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Saint-Gilles (Indre)

Saint-Gilles est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Saint-Gilles
Saint-Gilles (Indre)
L'église en 2010.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Le Blanc
Intercommunalité Communauté de communes Marche Occitane - Val d'Anglin
Maire
Mandat
Spike Groen (REC)
2020-2026
Code postal 36170
Code commune 36196
Démographie
Gentilé Saint-Gillois
Population
municipale
95 hab. (2020 en diminution de 13,64 % par rapport à 2014)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 45″ nord, 1° 26′ 44″ est
Altitude Min. 162 m
Max. 259 m
Superficie 7,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Argenton-sur-Creuse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gaultier
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Gilles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Gilles
Géolocalisation sur la carte : Indre
Voir sur la carte topographique de l'Indre
Saint-Gilles
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Saint-Gilles

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le sud[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

    Les communes limitrophes[1] sont : Chazelet (km), Parnac (km), Vigoux (km), Saint-Civran (km) et Roussines (km).

    Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Saint-Gaultier (18 km), Le Blanc (35 km), Châteauroux (41 km), La Châtre (42 km) et Issoudun (66 km).

    Hameaux et lieux-dits

    Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Abloux, Chanteloube, le Moulin de Chanteloube et le Moulin de Saint-Gilles[2].

    Géologie et hydrographie

    La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

    Le territoire communal est arrosé par la rivière Abloux[2], de plus il possède les sources du ruisseau Chinan[2].

    Climat

    Normales et records pour la période 1981-2010 à la station météorologique de Châteauroux - Déols
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,3 3,5 5,3 9,2 12,4 14,4 14,3 11,2 8,5 4,1 1,8 7,3
    Température moyenne (°C) 4,2 4,9 8 10,4 14,4 17,8 20,2 20 16,6 12,8 7,5 4,7 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,6 12,6 15,5 19,6 23,1 26 25,6 21,9 17,1 11 7,6 16,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −22,8
    16-01-1985
    −22,8
    14-02-1929
    −10,8
    01-03-2005
    −4,2
    07-04-1929
    −1,4
    11-05-1928
    1,2
    01-06-1936
    4
    10-07-1948
    4,5
    06-08-1967
    0
    30-09-1936
    −5,2
    30-10-1997
    −8,7
    24-11-1998
    −17
    10-12-1967
    −22,8
    16-01-1985
    Température maximale la plus basse (°C)
    date du record
    −14,9
    16-01-1985
    −10,8
    02-03-1956
    −1,9
    05-04-1971
    1,5
    06-04-1911
    6,9
    04-05-1977
    11,1
    09-06-1956
    12,8
    19-07-1966
    13,9
    31-08-2007
    9,5
    29-09-1919
    2,8
    27-10-1931
    −2,9
    22-11-1993
    −10,2
    20-12-1938
    −14,9
    16-01-1985
    Température minimale la plus haute (°C)
    date du record
    12
    02-01-1916
    12,1
    27-02-1960
    14,9
    11-03-1981
    14,5
    28-04-1913
    18
    12-05-1912
    22,3
    28-06-2005
    23
    21-07-1995
    23,3
    06-08-2018
    20,5
    05-09-2017
    18,9
    01-10-2001
    15,1
    07-11-1954
    13,4
    04-12-1961
    23,3
    06-08-2018
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,5
    05-01-1999
    24
    27-02-2019
    28
    25-03-1955
    31,5
    22-04-1893
    34,5
    29-05-1944
    37,7
    26-06-1947
    40,2
    28-07-1947
    40,5
    02-08-1906
    38
    01-09-1906
    30,3
    07-10-2009
    24,5
    02-11-1899
    20,5
    16-12-1989
    40,5
    02-08-1906
    Ensoleillement (h) 72,1 91,9 155,6 178,5 208,6 210,4 231,7 235,5 189,5 128,3 79,6 59 1 840,7
    ETp Penman (mm) 13,8 23,2 56,1 82,1 112,9 132,8 147,8 131,5 79,5 41,3 15,9 10,2 847,1
    Record de vent (km/h)
    date du record
    105,4
    NC
    132,1
    23-02-2009
    126
    NC
    104,4
    NC
    94,5
    NC
    109,8
    13-06-2002
    104,4
    NC
    115,2
    NC
    104,4
    NC
    97,2
    NC
    100,8
    NC
    126
    NC
    132,1
    NC
    Record de la pression la plus basse (hPa)
    date du record
    973,1
    NC
    965
    NC
    983,7
    NC
    981,8
    NC
    989,6
    NC
    991,6
    NC
    978,2
    NC
    996,9
    NC
    989,9
    NC
    980,1
    NC
    973
    NC
    967,9
    NC
    965
    NC
    Record de la pression la plus haute (hPa)
    date du record
    1 045,1
    NC
    1 043,4
    NC
    1 046,7
    NC
    1 035,7
    NC
    1 033,5
    NC
    1 047,5
    NC
    1 030,6
    NC
    1 030,6
    NC
    1 034,9
    NC
    1 035,6
    NC
    1 040,2
    NC
    1 045,6
    NC
    1 047,5
    NC
    Précipitations (mm) 59,2 48,8 52,1 65,8 73,3 54,9 56,6 56,1 64,3 73,8 64,9 67,3 737,1
    Record de pluie en 24 h (mm)
    date du record
    48,7
    20-01-1910
    29,7
    05-02-1955
    32,4
    29-03-1978
    42,6
    18-04-1964
    54,1
    12-05-1910
    67,6
    04-06-2002
    60,4
    08-07-1919
    66,1
    29-08-1945
    58,6
    17-09-1975
    43
    29-10-1981
    35,2
    05-11-1962
    51,6
    24-12-1995
    67,6
    04-06-2002
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 4,9 5,3 5 5,8 6,2 7,5 7,4 7,2 8,3 6,4 5,7 5,9 6,3
    Source : Infoclimat.fr
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    7,1
    1,3
    59,2
    8,6
    1,3
    48,8
    12,6
    3,5
    52,1
    15,5
    5,3
    65,8
    19,6
    9,2
    73,3
    23,1
    12,4
    54,9
    26
    14,4
    56,6
    25,6
    14,3
    56,1
    21,9
    11,2
    64,3
    17,1
    8,5
    73,8
    11
    4,1
    64,9
    7,6
    1,8
    67,3
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Voies de communication et transports

