Saint-Armel (Morbihan)
Saint-Armel [sÉÌtaÊmÉl] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Morbihan en rĂ©gion Bretagne.
Saint-Armel | |
![]() L'Ă©glise paroissiale. | |
![]() HĂ©raldique |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
RĂ©gion | Bretagne |
DĂ©partement | Morbihan |
Arrondissement | Vannes |
Intercommunalité | Golfe du Morbihan - Vannes Agglomération |
Maire Mandat |
Anne Tessier-PĂ©tard 2021list-2026 |
Code postal | 56450 |
Code commune | 56205 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Armelois, Armeloise |
Population municipale |
877 hab. (2020 ![]() |
Densité | 110 hab./km2 |
Population agglomération |
12 712 hab. |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 47° 34âČ 24âł nord, 2° 42âČ 34âł ouest |
Altitude | 10 m Min. 0 m Max. 17 m |
Superficie | 7,95 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Aire d'attraction | Vannes (commune de la couronne) |
Ălections | |
Départementales | Canton de Séné |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel de la commune de Saint-Armel |
Saint-Armel fait partie du Parc naturel régional du golfe du Morbihan.
Toponymie
Attestée sous les formes Sant Hermel en 1304, Prosat en 1367[1], Provosat en 1475.
Prosat, ou Provosat était le toponyme originel du lieu et le nom d'une frairie dépendant de Sarzeau.
Le nom du saint patron de l'Ă©glise, reconstruite en 1857, devient aussi le nom de la commune en 1858.
Sant-Armael en breton.
GĂ©ographie
Situation
SituĂ©e sur la presqu'Ăźle de Rhuys Ă une quinzaine de kilomĂštres de Vannes, cette commune littorale borde le golfe du Morbihan et possĂšde plusieurs Ăźles sur son territoire, dont l'Ăźle Tascon et l'Ăźle Bailleron. Sur la presqu'Ăźle de Rhuys, la commune reste cependant Ă l'Ă©cart de l'afflux touristique du golfe du Morbihan. Dans les zones classĂ©es Natura 2000, un rĂ©seau de sites naturels europĂ©ens, ce sont surtout des balades Ă pied qui sĂ©duisent les amateurs de nature sauvage et d'oiseaux, aigrettes, hĂ©rons, sternes... L'Ă©tĂ©, la pĂȘche Ă pied attire du monde.
Elle était autrefois reliée à Séné par le passage Saint-Armel. Ce passage à travers la riviÚre de Noyalo à l'aide d'une plate traditionnelle du golfe existait depuis plusieurs siÚcles jusque dans les années 1950. Un passeur assurait la traversée à force de rame contre une faible rémunération. Cela permettait d'économiser plusieurs kilomÚtres pour se rendre à Vannes et permettait aux jeunes gens des deux communes de se fréquenter. Les cales du Passage (Saint Armel) et de Montsarrac (Séné) sont distantes de 20 km par la route, de 200 m par la mer. Depuis quelques années le conseil général a mis en place un passeur équipé d'une barge à moteur, actif durant la saison touristique.
Les anciennes salines ont été reconvertie en « claires » ou bassins d'affinage pour l'ostréiculture.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Vannes-SĂ©nĂ© », sur la commune de SĂ©nĂ©, mise en service en 1998[8] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 907,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Vannes-SĂ©nĂ© », sur la commune de SĂ©nĂ©, mise en service en 1998 et Ă 6 km[9], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] Ă 12,4 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Saint-Armel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16] - [17].
La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[18]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[19] - [20].
Occupation des sols
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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (71,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (39,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (26,5 %), zones urbanisĂ©es (18,5 %), zones humides cĂŽtiĂšres (8,7 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (5,6 %), prairies (1,1 %)[21].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[22].
Histoire
NĂ© en Irlande en 482, Armel quitte son pays pour migrer vers la Bretagne continentale. Ermite dans la rĂ©gion de Quimper, Armel fonde un monastĂšre Ă Plouarzel. AprĂšs un sĂ©jour parisien Ă la cour de Childebert Ier, il est chassĂ© Ă la suite d'intrigues. Il vient alors s'installer au sud de Rennes oĂč il finit son existence en grande saintetĂ©.
La commune a été, officiellement, créée en 1859 et comptait alors 659 habitants. Elle faisait partie auparavant de Sarzeau.
