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La Buisse

La Buisse est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La Buisse
La Buisse
Vue de la mairie de La Buisse.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays voironnais
Maire
Mandat
Dominique Dessez
2020-2026
Code postal 38500
Code commune 38061
DĂ©mographie
Gentilé Buissards
Population
municipale
3 323 hab. (2020 en augmentation de 5,32 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 288 hab./km2
Population
agglomération
62 558 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 20′ 09″ nord, 5° 37′ 16″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 942 m
Superficie 11,52 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Voiron
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Voiron
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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La Buisse
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La Buisse
Liens
Site web www.labuisse.fr

    Également située dans le canton de Voiron, cette petite cité à l'aspect encore essentiellement rural, malgré une certaine urbanisation récente, est également adhérente à la communauté d'agglomération du Pays voironnais.

    Ses habitants sont appelés les Buissards[1].

    GĂ©ographie

    Plan de la commune de La Buisse et des communes limitrophes

    Situation et description

    SituĂ©e Ă  km au sud-est de Voiron, la plus grande ville situĂ© Ă  sa proximitĂ©, le territoire buissard se localise au sud de l'agglomĂ©ration de cette ville, siège de la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays voironnais. La Buisse est Ă©galement positionnĂ©e 20 km de Grenoble et Ă  85 km de Lyon

    GĂ©ologie et relief

    La Buisse, village souvent connu et reconnu pour sa célèbre carrière de pierre, possède une géologie particulière. En effet, la montagne qui surplombe la commune : le Grand Ratz (voir Plateau du Grand-Ratz), est une composante d'un plateau qui termine le massif Jurassien dans sa partie sud. Si souvent la Buisse est considérée comme commune Alpine du Massif de la Chartreuse de par sa situation géographique, géologiquement la différence est plus fine.

    Cependant, le Plateau du Grand-Ratz, à l'image du massif de la Chartreuse, est composé de roches sédimentaires calcaires. La carrière qui en perce le flanc exploite ces roches afin de produire en grande partie de la Chaux (matière). L'entreprise Balthazard et Cotte, qui occupe la carrière donnera d'ailleurs son nom au "Balthazard", un type de granulat (ou gravier) à l'aspect bien spécifique et à l'utilisation répandue.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de La Buisse
    Coublevie
    Saint-Jean-de-Moirans La Buisse La Sure en Chartreuse
    Voreppe

    Climat

    Positionnée à l'extrême nord de la cluse de Voreppe et au débouché des deux massifs préalpins que sont le Vercors et la Chartreuse, sur les pentes du plateau du Grand-Ratz, mais en grande partie, face à la plaine de l'Isère, le territoire de La Buisse présente un climat qui se situe entre le climat océanique et le climat continental, avec une légère influence méditerranéenne (les étés sont chauds, mais plutôt humides).

    Les montagnes environnantes particularisent beaucoup le climat car elles entraînent un effet de cuvette avec des chaleurs possiblement torrides, l'été et un froid assez important, l'hiver.

    Hydrographie

    La commune compte sur son territoire un ruisseau de type torrentiel, le Gorgeat, dont les eaux rejoignent l'Isère en passant dans les sous-sols de la zone industrielle et artisanale de centr'alp[2].

    Voies de communication

    Entrée de La Buisse
    Plaque routière le long de l'ancienne RN75

    L'ancienne route nationale 75 reliant Tournus et Bourg-en-Bresse à Sisteron, par Grenoble, route déclassée en RD 1075 traverse le territoire buissard entre les communes de Coublevie (au nord) et La Voreppe (au sud) où elle se connecte avec la RD1085, route de Grenoble à Lyon.

    La RD 121 permet de contourner le bourg central en se connectant avec l'autoroute A48 par une sortie (dite de Moirans mais située sur le territoire de La Buisse) permettant de rejoindre directement les agglomérations de Lyon et de Grenoble.

    La RD 120 permet de relier le bourg de La Buisse à la gare de Moirans après avoir traversé le hameau du Gay.

    Transport

    Le territoire buissard est desservie par la ligne W du réseau urbain des Transports du Pays voironnais. Il est aussi desservi par la ligne Expresse 1 reliant Lumbin à Voiron. Une ligne dont les véhicules sont disponibles sur réservation téléphonique complète l'offre de transport des lignes régulières.

