes. En dĂ©cembre 2012, l'ouverture d'un complexe hĂ´telier (HĂ´tel Alta Peyra) sur les hauteurs du village a suscitĂ© quelque polĂ©mique, tant le projet Ă©tait ambitieux (59 chambres, hĂ´tel 4 Ă©toiles avec spa, prestations très haute gamme). NĂ©anmoins, il a dynamisĂ© l'Ă©conomie touristique et crĂ©Ă© une quarantaine d'emplois.

    De nombreux commerces restent installés, dans la commune, tant en termes d'épiceries, que d'artisanat, ou services à la personne ou aux touristes[22] - [23]. Cinq restaurateurs sont installés sur la commune[24].

    Au niveau agricole, la commune fait partie de la zone d’appellation de l'agneau de Sisteron, ainsi que de plusieurs IGP viticoles, notamment les vins Hautes-alpes (IGP)[25].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Porche d'entrée de l'église Saint-Véran.

    L'église paroissiale Saint-Véran[26], classée monument historique, est située dans le centre du village ; à l'extérieur, on retrouve des lions sculptés dont l'un tenant entre ses pattes un enfant. À l’intérieur de l'édifice, différentes statues en bois sculptées par les habitants du village représentent certains saints ; une crèche en bois datant des années 1950 a été réalisée par les habitants du village, chaque famille ayant réalisé une pièce. L'église est entourée du cimetière dans lequel reposent les Saint-Vérannais de confession catholique. Les habitants de confession protestante reposent quant à eux dans un cimetière situé dans le hameau du Raux.

    On trouve dans le village une vingtaine de cadrans solaires muraux qui datent de la Renaissance. Un cadran solaire réalisé par le peintre Zarbula, en 1840, sur une maison du quartier des Forannes[27] a été inscrit en 1996 sur l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques.

    Un observatoire astronomique a Ă©tĂ© crĂ©Ă© en 1974, Ă  3 000 mètres d'altitude et est, depuis 1990, mis Ă  disposition des astronomes amateurs, et au public, pour visite, depuis aoĂ»t 2015. L'association gestionnaire du site, Association Astroqueyras, propose rĂ©gulièrement un calendrier de manifestations et visites[28].

    Temple de Saint-VĂ©ran.

    Le village possède une église réformée[29] (temple protestant). L'ancien temple avait été détruit à la suite de l'édit de Fontainebleau, en 1685. Le temple actuel a été construit en 1804. Le clocher date de 1843.

    La municipalité, avec l'aide des habitants du village et la fondation du patrimoine, a entrepris pendant plus de deux ans la rénovation des chapelles du village dont la superbe chapelle de Clausis située dans le fond de la vallée de la Blanche. Les chapelles sont ouvertes une fois par semaine au public durant la période estivale.

    À La Chalp, on peut voir l'église paroissiale Sainte-Agathe[30]. Elle a été reconstruite vers 1845 à la suite d'une inondation.

    Musée « Le Soum ».

    À visiter également, un musée de la vie paysanne du XIXe au XXe siècle, dans une vieille fuste, le musée « Le Soum »[31]. La maison a été construite en 1641. Elle a été achetée en 1993 par des personnes nées à Saint-Véran collectionneurs d'objets de la vie quotidienne et du travail de la terre dans les montagnes du Queyras. Elle permet de voir l'organisation d'une maison-ferme où vivaient hommes et bêtes en autarcie pendant les longs mois d'hiver.

    Les maisons traditionnelles saint-vĂ©rannaises ont un plan particulier adaptĂ© Ă  la vie montagnarde. Le rez-de-chaussĂ©e est construit en murs de pierre de 50 Ă  70 cm d'Ă©paisseur. La partie supĂ©rieure appelĂ©e « fuste » est faite en troncs d'arbres empilĂ©s croisĂ©s aux angles et toit de bardeaux en mĂ©lèze. Le bâtiment est reliĂ© Ă  un plus petit en pierres couvert de lauzes appelĂ© « caset ». Hommes et bĂŞtes accĂ©daient au rez-de-chaussĂ©e par une porte Ă  double-battants. On trouve Ă  cet Ă©tage :

    Croix de mission.
    • la fougagno, ou cuisine ;
    • la carotto, ou cave ;
    • le peil, pièce voĂ»tĂ©e placĂ©e contre le mur de la fougagno oĂą est placĂ© l'âtre ;
    • l'Ă©table ou l'Ă©curie, qui est une pièce commune aux hommes et aux bĂŞtes. La table, les chaises et le lit clos Ă©taient placĂ©s près de la fenĂŞtre et les hommes profitaient de la chaleur animale. Les bĂŞtes se trouvaient au fond de la pièce.

