Saint-Hilaire-sur-Helpe
Saint-Hilaire-sur-Helpe est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Saint-Hilaire-sur-Helpe | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de l'Avesnois | ||||
Maire Mandat |
Nicolas Dosen 2020-2026 |
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Code postal | 59440 | ||||
Code commune | 59534 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Hilairois | ||||
Population municipale |
832 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 54 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 07′ 56″ nord, 3° 54′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 140 m Max. 206 m |
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Superficie | 15,41 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Avesnes-sur-Helpe (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-sur-Helpe | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Elle fait partie administrativement de l'Avesnois, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.
Géographie
Saint-Hilaire-sur-Helpe se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du Parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (au début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».
Le village est traversé par l'Helpe Majeure, affluent de la Sambre. Il est construit initialement sur un escarpement rocheux dominant l'Helpe Majeure, qui reçoit le ruisseau de Bûchemont, le ruisseau de la Cressonnière et le ruisseau du Père Queue qui arrosent le bocage.
La commune se trouve à 100 km de Lille (préfecture du Nord) ou Bruxelles, à 45 km de Valenciennes et Mons (Belgique) et à 4 km d'Avesnes-sur-Helpe (sous-préfecture). La Belgique se trouve à 20 km et le département de l'Aisne à 15 km.
Communes limitrophes
La commune présente la particularité d'avoir deux quadripoints (point géographique où se rencontre quatre entités administratives distinctes) :
- l'un au nord-ouest du territoire communal avec les communes de Monceau-Saint-Waast (nord-ouest), Saint-Rémy-Chaussée (nord-est) et Dompierre-sur-Helpe (sud-ouest), Saint-Hilaire se trouvant au sud-est,
- l'autre au nord-est du territoire communal avec les communes de Saint-Aubin (nord-ouest), Dourlers (nord-est) et Bas-Lieu (sud-est), Saint-Hilaire se trouvant au sud-ouest.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 61 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Hilaire-sur-Helpe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avesnes-sur-Helpe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (75,6 %), terres arables (14,6 %), mines, décharges et chantiers (6,4 %), forêts (1,7 %), zones urbanisées (1,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
La commune tient son nom d'Hilaire de Poitiers, saint-évêque de Poitiers.
Durant la Révolution, la commune, alors nommée Saint-Hilaire, porte le nom de Hilaire[21].
En 1894, la terminaison sur-Helpe est ajouté au nom de Saint-Hilaire[21], la même année où la commune homonyme du Cambrésis devient Saint-Hilaire-lez-Cambrai.
Ses habitants sont appelés les Saint-Hilairois[22].
Histoire
- Le village s'est développé, dans un premier temps, au hameau de Fucheaux (paroisse indépendante jusqu'en 1595) où se trouve un gué romain franchissant l'Helpe Majeure (nombreux vestiges). Ce gué se trouve sur la voie romaine qui relie Bavay à Reims. Un droit de péage est alors exercé pour le franchissement de la rivière (fiscassium, ancien nom du lieu signifiant corbeille du fisc).
- Des Francs colonisent la région en s'installant sur un à -pic rocheux surplombant l'Helpe et créent un nouvel habitat à quelques centaines de mètres de Fucheaux (site actuel de l'église). Un cimetière mérovingien a été mis au jour à cet endroit. Les Francs créent alors un village qui deviendra Saint-Hilaire (du nom de l'évêque de Poitiers). C'est probablement dans l'église de ce village que les premiers chrétiens de la région sont baptisés.
- La région est évangélisée par saint Etton, moine d'origine irlandaise et compagnon de Fursy de Péronne. Il vécut à Fucheaux au VIIe siècle.
- 843 : avec le traité de Verdun, le partage de l'empire carolingien entre les trois petits fils de Charlemagne octroie à Lothaire Ier, la Francie médiane qui comprend le Hainaut dont fait partie Saint-Hilaire-sur-Helpe.
- 855 : avec le traité de Prüm qui partage la Francie médiane entre les trois fils de Lothaire Ier, le Hainaut est rattaché à la Lotharingie dont hérite Lothaire II.