    Urbanisme

    Typologie

    La Buisse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Voiron, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 15 communes[6] et 62 558 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32 %), zones agricoles hétérogènes (27 %), terres arables (16,2 %), zones urbanisées (10,1 %), prairies (9,2 %), mines, décharges et chantiers (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de La Buisse est situé en zone de sismicité no 4, non loin de la zone no 3 (sur une échelle de 1 à 5) qui se situe vers l'ouest et le nord-ouest du département de l'Isère[12].

    Terminologie des zones sismiques[13]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Toponymie

    Le nom de La Buisse viendrait du latin buxia, qui désigne le buis, dont la croissance était favorisée par les terres éboulées au pied du plateau du Grand-Ratz et qui se prêtait à une taille graphique. Il a dérivé en buyssia et décliné au féminin[14].

    André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, confirme cette thèse[15]. Par ailleurs, 289 noms de lieux différents ont été recensés sur cette commune[16]. Par ailleurs, 335 noms de lieux recensés sur cette commune[17].

    À noter que le Buis donnera sûrement son nom à de nombreux mots utilisés actuellement. Par exemple le mot "Buisson" ou "boussole". De plus, le Buis étant un bois utilisé depuis l'antiquité pour fabriquer de petites boîtes, il est probable que les mots "box" en anglais ou "boîte" en français (d'abord "buxita" puis "boiste" ), prennent leurs racines dans le nom du buis : "buxus" en latin ou "puxos" en grec[18].

    Histoire

    Préhistoire

    Établissement thermal, sur le site d'époque gallo-romaine.

    La Buisse est un des lieux les plus anciennement habités du Dauphiné. Dès la Préhistoire, des hommes s’installèrent dans la région, occupant les cavités dans la paroi surplombant la plaine de l’Isère. La grotte à « Bibi » ou de l'ermitage a livré des silex de la fin du Paléolithique supérieur (Magdalénien final : 13 000-11 000 av . J.-c.). À proximité, la grotte de Fontabert est un énorme ossuaire collectif du Chalcolithique-Bronze ancien (2 300-1 800 av. J.-C.). D'autres grottes dans la falaise (Grottes No 5, à Genève) ou sur les flanc du Grand Ratz (Trou au loup, Grotte du Trou noir) ont livré du matériel du Néolithique à l'âge du Fer[19].

    Antiquité

    En époque gallo-romaine, un établissement hydrothérapique fut construit au lieu-dit Les Thermes, des vestiges sont conservés sur la propriété privée de Galbert. Une villa romaine fut même détruite, sur le territoire de la commune, lors des invasions barbares du IIIe siècle. On sait même, avec certitudes, qu’une voie romaine traversait, autrefois, La Buisse pour relier Grenoble (Cularo) à Moirans (Morginum)[20].

    Moyen Ă‚ge

    La Buisse en 1910.

    Le nom de Buxia apparaît dans les textes dès le XIIe siècle et son origine provient probablement du buis, arbuste très abondant sur les pentes du Grand-Ratz.

    Durant l'époque médiévale, La Buisse est zone frontalière entre Savoie et Dauphiné, et eut à faire face à de nombreux affrontements sanglants. Ils se trouvent un château fort et un prieuré, aujourd'hui disparus. En proximité, l'église de l'époque était dédiée à saint Hugues.

    Époque contemporaine

    Matin du 7 août avant que le feu ne soit soufflé vers Voreppe

    Le 5 août 2022 vers 18h45, la foudre frappe la végétation desséchée par un été caniculaire. Peu après cet évènement, une colonne de fumée noire est aperçue par plusieurs habitants au sommet de la Rochebrune sur le secteur de la Tençon, pan méridional du Grand-Ratz se situant à la limite des communes de La Buisse et Voreppe . Le lendemain, alors que l'incendie semblait maîtrisé par les pompiers, le vent se lève en début de soirée, soit près de 24h après le début de l'incendie, provoquant ainsi un embrasement important de la végétation. Le feu se trouvant sur des falaises auxquelles l'accès est difficile, le feu reste hors de contrôle et les pompiers ne peuvent que limiter l'ampleur des dégâts[21].

    Le 7 août le vent tourne et pousse le feu vers la commune de Voreppe. Plusieurs hameaux sont alors évacués car situés en dessous des falaises enflammées, c'est également le cas de l'usine de construction de béton précontraint "Rector" qui se trouve également mise en danger par son dépôt de gaz. À ce moment, l'incendie prend une autre ampleur et nécessite l'intervention de canadairs[22].