    Saint-Véran possédait six croix de mission[32]. Une croix était dressée à chaque passage d'un missionnaire venant apporter la bonne parole aux paroissiens. Chacune des croix portait les symboles de la Passion du Christ.

    Saint-VĂ©ran dans les beaux-arts

    Le peintre français Charles-Henri Contencin (1898-1955) a réalisé un tableau nommé St Véran[33].

    Personnalités liées à la commune

    • Claude Roberjot, curĂ© de Saint-VĂ©ran au moment de la RĂ©volution, Ă©lu le 15 mai 1791 curĂ© constitutionnel de Saint-Pierre de Mâcon, membre du Conseil des Cinq-Cents Ă  compter du 27 octobre 1795[34].

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-VĂ©ran Blason
    De sinople à l'aigle de sable*, lampassée et membrée de gueules[35].
    DĂ©tails
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Page 505, chapitre Hautes Alpes, France, Collection Guide vert, Ă©diteur Le Michelin, 2009.
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur Corine Land Cover, (consulté le ).
    8. Claude Gouron (photographe), Hélène Vésian (auteur), Serre-Ponçon : voyage photographique au confluent de l’Ubaye et de la Durance, Le Pontet : Éditions Barthélemy et Hangar, 2004. (ISBN 2-87923-165-5), p. 41.
    9. [PDF]David Bourgarit, Pierre Rostan, Laurent Carozza, Benoît Mille et Gilberto Artioli, « Vingt ans de recherches à Saint-Véran, Hautes Alpes: état des connaissances de l’activité de production de cuivre à l’âge du Bronze ancien », Trabajos de Prehistoria, no 2,‎ , p. 269-285 (ISSN 0082-5638, lire en ligne)
    10. Guillaume Oudaer, avec la collaboration de Dominique Hollard, Bernard Sergent – Les Dragons. Mythes, rites et légendes (compte rendu), nouvellemythologiecomparee.hautetfort.com, 30 octobre 2019.
    11. « Liste des maires du département des Hautes-Alpes », sur le site de la préfecture des Hautes-Alpes, (consulté le ).
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    16. Ă©cole primaire de la commune
    17. collège des Hautes vallées.
    18. domaine skiable de Saint VĂ©ran.
    19. sports d'été à Saint Véran.
    20. Messes Ă  Saint VĂ©ran.
    21. Temple protestant.
    22. Commerces Ă  Saint-VĂ©ran
    23. artisans de la commune
    24. Restaurants de la commune.
    25. zones d'appellations Ă  Saint VĂ©ran.
    26. « Inventaire général : Église Paroissiale Saint-Véran », notice no IA00124948, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    27. « Maison, sise aux Forannes », notice no PA05000004, base Mérimée, ministère français de la Culture
    28. Observatoire de Saint-VĂ©ran.
    29. « Inventaire général : temple évangélique », notice no IA00124949, base Mérimée, ministère français de la Culture
    30. « Inventaire général : Église paroissiale Sainte-Agathe », notice no IA00124963, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. « Inventaire général : Ferme », notice no IA00124956, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Inventaire général : Croix Monumentale dite Croix de la Passion », notice no IA00124975, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. gazette-drouot.com, « Ventes aux enchères Charles-Henri CONTENCIN (1898-1955) », sur catalogue.gazette-drouot.com (consulté le ).
    34. Il mourra assassiné au retour du congrès de Rastadt. Source : revue bimensuelle Église d'Autun, Chalon & Mâcon, n° 16-17 du 21 juillet 1989, p. 430.
    35. Jean-Charles d'Amat, Armorial des communes des Hautes-Alpes, Société d'étude des Hautes-Alpes, , 46 p.
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