- 870 : avec le traité de Meerssen après la mort de Lothaire II, une partie de la Lotharingie dont fait partie le Hainaut est rattachée à la Francie occidentale.
- 880 : avec le traité de Ribemont en 880, le Hainaut est rattaché à la Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire romain germanique en 962.
- Au Moyen Âge, il dépend de la terre d'Avesnes. Il est rattaché à la France par le traité des Pyrénées en 1659.
- Les Cosaques occupent le village de 1815 à 1818 après la bataille de Waterloo.
- Plans du cadastre napoléoniens (1813 et 1868) + plans cadastraux de 1939 de Saint-Hilaire-sur-Helpe :site internet des Archives départementales du Nord
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].
En 2020, la commune comptait 832 habitants[Note 8], en augmentation de 6,67 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 399 hommes pour 426 femmes, soit un taux de 51,64 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
- Fête du village Les Saint-Hilairoises, le 3e dimanche de mai : thème de la fête du cheval et de l'eau. Nombreuses activités (descente de l'Helpe en kayak, spectacles équestres…) et restauration rapide.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église d'origine romane réaménagée au XVIe siècle
- Moulin de Fucheau du XVIe siècle sur des bases plus anciennes
- Château de Coutant des XIIe et XVIIIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques en 1947[32].
- Château Gaillard du XVIIe siècle.
- Le Kiosque à musique du type kiosque à danser.
- La Gare de Saint-Hilaire
- Le monument aux morts, situé au point le plus haut de la commune
- Nombreuses chapelles :
- Chapelle Saint-Lienard et Notre-Dame-de-Messine, inscrite au titre des monuments historiques en 1951[33],
- Chapelle Sainte-Anne, inscrite au titre des monuments historiques en 1946[34],
- Chapelle Notre-Dame-des-Affligés, inscrite au titre des monuments historiques en 1946[35],
- Notre-Dame des Bonnes Pensées,
- Notre-Dame de Grâce, etc.
- L'église
- Le château de Coutant
- Le kiosque à musique
- Le moulin de Fuchau
- Le monument aux morts
- Chapelle Saint-Lienard et Notre-Dame-de-Messine devant l'église
- Chapelle Notre-Dame de Walcourt au bourg
- Chapelle dans la rue principale du bourg.
- Chapelle Saint-Etton à Grand Fuchau.
- Chapelle Saint-Etton, Saint-Hubert et Notre-Dame de Lourdes à Petit Fuchau.
Personnalités liées à la commune
- Dom Bévy, moine bénédictin de la congrégation de Saint-Maur, né le à Saint-Hilaire ; il devient l'historiographe du roi Louis XV pour la province de Hainaut et est l'auteur de plusieurs livres à caractère historique.
- Maximilien Evrard, ingénieur, industriel et maire de Sorbiers. Inventeur du lavoir à charbon mécanique et directeur des mines de la Chazotte dans la Loire. Enterré à Saint-Hilaire
- Alice Yahiel et Simone Jacques-Yahiel, professeures de danse et déportées résistantes à Ravensbrück et Beendorf , sont inhumées dans le cimetière communal.
- Céline Rousseaux, journaliste sportive et présentatrice, est originaire de la commune.
Héraldique
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Les armes de se blasonnent ainsi : |
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Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Hilaire-sur-Helpe et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Hilaire-sur-Helpe et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Avesnes-sur-Helpe », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
- « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 134-135 (images 164-165).
- « Nicolas Dosen a été élu maire », L'Observateur de l'Avesnois, no 19462,‎ , p. 17 (ISSN 0183-8415).
- Sophie Rabot, « Avesnois : Nicolas Dosen élu président de la 3CA », sur lobservateur.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe (59534) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Inscription MH du château de Coutant », notice no PA00107804, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription MH de la chapelle Saint-Lienard et Notre-Dame-de-Messine », notice no PA00107802, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription MH de la chapelle Sainte-Anne », notice no PA00107801, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription MH de la chapelle Notre-Dame-des-Affligés », notice no PA00107803, base Mérimée, ministère français de la Culture.