    Hélicoptère de la Sécurité Civile passant au dessus de La Buisse

    L'incendie est dit circonscrit par le SDIS le 10 août puis éteint le 12 août après une semaine de combats intenses ayant nécessités l'intervention de près de 170 pompiers du département ainsi que d'hélicoptères de l'Armée de terre et d'un groupe de Marins pompiers. Ce sont ainsi 130 hectares de forêt, partagés entre La Buisse et Voreppe, qui sont partis en fumée[23].

    Cet incendie rappelle celui d'un autre sommet du massif de la Chartreuse, le Néron, en août 2003.

    Politique et administration

    Mairie de La Buisse

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1965 Michel Billon
    1965 1977 Oronce de Galibert
    1977 1980 Claudius Mestrallet
    1980 juin 1995 Joseph Voilin Agriculteur puis représentant de commerce
    juin 1995 2007 Marcel Vial DVD
    2007 mars 2008 André de Combarieu
    mars 2008 2020 Patrick Cholat DVG-EELV Ingénieur conseil[24]
    2020 En cours Dominique Dessez
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2020, la commune comptait 3 323 habitants[Note 3], en augmentation de 5,32 % par rapport Ă  2014 (Isère : +2,73 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1381 2151 3051 2741 3471 4211 4071 4391 295
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2371 1751 1501 0781 1081 0441 061996978
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9738988507979049958738841 055
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 0871 0061 0501 2062 2382 4052 6272 8863 133
    2020 - - - - - - - -
    3 323--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee Ă  partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune qui est rattachée à l'académie de Grenoble gère une école maternelle et une école primaire.

    Équipement sportif

    La buisse est équipée de:

    -3 terrains de tennis;

    -2 terrains de padel

    -1terrain de football

    -1 skatepark et 1 pump track

    Activités culturelles

    Buxia Festival L’objectif de ce festival est de permettre la diffusion de groupes musicaux locaux ainsi que de promouvoir leur rencontre avec des musiciens et techniciens professionnels. Cette action culturelle permettrait à deux groupes locaux de se produire dans un cadre professionnel.

    Cette année, le style mis en avant était le reggae qui est un style haut en couleur et adapté à toute génération inspirant la fraternité et la convivialité. L’intérêt de ce festival est d’ailleurs la mise en valeur d’un style de musique particulier différent chaque année.

    Organisé par l’association Buxia Family, la première édition a eu lieu le samedi 24 mars avec comme tête d’affiche le groupe Daipivo de Marseille (et Cassis) mais aussi Buxia family et les gnous représenteront les groupes locaux.

    Pour la seconde édition, qui s'est déroulée le 5 avril 2008, les Dukes (rock) et Lizarb (salade machine) se sont produits en première partie de Natty (bassiste de Sinsemilia) et le "Special Hommage Band à Bob Marley".

    En 2009, le festival se développe puisque la 3e édition s'est déroulée les 27 et 28 mars 2009 avec en tête d'affiche Emzel Café (+ Claksound + Remanka) et Bass Maker avec les chanteurs de Raspigaous et K2R Riddim (+ Peaks Iration + Hobo).

    MĂ©dias

    Le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre chaque jour de la semaine et du week-end, dans son édition Chartreuse-Sud Grésivaudan, une page complète sur l'actualité du canton et de sa région et quelquefois de la commune en proposant des informations sur les événements locaux, des comptes-rendus, des annonces, des dossiers sur des thèmes variés. Elle est aussi équipée du journal local, Voiron Mag et aussi La buisse info.

    Cultes

    Ă©glise St Martin

    La communauté catholique et l'église de La Buisse (propriété de la commune) sont desservies par la paroisse Saint Thomas de Rochebrune qui comprend les églises de cinq autres communes et un monastère. Celle-ci est rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[29].

    Économie

    Le budget communal de La Buisse dispose, en recettes de fonctionnement, de 711 euros par an et par habitant (2012[30],) ce qui la place dans la catĂ©gorie des communes modestes, sa physionomie essentiellement rurale en atteste.

    Activités industrielles et commerciales

    Voici, ci-dessous quelques entreprises dont les lieux de production ou le siège social sont implantés sur le territoire de La Buisse.

    • Carrière et Chaux Balthazard et Cotte (extraction de calcaire)
    • Act'Isère (Établissement et service d'aide par le travail de l'AFIPH)
    • Ets Rossignol (siège social)
    • L'agence web SO'Website

    Activités agricoles

    La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[31].