En 1860, une école est créée, d'abord en louant une maison au centre du bourg (actuellement le café Guyon), puis le conseil municipal achÚte ce bùtiment en 1868. En 1907, une « véritable » école est construite, ce qui permet d'ouvrir une classe pour les filles.
De 1910 Ă 1947, la commune (gare de Saint-Armel) Ă©tait desservie par le trafic ferroviaire de la Ligne de Surzur Ă Port-Navalo des chemins de fer du Morbihan[23].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1861. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 877 habitants[Note 7], en diminution de 2,23 % par rapport Ă 2014 (Morbihan : +3,12 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
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- Ăglise Saint-Armel.
- Les marais de Lasné : Le site de Lasné à Saint-Armel n'avait plus connu, depuis plus d'un siÚcle, le sel cueilli artisanalement. Transformés en claires ostréicoles vers 1925, les marais de Lasné alimentaient en hußtres le fameux restaurateur parisien Prunier. Ces claires qui permettaient d'affiner les hußtres plates ont été peu à peu abandonnées aprÚs la DeuxiÚme Guerre mondiale (rentabilité en baisse due à un travail non mécanisable conjugué à l'exode rural), et leur évolution naturelle entraßnait leur comblement à terme par les dépÎts de vase et de débris végétaux. Au début des années 1980, quelques ostréiculteurs de la presqu'ßle de Rhuys, regroupés en GIE, tentent de redémarrer l'activité à la suite de l'acquisition du marais par le conseil général. En 1988, Dan Nguyen et AgnÚs Valin mettent en place un élevage de palourdes et de crevettes, puis d'hußtres, qui permet une remise en état et un entretien de quelques claires supplémentaires. En 1996, ces exploitants construisent un bùtiment d'exploitation et un autre ostréiculteur en construit un second. Il remet lui aussi en état des claires à hußtres. Depuis 2003, avec l'aide du conseil général du Morbihan (propriétaire du site depuis 1978), l'or blanc fait son retour en presqu'ßle de Rhuys, au bord du golfe du Morbihan. Nathalie Krone en est la paludiÚre depuis 2017.
- L'Ăle Tascon est habitĂ©e, elle est accessible Ă marĂ©e basse par une route dĂ©couvrante qui est en trĂšs bon Ă©tat.
- L'ßle Bailleron abrite une station de recherche biologique de l'université de Rennes 1, trÚs rarement occupée actuellement.
- Enézy, petite ßle du golfe du Morbihan appartenant au domaine maritime.
- Le marais de Ludré a été l'un des premiers sites français de l'ostréiculture vers les années 1870, les grands bùtiments présents ont servi de moulin à marée puis de fabrique de litiÚre à base de zoostÚres séchées (plante marine à racines). Pendant quelques années, ils ont abrité un zoo privé.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- dans les archives de l'abbaye de Saint-Gildas-de-Rhuys
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vannes-Séné - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Armel et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vannes-Séné - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Yannic Rome, Grandes et petites histoires des tramways et petits trains du Morbihan, Le FaouĂ«t, Liv'Ăditions, coll. « MĂ©moire du Morbihan », , 246 p. (ISBN 2-84497-070-2), « Trois lignes complĂ©mentaires : Vannes-Port-Navalo », p. 124-130.
- « NĂ©crologie. Pierre Le Joubioux dit « Pierrot le maire » », Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne)
- « L'ancien maire Francis Morzadec est dĂ©cĂ©dĂ© », Ouest-France,â (lire en ligne)
- « Il revenait d'Enezy. Mort de RenĂ© Le Digabel », Le TĂ©lĂ©gramme,â (lire en ligne)
- « Saint-Armel. Christian Le MĂ©nach sâentoure de trois adjoints », Ouest-France,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Saint-Armel. Le maire Christian Le MĂ©nach dĂ©missionne », Ouest-France,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Saint-Armel. Nathalie Le Boulicaut dĂ©signĂ©e maire par intĂ©rim », Ouest-France,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « Saint-Armel. Anne Tessier-PĂ©tard, Ă©lue maire de Saint-Armel », Ouest-France,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- «Le gochtial garde sa part de mystÚre» sur Ouest-France
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie de Saint-Armel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Saint-Armel sur le site de l'Institut géographique national