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 1, 1B et 59[4].

    La ligne du Blanc à Argenton-sur-Creuse via Saint-Benoît-du-Sault passait par le territoire communal, deux gares (Saint-Gilles et La Fontouret) desservaient la commune. Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares d'Éguzon[4] (13 km), Argenton-sur-Creuse[4] (15 km) et Saint-Sébastien[4] (16 km).

    Saint-Gilles est desservie par la ligne L du Réseau de mobilité interurbaine[5].

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[4], à 53 km.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [6] - [7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argenton-sur-Creuse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,9 %), zones agricoles hétérogènes (34,4 %), forêts (23,7 %), terres arables (4,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Logement

    Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[13] de la commune :

    Date du relevé 2013
    Nombre total de logements 93
    Résidences principales 61,4 %
    Résidences secondaires 22,6 %
    Logements vacants 16 %
    Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 88,9 %

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Gilles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gilles.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 98 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 98 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16] - [17].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

    Toponymie

    Cette commune porte le nom de « Saint-Gilles » en référence à l'abbé bénédictin saint Gilles l'Ermite. La légende veut que cet abbé bénédictin soit lié à la fondation de l'abbaye de Saint-Gilles (Gard), un lieu important de pèlerinage sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Un décret de la Convention du 25 vendémiaire an II () invita les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de royauté, féodalité ou superstition, à les remplacer par d'autres dénominations. En cette période de Révolution, la commune de Saint-Gilles porta le nom de Mont-d'Abloux.

    Ses habitants sont appelés les Saint-Gillois[18].

    Histoire

    La paroisse dépendait du prieuré de Saint-Benoît-du-Sault.

    En Bas-Berry, au XVIe siècle, le haut-fourneau et le « procédé indirect » d'obtention du fer apparaissent et de grandes forges sur terres seigneuriales se constituent alors. Dans l’Indre, notamment autour d’Abloux (à Chazelet et à Saint-Gilles), des forges seront établies jusqu'au milieu du XIXe siècle.

    Parce que Saint-Gilles (et le Bas-Berry dans son ensemble) a été relativement mieux épargné par les destructions consécutives à la Révolution et aux guerres, son patrimoine s'est mieux maintenu qu'en d'autres régions.

    Lors de la débâcle (Seconde Guerre mondiale), des populations en exode fuyant la zone conquise par la Wehrmacht, furent parfois logées dans les environs. Dans le département, la Résistance) fut active dès 1940-41[19]. Lors de la répression allemande de l'été 1944, Saint-Gilles ne connut pas de pillage, saccage ou d'exécution sommaire.

    La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton de Saint-Benoît-du-Sault.

    Politique et administration

    La commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton de Saint-Gaultier, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Marche Occitane - Val d'Anglin[20].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995[21] - [22] mars 2014 Jacqueline Aufrère ? Retraitée
    mars 2014[23] 2020 Daniel Laforêt DVD[24] Retraité
    juillet 2020 En cours Spike Groen[25] LR puis REC
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

    En 2020, la commune comptait 95 habitants[Note 3], en diminution de 13,64 % par rapport à 2014 (Indre : −3,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    370311303386390423476503501
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    448434480332353341359361355
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    364338332302279237266204176
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    18518518514713513310096114
    2015 2020 - - - - - - -
    10795-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune ne possède pas de lieu d'enseignement.

    Médias

    La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

    Économie

    La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d’Argenton-sur-Creuse[20].

    L’économie de la commune repose sur des entreprises individuelles, transport routier de marchandises et produits fermiers.

    Culture locale et patrimoine

    • Église romane
    • Monument aux morts

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
    2. « Saint-Gilles » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
    3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
    4. « Saint-Gilles », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
    5. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Site de l'Insee : Saint-Gilles (Indre), consulté le 6 septembre 2016.
    14. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Gilles », sur Géorisques (consulté le )
    15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    17. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    18. « Nom des habitants des communes françaises, Saint-Gilles », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
    19. Site de l'académie d'Orléans-Tours : Mémoire d'un paysan de l'Indre dans la Résistance, consulté le 28 novembre 2009.
    20. « Commune de Saint-Gilles (36196) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
    21. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
    22. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
    23. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
    24. Site du Monde.fr : Saint-Gilles (Indre), consulté le 21 septembre 2016.
    25. « Spike Groen, le plus jeune maire de l'Indre », sur La Nouvelle République,
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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