    La Buisse est une des communes d'un secteur de vignobles pouvant revendiquer le label IGP « Coteaux-du-grésivaudan », comme la plupart des communes de la moyenne vallée de l'Isère (Grésivaudan et cluse de Voreppe).

    Culture locale et patrimoine

    La commune compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[32] et deux œuvres répertoriées à l'inventaire général du patrimoine culturel, au parc Georges-Balthazar et au parc du château, de maîtres-d'œuvre inconnus[33].

    Les monuments historiques

    • Les vestiges d'Ă©tablissement gallo-romain, au lieu-dit les Thermes, font l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrĂŞtĂ© du [34].
    • L’église Saint-Martin du lieu-dit le Clos, construite au XIXe siècle[20], se distingue par son magnifique clocher roman du XIIe siècle qui fait l'objet d'une inscription partielle au titre des monuments historiques par arrĂŞtĂ© du 22 mars 1983[35].

    Les autres monuments

    Près de l'église Saint-Martin, la vieux village compte quelques maisons des XVe et XVIe siècles. La Buisse compte également d'autres monuments et édifices :

    • le château Beaumorier.
    • La Magnanerie, ou manoir de Maximy, du XVe siècle[20].
    • le château de la Charrière, du XVIIe siècle[20].
    • le château Monteynard, dit château de La Buisse au Pansu, du XIXe siècle mais dont les dĂ©pendances datent des XVe et XVIIe siècles[20].
    • la fresque de saint Martin Ă  cheval, coupant son manteau et l'offrant Ă  un mendiant, sur la façade d'une maison situĂ©e au dĂ©part de la route de Moirans.
    • le château des de Galbert, dans son parc sont abritĂ©s les vestiges d'un Ă©tablissement gallo-romain[20].
    • le monument aux morts (ObĂ©lisque sur socle), situĂ© près de l'Ă©glise[36].
    • Fontaine municipale de La Buisse.
      Fontaine municipale de La Buisse.
    • Église Saint-Martin de La Buisse.
      Église Saint-Martin de La Buisse.

    Patrimoine culturel

    • une bibliothèque

    Patrimoine naturel

    La Buisse est une des communes adhérentes du parc naturel régional de Chartreuse.

    HĂ©raldique

    La Buisse possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. André Plank, L'origine des noms des communes du département de l'Isère, Artès, , 159 p. (ISBN 978-2-910459-08-6), p. 27.
    2. Site ledauphine.com, article "Le Gorgeat, ce ruisseau capricieux", consulté le 20 septembre 2019
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Voiron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    13. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    14. Georges Fauchon, Le Pays voironnais, Éditions des Cahiers de l'Alpe, coll. « Histoire régionale », 1968, page 59
    15. André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 50
    16. Corinne Bourrillon, 10 000 lieux en pays voironnais, tome 1, , p. 54 Ă  61.
    17. Corinne Bourrillon, 10 000 lieux en pays voironnais, tome 1, , p. 68 Ă  72.
    18. « La boîte de buis, la boussole et le ciboire | Académie française », sur www.academie-francaise.fr (consulté le )
    19. Aimé Bocquet, L'Isère pré et protohistorique, Gallia-Préhistoire 1969, fasc. 1. page 208-222
    20. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 188-192.
    21. « Isère. « Nous avons entendu un très gros coup de tonnerre » : retour sur l'impressionnant incendie à Voreppe », sur www.ledauphine.com (consulté le )
    22. « En images . Incendie de Voreppe : dans l'enfer du dimanche », sur www.ledauphine.com (consulté le )
    23. « Isère. Le feu de forêt de Voreppe enfin considéré comme "éteint" », sur www.ledauphine.com (consulté le )
    24. « Résultats municipales 2020 à La Buisse », sur lemonde.fr (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Site messe-info, page sur la Saint Thomas de Rochebrune, consulté le 20 septembre 2019
    30. Site alize2.finances.gouv.fr
    31. [PDF] Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 .
    32. « Liste des monuments historiques de la commune de La Buisse », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Liste des lieux et monuments de la commune de La Buisse à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Notice no PA00117131, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Notice no PA00117130, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Site monumentsmorts.univ-lille.fr, page sur le monument aux morts de La Buisse, consulté le 2 mai 2021.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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